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Blog de lilileet

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Ils étaiént à présent dans la maison. Monsieur marchait vite dans les couloirs et Marilyn, pieds nus

à ses côtés, trottait en s'efforcant de garder  son rythme. Après avoir rapidement laché sa main,

il avait plaqué la sienne sur ses larges fesses, les enrobant presque dans son énorme paume. 

Il avait inséré son index profondément dans son anus puis avait saisi sa fine verge et maintenant

c'est par la verge qu'il la tenait comme ils marchaient, sa jupe relevée. 

Marilyn tenait le bras de l'homme et  étouffait ses plaintes. Quand ils croisaient des femmes dans les

couloirs elle baissait les yeux. Elle avait tellement envie qu'il la prenne à nouveau. Ses seins gonflés

tendaient son petit top rose, ses tétons bandés le transperçait. Elle se sentait comme un animal en

rut, une chienne. Elle pensait au collier qu'elle portait au cou.  


Il rejoignirent sa chambre, et après avoir fermé la porte à clé, il mit la clé dans sa poche.

Sans plus attendre il ordonna à Marilyn de pratiquer une fellation. Elle se laissa tomber à genou et

l'ayant libéré, enfourna dans sa bouche l'énorme pénis encore couvert de sa jute et de son sang à 

elle. Il saisit ses seins et s'en servit de points d'appuis pour la ramener et l'écarter de lui en rythme.

Plusieurs fois elle faillit s'évanouir comme l'énorme sexe de l'homme s'enfoncait dans sa gorge.

Mais quand son visage devenait trop rouge, qu'elle battait ses mains sur ses cuisses épaisses

et velues, il ressortait d'elle, hoquetante, aspirant l'air.


Et puis, alors qu'elle était au bord de l'apoplexie, il cessa soudain. La relevant, la main posée sur

ses fesses, il la dirigea vers les penderies.


- Tout d'abord , dit il, nous allons te remettre une guépière. Fouillant dans les penderies, il en sortit une en dentelle noire,à laçage dans le dos et à baleines. Le soutien gorge était un redresse seins; Il lui ordonna de l'enfiler et se placant derrière elle, commenca à la laçer. 


Marilyn avait le souffle coupé, jamais Agnès n'avait serré autant ses guépières. Elle aspirait l'air

par petites bouffées comme l'homme la retourna vers lui.

- Petite catin ! rit il, regarde ton clitoris, on dirait qu'il va exploser.

De fait, la fine verge surtendue était plaquée contre son ventre, son gland violacé gonflé à éclater

Ses gros seins, bordés de dentelle noire, nus, gonflés, étaient tendus à l'horizontale. Ses tétons de petits pénis de cinq centimètres parfaitement rigides.

-Met des bas couture nylon noirs  grogna t'il. 

Elle choisit une paire de voiles bicolore et 

lui montra.

Comme il approuvait, elle les enfila l'un après l'autre lentement, posant tour à tour ses pieds sur le lit, 

veillant au bon placement des 

coutures à l'arrière de ses jambes, des talons cubains, des renforcements rouges sur ses orteils  et y fixa les six jarretelles de sa guépière.

Prenant Marilyn par la main, il l'entraîna vers les penderies où étaient rangées ses innombrables paires de chaussures et sans hésiter choisit une paire de sandales à hautes plateformes transparentes. Il les lui enfila, attachant les brides,

satisfait que le rouge intense de ses ongles soit parfaitement visible sous le fin nylon rouge des bas.

Il lui fit enfiler une large culotte transparente en

nylon ouverte entre les cuisses

Puis il choisit une longue combinaison qui touchait presque terre, très fine, transparente et rose et lui fit enfiler.


Satisfait, l'homme attira Marilyn contre lui.

Sa fine verge surmontée du gros gland et de la grosse pierre précieuse dégagée de la petite culotte, était plaquée contre la guépière.

Elle pouvait deviner à travers l'étoffe du pantalon, 

l'énorme sexe de l'homme, s'allongeant a vue d'oeil.

Elle avait le souffle court, elle sentait sa taille étranglée par le corset et son coeur palpitait du

désir qu'elle avait d'être prise par l'homme.


Attirant Marilyn entre ses jambes, il lui posa une main épaisse sur les fesses

tandis que de l'autre à travers le fin tissu de la combinaison il masturbait la tige fine de sa verge

Son gland gonflé têtait désespérément sur son 

cabochon et elle gémissait, les yeux fermés et la tête en arrière. L'homme fit courber Marilyn, grande dans ses sandales à plateforme de gogo girl et lui baillonna la bouche de la sienne. 

Dans un même mouvement, de la main qui avait

caressé ses fesses, il saisit un énorme godemichet à picôts. Soulevant la combinaison 

et écartant la culotte, il enfonça les 28 centimètres dans la chatte de Marilyn et actionna le moteur. Celle ci voulut protester mais sa bouche était bâillonnée par celle de l'homme

et la douleur initiale de la pénétration se diluait

dans le plaisir que lui procurait la masturbation

de son clitoris.

Retirant la main des fesses de Marilyn, l'homme

souleva la combinaison et retira le cabochon de son gland. A présent les vibrations amenaient en

elle des vagues de plaisir diffus. Les lèvres de son gland s'ouvrirent largement et il en profita pour glisser sa langue dans son urètre.

Elle eut un petit cri de surprise doublé d'un long

Soupir de plaisir. Le canal de son urètre avait été tellement élargit à la clinique que l'homme put y glisser profondément sa langue. Marilyn gémissait, ses pieds se crispaient tandis que l'homme, les

mains sur ses hanches tirant sur les jarretelles

faisait aller et venir sa langue dans son urêtre.

Déjà sa liqueur coulait abondamment entre ses fesses et elle sentit qu'elle montait dans sa petite verge.

Saisissant les olives de Marilyn de trois doigts,

il les tordit soudain et alors qu'elle criait, remit

en place le cabochon et retira le vibromasseur.


Prenant Marilyn dans ses bras, il l'amena sur le 

lit et la fit se mettre à quatre pattes.

Prenant une laisse, il l'attacha à la boucle du collier de Marilyn d'une part et au montant du lit.

Dehors la nuit tombait.

Se plaçant derrière elle sur le lit, l'homme

lui ôta sa petite culotte trempée.

Extirpant de son pantalon sa gigantesque queue,

il amena son gland contre la chatte de Marilyn à travers le voile de la combinaison. Il la frotta

ainsi jusqu'à entendre les gémissements de 

Marilyn.

Puis soudain, il souleva les voiles et la pénétra

de son énorme gland. Elle eut un petit cri, qui n'était pas de douleur et en même temps elle avait le souffle court . 

Alors, la saisissant par les hanches, il enfonça en elle les 35 centimètres de son pieu d'un coup.

Le cri de Marilyn monta comme elle était empalée

à travers les étages de la maison. Elle rejeta la tête en arrière dans un mouvement de refus mais

son mouvement fut bloqué par la laisse tendue


Elle était pleine du sexe monstrueux et les parois 

élastiques de ses entrailles étaient comprimés

par la guépière. Les cris de Marilyn diminuèrent 

progressivement comme l'homme, maintenant au fond d'elle, ne bougeait plus.

Alors elle éclata en sanglots, le souffle coupé 


Et cela dura longtemps, elle sanglota longtemps et elle sentait la veine gonflée du sexe de l'homme qui palpitait en elle.


Quand enfin les larmes furent taries, elle sentit les

fortes mains chaudes de l'homme qui saisissaient de nouveau ses hanches, elle gémit quand il se retira lentement, puis lentement la repénétra au plus profond et ainsi alternant, de plus en plus vite, son gémissement montait, elle se cambra et dans une dernière succession de coup de reins rapide, l'aisne de l'homme venant frapper ses fesses, il éjacula à nouveau au fond du ventre de Marilyn. Elle était totalement cambrée, la tête rejetée en arrière, aussi loin que lui permettait la laisse. Les veines de son cou étranglé saillaient, son visage était cramoisi.


Lentement il se retira d'elle, elle sentait le sperme 

brûlant de l'homme qui remplissait son ventre et un liquide chaud s'écoulait entre ses cuisses.


Le clitoris de Marilyn s'était recroquevillé, seule restait la grosse tête de son gland, d'un rouge profond, posé sur son ventre.

L'homme vint en face d'elle qui êtait toujours à quatre pattes, détacha la laisse du lit et tirant à lui

le visage de Marilyn il lui dit lèche. 

Le long du mât de l'homme, elle passa sa langue,

le débarrassant du foutre mélé de ses sécrétions à elle. Elle mit dans sa bouche le gros gland souillé et de sa langue le nettoya. Elle ne résistait 

plus à son maître.


Enfin il détacha la laisse et lui dit de se relever.


La longue combinaison de Marilyn lui descendait

aux pieds elle flageolait dans ses sandales à plate forme de go go girl, un de ses bas s'était détaché 

tandis que l'autre était filé, le rimmel avait coulé sur ses joues et elle sentait s'écouler d'elle le sperme de l'homme. 

Un regard sur le lit et elle vit la petite mare de sang rouge qui s'était formé à l'aplomb de ses fesses.


L'homme s'agenouilla devant Marilyn et ayant relevé sa combinaison il retira le cabochon  de son gland. Va te nettoyer et te remaquiller ordonna t'il, je vais appeler un fille pour t'aider.

Comme elle se retournait, il contemplait son sphincter largement ouvert et ses chairs roses intimes tandis qu'un liquide épais s'écoulait d'elle


(A suivre ...)


Malgré les somnifères qu'Agnès, magnanime, lui avait donné pour la nuit précédent la venue de

Monsieur, Marilyn avait eu beaucoup de peine à trouver le sommeil. L'excitation, l'appréhension,

la peur se mêlaient. Surtout ne pas faire de rêves érotiques, pensait elle en se pinçant le bras.

Agnès l'avait laissé dormir nue en la prévenant que c'était certainement la dernière fois qu'elle ne portait que sa guépière


Au matin, après sa toilette et son maquillage, qui comprenait outre son visage, la peinture de ses

ongles, de ses lèvres et de sa chatte, Agnès l'attira d'un coup à elle en la tirant par les tétons.

-Aie fit Marilyn, mais pieds nus et entrainée par ses seins, elle bascula sur Agnès qui lui appliqua sur les lèvres un long baiser mouillé tout en malaxant les tétons durcis. 

- Au revoir ma belle, ma mission est finie, tu est à présent la poupée d'amour de Monsieur. Comble

tous ses désirs et nous nous reverrons peut être, rit elle en jetant un regard appuyé sur la tomate qu'était devenu son gland.

Et elle la laissa là, nue sur les dalles froides.


Les yeux dans le vague et ne pensant à rien, Marilyn resta là un long moment sans bouger.

Puis, saisie par le froid, elle se ressaisit soudain et sur la pointe des pieds courut dans sa chambre 

et vers ses nombreuses penderies


Les découvrant l'une après l'autre, elle ne faisait pas un geste. Elle était dans un grand état d

confusion. C'était la première fois qu'elle s'habillait seule, qu'allait elle mettre, et puis Monsieur

viendrait ce soir, c'était certain, comment devrait elle être habillée pour cette rencontre. Son regard tomba sur les tiroirs aux collants, débordants. Il y

en avait des centaines. Elle se mordit les lèvres. Non, pas tout de suite pensa t'elle, sentant, plaquée contre son ventre, la tomate qu'était son 

gland et le froid cabochon qui le surmontait. Non,

se répétat elle, je ne le supporterai pas. 

Elle enfila une large culotte en dentelle blanche,

transparente et très douce, couvrant ses larges

fesses et son sexe au très fin pénis surmonté de

l'énorme gland et du cabochon. Elle eut un 

Soupir de satisfaction et sous le voile léger de

la culotte les lèvres de sa chatte se détendirent,

le disque noir en son centre s'élargissant largement, comme aspirant la culotte . Elle le sentit et tenta de contrôler cette sensation de bien être. Elle choisit rapidement une jupette, un top en tulle rose qui laissait voir ses gros seins,

allez, pas de soutien gorge rit elle intérieurement,

elle enfila une paire de ballerines bleues qui découvraient largement ses petits pieds

et sans plus y penser, courut vers le parc.


Elle marchait d'un pas léger dans le parc, les yeux fermés, aspirant de grandes bouffées de cet

air léger de septembre, son visage tendu vers le soleil,la poitrine dressée fièrement, ses tétons 

durcias transperçant le voile de son top rose, sa jupette se soulevant par instant dévoilant la transparence et la dentelle de sa culotte. Au détour de l'allée elle se laissa tomber sur le banc.


Elle savait qu'il était là, quelque part dans les arbres et qu'il la regardait. Elle rejeta la tête en

arrière, ses seins se soulevant, elle écarta un peu les jambes. Elle crut entendre frémir le  feuillage.

Elle était sûre qu'il l'observait, écarta plus largement ses jambes. Dans l'ombre de la jupette, on

pouvait distinguer l'éclat vert de la pierre qu'elle portait sur le gland. 


Elle souriait de son audace, elle avait oté sa guépière. malgré cela, sa taille restait très fine, mais

elle ne sentait plus ce carcan permanent.

Soudain et alors qu'elle avait toujours les yeux fermés, elle sut qu'il était là, derrière elle.


Deux énormes mains saisirent ses seins. Elle eut un cri de surprise. Elle ouvrit les yeux, pleine de confusion alors que dans un même instant elle pensait que Pierre avait vraiment des énormes

 mains. 

Monsieur la fixait, ses yeux fixés dans les siens, un large sourire sur sa face si dure,les larges

seins de Marilyn emprisonnés dans ses énormes mains laissant filter ses tétons dans l'intervalle de 

deux doigts a travers le tulle de son top. Il resserra sa poigne, pressant les seins et perçant les

 tétons. 

Sa bouche baillonna la bouche de Marilyn étouffant son cri de douleur de de surprise. Elle avait 

toujours la tête renversée et gémit comme il resserrait encore son étreinte, sa langue fouissant

profondément dans sa bouche, les tétons durcis pincés entre ses doigts.

Malgré sa honte, elle pouvait sentir son anus se dilater sous la culotte, la tendre encore, la fraicheur

du courant d'air aspiré par sa chatte qui s'ouvrait largement, son gland qui sous la jupette , poussait

sur la culotte. Elle voulait crier, mais sa bouche était baillonnée.

Et Monsieur, d'un mouvement souple, vint s'asseoir à côté d'elle. En cet instant et dans sa confusion, elle pensait à Pierre, qui la haut, perché sur son arbre, regardait.

Monsieur, l'embrassant toujours, lacha ses seins, un bras entoura sa taille si fine et l'autre

s'enouffra sous la jupette. Il relâcha légerement son étreinte, murmura un 

- coquine 

quand il sentit qu'elle ne portait pas de guépière, tordit la bouche en une éspèce de sourire

et lui saisit le gland.

Marilyn sursauta. Monsieur avait saisit son gland et le caraissait

- mhmhm 

gémit Marilynn

Elle sursauta de douleur quand soudain il pressa son gland. Sa bouche étant baillonnée elle n'émit

qu'un faible murmure en se débattant. Mais elle avait beau se tortiller, la pression du poing fermé sur son gland s'accentuait et elle crut défaillir tandis que Monsieur lui murmurait

- Tu es à moi tu le sait. tu m'appartient

- Oui, oui répondit elle dans un souffle.


Soudain tout s'arréta, Monsieur, qui avait relâché sabouche, relacha son gland mais lui tenant

 toujours la taille lui orsonna de se lever, d'ouvrir sa braguette et de sortir son membre.

Marilyn se redressa et d'une main tremblante dégagea le sexe monstrueux dont elle faisait à peine 

tour. Monsieur bandait et les 30 centimètres de son pieu se dressèrent devant les yeux hagards de

Marilynn. 

Docilement Marilyn laissa Monsieur retirer sa culotte et l'attirer à lui entre ses jambes écartées.

Il posa la main sur son anus en la fixant . Malgré la souffrance qu'il venait de lui infliger, sa chatte était entrouverte et sous la pression de ses doigts, palpitante, s'ouvrit largement.

Saisissant des deux mains sa taille, il la souleva sans effort et amenant son sexe à hauteur de son 

visage, il l'avala goulûment et de sa langue lécha longuement le gland. 

Marilyn crut que son gland allait éclater tant il gonflait et se rendait la peau. Maintenue en l'air,

elle battait l'air de ses jambes sous l'effet de l'excitation.

Enfin, l'amenant à la verticale de son pieu, il la laissa redescendre doucement. 

Marilyn sentit l'énorme gland contre sa chatte. 

Ramenant la tête en arrière elle émit un long gémissement. Son corps entraîné attendait cela depuis si longtemps. Elle s'abandonna toute entière à son plaisir. Sa liqueur lubrifiait abondamment tandis que très doucement, le sexe monstrueux s'enfonçait en elle.

Elle replia ses jambes, se débarrassa de ses ballerines et reposa le dessus de ses pieds sur les cuisses de l'homme. Sa petite verge tendue reposait sur la poitrine de l'homme tandis qu'il regardait le gland de Marilyn qui semblait têter son cabochon comme un bébé son biberon.

Elle descendait toujours sur lui. Ainsi des 15 premiers centimètres. Elle avait reposé les mains sur ses épaules et enfoui son visage dans son cou . 

Haletante, elle se sentait remplir par le sexe de son maître et l'inondait de sa liqueur de femme.

Sa respiration s'accéléra quand 20 centimétres du pénis furent en elle et commença à gémir tandis qu'elle descendait toujours. 

Enfin son long gémissement se transforma en cri tandis que les derniers centimètre de l'énorme pénis s'enfonçaient en elle. Le souffle court, elle

avait rejeté la tête en arrière et son cri était devenu râle. A présent ses larges fesses reposaient sur les cuisses de Monsieur.

La fontaine qui s'écoulait scellé était un mélange 

de sa liqueur et de sang. Elle n'avait pas été préparée à cela. Elle se souvenait dans un flash de la rousse de la clinique et de ses énormes dildos. Et elle sut que c'était volontairement que jamais elle n'avait été possédée par quelque chose d'aussi gros 

Mais elle n'était pas morte , elle était remplie par le sexe de l'homme qui pressait contre son coeur, lui coupait le souffle et triomphante elle baiss la tête.


Il souriait et prenant les fesses de Marilyn à pleines mains, il commença à la soulever.

Elle s'abandonna aux vagues de plaisir qui la submergeaient, tandis qu'elle était à nouveau hissée au sommet du mât. 

Là, une fois qu'à nouveau le gland de Marilyn fut

devant le visage de l'homme il le mordit cruellement. Marilyn eut un long cri de douleur

 tandis que du sang s'échappait de son gland blessé et des larmes coulèrent sur se joues. 

Alors l'homme lécha la plaie et du bout des dents

ôta le cabochon qu'elle portait. 

Elle fut surprise mais à travers ses larmes elle

sentit les puissantes mains de l'homme qui à nouveau l'ammenai à la verticale de son sexe et

 l'empalai. 

Cela dura longtemps, l'homme la pénétrai au plus profond et allait et venait en elle. Elle criait sous les spasmes de plaisir violent qu'il lui procurait et enfin le rythme s'accélèra elle sentit qu'il

allait jouir au plus profond d'elle et tandis qu'il tenait entre deux de ses doigts sa fine verge à elle et la masturbait, elle sentit qu'après tous ses mois de frustration où ils avaient fait d'elle une vraie femme pour l'homme, celui ci allait lui

permettre de répandre sa liqueur. 

Elle crut qu'ils allaient jouir ensemble mais la main de l'homme se referma sur son gland et tandis que dans une ultime crispation il la remplit

de son sperme il réinstalla dans l'urètre de Marilyn le cabochon, alors que les lèvres de son

gland s'étaient totalement ouvertes sous le plaisir

et que la liqueur montait dans sa petite verge

- Nooon cria Marilyn  ses larges fesses trempées à nouveau sur les cuisses de Monsieur

- Pourquoi ? murmura t'elle

- Ce n'est que le début répondit il, nous avons

beaucoup de temps à passer ensemble. Tu ne portes même pas de corset. Il me semblait pourtant avoir été clair. Quand à ta tenue ...

j'ai d'autres idées pour toi.

Elle sentait la veine de l'énorme pénis palpiter 

dans son ventre tandis qu'il saisissait ses petits

pieds et qu'il regardait la boucle du collier qu'elle

portait à son cou. 

Se retirant d'elle, il la prit par la main et il se dirigèrent vers la maison.


Sur son arbre, Pierre qui avait assisté à toute la scène grincait les dents de rage, alors que de dos s'éloignait le couple, du géant tant redouté et 

de la fille qu'il aimait, pieds nus, ses jolis fesses nues se balançant sous la jupette, ses cuisses trempées de sang clair


(A suivre ...)





Solidement arrimé , Pierre, le fils du gardien, taillait les branches de l'arbre, bien à l'écart de

la grande maison et de ses caméras de surveillance. Quand soudain il perdit l'équilibre et manqua tomber

La plus belle jeune femme qui lui ait été donné de voir venait de déboucher dans l'allée. Sa démarche

chaloupée accentuait la courbure de ses hanches larges et dévoilait son voluptueux derrière. Ses 

cheveux étaient coupés courts et il pouvait distringuer les larges franges noires de ses cils recourbés

et ses lèvres pulpeuses avaient la texture des cerises bien mures. 

Sous sa longue robe légère elle paraissait être nue et ses seins imposants se soulevaient au rythme de

ses pas. Elle était grande et semblait perdue dans ses pensées.


Cela faisait maintenant deux semaines depuis sa dernière convocation chez Madame et Marilyn en

gardait encore le souvenir cuisant. Après l'avoir attirée à elle et lui flattant la croupe, elle lui avait ordonné d'ouvrir son déshabillé. Son gland gonflé et violacé dépassait largement de la culotte et les 

lèvres fermées de son gland appelaient le baiser. La main de Madame glissa sur son anus et ses doigts pressèrent à travers le voile l'orifice de sa chatte. La réponse du corps de Marilyn fut immédiat, sa chatte sembla s'ouvrir plus largement pour accueillir avidement ses doigts, tandis que

les lèvres de son gland s'écartaient largement et qu'elle soupira. Sortant de son écrin un épais cabochon de cristal terminé par une grosse pierre précieuse de la couleur des yeux de Marilyn,

Madame lui enfonça dans l'urètre. Le cabochon sembla y trouver naturellement sa place, les lèvres 

gourmande de son gland l'ayant avalé goulument. Etonnée, Marilyn se livra davantage aux caresses 

de Madame, qui à présent avait passé sa main sous le déshabillé et la culotte et l'introduisait progressivement 

dans sa chatte. Marilyn se cambrait, ses petits pieds gainés de soie se crispaient dans ses fins escarpins et son gland enfla davantage, ses lèvres hermétiquement fermées autour du cabochon.

Elle gémit et sa chatte lubrifia davantage, comme si elle voulait que Madame la pénètre plus profondément de sa main.

Soudain celle ci retira sa main, l'essuya sur le déshabillé, donna une forte claque sur les fesses de

 Marilyn et dit d'une voix forte,

- Bon ca suffit petite dévergondée, le cabochon est bien en place, je vais t'apprendre à prendre du plaisir sans permission.

et elle la fouetta d'une tige souple sur les fesses longtemps après que Marilyn ait commencé de pleurer, visant vicieusement sa chatte et ses petites olives.


Depuis deux jours ses traitements hormonaux intensifs avaient complètement stoppé, ses seins 

qui l'embarassaient maintenant étaient devenus si gros qu'elle peinait à voir son sexe. 

Agnès lui permettait de dormir nue, elle ne supportait plus aucun contact sur sa peau et même

comme cela Anès la bourrait de médicaments qui la maintenaient dans un état cotonneux plus supportable. Cet état d'extrème sensibilité s'aténuait progressivement mais son gland avait atteint 

la taille d'une petitte tomate, surmonté par une grosse pierre précieuse verte


Elle pensait avec appréhension à la visite de Monsieur dans deux jours et en même temps avec 

l'espoir secret qu'il mettrait fin à sa frustration. Elle découvrait jour après jour l'étendue de la garde robe qu'il avait choisit pour elle, les centaines de dessous fins de toutes les déclinaisons de couleur et de matière, les chaussures et les temues pus habillées. 


Mais elle n'était pas complètement nue sous sa longue robe d'été, en effet sa taille était étranglée

par un corset, qui lui coupait la respiration.

Ainsi quand elle se tordit la cheville sur ses fines sandales vertigineuse et tomba à terre, Pierre, qui

l'avait entouré de son bras pour l'aider à se relever se rendit compte de sa finesse.

C'était un très beau jeune homme, et la charge d'oestrogène que dégageait Marilyn mettait de

l'électricité dans leur contact. Il sentit son membre se dresser alors qu'il entourait la taille si fine et ne put que murmurer 

- Marilyn ...

- Non Pierre, dit celle ci en se dégageant doucement, on peut nous voir

et elle courut dans ses talons vers la maison, sa large croupe se balancant derriere elle


Couché dans son lit ce soir là, Pierre se masturba jusqu'au sang en murmurant Marilyn, en rêvant

de sa bouche, de ses seins, de sa croupe.


(A suivre ...)

Comme chaque jour, Madame échangeait un long coup de fil avec Monsieur.

Depuis une semaine que Marilyn était rentrée, elle sentait bien à la voix de Monsieur toute

l'anxiété, tout l'énérvement, toute l'excitation qu'il avait. En plus des rapports détaillés qu'elle

lui faisait les webcams le tenait en permanence au courant des moindres faits et gestes  de

Marilyn. 

Il était très en colère car il ne comprenait pas comment elle pouvait ainsi souiller ses dessous la

nuit. A sa demande, Maddame lui avait envoyé les collants, la combinaison, la culotte qu'elle avait

porté deux jours plus tôt. Passant sa main dans les collants, dans la culotte, dans la combinaison,

il voyait clairement les larges marques séchées laissées par sa liqueur de fille. Il se repassait les

enregistrements, elle ne donnait aucun signe de s'être caressée ou d'avoir été caressée. Cependant

elle se tournait et se se retournait souvent dans son sommeil.

Il gronda,

- je ne comprends pas, mais je ne veux plus voir ça, il faut y remédier immédiatement.

Madame, qui inspectais ses desoous de la nuit précédente, eut soudain un mouvement d'arrêt et

un léger sourire se forma sur ses lèvres malgré elle. 

Elle soupira et repris

- Vous devez comprendre que la quantité d'hormone que nous lui avons injecté a non seulement

développé ses attributs féminins d'une façon phénomènale, mais que cela s'accompagne de désirs

sexuels intense et continuels. C'est de vous qu'elle a besoin !

- Je comprends, grogna t'il en faisant défiler les images de face ou marchant nue dans de très hauts talons, ses seins étaient tendus droit devant elle, les aréoles brunes et larges, les tétons pointant, qu'il avait d'ailleurs fait percer. 

- Je comprends, dit il, visionnant de dos sa large croupe qui chaloupait au gré de sa démarche.

- Néanmoins, tonna t'il, cela ne doit plus se produire. Elle ne prendra du plaisir que quand je le souhaiterai. En conséquence, je vous ferai envoyer des aujourd'hui un cabochon  de gland à

lui insérer et qu'elle ne pourra retirer qu'avec la permission. Cela devrait suffire pour ce qui est

de son clitoris. Concernant sa chatte, je crois que vous devez lui donner une bonne correction. Aprés tout il faut qu'elle comence à comprendre qu'elle est faite pour donner du plaisir et non en recevoir. La souffrance ma chère, la souffrance.

- C'est entendu Monsieur, sourit Madame, la jeune dévergondée attends dans le couloir, je vais la punir. Mais ....

- Mais  ?

- Je crois qu'il faut que vous avanciez votre visite d'une semaine, je ne crois pas qu'elle puisse rester comme cela beaucoup plus longtemps. Quand vous l'aurez couverte, elle trouvera

 naturellement sa place de bonne femelle. des bonnes saillies, voila ses rêves.

- Mhmh dit il pensif en faisant défiler d'autres images de Marilyn, ou Agnès, l'ayant fait mettre 

à quatre pattes sur le lit face à la caméra, nue sous une nuisette transparente et tres longue,

chaussée de mules à talons aiguille, sa large croupe saillait, dévoilant sous le voile, entre les fesses

rebondies, sa chatte pulpeuse,  qui passait d'un contour rose au rouge carmin et au centre, au noir

intense formant un cercle de la taille d'une pièce de deux euros. Les yeux fixés sur ces images, Monsieur bandait. Sur un autre écran, il avait la vue de son clitoris, plaqué sur son ventre, des lèvres dessinées sur son gland, de la taille d'une grosse prune violacée.

Comme si elle lisait dans son esprit Madame rajouta

- Les chirurgiens ont fait de l'excellent travail. êtes vous satisfait du résultat sur son clitoris ?

Ce disant elle savait le prendre en défaut car c'est sous le coup d'une inspiration qu'ils avaient dessiné une petite bouche sur son gland, injecté du collagène, élargissant de façon conséquente l'entrée de son urètre, si bien qu'Agnès pouvait naturellement maquiller ces nouvelles lèvres de rouge et de gloss.

- hum fit il en se raclant la gorge, oui c'est parfait

- Et puis ajouta t'elle triomphante, vous souvenez vous de ce que je vous avait dit concernant une

possible production de lait ?

- mh ? fit il ne voulant pas marquer son étonnement 

- Et bien figurez vous que ce matin j'ai relevé sur ses dessous deux petites tâches à l'emplacement des mamelles qui n'ont pas la texture de ses liqueurs. Je ne peux pas en dire davantage maintenant

mais ...

- La cervelle de Monsieur bouillonnait, il en restait muet mais ses mains tremblaient tandis qu'il

contemplait la femelle si sexy, à quatre pattes, offerte.

- Ses seins vous convienent ils, c'est un large bonnet C, devons nous arréter les injections, sa croupe s'est aussi beaucoup développé ...

- Non, n'arrétez pas, et c'était presque un cri qui avait jailli de sa bouche. D , je veux des bonnets D. Quand à la croupe, nous y sommes presque. Je veux qu'elle remplisse les dernières culottes que

je vous ferai porter aujourd'hui, du 48.

Ah, et puis ajouta t'il pris d'une soudaine inspiration, faites réaliser un collier qu'elle portera autour du cou, je veux pouvoir la tenir en laisse.

- Bien Monsieur répondit t'elle, il en aura sans doute l'usage, pensa t'elle car elle connaissait la vigueur de Monsieur, son sexe gigantesque, son appétit insatiable et sa cruauté.

- Une dernière chose, conclut il, j'ai visionné les bandes de la clinique avec la petite rousse qui

portait le moulage presuque à taille réelle de mon sexe. bon je trouve que la pénétration est un peu facile. A partir d'aujourd'hui, vous lui ferez porter des corsets jour et nuit. interdiction de les enlever. je veux qu'elle fasse 65 centimètres de tour de taille au plus. Allez, j'avancerais ma visite d'une semaine. qu'elle soit prète ddans 15 jours, ainsi elle aura le temps de découvrir toute l'étendue de sa garde robe, en attendant, serrez, serrez.

Madame eu l'image fugitive de la fille arc boutée, chargée de lacer de plus en plus les corsets de Marilyn.


Monsieur ayant raccroché,non sans avoir conclut

- Ah et puis envoyez moi cette petite rousse si piquante

madame se leva, défroissa sa jupe crayon, vérifia la couture de ses bas,

caressa ses seins absents sous le voile de la guépière et chassée de ses talons aiguille alla choisir la

 tige fine  avec laquelle elle fouetterait Marilyn.

- Entrez, ordonna t'elle en faisant claquer la tige 


(A suivre ...)

fouetterait 


Depuis son retour, Agnes avait repris son service auprès de Marilyn, c'est à dire qu'elle choisissait

les tenues qu'elle portait de jour comme de nuit, l'accompagnait dans sa toilette la plus intime, 

la conseillait dans son maquillage, etc ...

C'est par exemple elle qui peignait ses lèvres gonflées par la chirurgie ainsi que celles de son gland

gonflées également par la chirurgie  et largement écartés, laissant apparaitre les profondeurs de son urètre et formant

un délicieux sourire. Elle choisissait toujours des couleurs vives et brilantes qu'elle réhaussait de gloss. Marilyn sortait impatiente au début de ces longues séances , ses cils outrageusement longs par l'effet du mascara, elle ne

pouvait s'empécher de cligner des yeux, on pensait au battement des ailes d'un oiseau s'envolant

et le coeur le plus sec s'en trouvait brisé et les reflets argentés de ses paupières vous éblouissait.


Peu à peu elle y pris plaisir et c'est avec un peu de regret qu'elle recevait la petite claque sur les

fesses qui annoncait qu'Agnès en avait fini. Bien dressés elle se retournait alors et attendait sa piqûre

d'hormones. Le rythme en était très ralenti depuis une semaine, une par jour et les doses diminuaient.

Elle ne portait plus aucun bijou sur le gland et la verge, et les anneaux de son anus avaient été retirés.

En plus du rétrécissement considérable de sa taille par l'ablation des dernières côtes,

les chirurgiens  étaent intervenus sur son bassin, l'élargissant significativement de sorte qu'entre

ses fesses rebondies et tendues, son anus était en permanence légérement entrouvert,

 découvrant à l'entrée de sa chatte de larges plages de chair tendre et rose et qu'à son centre

palpitait un oeil noir qui donnait sur ses entrailles les plus profondes. 

Les chirurgiens ayant également injecté dans ces chairs tendres du collagène, Agnès profitait

qu'elle fut retourné pour y appliquer le même rouge à lèvres. 


Ainsi maquillée, les ongles fait, Marilyn s'apprétait ce matin là à rejoindre nue sa chambre pour

l'habillage quand Agnès l'arréta d'un geste. Tenant dans ses mains de larges créoles, elle lui

ordonna de se rapprocher et de présenter ses seins. Marilyn compris alors qu'il s'agissait d'un

nouveau désir de Monsieur et se mordant les lèvres ne dit mot. Une larme lui échappa cependant 

lorsqu'Agnès perça ses tétons turgescents de ces larges boucles. Elle était pourtant habituée à ces

percements nombreux dont celui de son gland n'avait pas été le moins douloureux dans son souvenir.

Enfin une dernière petite claque sur les fesses et elle courut sur les dalles froides rejoindre son lit,

alors que les créoles tressautaient sur ses seins


- Petite coquine, lui dit Agnès en la rejoignant, avec un sourire cruel, Madame veut te voire dès que tu seras prète. Je lui ai montré tes dessous de ces dernières nuits et elle n'est pas du tout contente.

Marilyn se pinça de nouveau les lèvres, une convocation chez Madame ne présageait rien de bon.

Mais elle se plaindrait d'Agès, quui chaque soir lui faisait enfiler des collants voiles, des nuisettes

très fines, des baby Doll vaporeux, des déshabillés en nylon, des sandales aux talons interminables

pour la nuit, alors qu'elle savait que leur frottement sur les draps de soie lui étaient insupportables.


Elle eu largement préféré des bas et des culottes, comme presque tout les matins, bien que le frottement des tissus des déshabillés sur les guépières et les bodies, deviennent rapidement insupportables également lorsque elle marchait.

Elle eu a porter ce matin là des escarpins très fins vertigineux, qui découvraient ses jolis pieds

plutôt que l'inverse.

Aussi elle portait un long déshabillé noir en voile qui se terminait par de larges dentelles, 

de long bas couleur chair tendus sur un large porte jaretelle en dentelle noire. ses seins étaient

nus et ses mamelons érigés tendaient le voile tandis que brillaient les larges créoles suspendus.

A chacun de ses pas le déshabillé s'entrouvrait, ses larges fesses chaloupaient, son gland dépassant

entièrement de sa large culotte en nylon transparente, les lèvres de son gland s'entrouvrant

largement comme sa tortionnaire, dans un faux geste d'accompagnement posait négligement la

main sur son anus palpitant.


Elles attendirent peu avant que Madame les recoive.


(A suivre ...)


 

Un mois et demi plus tard Marilyn se

promenait nonchalament dans le grand

parc entourant la grande demeure de Madame.

Sa large robe d'été légère flottait au vent.

Ses cheveux étaient coupés courts - selon les 

désirs de Monsieur, et cela lui donnait un air

de garçon manqué, son maquillage étant léger.

Mais cela était détrompé dés lors que le regard

descendait sur son corps voluptueux 

La finesse de sa robe ne cachait  rien d'elle.

Sa voluptueuse poitrine était soutenue par 

l'armature métallique du redresse seins qu'elle

portait, redresse seins en dentelle bleu d'ou s'échappaient les larges aréoles sombres.

Ce redresse sein était plutôt un parement d'où

pigeonnait sa poitrine qu'une utilité. Car ses seins gonflés se dressaient fièrement devant

elle, un fort 95C, ses tétons en érection permanente comme des petits penis tendant la

fine robe bleue transparente.

sa taille très fine (73 centimètres) s'accompagnait de hanches larges (93 centimètres)

et elle portait une culotte haute vert d'eau, très fine et transparente, qui bouffait un peu,

car très large (xxl) et choisit ainsi par Monsieur en prévision d'une augmentation  de ses fesses

s'il lui en venait le désir. 

Les injections d'hormones avaient été très ralenties devant leur effet spectaculaire, elle

était en permanence en état de chaleurs. Son très fin pénis libéré maintenant de sa gaine et

de la sonde avait pris sa forme définitive à la suite des interventions chirurgicales, dressée et plaquée contre son ventre, formant une courbe et terminée par la grosse fraise de son gland.

Même quand elle retirait sa culotte, la très fine tige qu'était son pénis restait plaquée contre son

ventre, seul son gland grossissait, pouvait atteindre la taille d'une grosse prune de couleur violette

 tres sombre. A ses pieds aux ongles peints de fines sandales à talons compensés de 12

centimétres. 

Elle s'assit sur un banc avec le souvenir mélancolique de la la très piquante infirmière rousse qui 

s'était occupée d'elle à la clinique. Harnachée de godemichets, elle avait été chargée de vérifier

que la redirection d'une partie de la production des petites olives de Marilyn vers sa chatte était

bien fonctionnelle. Cette rousse était très jolie et elle avait su réveiller la flamme chez Marilyn 

après la succession d'opérations douloureuses qu'elle avait subit. Prenant sa petite verge dans sa main et sucant son gland comme si elle avait sucé une glace, il ne lui fallut pas longtemps pour

le voir enfler démesurément. Répétant l'opération à maintes reprises et avec des godemichets de plus en plus gros, Marilyn sur le dos, jambes écartées, elle l'avait pénétré et exercé des mouvements de va et vient jusqu'à ce que Marylin gémisse et que les énormes godemichets la

trouvent lubrifiée complètement. Pendant une bonne semaine l'opération s'était répétée, Marilyn

et la fille atteignant toutes les deux l'orgasme, celle ci léchant goulument les gouttes de liqueur qui

s'échappaient du méat béant de Marilyn, tandis que marilyn gémissait. Les chirurgiens avaient

injectés du collagène à l'éxtrémité de son méat, formant comme deux petites lévres pulpeuses 

sur une bouche entrouverte, qui attiraient les baisers.

Le résultat étant jugé plus que satisfaisant, les ébats furent interrompus et Marilyn retourna 

chez Madame.


(A suivre ...)

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