à ses côtés, trottait en s'efforcant de garder son rythme. Après avoir rapidement laché sa main,
il avait plaqué la sienne sur ses larges fesses, les enrobant presque dans son énorme paume.
Il avait inséré son index profondément dans son anus puis avait saisi sa fine verge et maintenant
c'est par la verge qu'il la tenait comme ils marchaient, sa jupe relevée.
Marilyn tenait le bras de l'homme et étouffait ses plaintes. Quand ils croisaient des femmes dans les
couloirs elle baissait les yeux. Elle avait tellement envie qu'il la prenne à nouveau. Ses seins gonflés
tendaient son petit top rose, ses tétons bandés le transperçait. Elle se sentait comme un animal en
rut, une chienne. Elle pensait au collier qu'elle portait au cou.
Il rejoignirent sa chambre, et après avoir fermé la porte à clé, il mit la clé dans sa poche.
Sans plus attendre il ordonna à Marilyn de pratiquer une fellation. Elle se laissa tomber à genou et
l'ayant libéré, enfourna dans sa bouche l'énorme pénis encore couvert de sa jute et de son sang à
elle. Il saisit ses seins et s'en servit de points d'appuis pour la ramener et l'écarter de lui en rythme.
Plusieurs fois elle faillit s'évanouir comme l'énorme sexe de l'homme s'enfoncait dans sa gorge.
Mais quand son visage devenait trop rouge, qu'elle battait ses mains sur ses cuisses épaisses
et velues, il ressortait d'elle, hoquetante, aspirant l'air.
Et puis, alors qu'elle était au bord de l'apoplexie, il cessa soudain. La relevant, la main posée sur
ses fesses, il la dirigea vers les penderies.
- Tout d'abord , dit il, nous allons te remettre une guépière. Fouillant dans les penderies, il en sortit une en dentelle noire,à laçage dans le dos et à baleines. Le soutien gorge était un redresse seins; Il lui ordonna de l'enfiler et se placant derrière elle, commenca à la laçer.
Marilyn avait le souffle coupé, jamais Agnès n'avait serré autant ses guépières. Elle aspirait l'air
par petites bouffées comme l'homme la retourna vers lui.
- Petite catin ! rit il, regarde ton clitoris, on dirait qu'il va exploser.
De fait, la fine verge surtendue était plaquée contre son ventre, son gland violacé gonflé à éclater
Ses gros seins, bordés de dentelle noire, nus, gonflés, étaient tendus à l'horizontale. Ses tétons de petits pénis de cinq centimètres parfaitement rigides.
-Met des bas couture nylon noirs grogna t'il.
Elle choisit une paire de voiles bicolore et
lui montra.
Comme il approuvait, elle les enfila l'un après l'autre lentement, posant tour à tour ses pieds sur le lit,
veillant au bon placement des
coutures à l'arrière de ses jambes, des talons cubains, des renforcements rouges sur ses orteils et y fixa les six jarretelles de sa guépière.
Prenant Marilyn par la main, il l'entraîna vers les penderies où étaient rangées ses innombrables paires de chaussures et sans hésiter choisit une paire de sandales à hautes plateformes transparentes. Il les lui enfila, attachant les brides,
satisfait que le rouge intense de ses ongles soit parfaitement visible sous le fin nylon rouge des bas.
Il lui fit enfiler une large culotte transparente en
nylon ouverte entre les cuisses
Puis il choisit une longue combinaison qui touchait presque terre, très fine, transparente et rose et lui fit enfiler.
Satisfait, l'homme attira Marilyn contre lui.
Sa fine verge surmontée du gros gland et de la grosse pierre précieuse dégagée de la petite culotte, était plaquée contre la guépière.
Elle pouvait deviner à travers l'étoffe du pantalon,
l'énorme sexe de l'homme, s'allongeant a vue d'oeil.
Elle avait le souffle court, elle sentait sa taille étranglée par le corset et son coeur palpitait du
désir qu'elle avait d'être prise par l'homme.
Attirant Marilyn entre ses jambes, il lui posa une main épaisse sur les fesses
tandis que de l'autre à travers le fin tissu de la combinaison il masturbait la tige fine de sa verge
Son gland gonflé têtait désespérément sur son
cabochon et elle gémissait, les yeux fermés et la tête en arrière. L'homme fit courber Marilyn, grande dans ses sandales à plateforme de gogo girl et lui baillonna la bouche de la sienne.
Dans un même mouvement, de la main qui avait
caressé ses fesses, il saisit un énorme godemichet à picôts. Soulevant la combinaison
et écartant la culotte, il enfonça les 28 centimètres dans la chatte de Marilyn et actionna le moteur. Celle ci voulut protester mais sa bouche était bâillonnée par celle de l'homme
et la douleur initiale de la pénétration se diluait
dans le plaisir que lui procurait la masturbation
de son clitoris.
Retirant la main des fesses de Marilyn, l'homme
souleva la combinaison et retira le cabochon de son gland. A présent les vibrations amenaient en
elle des vagues de plaisir diffus. Les lèvres de son gland s'ouvrirent largement et il en profita pour glisser sa langue dans son urètre.
Elle eut un petit cri de surprise doublé d'un long
Soupir de plaisir. Le canal de son urètre avait été tellement élargit à la clinique que l'homme put y glisser profondément sa langue. Marilyn gémissait, ses pieds se crispaient tandis que l'homme, les
mains sur ses hanches tirant sur les jarretelles
faisait aller et venir sa langue dans son urêtre.
Déjà sa liqueur coulait abondamment entre ses fesses et elle sentit qu'elle montait dans sa petite verge.
Saisissant les olives de Marilyn de trois doigts,
il les tordit soudain et alors qu'elle criait, remit
en place le cabochon et retira le vibromasseur.
Prenant Marilyn dans ses bras, il l'amena sur le
lit et la fit se mettre à quatre pattes.
Prenant une laisse, il l'attacha à la boucle du collier de Marilyn d'une part et au montant du lit.
Dehors la nuit tombait.
Se plaçant derrière elle sur le lit, l'homme
lui ôta sa petite culotte trempée.
Extirpant de son pantalon sa gigantesque queue,
il amena son gland contre la chatte de Marilyn à travers le voile de la combinaison. Il la frotta
ainsi jusqu'à entendre les gémissements de
Marilyn.
Puis soudain, il souleva les voiles et la pénétra
de son énorme gland. Elle eut un petit cri, qui n'était pas de douleur et en même temps elle avait le souffle court .
Alors, la saisissant par les hanches, il enfonça en elle les 35 centimètres de son pieu d'un coup.
Le cri de Marilyn monta comme elle était empalée
à travers les étages de la maison. Elle rejeta la tête en arrière dans un mouvement de refus mais
son mouvement fut bloqué par la laisse tendue
Elle était pleine du sexe monstrueux et les parois
élastiques de ses entrailles étaient comprimés
par la guépière. Les cris de Marilyn diminuèrent
progressivement comme l'homme, maintenant au fond d'elle, ne bougeait plus.
Alors elle éclata en sanglots, le souffle coupé
Et cela dura longtemps, elle sanglota longtemps et elle sentait la veine gonflée du sexe de l'homme qui palpitait en elle.
Quand enfin les larmes furent taries, elle sentit les
fortes mains chaudes de l'homme qui saisissaient de nouveau ses hanches, elle gémit quand il se retira lentement, puis lentement la repénétra au plus profond et ainsi alternant, de plus en plus vite, son gémissement montait, elle se cambra et dans une dernière succession de coup de reins rapide, l'aisne de l'homme venant frapper ses fesses, il éjacula à nouveau au fond du ventre de Marilyn. Elle était totalement cambrée, la tête rejetée en arrière, aussi loin que lui permettait la laisse. Les veines de son cou étranglé saillaient, son visage était cramoisi.
Lentement il se retira d'elle, elle sentait le sperme
brûlant de l'homme qui remplissait son ventre et un liquide chaud s'écoulait entre ses cuisses.
Le clitoris de Marilyn s'était recroquevillé, seule restait la grosse tête de son gland, d'un rouge profond, posé sur son ventre.
L'homme vint en face d'elle qui êtait toujours à quatre pattes, détacha la laisse du lit et tirant à lui
le visage de Marilyn il lui dit lèche.
Le long du mât de l'homme, elle passa sa langue,
le débarrassant du foutre mélé de ses sécrétions à elle. Elle mit dans sa bouche le gros gland souillé et de sa langue le nettoya. Elle ne résistait
plus à son maître.
Enfin il détacha la laisse et lui dit de se relever.
La longue combinaison de Marilyn lui descendait
aux pieds elle flageolait dans ses sandales à plate forme de go go girl, un de ses bas s'était détaché
tandis que l'autre était filé, le rimmel avait coulé sur ses joues et elle sentait s'écouler d'elle le sperme de l'homme.
Un regard sur le lit et elle vit la petite mare de sang rouge qui s'était formé à l'aplomb de ses fesses.
L'homme s'agenouilla devant Marilyn et ayant relevé sa combinaison il retira le cabochon de son gland. Va te nettoyer et te remaquiller ordonna t'il, je vais appeler un fille pour t'aider.
Comme elle se retournait, il contemplait son sphincter largement ouvert et ses chairs roses intimes tandis qu'un liquide épais s'écoulait d'elle
(A suivre ...)
Le Mur