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Blog de lilileet

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Les deux jeunes filles attendaient debout 

devant le bureau de Madame.

Bien que celui-ci fut capitonné, elles entendaient

distinctement les éclats de voix de l'homme qui 

se trouvait à l'intérieur avec Madame.

Celui ci se plaignait que la fille avec laquelle il 

était allé lui avait pratiquement coupé le sexe 

en deux avec ses dents.

Il fallut l'intervention de l'infirmière de la maison

qui assura qu'il ne s'agissait que d'un tout petit

bobo et surtout la diplomatie de Madame pour 

que l'homme se calme. 

Enfin après s'être vu offrir gratuitement et pour un 

an l'accès gratuit à tous les plaisirs de la maison,

l'homme parut satisfait et dans un grand bruit de

chaises, la porte s'ouvrit sur l'homme.

Son physique était ordinaire, mais quelque chose

dans l'expression de son visage et de tordre la

bouche entrainait l'antipathie.

Marilyn le reconnut immédiatement comme celui 

que toutes les filles détestaient car il aimait faire

mal et était mauvais payeur.

Malheur à celle qui tombait sur lui et les filles

comprenaient mal pourquoi Madame, si 

intransigeante d'habitude, le laissait encore 

rentrer.

Quand il passa devant Marilyn, il s'arréta net et

son visage devint rubicond quand son regard se

baissa sur ventre et qu'il aperçut le petit tuyau et

au bout la petite excroissance ronde. 

- Et cette merveille cria t'il vous me l'a cachiez ?

Son bras entoura sa taille fine et sa main 

descendit vers son ventre quand ...

- Stop dit d'une voix forte Madame d'un ton sans

réplique. 

L'homme tourna vers elle un regard contrarié 

mais sa main s'arréta net.

- Cette demoiselle n'est pas une pensionnaire,

elle effectue seulement une visite chez nous

Et elle ajouta avec un faux air de confidence

- C'est la fiancée de Monsieur

A ces mots les bras de l'homme retombèrent,

ses épaules s'avachirent, il bredouilla quelque

chose d'incompréhensible et se hâta vers la sortie.

- Ignoble individu murmura Madame

- S' il n'y avait pas ta famille tu nourrirait depuis

longtemps les poissons.


Or c'est ce qu'il advint, et cela les filles l'apprirent

plus tard, occasion d'ouvrir une bouteille de champagne,

car son oncle, immensément riche et qui détenait

par ricochet la fortune de la famille, fut pris dans

un énorme scandale financier qui entraîna à la fois

son suicide et celui plus ou moins librement consentie de toute sa famille.

La fille qui avait mordu le sexe se remit difficilement de la blessure que l'homme lui avait

infligée. En effet elles apprirent que lorsque elle

avait mordu l'homme, celui ci lui insérait une bouteille de champagne dans le vagin par le cul,

lui causant des déchirures graves des parois 

vaginales.


Se retournant tout à fait vers les deux jeunes filles

Madame fronça de plus belle les sourcils.

- A nous deux Marilyn dit elle

- Entrez toutes les deux, je vois que tu à fait

connaissance avec Agnès, ajouta t'elle

- Sache qu' Agnès c'est moi, tu dois lui obéir en

tout comme tu m'obéirait. Tu as compris ?

- Oui Madame, répondit Marilyn avec une petite

révérence.

Quand elle plia le genou en avançant très légèrement

la jambe elle grimaca et étouffa une exclamation

de douleur

- Aïe mes fesses pensa t'elle

- pour une piqûre sans douleur ça fait très mal.

Et trois fois par jour en plus elles veulent me tuer !

- Bien approche Marilyn ou plutôt madame Marilyn.


Marilyn rougit et la tirant par le bras Madame l'attira contre elle. Passant sa main sous la fine

combinaison bleue elle continua

- Je ne comprend pas comment tu as pu lui plaire

ma petite fille, tu n'as pas de fesses, tu n'as pas de

seins, comment as tu fait ?

Marilyn était rouge comme une pivoine et Agnès l'

observait en souriant.

- J'ai une trentaine de filles ici qui sont mieux 

faites que toi, enfin ... 

Et elle retira sa main en laissant retomber la

combinaison.

- Allez, baisse tes jolis collants et vient t'allonger 

sur mes genoux que j'observe ce miracle !

Un peu génée par la présence d'Agnès, Marilyn

s'éxécuta et les collant sur les genoux, elle se

hissa sur la pointe des pieds dans ses mules et

se pencha sur Madame jusqu'à être allongée sur

ses jambes.

Madame souleva à nouveau sa combinaison

et dégraffa le body de Marilyn entre ses cuisses

ce qui libéra ses petits testicules et le bijou de 

sa verge .

Auscultant ses fesses, entrouvrant légèrement 

son anus de ses deux mains, Madame s'exclama

- Un miracle, c'est un vrai miracle qu' il ne t'ai pas

tuée, déchirée en deux, pourtant il m'a assuré 

t'avoir goûtée 

La voix assourdie de Marilyn lui parvint d'en dessous

- Il n'est pas rentré en moi complètement.

Sa voix était un murmure

- Oui je vois que tu es légèrement distendue

répondit Madame en insérant facilement

sa main dans l'anus de Marilyn 

Comme un réflexe, son bijou vint se plaquer sur

son ventre faisant cliqueter les anneaux  

Madame rit franchement et regarda Agnès en

souriant.

- Oui ça n'est pas mal ma chérie. Et lui donnant

une nouvelle claque sur les fesses lui ordonna

de se rhabiller puis d'une voix sérieuse.

- Nous avons encore énormément de travail à

faire, je ne sais pas si tu te rends compte de la

chance que tu as Monsieur est immensément riche

et il a fixé sur toi son choix. Mais si tu n'est pas

prète à temps, sa virilité te tueras je le sais.

Aussi prépare toi la prochaine année va être très

difficile pour toi et tu vas beaucoup souffrir.

Mais au bout il y a la récompense : devenir la

femme de Monsieur !

Dans dix jours tu vas subir une première opération

et d'ici là Agnès t'administrera trois piqûres par jour 

Elle sortit une espèce de cylindre mêtallique

d'une trentaine de centimètres de circonférence

et autant de longueur.

- Ceci est un spéculum réglable grâce au petit 

mécanisme que tu vois là.  Agnès te l'appliquera

dès ce matin et tu le gardera nuit et jour jusqu'à

ton opération. Nous reprendrons ensuite.

Si tu peux atteindre quinze centimètres d'ici là 

et que ta chatte reste ouverte sans le spéculum

nous pourrons vite atteindre des dimensions très

respectables, l'ouverture de tes chairs étant provisoire le but final étant d'assouplir tes muscles.

Elle saisit la petite verge qui pendait sous la combinaison, Marilyn n'ayant pas eu le temps de

ragraffer son body ni de remonter son collant.


- Bien Agnès va retirer ton bijou, dit elle .

Elle saisit à travers le voile l'anneau qui perçait le gland et tira légèrement. Marilyn grimaça.

- Par contre, ajouta.t'elle encore, interdiction de te

donner du plaisir toute seule ou avec les autres 

filles.  Marilyn baissa les yeux et rougit à nouveau.

- Et pour ce faire conclut elle en présentant un

nouvel objet constitué d'un anneau, d'une tige d'une douzaine de centimètres, d'un capuchon et

d'un cadenas

- Tu portas ce mécanisme qu' Agnes va t'installer

Monsieur aura seul la clé.

Ah et il vient te voire dans deux mois

Allez file !


(A suivre ...)
































Marilyn se réveilla en sursaut,

affolée : elle avait trop dormi,

elle serait en retard pour son service,

elle allait se faire disputer par les filles

où pire, par Madame.

Et puis il y avait cette fille dans sa

chambre, en train d'ouvrir les

rideaux et grand la fenêtre.

Cette jeune fille elle l'avait vue

dans l'ombre de Madame depuis

quelque temps et cela ne présageait

rien de bon.

Elle se dégagea promptement  des

draps et s'assit sur le bord du lit pour

enfiler ses chaussons.

L'autre fille était toujours là et

la regardait curieusement, immobile

- Et bien, ne reste pas comme ça

passe moi donc ma petite robe

noire celle avec le tablier blanc, une paire

de bas résille noire autofixants et mes

ballerines noires.

La jeune fille ne bougea pas

- Madame m'a dit que dorénavant je serais

à votre service. J'ai déja vos vètements 

dit elle désignant ce qu'elle tenait sous son 

bras

- Madame a dit que vous deviez passer dans

son bureau dès que vous aurez fait votre

toilette et que vous serez habillée.

Ce disant elle eut un regard appuyée sur 

l'entrejambe de Marilyn. Sur sa culotte

de nylon blanc fleurissait une petite tàche

de sang.

Soudain tout lui revint, le géant, ses mains sur

elle, son énorme sexe et tout le reste.

Elle resta assise le yeux baissés longtemps

et finalement regarda l'autre jeune fille qui ne 

bougeait pas non plus. Marilyn ne savait pas

si elle devait rire ou pleurer, n'avait t'il

pas dit qu'elle était sa femme, qu'il

l'emmènerai avec lui dans un an

tout en lui faisant ...

Elle se leva d'un bond dans sa courte

nuisette rose et regarda son derriére 

dans le grand miroir. Une grosse

tàche s'étalait sur ses fesses,

comme du comme du ... 

sperme séché oui c'était cela, comme

sur la lingerie des filles qu'elle nettoyait

d'habitude. Oui cela aussi, elle s'était 

soumise à lui, lui avait dit je suis ta femme.

L'autre jeune fille s'approcha encore et lui tendit ses

vetements. Elle regarda, ne vit que

de  la lingerie et le dit à la fille

- Oui répondit celle ci

- C'est Madame qui a choisit elle même

- Oh dit Marilyn et elle ne discuta plus

- Elle se mit nue, enfila le body

en voile noir à manche longues,

les très fins collants voile gris souris

et des mules dorées très hautes

dont les talons aiguilles très fins étaient

de couleur argentée. Et puis une très

fine combinaison très longue et d'un bleu

très clair.

Elle se regarda à nouveau dans la glace

A ses côtés la jeune fille avait les yeux brillants

- Vous êtes très belle dit-elle

Marilyn,elle, se voyait nue dans la

glace ou plutôt plus que nue, offrant

aux regards ses petits seins naissant et

surtout ce bijou doré et ces anneaux qui

ornaient son clitoris et au bout, 

son petit gland rose.

Et Madame voulait qu'elle passe dans

son bureau ...

- Nous devons encore faire notre toilette, peigner

nos cheveux et nous maquiller, 

nous devons nous dépécher, nous

allons être en retard dit la jeune fille

- Ah et puis je dois vous faire une petite

piqûre avant de partir

Et devant le regard atterré de Marilyn

- Ne vous inquiétez pas c'est presque 

indolore, c'est dans les fesses.

Autant la faire tout de suite, c'est

mieux d'espacer, une le matin, une à

midi et une le soir. 

- Quoiii cria Marilyn les yeux exorbités

toujours face au miroir, son

mouvement de recul faisant

tressauter le bijou de son clitoris

contre la combinaison bleue

- C'est médical, dit la fille, c'est pour

votre bien ... et puis c'est un ordre

de Madame. 

Marilyn sursauta,"Madame", surtout

ne pas risquer sa colère

- Il faut nous dépêcher répèta l'autre fille

Résignée, Marilyn la suivit dans la salle

de bains.


(A suivre ... )










Le lendemain, l'homme était dans le bureau de Madame.

- Tout s'est bien passé avec Marilyn ? Demanda t'elle d'une voix

respectueuse mélée de crainte, ses yeux  brûlant

sous le regard de l'homme

- oui oui dit-il d' un air songeur. Et il ajouta 

- ... A peu près

C'était le seul homme qui inspirait la crainte et le respect

à Madame

- Lili ( ainsi que les filles appelaient Marilyn) n'a

pas été gentille ? Demanda t'elle anxieusement

- si si elle l'a été, cependant je doute qu'elle soit 

prete dans douze mois

- oh ne vous inquiétez pas elle le sera Répondit 

elle d'une voix pressée

- hmhm mais plus de potions, je veux des changements permanents tonna t'il

- ne vous inquiétez pas, les rendez vous de 

chirurgie sont pris pour l'écartement du bassin et

la suppression de la dernière paire de côtes.

- Oui oui c'est très bien n'oubliez pas le port

intensif du corset, je veux que ma femme puisse

m' accueillir complétement mais qu'elle puisse

bien me sentir

- Bien sûr Monsieur s' empressa t'elle d'ajouter

autre chose ? êtes vous fixé sur la taille des seins ?

- oui, un bonnet C conviendra très bien mais 

je ne veux pas d'implants je ne pense pas que vous y arriverez

- nous y arriverons, nous y arriverons, elle commence dès aujourd'hui son traitement hormonal accéléré, c'est un cocktail d' habitude

réservé aux juments et aux génisses, il est même

possible qu'elle produise du lait, gloussa t'elle

- cela serait parfait dit il d'une voix gourmande

- et bien sûr parmi les effets secondaires il y

aura une forte augmentation de son derrière

et des chaleurs beaucoup plus intenses

- oui oui tout cela est bien mais je veux qu'elle

garde ses longues jambes de biche

- j'y veillerai. Autre chose ?

- oui ses lèvres, encore plus charnues

- Cela va de soi. Autre chose

- son anus, beaucoup plus accueillant

- Avec l'écartement chirurgical de son bassin

elle sera prète à vous accueillir. Je lui ferai

porter en permanence cette année un spéculum

à élargissement progressif. Cela plus le 

traitement hormonal, je vous promet qu'elle

s'ouvrira comme une fleur à la moindre caresse.

Et cerise sur le gateau, le chirurgien redirigera

une  partie de la petite production de ses olives (elle gloussa)

vers son sphincter afin qu' elle lubrifie rien qu'en

vous voyant !

- parfait parfait acquiessa t'il en hochant la tête.

- autre chose ? Continua t'elle en le regardant par

en dessous. Une punition ?

Il prit l'air songeur

- hum, oui c'est désormais une femme, elle doit 

s'habiller et se préparer seule. Plus de jeux

saphiques avec les autres filles. Et chasteté

complète, je vous fait confiance

- vous pouvez Intervint elle

- pas de sorties autre que pour ses traitements ...

et pas de tenue habillée. Que de la lingerie.

Je veux qu'elle s'habitue à sa vie future.

Quand à l'autre fille je vous dédommagerai

- puis je demander ce que vous allez faire d'elle ?

Risqua t'elle ?

- Non vous ne pouvez pas tonna t'il mais je vais

quand même vous le dire.  Les hommes qui

l'ont emmenée hier après s'être servi d'elle

l'ont déposée sur le navire d'un de mes amis.

- Mon dieu souffla t'elle

-Elle va pouvoir jouer le rôle d'un homme

si c'est ce qui lui plaît

Malgré elle elle ne pu s'empécher de frémir

en pensant à ce fameux navire où opérait

un chirurgien sadique dément pour le plaisir

de très riches clients dégénérés au cours de longues croisières...

Une dernière chose, sa petite verge. Je crois que

le diamètre de son carapaçon est réglé sur deux centimétres, je veux que vous le rameniez 

progressivement à un centimètre et que cette 

transformation soit permanente. Pas plus de

douze centimètres en longueur et que toute son

excitation soit concentrée dans sa jolie fraise rose.

-  Madame crut voir le joli gland rose danser dans les yeux de l'homme. Cela sera facile affirma t'elle

- Et bien rendez vous dans deux mois dit il. En attendant attendez vous à de grosses livraisons de lingerie pour elle



( A suivre ...)









 




Marylin était allongée sur le grand lit couvert de satin pourpre, son long déshabillé transparent autour

d'elle, sa tête reposant sur son bras replié, les larges créoles brillant à ses oreilles. Ainsi couchée sur

le côté, ses pieds reposaient l'un sur l'autre, ses jolis pieds prisonniers des sandales d'été à talons

compensés très hauts et des bas de nylon noir. Sur ses cuisses les huit jarretelles de la guépière

tendaient fermement les bas. Sur les brides des sandales était imprimé un motif floral pastel

qui par le contraste avec les dessous de Marylin, ajoutait une touche innocement perverse.

Ses petits seins naissant dépassaient du haut de la guépière, dans un nuage de dentelle noire.

Elle tournait nonchalamment les pages du magazine, s'arrétant parfois pour détailler la tenue d'un

des mannequins. Une fois, alors qu'elle détaillait depuis un petit moment une image, sa main libre

descenit jusqu'à sa taille, ses doigts fins glissèrent sous la dentelle du déshabillé et ses longs

ongles rouges s'aventurèrent sous la culotte de nylon noire qui ne cachait rien de son intimité.

Elle palpa les olives de ses testicules encapuchonnés, reposant bien à l'abri sur le gousset au fond

du slip. Des petites olives qu'elle caressa machinalement de ses ongles. Elle ne sentait plus de

douleur, juste une caresse. puis sa main remonta le long du fin tube qui contenait sa verge, au 

bout l'anneau, puis le gland que trois ongles frolèrent et enfin l'anneau qui traversait la chair de son

gland et son urètre. Son geste était machinal et le gland tout rose de la grosseur d'une grosse

cerise. Tout aussi machinalement, elle dégagea son gland du slip et sa main remonta, offrant à

un éventuel spectateur le spectacle de cette file magnifique allongée dans sa parure et le point

brillant au bas de son ventre, sous le déshabillé transparent, de l'anneau relié à une cerise de chair

rose.

Elle tourna lentement d'autres pages et après les mannequins femmes se furent les hommes, des

athlètes en maillots de bains, pleins de muscles et d'abdominaux, les pieds dans le sable dans

des attitudes volontaires ou lascives. Et sa main redescendit et à travers la fine résille du

déshabillé elle caressa plus longuement son gland, les yeux fermés, sa bouche pulpeuse 

entrouverte. Celui-ci gonflait légèrèment quand soudain la porte s'ouvrit. Elle eut à peine le temps 

d'écarter sa main qu'il était là !


Quand il entra dans la chambre il occupait tout l'espace de clarté derrière lui. Il referma la porte.

Il était colossal, son torse, ses abdominaux, ses cuisses, ses biceps, tout était muscle chez lui

en plus des dimensions démesurées. Ses cheveux blancs étaient coupés raz, ses traits taillés à 

la serpe, son corps et son visage couvert de cicatrices. Ce qui frappait en même temps chez

lui c'était ses yeux, d'un gris qui n'existait pas.

Il était torse nu, avait une serviette autour de la taille et des espèces de babouches aux pieds.


Il s'avanca en souriant, son regard soudain éclaré par l'éclair brillant au ventre de Marilyn, ses

dents se sérrèrent, il la regarda dans les yeux et vint s'asseoir sur le bord du lit. 

Elle baissa ses yeux de biche, honteuse mais irrésistible dans sa beauté.

Elle releva un instant les yeux, ses yeux noisettes, ses longs cils noirs papillonnant, ses paupières

pastel pleinement découvertes.

- Tu sais qui je suis ? dit-il

- Non répondit elle timidement

Au fond d'elle même elle avait l'image de ce colossal fantôme, penché sur son lit quand elle était

enfant, ce dos gigantesque aperçu maintes fois dans le bureau de Madame.

Elle ne savait pas mais elle avait toujours su. Tous ces cadeaux, toute sa garde robe, sa lingerie

la plus intime, ses très nombreuses paires de chaussures, ces règles qui prévalaient à sa 

croissance ...


Aussi ne fut elle pas étonnée quand il lâcha ...


- Ton mari


Son coeur battait la chamade, la plupart des filles ici révaient d'un mari et elle ...,

elle appartenait depuis sa naissance à cet homme, qui la façonnait, selon ses désirs.


Puis il posa sa grosse main sur sa hanche, elle releva les yeux, lui sourit timidement,

lui avait le regard fixé sur son ventre, sur son petit bout de chair rose. 

Il lui prit la main, doucement, sans détourner un instant son regard, et  la glissa sous la

serviette.

Elle sursauta, ce qu'elle touchait à présent n'avait rien à voir avec son petit tube. 

C'était énorme, elle faisait difficilement le tour de son membre avec sa petite main.

Il la guida le long du mât et elle rougit violement : interminable, couronné par une masse

qu'elle n'osa pas comparer à son petit gland. puis il ramena sa main à la base de son membre

et là lui fit palper, soupeser, deux boules grosses comme des oranges. Sa main tremblait,

elle voulut la retirer mais il lui murmura, 

- caresse moi


Elle avait été préparé à cela toute sa vie semblait il, elle caresssa doucement le gigantesque

membre qui sembla s'allonger et grossir encore sans qu'il fit un mouvement si ce n'est son regard

posé sur son corps de déesse. Elle caressa de ses ongles les énormes testicules et il grogna.


Il jeta un regard rapide à ses petits bourgeons de seins naissants et ajouta d'une voix grave

- Tu as dix sept ans, aujourd'hui du devient une vraie femme. Dans un ans tu aura de beaux

seins, des vrais fesses, des vrais hanches. Ce disant, il passa sa main sous le déshabillé et sous

la culotte sur ses fesses. 

- Tu restera toujours aussi sexy et désirable qu'aujourd'hui, j'y veillerai.

Sa main taquinait le chapelet d'anneaux et son doigt effleura son anus entrouvert.

Il sourit légèrement et y inséra complètement son énorme index. Elle eut un réflexe de surprise 

mais ne ressentit pas de douleur.

Il la regardait dans les yeux, se courba sur elle et l'embrassa sur la bouche. Sa langue fouillait

sa bouche, la remplissait complètement, l'étouffait.

Il retira le doigt de son anus et dans un même mouvement fit glisser la culotte à ses pieds.

Alors il sembla noter ses sandales et se redressa.

s'asseyant sur le bors du lit à ses pieds, il posa les sandales sur ses genoux et les défit lentement.

Elle n'osa pas retirer ses pieds prisonniers des bas, il amena leur plante à son visage et les

lécha longuement, puis lécha ses orteils. Malgré elle, elle avait fermé les yeux et gémissait

doucement.


Puis il se leva complètement, alla ramasser les mules noires aux talons aiguilles interminables

et en chaussa les pieds humides de Marilyn, ses ongles rouges bien visibles sous les bas voiles 

noirs et découverts dans les mules.


Il fit tomber la serviette qui lui recouvrait la taille et sn sexe monstrueux apparut, horizontal.

Marilyn avait les yeux écarquillés, ne pouvait en détacher son regard et  ses tempes

et son coeur battaient à tout rompre


Alors il prit sur une petite table une très fine chaine d'or, s' approcha d'elle et d'un coup la

clipsa sur l'anneau qui perçait la chair tendre de son gland. Il la fit se retourner, se mettre à

quatre pattes et attacha l'autre extremité de la chainette  à une très fine chochette fixée au

montant du lit. La chainette était presque tendue, le petit membre de Marilyn pendant

verticalement. 

L'homme s'excusa de lui imposer l'inconfort du carapaçon mais que rapidement, quand son

clitoris aurait prit sa forme définitive telle qu'il le souhaitait, il serait libéré ainsi que ses petites

olives, qu'il couvait amoureusement des yeux.


Puis il se plaça derrière elle, lui dit de relever les fesses et d'écarter un peu les jambes.

Alors sa grosse langue lui lécha l'anus et s'inséra profondément dans ses fesses. elle sentait

frémir son petit sexe mais ne voulait pas faire sonner la clochette et se mordit les lèvres.


Car c'eut été un signal d'abandon, comme dire à l'homme, je suis ta femme, je t'appartiens.


Mais il continuait son lent travail de préparation, mouillant copieusement ses chairs intérieures,

élargissant encore de ses deux mains l'entrée de son anus.


Puis soudain il s'arréta, elle se mordit plus fort les lèvres.


Il la saisit par les hanches et elle entendit un gros "Plop" c'est tout. Il s'était arrété net.

Elle sut qu'il l'avait pénétrée de son énorme gland. Elle ressentit une grande chaleur, ses joues

la brulèrent et la clochette sonna.


Les lèvres de son anus palpitaient de façon incontrolable autour du gland de l'homme, il

grogna et finalement se retira.


Elle savait qu'elle lui appartenait, qu'il ferait d'elle sa femme et qu'elle ferait tout pour le satisfaire.


Il détacha l'anneau, la fit se retourner sur le dos et lui dit 

- tu le sais ma chérie maintenant, tu es à moi. Je ne t'ai pas vraiment pénétrée, gardons cela 

pour notre nuit de noce, dans un an. en attendant je vais m'occuper de toi


Ce disant il avala le petit gland et la petite verge. La verge de Marilyn était dressée et son

gland avait atteint la taile d'un gros abricot de couleur presque pourpre. Il ota les petits

carapaçons de1.9 cm de ses testicules, mais ceux ci ne reprirent pas leur taille initiale.

Enfin par des coups de langues et de rapides va et vient il l'amena au bord de l'orgasme.

Elle s'était cambrée, les quinze centimètres des talons de ses mules reposant sur le lit.

Tout en gardant son membre dans sa bouche, il inséra sans effort son poing dans l'anus de

Marilyn. Elle cria et un fin jet de sa liqueur mélée de sang se répandit dans la bouche de l'homme

qui l'avala goulûment.


Dans le même temps que Marilyn criait, tout en haut  de la maison, une oreille bien exercée aurait

pu entendre les cris de la maitresse de Marilyn. Mais sa voix était étouffée par ses bas et sa

culotte dans sa bouche. Cinq brutes s'acharnaient depuis plusieurs heures sur elle. 


L'homme ordonna à Marilyn de le prendre dans sa bouche. 

- A toi femme

Elle s'étouffa, faillit s'évanouir, mais comprit qu'elle devait le faire éjaculer rapidement.

Elle darda donc sa petite langue dans le méat de son homme, caressa ses énormes bourses

bouillantes et fit des mouvements de va et vient le long de son mat qui entrait à peine à moitié 

dans sa bouche. 

Il grogna, se cambra et éjacula dans la gorge de sa promise.

- Avale femme dit il


Et elle eut l'impression de gober l'équivalent de cinq gros oeufs.


Il lui fit alors un petit baiser, lui donna une claque sur les fesses et la laissa là


Pantelante


(A suivre ...)

La soirée se déroula comme prévu, c'est à dire misérablement pour elle et délicieusement pour le 

vieux barbon qu'elle appelait mon oncle.Elle n'eut pas longtemps à attendre, étendue sur le grand lit de la chambre dans laquelle elle venaitrarement et qui servait aux ébats des filles de la maison, le plafond couvert de miroirs, les draps de satin, la couleurs rose dominante. Elle était évidement très intimidée, c'était seulement la deuxièmefois qu'elle était allongée sur ce lit. L'oncle avait dépensé une vraie fortune, il faudrait qu'elle soittrès gentille avec lui, lui avait dit sa mère en lui donnant un baiser. Elle y repensait avec une moueboudeuse - comme si elle n'avait pas été très gentille la fois précédente, quand cette autre oncle - pas plus jeune - avait crevé ses fins collants avec ses ongles trop longs en lui caressant l'anus etinsérant son doigt profondément dans sa chatte. Elle avait eu un cri de douleur et une expression de colère.Mais elle s'était pinçé les lèvres et n'avait rien dit qui eu pu blesser le vieil homme qu'elleconnaissait depuis toujours et qui avait toujours été si gentil avec elle. Il avait l'air si ravi,d'entendre son cri semblait avoir augmenté son plaisir, elle le laissa caresser son clitoris à traversla soie des collants, le lécher et l'embrasser. Elle en fut soulagé et cela dû se voir le voile se tendanten se soulevant légèrement, elle soupira longuement, le doigt de l'homme toujours profondément inséré en elle, ses chairs intimes se contractant autour de lui.Sous le slip kangourou blanc de l'homme elle vit rapidement s'élargir la tâche qui signifiait qu'ilavait fait son affaire. Aisi donc ce soir elle était étendue sur le grand lit, feuilletant un magazine de mode en attendant son oncle, son long déshabillé s'étendant en corolle autour d'elle, a travers lequel on pouvait voir la guépiere et les longs bas noirs qu'elle portait, ainsi qu'à travers la culotte de nylon noir lebijou brillant qui enserrait son clitoris et les fins anneaux de son anus qui lui faisaient comme uncollier. La douleur qu'elle avait ressentie avait disparu, sa chatte était même largement dilatépar la magie des potions.Ses pieds fins étaient chaussées de hautes sandales d'été compensées - caprice de l'homme audernier moment, ses mules à talons aiguilles reposant sur le sol, le rouge de ses ongles de piedsvisibles sous le renforcement des bas noirs si fins.


(A suivre ...)

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