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Blog de lilileet

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Ce matin là, je trouvais une pile d'habits préparés sur ma chaise.

Mon amie s'était levé tôt et ca sentait bon le café.

j'écartais le drap, contemplais mes ongles de pieds rouge très vif qu'elle avait fait la veille ainsi que ceux des mains alors que simultanément je m'occupais des siens. 

C'était rare  qu'elle s'occupe de mes ongles. 

Heureuse, me sentant belle, je m'étirais longuement et ma nuisette  de nylon suivait les mouvements de mon corps.

Je regardai en transparence les bourgeons de seins, mes hanches qui s'élargissaient et mes fesses qui semblaient s'arrondir. J'étais nue sous le voile et ma fine verge paresseuse s'étendait mollement sur mon estomac.  

Je la saisis à travers le nylon tout en essayant de  me souvenir de la  dernière érection véritable que j'avais eue.

Mon amie semblait se contenter de ce que j'avais à lui offrir et embrassait tendrement mon gland tout rose quand  je lui avais donné du plaisir avec  ma langue et mes  caresses et que quelques gouttes liquides s'échappaient de mon sexe, tenant lieu d'éjaculation.

Les fins anneaux qu'elle avait disposé sur mon sexe, un à travers l'urètre, plusieurs sur le frein de mon gland et d'autres sur mes testicules, brillaient dans la lumière du matin.


Je m'assis sur le rebord du lit et enfilais mes mules à talon. 


Ma toilette était beaucoup plus longue dorénavant. 

Elle accordait beaucoup d'importance à mes soins intimes, j'utilisais une multitude de crèmes pour 

rendre ma peau plus douce. 

Dans les premiers temps elle avait pris un soin maladif à briquer la rose  de mon anus, si bien qu'effectivement celui ci était devenu tout rose et étrangement sensible, comme l'étaient mes tétons

turgescents. Ainsi J' y appliquais consciencieusement les pommades, y prenant de  plus en plus plaisir.

Elle m'avait donné la veille un paquet de serviettes hygiéniques et de tampons en m'en expliquant l'usage. J'avais déjà porté des serviettes lors des saignements provoqués par la pose des anneaux mais cela avait été anecdotique. 

Malgré tout je n'en voyais pas l'usage me concernant et avait suivi distraitement ces explications. 

Je pourrai porter les serviettes discrètement sous la culotte mais si j'étais amenée à ne pas en porter, les tampons devenaient très utiles. Certains hommes étaient très grands,  énormes me dit elle en me prenant la main et me regardant dans les yeux  intensément.


J'accordais un soin particulier à mon maquillage ce jour là et coiffais longuement mes longs cheveux roux. Le roux n'était pas ma  couleur naturelle, mais depuis que mes cheveux avaient poussé, elle me faisait régulièrement coiffer  et teindre. Le petit triangle de mon pubis était également teint pour que l'illusion soit parfaite.


Sur la chaise, je saisis la culotte affolante et le soutien gorge  assorti. La culotte, très bouffante et élastique, pouvait s'appliquer à des fesses largement plus grosses que les miennes et le soutien gorge bonnet D, garni de la même dentelle que la culotte, était conçu pour une poitrine largement plus généreuse que mes pauvres petits seins. 


Je les enfilais magré tout, y voyant une facétie de mon amie qui venait de faire refaire les seins.

C'était maintenant la parfaite bimbo, une poupée sexuelle. 

En plus de ses nouveaux seins bonnet D, au cours des derniers mois elle avait eu une opération de lipofilling qui lui avait donné une croupe plus que généreuse, accentuant la finesse de sa taille.


Sa taille si fine elle la devait aussi à l'ablation de sa dernière paire de côtes et le port intensif de corsets


Lorsqu'elle prenait mon sexe entre ses lèvres, je ressentais leur gonflement exagéré et le froid des clous qui traversaient sa langue.

En inconditionnelle du piercing, ses tétons étaient ornés de bijoux et de délicats anneaux ornaient le contour de sa vulve dont l'un sur le capuchon de son clitoris. 


 Puis j'enfilais avec un soupir d'aise les fins collants Golden Lady gris souris, la robe pull verte aux genoux,  ajustai la large ceinture de cuir noir et enfilai les mules rouges à talons très hauts. 

Ces mules lui appartenaient, j'étais émue que pour la première fois elle me les fit porter 


Ainsi parée et me déplaçant maladroitement dans ces talons vertigineux, je me  rassis au bord du lit

et ajustait les collants sur le bout de mes pieds ainsi qu'elle me l'avait appris, la  couture visible et appliquée juste sur les bout des orteils et la pointe renforcée légèrement plus  sombre les couvrant parfaitement. 

Les  hommes sont attentifs à ce genre de détails chez une femme, ils adorent disait-elle.


Puis je la retrouvais buvant sa tasse de café, prête déjà. 

Sa vue me  causa un choc 


(A suivre ...) 

Je soupçonnais que mon amie ne me considérait plus comme un mâle, comme son amant,

mais comme une amie, comme sa maîtresse.

Je ne savais plus exactement quand ca avait commencé, peut être quand elle m'avait dit qu'elle

préférait que je la fasse jouir avec ma langue ? Ou quand elle m'avait interdit d'éjaculer en elle ?

Ou quand  elle avait commencé à s'occuper activement de mon corps, de ce que je portais ?

Je l'avais accompagné chez l'esthéticienne, ma pilosité avait disparue complétement disparu après 

les séances laser, me laissant juste le petit triangle du pubis. A mon grand embarras, l'anus aussi fit

partie du traitement.

Et puis elle changea complètement ma garde robe,   les chemises devinrent de plus en plus légères et

colorées, les manches bouffantes, les pantalons élastiques très moulants et très fins, les chaussettes

furent remplacées par des socquettes transparentes de fille en nylon et les chaussures des ballerines 

ornées de petits nœuds. Cela fut complété par des parkas et vestes unisexes

Enfin elle demanda à sa coiffeuse de me faire pour l'instant une coupe garçonne - ce qui aurait du m'alerter finalement -


Nos ébats sexuels devenaient de plus en plus rare et j'étais sujet à une anxiété dont je ne comprenais pas vraiment la cause. Dans  le même temps je sentais bien que le regard de mes collègues vis à vis  de moi  changeaient, les hommes semblaient gênés. A mon approche les discussions s' arrêtaient et les femmes me dévisageaient curieusement.

Après en avoir fait part à mon amie, celle ci me fit prendre des pilules recommandées par son

médecin. En effet, après plusieurs semaines de ce traitement, mes angoisses disparurent.


Dans le même temps, nos jeux avaient changés. Je ressentais moins le besoin d'éjaculer et avais davantage  le souci de son  plaisir. C'est ainsi qu'elle me présenta un  jour un de ses déshabillé, une

guêpière, des bas  et des mules haut talons. Nous faisions la même taille et approximativement la

même pointure ce qui facilita les choses. Devant ma  gêne et mon rire gêné, elle ris à son tour

et m'aida à tout enfiler.

Je rougis car mon pénis qui depuis quelque temps restait léthargique, prit instantanément une position verticale de garde à vous.


Ainsi se passèrent plusieurs mois, peut être un an, je prenais de plus en plus de plaisir à nos jeux

travesti , moi lui offrant du plaisir avec mes caresses et ma langue et elle me masturbant de ses doigts ou de sa bouche.


Mais dans le même temps, je notais que mes érections devenaient moins fermes, au point que souvent je n'éjaculais pas alors qu'elle avait de bruyants orgasmes. J'avais pris un peu de poids ce qu'elle me reprochaient et ma poitrine semblait gonfler légèrement. 

-Aïe, faisais-je quand elle pinçait mes tétons.

Il n'était plus question que je la pénètre bien sur, mes maigres tentatives en ce sens étaient immédiatement repoussées. Au contraire ma masse musculaire diminuant, elle me renversait sans mal, écartait les collants ou la culotte que je  portais et, insérant un doigt dans mon anus, m'amenait sans peine au plaisir.


Et puis elle décida qu'il serait mieux  que je sois toujours habillée en femme quand j'étais à la maison. Ainsi progressivement elle me refit une garde robe complète.

 

J'allais de moins en moins à mon travail, souvent je gardais sur moi mes vêtements féminins.

Ainsi un jour, j'y portai un body dentelle, une jupe crayon au genou, des bas chair à  couture et des escarpins à talon très dénudés. 

Ce fut la dernière fois que je m'y rendis, alors que les hommes devenaient pressants et les femmes souriantes.


Peu de temps après, elle m'annonça que nous  irions faire du shopping entre filles le lendemain.

Je n'en fut pas  choquée


(A suivre ...)

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