Monsieur, Marilyn avait eu beaucoup de peine à trouver le sommeil. L'excitation, l'appréhension,
la peur se mêlaient. Surtout ne pas faire de rêves érotiques, pensait elle en se pinçant le bras.
Agnès l'avait laissé dormir nue en la prévenant que c'était certainement la dernière fois qu'elle ne portait que sa guépière
Au matin, après sa toilette et son maquillage, qui comprenait outre son visage, la peinture de ses
ongles, de ses lèvres et de sa chatte, Agnès l'attira d'un coup à elle en la tirant par les tétons.
-Aie fit Marilyn, mais pieds nus et entrainée par ses seins, elle bascula sur Agnès qui lui appliqua sur les lèvres un long baiser mouillé tout en malaxant les tétons durcis.
- Au revoir ma belle, ma mission est finie, tu est à présent la poupée d'amour de Monsieur. Comble
tous ses désirs et nous nous reverrons peut être, rit elle en jetant un regard appuyé sur la tomate qu'était devenu son gland.
Et elle la laissa là, nue sur les dalles froides.
Les yeux dans le vague et ne pensant à rien, Marilyn resta là un long moment sans bouger.
Puis, saisie par le froid, elle se ressaisit soudain et sur la pointe des pieds courut dans sa chambre
et vers ses nombreuses penderies
Les découvrant l'une après l'autre, elle ne faisait pas un geste. Elle était dans un grand état d
confusion. C'était la première fois qu'elle s'habillait seule, qu'allait elle mettre, et puis Monsieur
viendrait ce soir, c'était certain, comment devrait elle être habillée pour cette rencontre. Son regard tomba sur les tiroirs aux collants, débordants. Il y
en avait des centaines. Elle se mordit les lèvres. Non, pas tout de suite pensa t'elle, sentant, plaquée contre son ventre, la tomate qu'était son
gland et le froid cabochon qui le surmontait. Non,
se répétat elle, je ne le supporterai pas.
Elle enfila une large culotte en dentelle blanche,
transparente et très douce, couvrant ses larges
fesses et son sexe au très fin pénis surmonté de
l'énorme gland et du cabochon. Elle eut un
Soupir de satisfaction et sous le voile léger de
la culotte les lèvres de sa chatte se détendirent,
le disque noir en son centre s'élargissant largement, comme aspirant la culotte . Elle le sentit et tenta de contrôler cette sensation de bien être. Elle choisit rapidement une jupette, un top en tulle rose qui laissait voir ses gros seins,
allez, pas de soutien gorge rit elle intérieurement,
elle enfila une paire de ballerines bleues qui découvraient largement ses petits pieds
et sans plus y penser, courut vers le parc.
Elle marchait d'un pas léger dans le parc, les yeux fermés, aspirant de grandes bouffées de cet
air léger de septembre, son visage tendu vers le soleil,la poitrine dressée fièrement, ses tétons
durcias transperçant le voile de son top rose, sa jupette se soulevant par instant dévoilant la transparence et la dentelle de sa culotte. Au détour de l'allée elle se laissa tomber sur le banc.
Elle savait qu'il était là, quelque part dans les arbres et qu'il la regardait. Elle rejeta la tête en
arrière, ses seins se soulevant, elle écarta un peu les jambes. Elle crut entendre frémir le feuillage.
Elle était sûre qu'il l'observait, écarta plus largement ses jambes. Dans l'ombre de la jupette, on
pouvait distinguer l'éclat vert de la pierre qu'elle portait sur le gland.
Elle souriait de son audace, elle avait oté sa guépière. malgré cela, sa taille restait très fine, mais
elle ne sentait plus ce carcan permanent.
Soudain et alors qu'elle avait toujours les yeux fermés, elle sut qu'il était là, derrière elle.
Deux énormes mains saisirent ses seins. Elle eut un cri de surprise. Elle ouvrit les yeux, pleine de confusion alors que dans un même instant elle pensait que Pierre avait vraiment des énormes
mains.
Monsieur la fixait, ses yeux fixés dans les siens, un large sourire sur sa face si dure,les larges
seins de Marilyn emprisonnés dans ses énormes mains laissant filter ses tétons dans l'intervalle de
deux doigts a travers le tulle de son top. Il resserra sa poigne, pressant les seins et perçant les
tétons.
Sa bouche baillonna la bouche de Marilyn étouffant son cri de douleur de de surprise. Elle avait
toujours la tête renversée et gémit comme il resserrait encore son étreinte, sa langue fouissant
profondément dans sa bouche, les tétons durcis pincés entre ses doigts.
Malgré sa honte, elle pouvait sentir son anus se dilater sous la culotte, la tendre encore, la fraicheur
du courant d'air aspiré par sa chatte qui s'ouvrait largement, son gland qui sous la jupette , poussait
sur la culotte. Elle voulait crier, mais sa bouche était baillonnée.
Et Monsieur, d'un mouvement souple, vint s'asseoir à côté d'elle. En cet instant et dans sa confusion, elle pensait à Pierre, qui la haut, perché sur son arbre, regardait.
Monsieur, l'embrassant toujours, lacha ses seins, un bras entoura sa taille si fine et l'autre
s'enouffra sous la jupette. Il relâcha légerement son étreinte, murmura un
- coquine
quand il sentit qu'elle ne portait pas de guépière, tordit la bouche en une éspèce de sourire
et lui saisit le gland.
Marilyn sursauta. Monsieur avait saisit son gland et le caraissait
- mhmhm
gémit Marilynn
Elle sursauta de douleur quand soudain il pressa son gland. Sa bouche étant baillonnée elle n'émit
qu'un faible murmure en se débattant. Mais elle avait beau se tortiller, la pression du poing fermé sur son gland s'accentuait et elle crut défaillir tandis que Monsieur lui murmurait
- Tu es à moi tu le sait. tu m'appartient
- Oui, oui répondit elle dans un souffle.
Soudain tout s'arréta, Monsieur, qui avait relâché sabouche, relacha son gland mais lui tenant
toujours la taille lui orsonna de se lever, d'ouvrir sa braguette et de sortir son membre.
Marilyn se redressa et d'une main tremblante dégagea le sexe monstrueux dont elle faisait à peine
tour. Monsieur bandait et les 30 centimètres de son pieu se dressèrent devant les yeux hagards de
Marilynn.
Docilement Marilyn laissa Monsieur retirer sa culotte et l'attirer à lui entre ses jambes écartées.
Il posa la main sur son anus en la fixant . Malgré la souffrance qu'il venait de lui infliger, sa chatte était entrouverte et sous la pression de ses doigts, palpitante, s'ouvrit largement.
Saisissant des deux mains sa taille, il la souleva sans effort et amenant son sexe à hauteur de son
visage, il l'avala goulûment et de sa langue lécha longuement le gland.
Marilyn crut que son gland allait éclater tant il gonflait et se rendait la peau. Maintenue en l'air,
elle battait l'air de ses jambes sous l'effet de l'excitation.
Enfin, l'amenant à la verticale de son pieu, il la laissa redescendre doucement.
Marilyn sentit l'énorme gland contre sa chatte.
Ramenant la tête en arrière elle émit un long gémissement. Son corps entraîné attendait cela depuis si longtemps. Elle s'abandonna toute entière à son plaisir. Sa liqueur lubrifiait abondamment tandis que très doucement, le sexe monstrueux s'enfonçait en elle.
Elle replia ses jambes, se débarrassa de ses ballerines et reposa le dessus de ses pieds sur les cuisses de l'homme. Sa petite verge tendue reposait sur la poitrine de l'homme tandis qu'il regardait le gland de Marilyn qui semblait têter son cabochon comme un bébé son biberon.
Elle descendait toujours sur lui. Ainsi des 15 premiers centimètres. Elle avait reposé les mains sur ses épaules et enfoui son visage dans son cou .
Haletante, elle se sentait remplir par le sexe de son maître et l'inondait de sa liqueur de femme.
Sa respiration s'accéléra quand 20 centimétres du pénis furent en elle et commença à gémir tandis qu'elle descendait toujours.
Enfin son long gémissement se transforma en cri tandis que les derniers centimètre de l'énorme pénis s'enfonçaient en elle. Le souffle court, elle
avait rejeté la tête en arrière et son cri était devenu râle. A présent ses larges fesses reposaient sur les cuisses de Monsieur.
La fontaine qui s'écoulait scellé était un mélange
de sa liqueur et de sang. Elle n'avait pas été préparée à cela. Elle se souvenait dans un flash de la rousse de la clinique et de ses énormes dildos. Et elle sut que c'était volontairement que jamais elle n'avait été possédée par quelque chose d'aussi gros
Mais elle n'était pas morte , elle était remplie par le sexe de l'homme qui pressait contre son coeur, lui coupait le souffle et triomphante elle baiss la tête.
Il souriait et prenant les fesses de Marilyn à pleines mains, il commença à la soulever.
Elle s'abandonna aux vagues de plaisir qui la submergeaient, tandis qu'elle était à nouveau hissée au sommet du mât.
Là, une fois qu'à nouveau le gland de Marilyn fut
devant le visage de l'homme il le mordit cruellement. Marilyn eut un long cri de douleur
tandis que du sang s'échappait de son gland blessé et des larmes coulèrent sur se joues.
Alors l'homme lécha la plaie et du bout des dents
ôta le cabochon qu'elle portait.
Elle fut surprise mais à travers ses larmes elle
sentit les puissantes mains de l'homme qui à nouveau l'ammenai à la verticale de son sexe et
l'empalai.
Cela dura longtemps, l'homme la pénétrai au plus profond et allait et venait en elle. Elle criait sous les spasmes de plaisir violent qu'il lui procurait et enfin le rythme s'accélèra elle sentit qu'il
allait jouir au plus profond d'elle et tandis qu'il tenait entre deux de ses doigts sa fine verge à elle et la masturbait, elle sentit qu'après tous ses mois de frustration où ils avaient fait d'elle une vraie femme pour l'homme, celui ci allait lui
permettre de répandre sa liqueur.
Elle crut qu'ils allaient jouir ensemble mais la main de l'homme se referma sur son gland et tandis que dans une ultime crispation il la remplit
de son sperme il réinstalla dans l'urètre de Marilyn le cabochon, alors que les lèvres de son
gland s'étaient totalement ouvertes sous le plaisir
et que la liqueur montait dans sa petite verge
- Nooon cria Marilyn ses larges fesses trempées à nouveau sur les cuisses de Monsieur
- Pourquoi ? murmura t'elle
- Ce n'est que le début répondit il, nous avons
beaucoup de temps à passer ensemble. Tu ne portes même pas de corset. Il me semblait pourtant avoir été clair. Quand à ta tenue ...
j'ai d'autres idées pour toi.
Elle sentait la veine de l'énorme pénis palpiter
dans son ventre tandis qu'il saisissait ses petits
pieds et qu'il regardait la boucle du collier qu'elle
portait à son cou.
Se retirant d'elle, il la prit par la main et il se dirigèrent vers la maison.
Sur son arbre, Pierre qui avait assisté à toute la scène grincait les dents de rage, alors que de dos s'éloignait le couple, du géant tant redouté et
de la fille qu'il aimait, pieds nus, ses jolis fesses nues se balançant sous la jupette, ses cuisses trempées de sang clair
(A suivre ...)
Le Mur