promenait nonchalament dans le grand
parc entourant la grande demeure de Madame.
Sa large robe d'été légère flottait au vent.
Ses cheveux étaient coupés courts - selon les
désirs de Monsieur, et cela lui donnait un air
de garçon manqué, son maquillage étant léger.
Mais cela était détrompé dés lors que le regard
descendait sur son corps voluptueux
La finesse de sa robe ne cachait rien d'elle.
Sa voluptueuse poitrine était soutenue par
l'armature métallique du redresse seins qu'elle
portait, redresse seins en dentelle bleu d'ou s'échappaient les larges aréoles sombres.
Ce redresse sein était plutôt un parement d'où
pigeonnait sa poitrine qu'une utilité. Car ses seins gonflés se dressaient fièrement devant
elle, un fort 95C, ses tétons en érection permanente comme des petits penis tendant la
fine robe bleue transparente.
sa taille très fine (73 centimètres) s'accompagnait de hanches larges (93 centimètres)
et elle portait une culotte haute vert d'eau, très fine et transparente, qui bouffait un peu,
car très large (xxl) et choisit ainsi par Monsieur en prévision d'une augmentation de ses fesses
s'il lui en venait le désir.
Les injections d'hormones avaient été très ralenties devant leur effet spectaculaire, elle
était en permanence en état de chaleurs. Son très fin pénis libéré maintenant de sa gaine et
de la sonde avait pris sa forme définitive à la suite des interventions chirurgicales, dressée et plaquée contre son ventre, formant une courbe et terminée par la grosse fraise de son gland.
Même quand elle retirait sa culotte, la très fine tige qu'était son pénis restait plaquée contre son
ventre, seul son gland grossissait, pouvait atteindre la taille d'une grosse prune de couleur violette
tres sombre. A ses pieds aux ongles peints de fines sandales à talons compensés de 12
centimétres.
Elle s'assit sur un banc avec le souvenir mélancolique de la la très piquante infirmière rousse qui
s'était occupée d'elle à la clinique. Harnachée de godemichets, elle avait été chargée de vérifier
que la redirection d'une partie de la production des petites olives de Marilyn vers sa chatte était
bien fonctionnelle. Cette rousse était très jolie et elle avait su réveiller la flamme chez Marilyn
après la succession d'opérations douloureuses qu'elle avait subit. Prenant sa petite verge dans sa main et sucant son gland comme si elle avait sucé une glace, il ne lui fallut pas longtemps pour
le voir enfler démesurément. Répétant l'opération à maintes reprises et avec des godemichets de plus en plus gros, Marilyn sur le dos, jambes écartées, elle l'avait pénétré et exercé des mouvements de va et vient jusqu'à ce que Marylin gémisse et que les énormes godemichets la
trouvent lubrifiée complètement. Pendant une bonne semaine l'opération s'était répétée, Marilyn
et la fille atteignant toutes les deux l'orgasme, celle ci léchant goulument les gouttes de liqueur qui
s'échappaient du méat béant de Marilyn, tandis que marilyn gémissait. Les chirurgiens avaient
injectés du collagène à l'éxtrémité de son méat, formant comme deux petites lévres pulpeuses
sur une bouche entrouverte, qui attiraient les baisers.
Le résultat étant jugé plus que satisfaisant, les ébats furent interrompus et Marilyn retourna
chez Madame.
(A suivre ...)
Le Mur