silhouette d'Agnès, sa tortionnaire. De larges cernes violacées marquaient le visage
suppliant de Marilyn.
s'asseyant sur le lit, Agnès défit les boucles des sandales de Marilyn, la déchaussa et
lui ordonna de se mettre nue et à quatre pattes sur le lit. C'était l'inspection journalière
de son orifice anal, pour lequel Agnès enfilait de long gants en caoutchouc qu'elle enduisait
de vaseline. Agnès ferma son poing, se glissa derrière elle et lentement introduisit facilement
son poing, puis son avant bras et même un peu plus dans le ventre de Marilyn. Ayant pris soin
de baillonner la bouche de Marilyn avec son collant roulé en boule, elle n'entendait pas ses
protestation et ses mains et ses pieds étaient fixés aux montants du lit par des menottes,
agités de mouvements convulsifs.
Elle exerca pendant un long moment des mouvements de va et vient dans les entrailles de Marilyn
et cessa alors que les battements désespérés de ses pieds se calmèrent.
Elle enleva ses gants avec un air satisfait en regardant Marilyn dont les larmes coulaient
- C'est très bien Marilyn, nous y sommes presque. Ton corps réagit encore mieux que ce que l'on
espérait. Dés cet après midi tu pars à la clinique. Tu en as de la chance. Madame va retirer ton
spéculum, je te le reposerai après tes opérations. Si tu pouvais voir ta chatte, ria t'elle, tu serais
très étonnée. On est arrivées en six jours à 27 centimètres. A travers ta chatte, je peux presque
voir ton coeur. Tu es presque prete à recevoir Monsieur ! Bon on finira ca à ton retour.
Ce disant elle défit les liens de Marilyn et ota son baillon. Marilyn alors se laissa aller à ses pleurs
et s'assit pieds nus sue le bord du lit, prete à recevoir son nouveau lot de lingerie qui allait
la torturer à nouveau pour une journée entière, à moins qu'Agnès décide plus tard de changer encore pour des collants, une combinaison encore plus insupportables par le frottement qu'ils
procuraient sur son corps à vif, accentué par le déhanchement des très hauts talons
Agnès fixa la poitrine rouge vif de Marilyn, tendue droit devant elle, ses mamelons turgescents
dressés comme des petits penis de 3 centimètres, frôla les seins et saisit entre deux doigts de
chaque main les mamelons durcis. Elle ne serra pas mais cela fit crier Marilyn.
- Hum fit t'elle en retirant ses doigts, c'est vrai que ca a l'air sensible. Ce disant elle jeta un coup
d'oeil sur le pénis de Marilyn, qui malgré les manipulations désagréables sur son corps etait
toujours plaqué à la verticale contre son ventre, son gland noirc s'épanouissant toujours à la base
du capuchon de la sonde urétrale, son sexe libéré des collants ressemblant maintenant vraiment
à un champignon, son gland formant un large chapeau sur la tige fine de sa verge.
Anès lui tendit un porte jarretelle, des rose très clair, une culotte et un baby doll bleu tres clair, transparents et ornés de dentelle, ainsi qu'une paire de mules à pompons roses très hautes
et des remonte seins noirs.
Avec un soupir, Marilyn enfila ces sous vètéments, heureuse magré tout d'être libérée de la torture
des collants et du soutien gorge, se mordant seulement un peu les lèvres quand le baby doll effleura
ses seins.
Quand pour finir elle voulut enfiler le culotte, elle n'y arriva pas.
-Ah, je me suis trompée dit Agnès, avec ta coupe, tu as dû prendre au moins deux tailles.
Heureusement Monsieur a tout prévu. et elle sortit d'une commode une culotte taille 40
qui convint merveilleusement à Marilyn.
Puis les deux filles s'installèrent un long moment dans la salle de bains pour le maquillage prononcé
de Marilyn et ses différents traitements hormonaux.
- Madame veut te voir dans son bureau tout de suitet après dit Agnès, tant pis pour le déjeuner.
(A suivre ...)
fièvre pour Marilyn. De fortes bouffées de
chaleur lui montaient constamment au visage
et au bout du sixième jour elle supplia presque
Agnès de lui laisser porter des soutien
gorges plus grand. Elle passa en six jours
d'un petit 95A à un large 95 B !
Et encore, malgré qu'Agnès eut choisit pour
elle de ravissants soutien gorges en dentelle très
légers elle se plaignait dès le jour suivant qu'elle
ne pouvait plus les supporter.
Il semblait qu'Agnès prenait un malin plaisir à la
torturer, en lui présentant au coucher des dessous neufs du nylon et de la soie les plus fins
Ainsi elle ouvrait devant elle de nouvelles boîtes
de collants voiles repassés toujours plus fins que
Marilyn enfilait sans culotte avant d'enfiler une
nuisette neuve elle aussi, longue en voile et bien
sur elle aussi transparente. Et puis toujours des sandales à brides très fines ou des mules
toujours à talons très hauts. Et à ses
protestations Agnès répondait invariablement
qu'elle devait s'habituer aux désirs de Monsieur.
Ainsi Marilyn passait des nuits très agitées, se
tournant sans cesse dans le lit. Le frottement du
nylon sur le nylon la rendait folle.
Ses seins étaient turgescents et durs
ses tétains comme de petites verges dressées
Sa petite verge restait plaquées verticalement
contre son ventre et le diamètre de la gaine était
reduit de quelques millimètres chaque jour
Ainsi rendue folle par le frottement des collants
contre sa peau en feu et la nuisette, son petit
sexe n'avait d'autre issue que dans le gonflement
du gland. Or la sonde urétrale qu'elle portait
s'accompagnant d'un capuchon qui lui enserrait
le gland, il n'avait d'autre issue que de s'échapper
sous le capuchon formant ainsi comme la large
corolle d'un champignon, écrasés contre le
ventre de Marilyn par le nylon tendu des collants.
Si elle se mettait sur le dos, la béance de plus en plus large infligée sur son anus par le spéculum, excitée par les collants tendus était également insupportable.
Sombrant par séquences dans le sommeil elle en arrivait à réver aux grosses mains de Monsieur
sur ses seins, qui défaisaient les boucles de ses
sandales, qui la la libérait de la sonde, du
spéculum, qui rentrait complètement en elle ...
Et elle se réveillait, pour apercevoir sous ses l
longs cils fardés, Agnès, les bras chargés de
nouvelle lingerie, les yeux fixés sur
ses tétins et son sexe champignon,
gorgés d'un sang noir.
(A suivre ...)
La journée avait pourtant été exténuante, aprés la convocation de Madame.
Tout d'abord un énorme colis avait été livré pour elle, qui contenait énormément
de lingerie et des chaussures principalement à talons, des sandales, des mules,
des escarpins, toutes rivalisantes de féminité. Quelques paires de ballerines et de
talons plats, toutes plus mignonnes les unes que les autres. Aidée d'Agnès, les deux
jeunes filles rangèrent tout cela dans sa penderie, Agnès prenant l'une après l'autre
les fines culottes toutes transparentes, garnies de dentelles, s'exclamant à chaque
fois devant leur douceur et leur finesse. Les deux jeunes filles se rendirent compte que,
de même que les soutiens gorges, beaucoup étaient beaucoup trop larges pour Marilyn.
De la même façon, les nombreuses guépières et bodies.
Agnès, qui avait une poitrine plus développée que Marilyn, plaquait contre sa poitrine les
nombreux soutien gorges garnis de dentelles, transparents, parmes ou noirs et elles
pouffaient devant leur taille.
Marilyn rangea soigneusement, par couleur, par motif, les nombreuses paires de bas et de
collants du paquet, les deux filles s'extesiant devant leur finesse.
Un incident s'était produit alors que le gardien et son plus jeune fils déposaient le
paquet dans la chambre de Marilyn.
Le gardien devait avoir l'àge de la maison et sa vue n'était plus très bonne.
Son fils, par contre, était grand svelte et musclé. Petits enfants, Lui et Marilyn avaient
partagés leurs jeux. Il était très beau et avait de magnifiques yeux vert émeraude.
Les hommes n'étant jamais admis dans cette partie de la maison cela donnait une
tonalité particulière à leur venue.
Marilyn était toute réjouie à la vue de son ancien camarade de jeu, Madame ayant
décidé qu'ils ne se verraient plus quand il eut atteint l'age de la puberté et Marilyn
celui de la danse et des tutus.
Pierre baissait les yeux, occupé à manipuler la charge et à ne pas la regarder. Agnès
non plus ne le quittait pas des yeux, comme toutes les filles de la maison elle aimerait
bien être très ggentille avec lui.
Or il advint qu'un tournevis s'échappa de la poche du garçon. Toujours souriante,
Marilyn se précipita pour le ramasser. Bien malgré lui, le garçon vit alors son derrière
alors qu'elle sétait penchée.
Il vit le derrière de la superbe Marylin, à travers le voile d'une combinaison bleue brodée
qui lui arrivait aux chevilles, perchée sur de hautes mules argentées, portant un body
et des collants, il vit la raie de ses fesses aussi clairement que si elle avait été nue.
Il baissa la tête immédiatement, mais ses joues étaient devenues toutes rouges et il
émit un gargouillis quand elle déposa le tournevis dans sa main.
- Bonjour Pierre dit elle
Il releva alors brusquement la tête pour répondre et la regarda une fraction de seconde
dans les yeux
- Hum fit Agnes
- C'est bon messieurs nous allons pouvoir nous débrouiller seules maintenant
Et comme le garçon baissait de nouveau la tête et se retournait pour s'en aller, son
regard se posa sur le petit bijou que Marylin portait sur son ventre, le petit tube de
son pénis et la petite boule rose qui le surmontait. Il rougit encore violement
et son père le tirant par le bras, sortit.
- Hum fit de nouveau Agnes,
- Espérons que ca n'arrive pas trop souvent ou notre Pierre va succomber d'apoplexie
ce disant elle caressa les fesss de Marilyn à travers les voiles et celle ci se rendit compte
tout à coup de sa nudité qu'elle avait presque oubliée
- Oh fit elle
- Quelle honte, qu'est ce qu'il va croire. Et elle se mit à sangloter
Agnès alors s'approcha d'un coup devant elle et saisissant dans sa main les petites
olives de ses testicules et les tordant, asséna fermement
- Séchez tout de suite ces larmes, si cela vient aux oreilles de Madame, vous serez punie
et si cela vient aux oreilles de Monsieur ...
- Marilyn mit sa main aux longs ongles rouges devant sa bouche et s'interrompit
instantanément.
- Bon, dit Agnès il est l'heure de votre deuxième piqûre, suivez moi.
Et Marilyn, grimaçante, la suivit dans le chaloupement de ses hauts talons et des voiles
bleus de sa combinaison.
L'après midi fut consacré à la pose et au réglage du spéculum.
Malgré les objections de Marilyn, Agnès tourna et tourna la vis
qui en réglait l'écartement bien après que les grognements de Marilyn
se soient transformés en cris et en pleurs.
Ainsi cette nuit là, Marilyn ne put pas dormir.
Agnes la fit coucher nue sous un long déshabillé de voile noir,
et elle se tournait dans tous les sens pour échapper à la sensation intolérable
que le vent s'engouffrait en elle par l'ouverture béante de son anus.
De plus elle avait bien trop chaud, bien qu'elle fut pratiquement nue
Alors qu'elle l'aidait à retirer ses mules assise sur son lit, Agnès lui fit
observer qu'elle semblait avoir une érection, que cela était sans doute dû
au frottement du voile de son déshabillé sur son anus, sans mentionner les
piqûres dont d'ailleurs Marilyn ignorait la raison exacte, mais qu'il lui était
interdit de se caresser, ordre de Monsieur, qu'Agnès le saurait tout de suite
le lendemain en touchant ses draps de soie et qu'elle installerait dès le
lendemain le mécanisme de chasteté