bonjour je suis un homme de 49 ans et je suis de corpulence ronde
et j'ai fort desir de m'habiller en femme et je ne sait comment faire
de peur de me trouver completement ridicule
j'ai deja eu experience de m'habiller ainsi avec les vetements de ma mere
et je me trouvais plutot jolie et j'aime bcp les relations avec les hommes
aussi
et je me demande si c'est normal que ce desir de s'habiller en femme resort en ce moment
et est ce que je suis normale
Durant cette Pride, j'ai croisé une belle brune coquine, plus grande que moi certes (en même temps, elle avait des talons très très longs) et plus âgée, mais qui était tellement sublime (par respect pour son anonymat, je la nommerai par la première lettre de son prénom: P).
Avec P, on s'est bien entendu et nous avons fait toute la Pride ensemble, rien que tous les 2 (avec des amis à P. l'accompagnant): c'est la première fois en ce qui me concerne que je sortais dehors avec une femme comme elle, et je dois l'avouer, j'ai adoré.
Je me fichais totalement du regard des autres: il n'y avait que P. et moi. Pendant cette sortie, on dansait sur fond de musique techno-electro d'un des chars, on se faisait des smacks et on se tenait la main (ça m'a fait plaisir).
Vers la fin, alors qu'on continuait notre balade, nous nous sommes mis au beau milieu du monde qui continuait à danser et nous nous sommes embrassés langoureusement: j'ai tellement adoré. J'ai remercié P. pour ce baiser merveilleux et P. m'a remercié à son tour.
Un char avec les enceintes s'est posée près du Vieux-Port: nous étions juste à côté. P. a commencé à monter sur le char et je la suivis ensuite. On a continué à danser, à s'embrasser passionnément et, par un élan de passion, je l'ai prise dans mes bras et je l'ai soulevé.
A la fin de la Pride, nous sommes restés ensemble et nous nous sommes baladés le long des rues de Marseille: si on enlève le moment où une vieille nous a balancé de l'eau + du liquide vaisselle en marmonnant depuis son balcon, P. et moi avons passé une merveilleuse journée ensemble.
Je voulais encore rester avec elle, prendre un verre avec elle, passer la soirée, voir même la nuit à ses côtés, mais j'ai dû partir pour des raisons familiales. Alors nous nous sommes quittés avec un dernier baiser langoureux qui a duré plusieurs secondes.
Malgré cette période difficile à laquelle j'ai vécu, cette première sortie en extérieur avec une belle compagnie m'a fait du bien au moral: avec elle, j'ai pu apprécier cet instant.
Aujourd'hui, je désire sortir à nouveau dehors avec l'une d'entre vous: sortir boire un verre, passer une soirée ensemble à se tenir la main, à s'embrasser et plus encore. Bref: une sortie en duo, comme un petit couple (un couple entre amant et amante).
A certaines: j'espère sincèrement pouvoir vivre cet instant extérieur avec toi, avec l'une d'entre vous mesdames.
hiver 1985 je décide de passer le cap, ma première sortie en foret habillé bien évidemment en fille.
Je connaissais un endroit de rencontres pour les coquins dans la belle foret de Fontainebleau.Ce jour là j'avais choisi je mettre une petite jupette en jeans et des bas, pas de petite culotte , bottes et manteau de fourrure pour avoir bien chaud, malgré des températures négatives ce jour là.
je gare ma voiture sur le parking d'Apremont ( certain connaisse ) et je commence à m'introduire dans le sous bois tout en respectant une distance où l'on pourrais me voir.
Au bout d'un quart d'heure une voiture se gare à coté de la mienne, en descend un petit papy , et commence à se diriger vers moi .
Nous commençons une discussion un peu coquine, tout en s'approchant de moi je sens ses mains sur la dentelle de mes bas , mains chaudes et très agréable, mon clito commençais à prendre un petit de volume, par contre la température négative allait contre mon désir.
Il me demanda s'il pouvait aller pour loin dans sa recherche, d'un ouiiiiii je lui donnais cette autorisation, ses mains chaudes caressaient mes petites boules et d'un doigt je sentais une pénétration de ma rose ( tous les jours après mon bain je huile ma petite chatte toujours prête à recevoir un objet magique appelé sexe).
Nous avons partagé un long baiser chaud , humide , sensuel ....... et ses mains toujours sous ma jupes me donnant un plaisir obsessionnel. mon clito perlait de plaisir.
Et de nouveau , il me demanda encore une fois s'il pouvait encore plus moi, toujours d'un soupir et un signe de tête , seul lui pouvait décider de ce qu'il voulait , et là il s'agenouilla devant moi sa bouche et son souple chaud à hauteur de mon sexe, il me poussa violemment contre l’arbre qui était derrière moi, soulevant le peu de tissu de ma jupette, et enfourna mon clito en demi érection dans sa bouche chaude, je sais les succions et les va et vient très actifs de mon partenaire, se mains caressaient mes fesses de temps en temps un petit doigt venait pénétrer ma chatte.
J'avais toujours du mal à avoir une véritable érection , la salive de mon papy coulait sur mon entre cuisse , effet de froid désagréable, et lui ,il s'acharné sur mon petit bout de viande.
C’était terrible pour moi et pour lui aussi.
Alors il s’arrêta net et me proposa de finir se qu'il avait commencé chez lui, toujours d'un signe de tête et un long soupir validant sa volonté.
Nous sommes allés chez lui , au chaud blotti contre lui dans son lit , nous avons fait l'amour toute la nuit jusqu'au petit matin. i
Il a été mon amant pendant des années, et il est parti un jour d'hiver pour l'éternité
Voilà J "avais envie de vous faire partager le meilleur moment de ma vie
Bises les filles, je vous aime
Hélène
Mon corps change rapidement depuis qu'il
me fait prendre des hormones. J'ai de
fréquentes bouffées de chaleur et ma poitrine
gonflée tend la nuisette longue que je porte.
Il ne me fait plus de demandes mais je sais ce
qu'il veut. Quand j'enfile sur le bord du lit les
collants voile ultra fins, que je glisse mes pieds
dans les mules vertigineuses, que je rabat ma
nuisette sur mes attraits et que je me glisse sous
les draps, je vois ses yeux briller, découvrir ses dents carnivores, sa braguette bombée.
Trois fois, trois fois il éjaculera cette nuit
encore. Blotti contre moi, ses mains couvrent mes
seins gonflés. Il les caresse doucement à travers
le nylon en embrassant mon cou.
Son sexe tendu appuyé contre mes fesses je sens
son désir de moi. Je tremble comme une biche
prise dans les griffes d'un lion et sentant que je lui
appartient totalement.
Je sais qu'il guette les signes de mon abandon et
peu à peu ses tendres caresses me font gémir.
Sa main vient palper mon sexe à travers la
nuisette et les collants. Il le saisit et de son pouce
caresse doucement mon gland.
Quand il y détecte la moindre trace d'humidité,
c'est comme un signal pour lui.
Il lache mes seins, tourne mon visage contre le
sien et allongée sur le dos il me prend.
Ma nuisette relevée à demi, son gros
gland durci vient frapper mon collant à l'endroit
de l'anus. D'un coup de rein, il entre en moi.
Je gémis plus fort comme il me chevauche.
Mon sexe tendu sous le collant, ma liqueur de fille
s'écoule doucement, mes jambes gainées et mes pieds toujours chaussés enserrent sa taille.
Il éjacule bruyamment en moi et je soupire plus fort tandis que son sperme épais et brûlant remplit mon ventre.
Il s'assoupit, son sexe en moi, ses bras protecteurs m'entourent. Je m'endors moi aussi.
Le jour se lève à peine, son bras m'entoure
toujours. Je sens contre mes fesses humides son sexe qui se tend.
Je lui fais face, il me sourit. J'entoure son membre de ma main et le masturbe doucement.
Il m'embrasse. Je m'enfonce sous les draps et
prends son membre dans ma bouche.
Je léche comme une glace sa queue et ses couilles. A son tour de gémir. Entre mes doigts
son membre durcit encore, son gland gonfle encore et je glisse le bout de ma langue dans son urètre. Enfin je glisse un doigt dans son
anus. C'en est trop pour lui. Il se tend, se cambre et dans un ultime spasme remplit ma gorge de son foutre .
Instantanément il se redresse dans le lit et me découvre du drap. Il saisit mes petits pieds gainés
et se masturbe sur leur plante.
Rapidement il éjacule, recouvrant mon collant
du liquide visqueux. Il s'empare alors de mes
mules et m'en rechausse. Puis il me recouvre du drap et me laisse ainsi, pantelante, soumise, mon
corps de femme prèt à de nouveau assauts, mes seins tendus sous le voile, ma petite verge a demi tendue en arc sous le collant
Mes copains s'en apercevaient et se moquaient.
Un camelot vendant des vêtements sur le marché s'en est aperçu aussi.
Plein été, forte chaleur et clameur du public s'affairant autour des étals.
Il me propose un jean bien sympa à un prix parfait pour mes petits moyens.
Cabine d'essayage où il m'accompagne pour mettre des épingles dans le bas.
Sa main frôle ma braguette, tout mon corps frissonne, je ne m'éloigne pas, pourquoi ?
Le soleil mord la place du marché et les gens rient.
Il attire ma main jusqu'à son sexe qui palpitait dans mon dos.
Je le serre entre mes doigts, pourquoi ?
La rumeur est forte dehors.
Il passe son doigt que je sens mouillé par quelque chose sur mon anus.
Mes reins se cambrent, pourquoi ?
Des clients appellent et le soleil brûle.
Son sexe me brûle aussi tel un dard et il met sa main sur ma bouche tant la douleur est forte.
Je revins le samedi suivant pourquoi ?
Depuis quelques années déjà, je suis en discussion avec Bella, que ça soit sur ce site et ailleurs.
Le temps passait, mais le désir et l'attirance s'intensifiaient et le feeling commençait à être au rendez-vous. Alors, j'ai pris mon courage à 2 mains et j'ai proposé à Bella une rencontre pendant mon séjour à Rennes cet été, et ça tombait bien car elle a accepté vu qu'elle était présente.
Comment dire ? Sur les photos, elle est sublime. Mais en réel, elle est encore plus sublime en robe, en bas nylons et en talons rouge. Oui, elle est tellement belle en vrai et elle a vraiment un magnifique visage; à vrai dire, quelques jours avant, j'étais stressé par peur de ne pas lui plaire.
Mais au final, nos soirées passées ensemble étaient merveilleuses et torrides à souhait: on discutait de tout, on buvait du vin, on écoutait de la musique pour détendre l'atmosphère.
Et là, la tension coquine était à son apogée: j'ai adoré caresser + embrasser ses jambes et ses pieds recouverts de bas nylons, un pur plaisir (d'habitude, je ne suis pas vraiment fétichiste des pieds, mais j'ai bien apprécié l'instant), j'ai adoré embrasser tout son corps et j'ai adoré l'embrasser, tout comme j'ai adoré jouer avec elle passionnément et fougueusement pendant des heures.
Et ce plaisir était réciproque aussi puisqu'elle a apprécié ces moments.
Au final, sans rentrer dans les détails, pour laisser un peu de mystère, ce fût 2 soirées mémorables, complices et délicieuses pour elle comme pour moi. J'aurais aimé qu'on soit ensemble plus longtemps pendant mon séjour, mais c'est pas grave: avec Bella, on en a profité longuement et passionnément.
Et oui: ça valait le coup de faire plus de 1000km pour deux soirées avec cette merveilleuse Déesse.
Message pour Bella: merci encore pour cette superbe rencontre, j'ai hâte de te revoir et je ferai en sorte de revenir l'été prochain ;)
d'une dizaine d'hommes et de femmes.
Certains des hommes étaient élégamment vétus, d'autres en bottes et vètements de travail .
Les femmes portaient tailleur
et hauts talons.
Quand Marilyn se présenta en haut des marches
les discussions s'arrétèrent et tous les visages
se tournèrent vers elle. Les yeux s'agrandirent et
beaucoup restèrent la bouche ouverte.
Les joues de Marilyn étaient brûlantes. Ce n'était
pas seulement la gêne de tous ces regards
posés sur elle qui la détaillaient à travers ses voiles transparents :
Ses organes percés, ses magnifiques seins, sa
taille si fine, ses hanches larges, son petit pénis
dressé, ses petits testicules ...
Ce qui causait le feu des joues de
Marilyn, c'étaient aussi elle en était sûre, les deux
grosses piqûres que la servante lui avait fait, une
dans chaque fesse.
Matin et soir à partir de maintenant, ordre de
Monsieur dit-elle.
Monsieur était resté immobile la bouche
entrouverte comme les autres. Il se ressaisit
vite, sourit et tendit le bras vers Marilyn,
l'invitant à descendre le rejoindre.
Marilyn descendit les marches en chaloupant,
dans ses hautes mules.
A chaque pas elle sentait la caresse des collants
et du déshabillé sur ses testicules, le frottement de
la ficelle du string contre son anus.
Ses tétons étaient en feu, ils dardaient comme
jamais contre le voile du soutien gorge et
étaient à vif. En même temps malgré
sa honte, le frottement des collants, du string et
du déshabillé sur ses fesses la rendaient folle et
elle sentait sa petite verge durcir
et former un arc de cercle jusqu'à l'anneau de
son nombril .
Enfin elle fut aux côtés de Monsieur. Il sourit plus
fort.
- Je vois que ton nouveau traitement a
commençé dit il.
Ce disant et à la vue de tous qui regardaient il
glissa ses mains sous le déshabillé et le soutien
gorge
Il arracha un petit cri à Marilyn quand il referma
ses énormes mains sur ses seins et qu'il pressa
entre deux doigts ses mamelons à vif. Il prit sa
bouche et plaquée contre lui, elle sentit sa verge
se tendre à lui faire mal tandis que son gland
faisait mine d'avaler l'énorme cabochon dont il
était paré et que son anus semblait aspirer
string, collants et déshabillé.
Comme Monsieur avait avancé une jambe entre
ses cuisses, elle gémissait sans honte et ne
comprenait pas ce qui lui arrivait
- Je vois que ton nouveau traitement a
commencé sourit Monsieur
Ce disant, il glissa une main sur ses fesses sous
les collants.
Toujours gémissante, Marilyn posa les mains
sur les épaules de Monsieur tandis qu'il
introduisait le doigt profondément dans son anus.
Elle était arc-boutée dans ses mules, totalement
soumise au plaisir, insouciante de tous les
regards braqués sur elle.
- Il est temps que je te fasse visiter ma chérie, dit
il enfin.
Marilyn avait conscience que tous les regards
étaient braqués sur elle, sur sa verge bandée en
arc, sur ses seins gonflés pointant droit devant
elle, leurs tétons turgescents trouant les voiles,
sur ses fesses rebondies que la main de
Monsieur pénétrait profondément
Elle marchait à côté de Monsieur, sa démarche
chaloupante, serrant les lèvres comme elle sentait
l'excitation monter en elle. Elle sentait sa liqueur
inonder la main de Monsieur plongée en elle, le
frottement des collants sur sa peau et la caresse
du déshabillé étaient difficilement supportables.
S'appuyant sur l'épaule de Monsieur, elle
gémissait des non non et oui oui dans son oreille
- Regarde Marilyn, dit Monsieur comme ils arrivaient devant un vaste enclos
- je te présente Hector, tu lui dois beaucoup.
Ce disant il désignait un gigantesque verrat, qu'un
homme tenait tant bien que mal par une corde
reliée à un gros anneau qui lui traversait la truffe.
- Vois tu continua Monsieur, sa main renforçant
davantage son étreinte sur l'anus ruisselant de
Marilyn,
- Hector, en plus d'être un amant insatiable,
dispose de réserves presque inépuisables.
Montrez lui, ordonna t'il à l'homme qui tenait le
cochon
Celui ci obligea l'animal à montrer sa croupe et
son flanc.
Alors Marilyn vit ses deux monumentales
testicules. Elle fit un
- Oh
de surprise alors que les autres femmes
présentes pouffaient
- Allez approche toi dit Monsieur en tirant Marilyn
vers l'animal.
Il lui fit soupeser les énormes sacs dont était
affublé l'animal. Ils étaient chauds et très lourds
Marilyn rougit comme elle sentit frémir la bête.
- Tu vas assister à une fausse saillie continua t'il
- C'est obligatoire sinon les couilles du pauvre
Hector éclateraient
Toute l'assistance rit
- Allez y ordonna Monsieur au palefrenier
- Et regarde bien ca te servira certainement
Marilyn ne comprit pas ce qu'il voulait dire mais
le palefrenier guida l'énorme porc vers une
espèce de cheval d'arçon en métal creux.
Celui ci se hissa sur les pattes de derrière sur
l'engin. Ses énormes testicules ballotaient.
Le palefrenier plaça sous le bas-ventre de
l'animal un grand seau de métal et saisit l'organe
qui lui servait de pénis, très fin et tire-bouchonné
- Allez marilyn va aider le pauvre Hector
dit Monsieur en retirant sa main de l'anus de
Marilyn et l'essuyant sur le déshabillé
Le visage de Marilyn était écarlate comme elle
regardait les énormes appendices comme
fascinée
L'animal hissé sur l'appareil bougeait
maladroitement.
- Tu lui lèche les couilles comme tu sais si bien
le faire
Reprit Monsieur déchainant l'hilarité chez les
dames.
Marilyn s'agenouilla derrière l'animal. Le palefrenier resta la bouche ouverte devant
l'apparition de cette fille superbe a genou.
Les cuisses écartées dévoilaient la petite verge
tendue en demi cercle sous les collants, les petits
pieds délicieusement gainés et parés dans les mules.
Plaçant ses paumes en coupelle sous les énormes
testicules Marilyn approcha son visage. La bête
rapprocha ses pattes de derrière afin d'éteindre
plus étroitement le mécanisme et son souffle
bruyant s'accéléra.
Quand Marylin commenca à lui lécher doucement
les couilles, le verrat se mit à grogner et son
corps fut pris d'une agitation frénétique
Le choc du corps de l'énorme bête contre la
structure métallique résonna très longtemps.
Monsieur s'était plaçé derrière Marilyn et lui
malaxait les seins et les tétons.
Le palefrenier avait fixé l'anneau du mufle
maintenant la tête de l'animal bavant redressée
et d'une main guidait l'étrange verge vers le seau
Enfin le verrat se crispa et un jet sonore s'écrasa
contre les parois du seau. Marilyn se redressa,
alors que Monsieur lui tenant toujours un
mamelon, son autre main se glissa sous ses collants, détache la petite verge et caressa les
petits testicules.
Comme une machine qui ne s'arrète plus une fois
démarrée, le verrat dechargait par à coups sa semence dans le seau.
Quand le palefrenier se releva, le seau était
presque plein.
- Donnez en un verre à Marilyn dit Monsieur,
elle l'a bien mérité
Alors que les femmes présentes prenaient un
air dégoûté, le palefrenier présenta à Marilyn un
verre rempli de l'épais liquide blanchâtre.
Marilyn était affolée de désir. Ses mamelons
étaient brulants, ses seins gonflés, sa petite
verge libérée pointait horizontalement sous les
collant. Monsieur libéra son sein et écartant la
ficelle du string, rentra le poing dans son anus
trempé.
Marilyn cria, sa liqueur inonda le poing de
Monsieur, le gros cabochon de son gland sembla
disparaître dans son urêtre, elle était debout dans
ses mules, les hommes présents la
contemplaient ébahis, déesse prisonnière
exhibant sa féminité parée de ses multiples
anneaux d'esclave sexuelle et les femmes la
regardaient avec envie
Elle aurait voulu dire non à ce verre tendu vers
elle. Monsieur accentua sa pression. Ses
collants étaient trempés. Elle tendit ses mains
tremblantes et saisit le verre.
Quand le verre fut vide, qu'elle eut avalé le liquide
épais et brûlant, Monsieur, la libéra et
s'essuyant de nouveau les mains sur son collant,
s'exclama :
- Viens chérie, je vais te présenter à Hermes
mon étalon favori.
(A suivre ...) Carole le Vice alias Lilileet
Le 10 Juin 2021
grand lit de sa chambre. Elle toucha son anus, à part les anneaux qui l'entouraient tout allait bien.
Elle toucha son pénis, à part l'anneau de son gland et ceux de ses testicules rien d'anormal la
non plus.
Elle se demanda si elle n'avait pas révé. Dans son rêve elle était suspendue nue par des chaines
et Monsieur l'avait prise pendant des heures Elle relacha la pression qu'elle exerçait sur sa
voluptueuse poitrine et s'allongea sur le côté.
Les anneaux de ses seins brillaient dans le soleil.Paulette apparut devant elle, le regard neutre.
La servante portait une jupette noire beaucoup plus courte que la fois précédente.
Sous le léger corsage pointaient ses petits seins nus . Elle était chaussée de mules noires à petits
talons et portait des bas voile fumé dont les jarretelles ornées de rubans étaient attachés à la
culotte.
La culotte étant transparente ne cachait rien de son intimité et Marilyn baissa les yeux quand
ils croisèrent la paille qui saillait horizontalement.
- Nous devons nous préparer madame dit Paulette d'une voix qui parut terne à Marilyn.
- Monsieur vous attend pour la visite du parc
Et elle trotta jusqu'à la salle de bains sans plus attendre.
Bientôt Marilyn fut baignée, maquillée, ses ongles faits.
Marilyn aurait voulut choisir ce qu'elle allait porter, peut étre des leggings, un crop top qui mettrait
en valeur sa poitrine et des sandales très hautes qui la cambreraient et feraient ressortir ses fesses.
La servante s'éloigna vers les penderies en trottant sur ses mules. La jupette trop courte dévoilait
sa culotte, la large tâche sur ses fesses à l'endroit de son anus largement distendu trahissant une sodomie très récente.
La lingerie qu'elle présenta à Marilyn était encore emballée.
La servante fit enfiler à Marilyn un large string en tulle à pois noirs. elle recouvrit soigneusement
les petits testicules et la fine verge, laissant dépasser son gland disproportionné, l'anneau
qui le perçait et de chaque côté de la verge, les anneaux qui perçaient les testicules.
Le petit noeud de la culotte reposait sur le frein du pénis.
Elle positionna la ficelle du string profondément dans ses fesses et le remonta
haut sur les hanches.
Le top en tulle noire à gros pois noirs également, consistait en un soutien gorge à armatures qui se
fxait dans le dos et autour du cou, couvrant de sa fine résille le haut du torse de Marilyn.
Marilyn reposa chacun de ses seins voluptueux dans le filet.
Les larges anneaux de ses tetons étaient
plaqués contre la tulle.
Puis la servante lui présenta un très fin collant voile plumetis repassé gris souris . Marilyn l'enfila
en plaçant soigneusement la marque plus fonçée des orteils et des talons, l'étirant sur ses jambes,
plaquant le gousset sur ses testicules et ses fesses et le tirant sur son ventre.
La servante fit courir ses doigts le long des fesses de Marilyn, glissant la couture du collant
profondément entre les fesses de Marilyn, positionnant les anneaux de son anus géométriquement,
à plat de part et d'autre
Se plaçant devant Marilyn et glissant sa main sous le collant, elle disposa également à plat de part
et d'autre de sa verge les anneaux de ses testicules.
Elle relia l'anneau de son gland à son nombril, sortit d'un écrin à bijoux un gros cabochon orné
d'une amethyste qu'elle inséra sans difficulté dans son urètre et retendit le collant sur le ventre
de Marilyn.
Les ficelles tendues de son string sur ses hanches
dépassaient largement au dessus de la ceinture
des collants
Un nouveau passage aux penderies, les talons
des mules de la servante qui claquaient sur le
sol et elle présenta à Marilyn un très long
déshabillé bleu gris en voile de nylon, retenu
à la taille par une ceinture de soie grise.
La servante lui demanda de s'asseoir sur le lit
pendant qu'elle allait chercher les chaussures.
S'agenouillant au pieds de Marilyn, la servante
sortit les chaussures de leur boite.
C'est à nouveau des mules très fines que la
servante lui enfila.
En cuir laqué vert, les fines lanières croisées des mules laissaient les doigts
de pieds ornés de bagues de Marilyn découverts. La marque légèrement plus ombrée
des collants à cet endroit masquait à peine le
rouge vif des ongles.
Les talons aiguilles très hauts étaient dorés. Marilyn se regarda dans la glace. Le déshabillé
couvrait ses chevilles fines. L'anneau de son nez, ceux de ses lèvres brillaient.
Elle voulut se passer la langue sur les lèvres, sentit le gros clou qui la traversait.
Et elle eut l'image de l'énorme sexe de Monsieur dans sa bouche, de son sperme épais qui coulait
dans sa gorge. Elle avait très faim.
- Vous êtes fabuleuse, irrésistible
ne pu s'empécher de s'exclamer la servante.
Marilyn se dit que Monsieur avait fait d'elle une catin, sa catin et elle ne trouvait pas juste de se
retrouvera ainsidans le parc, livrée à la convoitise
du regard des hommes, alors que surement les
autres femmes dehors seraient plus habillées
- Il faut y aller
insista la servante
- Monsieur doit attendre
(A Suivre ...) Carole le Vice alias Lilileet Le 1er Juin 2021