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Jane78000

Je l'avais rencontré sur un site du même genre que celui-ci, et le courant était tout de suite bien passé entre nous. Il aimait mes photos erotiques et partageait mes envies, moi j'appréciais une drague discrète et non intrusive, ca me changeais des "Cc" ou "T dispo" ou "suce moi s*lope"...


Assez vite on a convenu de se rencontrer, à son hôtel, quand il serait en déplacement en region parisienne. Comme je ne me sentais pas capable de traverser un hall d'hôtel en femme, on a convenu qu'à mon arrivée j'irai directement dans la salle de bain pour me changer. Je me suis donc changée assez vite car j'étais déjà en femme sous mes habits masculins : je n'ai eu qu'à les retirer et à mettre escarpins et prerruque pour être prête...


Quand je suis rentrée dans la chambre j'ai vu son regard s'allumer et le mien pareil car il était bel homme.


On s'est assis cote à cote sur le lit, il m'a servi un verre, et on a bavardé un peu. Assez vite il m'a caressé les jambes et sa main s'est faufilée sous ma jupe, puis au dessus de mes bas, puis... J'étais terriblement excitée sous ses caresses de plus en plus précises


Puis avec douceur il a posé ses lèvres sur les mienne... La je me suis sentie femme comme jamais et je lui ai rendu son baiser... C'était la 1ere fois de ma vie que j'embrassais un homme !


Ensuite j'ai dégrafé son pantalon et vu apparaitre un beau sexe prenant de l'ampleur et de la raideur. Bien que ce ne soit pas trop mon truc avec un homme je l'ai spontanément pris en bouche et doucement caressé avec ma langue pour le rendre pleinement opérationnel


Puis il m'a retiré ma jupe et ma culotte, m'a fait mettre a 4 pattes sur le lit, a mis un préservatif et... m'a pénétrée de toute sa longueur... C'était trop bon j'en gémissais de plaisir.


Ensuite il m'a fait changer de position et m'a reprise et encore, et encore... Tout le répertoire y est passé : à 4 pattes, en levrette, courbée sur une table, à genoux sur une chaise, couchée sur le dos, couchée sur le ventre... et j'en oublie ! J'ai joui comme jamais...


J'ai fait pas mal de rencontres depuis mais jamais aussi intenses que cette presque première fois...
Jane78000 Fév 26 · Commentaires: 2
Sophie101

Profitant d’un voyage professionnel d’une semaine sur Lyon, et comme j’en avais l’habitude, j’en profitai pour me travestir seule dans ma chambre d’hôtel. Être marié et aimer se travestir est compliqué et nécessite une organisation pour pouvoir vivre mon fantasme secret.

En navigant sur le web, j’avais vu qu’une soirée « Travestis » était organisée, le jeudi soir, dans un club échangisme, qui par hasard se trouvait non loin de mon hôtel. L’envie d’y aller était grande, mais je savais que je n’oserai jamais m’y rendre. Surtout que l’entrée était réservé aux travesties, et aux autres membres. N’étant pas membre, cela m’obligeait de me rendre à cette adresse en travesti, chose que je n’avais jamais faite, et n’oserai jamais.

Idéalement, j’étais prête à aller à cette soirée, mais en homme et de pouvoir me travestir, une fois arrivé sur place.

L’envie d’aller plus loin dans mon fantasme secret, me fit téléphoner à ce club pour me renseigner.

Je téléphonais donc et tomba sur un homme à qui je demandais si il était possible de venir à cette soirée en homme et que je puisse me travestir à mon arrivée à l’intérieur du club. Il me répondit que c’était envisageable, si j’avais une tenue correcte, et que par contre je devrais payer le prix d’entrée « homme seul » et non pas l’entrée gratuite pour les travestis.

J’étais donc renseignée et donc maintenant à moi de me décider de franchir le pas ou non !

Le jeudi soir arriva, je rentrais à mon hôtel après ma journée de travail et décidais de me rendre à cette soirée. C’était à partir de 22 Heures, j’avais le temps de me préparer.

Je décidais de parfaire mon épilation, et de déjà mettre mes sous-vêtements féminins, guêpière, bas et string dentelle, sous mes vêtements d’homme. Je pris mon petit sac de travail, dans lequel je mis ma perruque, talons, trousse a maquillage, robe… bref tout ce qui me permettrai de terminer mon travestissement une fois arrivée la bas.

L’heure d’y aller arriva, je quittais l’hôtel, pris un taxi et arriva devant le club. Je me présentai à l’entrée, payais mon ticket d’entrée en expliquant, l’échange téléphonique que j’avais eu. On me confirma que je pouvais me rendre dans une salle « vestiaire «  pour me changer.

Je fus rassurer en entrant dans cette pièce, de trouver une autre personne dans ma situation, elle aussi en train de s’habiller. J’engageai la conversation et expliquai à cette personne que c’était une première pour moi et que son aide surtout pour me maquiller me serait extrêmement agréable. Sympathiquement, elle m’aida à me maquiller, et même me verni les ongles… J’enfilai ma petite robe noire laissant apparaitre mes bas, je chaussais mes talons 10 cm. Je me regardai dans la glace… humm je me trouvais assez présentable, et crédible.

J’étais donc un peu plus rassurée et moins stressée ayant pu me faire déjà une amie.

J’entrai donc dans l’espace Club, et me dirigea directement dans un coin du bar. Celle qui m’avais aidé, elle partit danser sur la piste et étant une habituée se retrouva rapidement avec son groupe d’amis. Je restais seule, mais ce n’était pas grave, j’avais franchis le pas, j’y étais !

Je restais un bon moment seule dans mon coin de bar à boire mon verre, je faisais un peu tapisserie.

Finalement, un homme de bonne éducation vint vers moi me demander si nous pouvions échanger et boire un verre ensemble. Je répondis bien sur oui, et lui expliqua rapidement ma situation de travesti secrète et débutante. Que c’était ma première fois en public, etc…

Il était très prévenant et compréhensif. Il avait environ la cinquantaine, il était divorcé et habitait Lyon.

Après quelques minutes passés à échanger, il m’invita à aller sur la piste de danse avec lui. J’hésitai lui expliquant, que je n’avais pas trop l’habitude de porter des talons hauts et que je n’étais pas très à l’aise. Il m’invita alors à danser un slow, avec lui.

« Cette danse est lente et je vous tiendrai ! « me dit-il.

J’acceptai et me retrouvais collée à lui, sur la piste de danse. C’était très agréable. Très rapidement je senti qu’il était en érection, je sentais son sexe gonflé contre moi… sensation agréable et un peu affolante.

« Je vois que je vous fais de l’effet », lui dis-je !

« Oui, je vous l’ai dit, j’aime la femme telle que vous et votre côté débutante me plait beaucoup ! »

Il approcha son visage de moi pour m’embrasser, je me refusai. Il m’embrassa alors dans le cou, tendrement et lécha mon lob d’oreille…

Je me laissai faire, c’était excitant, tellement excitant que c’est moi qui pris l’initiative de l’embrasser sur la bouche en y mettant la langue. Il répondit à cela e m’embrassant fougueusement et en caressant mon corps.

Humm, j’étais une vraie femme entre ces bras.

Le slow se termina et il m’entraina sur un canapé dans un petit recoin du club. Nous discutions, échangions des baisers, et des caresses. Ma main caressa plusieurs fois son sexe à travers son pantalon, j’aimais la situation.

Il me dit que je pouvais aller plus loin, si je le souhaitai. J’ouvris donc sa braguette et glissa ma main aux ongles peint rouge carmin, a l’intérieur de son pantalon et commençai à caresser son sexe…

J’adorai, et il se laissait faire en poussant quelques gémissements. Son sexe se tendait et durcissait, j’avais envie d’aller encore plus loin et je le voyais lui aussi.

Nous étions dans un Club échangiste, le lieu le tolérait… je sorti son sexe et approcha ma bouche pour commencer à le lécher, puis sucer.

Ma main montait et descendait le long de cette verge tendue, ma bouche suivait le mouvement, léchant, aspirant, suçant… Je m’appliquais au mieux afin de ne pas le décevoir.

Mon compagnon appréciait me félicitant pour mon «  savoir-faire »

Humm ! J’adorai la situation, j’étais travesti, en train de m’occuper d’un homme en public.

Au bout d’un moment, il prit ma tête entre ses mains, m’embrassât fougueusement et me proposa :

Je n’habite pas très loin, voudrais tu venir boire un verre chez moi ?

Je répondis oui, sur le principe, mais lui fit part de mon inquiétude de sortir a l’extérieur dans la rue, travestie ! Même si il était minuit, je ne sais pas si j’oserai.

Il me rassura, sa voiture était stationnée tout près et il serait à côté de moi ! J’appréciai sa gentillesse et son coté gentlemen rassurant ! Je pris mon courage à deux mains et le suivi.

Je marchais pour la première fois dans la rue au bras d’un homme, ma démarche n’était pas très sure, 10 cm de talon oblige. Je me retrouvai a côté de lui dans sa voiture et ne pu m’empêcher de caresser son sexe en roulant, il appréciait !

Arrivé chez lui, il m’offrit un verre, assis dans son salon, il commença à me caresser et me déshabiller. Je me retrouvai rapidement, en guêpière, bas et talons devant lui. Il ôta mon string

Il caressait mon clitoris pendant que ma bouche avait retrouvé son sexe, et je me régalais.

Je l’entendis me dire, j’ai envie de toi Sophie !

Cette phrase que j’attendais, m’affola un petit peu, mais je lui avais avoué que je n’avais jamais été sodomisée, et il était très prévenant et rassurant.

Il m’entraina dans sa chambre et me coucha sur le lit, il me caressa longuement, puis pris du gel lubrifiant et commença à me caresser et doigter délicatement. Il m’embrassait dans le cou, je sentais son souffle sur ma nuque, il était très délicat, je me laissais faire et gémissais.

Il me fit mettre à quatre patte et je le senti ce sexe que j’avais longuement sucé venir derrière moi, je senti son gland se poser à l’entrée da ma chatte, et par pression douce et lente me pénétrer. Son sexe entra lentement en moi, j’étais dilatée, en confiance, il me pénétra totalement. J’étais prise, pénétrée, et ses vas et viens devenaient source de plaisirs.

Il caressait mon sexe qui restait tout petit tel un clitoris, en même temps, la sensation d’être femme était totale.

Je l’entendis et senti jouir en moi…. Son sexe gonfla et je senti les jets de son jus gicler en moi.

Je me retournai et l’embrassai goulument avant, de lui ôter son préservatif et de prendre son sexe dégoulinant dans la bouche et de me régaler …

Je quittais mon ôte ½ heure plus tard et rentrai (en homme) a mon hôtel, encore excitée de cette belle soirée.

Sophie101 Nov 12 '23 · Voter: 5 · Commentaires: 3
lilileet
Ce matin là, je trouvais une pile d'habits préparés sur ma chaise.

Mon amie s'était levé tôt et ca sentait bon le café.

j'écartais le drap, contemplais mes ongles de pieds rouge très vif qu'elle avait fait la veille ainsi que ceux des mains alors que simultanément je m'occupais des siens. 

C'était rare  qu'elle s'occupe de mes ongles. 

Heureuse, me sentant belle, je m'étirais longuement et ma nuisette  de nylon suivait les mouvements de mon corps.

Je regardai en transparence les bourgeons de seins, mes hanches qui s'élargissaient et mes fesses qui semblaient s'arrondir. J'étais nue sous le voile et ma fine verge paresseuse s'étendait mollement sur mon estomac.  

Je la saisis à travers le nylon tout en essayant de  me souvenir de la  dernière érection véritable que j'avais eue.

Mon amie semblait se contenter de ce que j'avais à lui offrir et embrassait tendrement mon gland tout rose quand  je lui avais donné du plaisir avec  ma langue et mes  caresses et que quelques gouttes liquides s'échappaient de mon sexe, tenant lieu d'éjaculation.

Les fins anneaux qu'elle avait disposé sur mon sexe, un à travers l'urètre, plusieurs sur le frein de mon gland et d'autres sur mes testicules, brillaient dans la lumière du matin.


Je m'assis sur le rebord du lit et enfilais mes mules à talon. 


Ma toilette était beaucoup plus longue dorénavant. 

Elle accordait beaucoup d'importance à mes soins intimes, j'utilisais une multitude de crèmes pour 

rendre ma peau plus douce. 

Dans les premiers temps elle avait pris un soin maladif à briquer la rose  de mon anus, si bien qu'effectivement celui ci était devenu tout rose et étrangement sensible, comme l'étaient mes tétons

turgescents. Ainsi J' y appliquais consciencieusement les pommades, y prenant de  plus en plus plaisir.

Elle m'avait donné la veille un paquet de serviettes hygiéniques et de tampons en m'en expliquant l'usage. J'avais déjà porté des serviettes lors des saignements provoqués par la pose des anneaux mais cela avait été anecdotique. 

Malgré tout je n'en voyais pas l'usage me concernant et avait suivi distraitement ces explications. 

Je pourrai porter les serviettes discrètement sous la culotte mais si j'étais amenée à ne pas en porter, les tampons devenaient très utiles. Certains hommes étaient très grands,  énormes me dit elle en me prenant la main et me regardant dans les yeux  intensément.


J'accordais un soin particulier à mon maquillage ce jour là et coiffais longuement mes longs cheveux roux. Le roux n'était pas ma  couleur naturelle, mais depuis que mes cheveux avaient poussé, elle me faisait régulièrement coiffer  et teindre. Le petit triangle de mon pubis était également teint pour que l'illusion soit parfaite.


Sur la chaise, je saisis la culotte affolante et le soutien gorge  assorti. La culotte, très bouffante et élastique, pouvait s'appliquer à des fesses largement plus grosses que les miennes et le soutien gorge bonnet D, garni de la même dentelle que la culotte, était conçu pour une poitrine largement plus généreuse que mes pauvres petits seins. 


Je les enfilais magré tout, y voyant une facétie de mon amie qui venait de faire refaire les seins.

C'était maintenant la parfaite bimbo, une poupée sexuelle. 

En plus de ses nouveaux seins bonnet D, au cours des derniers mois elle avait eu une opération de lipofilling qui lui avait donné une croupe plus que généreuse, accentuant la finesse de sa taille.


Sa taille si fine elle la devait aussi à l'ablation de sa dernière paire de côtes et le port intensif de corsets


Lorsqu'elle prenait mon sexe entre ses lèvres, je ressentais leur gonflement exagéré et le froid des clous qui traversaient sa langue.

En inconditionnelle du piercing, ses tétons étaient ornés de bijoux et de délicats anneaux ornaient le contour de sa vulve dont l'un sur le capuchon de son clitoris. 


 Puis j'enfilais avec un soupir d'aise les fins collants Golden Lady gris souris, la robe pull verte aux genoux,  ajustai la large ceinture de cuir noir et enfilai les mules rouges à talons très hauts. 

Ces mules lui appartenaient, j'étais émue que pour la première fois elle me les fit porter 


Ainsi parée et me déplaçant maladroitement dans ces talons vertigineux, je me  rassis au bord du lit

et ajustait les collants sur le bout de mes pieds ainsi qu'elle me l'avait appris, la  couture visible et appliquée juste sur les bout des orteils et la pointe renforcée légèrement plus  sombre les couvrant parfaitement. 

Les  hommes sont attentifs à ce genre de détails chez une femme, ils adorent disait-elle.


Puis je la retrouvais buvant sa tasse de café, prête déjà. 

Sa vue me  causa un choc 


(A suivre ...) 

lilileet Mai 20 '23 · Voter: 5
lilileet
Je soupçonnais que mon amie ne me considérait plus comme un mâle, comme son amant,

mais comme une amie, comme sa maîtresse.

Je ne savais plus exactement quand ca avait commencé, peut être quand elle m'avait dit qu'elle

préférait que je la fasse jouir avec ma langue ? Ou quand elle m'avait interdit d'éjaculer en elle ?

Ou quand  elle avait commencé à s'occuper activement de mon corps, de ce que je portais ?

Je l'avais accompagné chez l'esthéticienne, ma pilosité avait disparue complétement disparu après 

les séances laser, me laissant juste le petit triangle du pubis. A mon grand embarras, l'anus aussi fit

partie du traitement.

Et puis elle changea complètement ma garde robe,   les chemises devinrent de plus en plus légères et

colorées, les manches bouffantes, les pantalons élastiques très moulants et très fins, les chaussettes

furent remplacées par des socquettes transparentes de fille en nylon et les chaussures des ballerines 

ornées de petits nœuds. Cela fut complété par des parkas et vestes unisexes

Enfin elle demanda à sa coiffeuse de me faire pour l'instant une coupe garçonne - ce qui aurait du m'alerter finalement -


Nos ébats sexuels devenaient de plus en plus rare et j'étais sujet à une anxiété dont je ne comprenais pas vraiment la cause. Dans  le même temps je sentais bien que le regard de mes collègues vis à vis  de moi  changeaient, les hommes semblaient gênés. A mon approche les discussions s' arrêtaient et les femmes me dévisageaient curieusement.

Après en avoir fait part à mon amie, celle ci me fit prendre des pilules recommandées par son

médecin. En effet, après plusieurs semaines de ce traitement, mes angoisses disparurent.


Dans le même temps, nos jeux avaient changés. Je ressentais moins le besoin d'éjaculer et avais davantage  le souci de son  plaisir. C'est ainsi qu'elle me présenta un  jour un de ses déshabillé, une

guêpière, des bas  et des mules haut talons. Nous faisions la même taille et approximativement la

même pointure ce qui facilita les choses. Devant ma  gêne et mon rire gêné, elle ris à son tour

et m'aida à tout enfiler.

Je rougis car mon pénis qui depuis quelque temps restait léthargique, prit instantanément une position verticale de garde à vous.


Ainsi se passèrent plusieurs mois, peut être un an, je prenais de plus en plus de plaisir à nos jeux

travesti , moi lui offrant du plaisir avec mes caresses et ma langue et elle me masturbant de ses doigts ou de sa bouche.


Mais dans le même temps, je notais que mes érections devenaient moins fermes, au point que souvent je n'éjaculais pas alors qu'elle avait de bruyants orgasmes. J'avais pris un peu de poids ce qu'elle me reprochaient et ma poitrine semblait gonfler légèrement. 

-Aïe, faisais-je quand elle pinçait mes tétons.

Il n'était plus question que je la pénètre bien sur, mes maigres tentatives en ce sens étaient immédiatement repoussées. Au contraire ma masse musculaire diminuant, elle me renversait sans mal, écartait les collants ou la culotte que je  portais et, insérant un doigt dans mon anus, m'amenait sans peine au plaisir.


Et puis elle décida qu'il serait mieux  que je sois toujours habillée en femme quand j'étais à la maison. Ainsi progressivement elle me refit une garde robe complète.

 

J'allais de moins en moins à mon travail, souvent je gardais sur moi mes vêtements féminins.

Ainsi un jour, j'y portai un body dentelle, une jupe crayon au genou, des bas chair à  couture et des escarpins à talon très dénudés. 

Ce fut la dernière fois que je m'y rendis, alors que les hommes devenaient pressants et les femmes souriantes.


Peu de temps après, elle m'annonça que nous  irions faire du shopping entre filles le lendemain.

Je n'en fut pas  choquée


(A suivre ...)

lilileet Mai 18 '23 · Voter: 5
Corinne026

Tous les matins, à chaque fois que je m’habille, l’éternelle question du port et du choix de la petite culotte se pose…Je ne sais jamais si je vais être punie parce que j’en porte une ou au contraire parce que j’en ai pas !

 

Cependant, je trouve très agréable de me la faire arracher, quand mon Maître décide de me violer ou alors, après avoir reçu une fessée cul nu, d’être mise au coin, la culotte descendue jusqu’au genoux pour une humiliation supplémentaire.

 

Mais quel bonheur aussi de sortir sans, les fesses libres sous une petite jupe qui vole au vent avec en permanence le sentiment de décadence et la honte d’être vue. De subir les mains baladeuses de son Maître en public et son envie perverse de vérifier les traces de la cravache qu’il vous a administré pour avoir voulu en mettre une…


C'est plutot joli de préferer une cage de chasteté et un plug sous sa mini-jupe !

 

Corinne026 Avr 12 '23 · Voter: 4.25 · Commentaires: 1 · Tags: exhibition
irenenylon
Hmmm suite de la premiere fois

Le lendemain il etait tout gene. Pendant quelques temps on se vit plus rarement. Je me caressais en pensant a cet episode , c'etait delicieux pendant quelques mois il ne se passa rien et nous faisions comme si de rien n'etait.

Pourtant ce n'etait pas fini loin de la..Un samedi soir ou nous rentrions de boite nous discutions et il me dit qu'il y avait una salope qui l'avait allume et laisse en plan. puis le sujet devia. Mes parents etaient partis en week end. Tandis que nous roulions il essayait de me reparler maladroitement de cet apres midi brulant

J'eludai les questions mais je sentais mon clitoris durcir de plus en plus. J'essayai d'evacuer les idees et l'image
de son gros sexe frottant mon visage mais mon clitoris me disait le contraire. Tandis qu'il en parlait ma maincomme si elle etait dotee d'une vie autonome s'est egarée sur sa braguette. rien de dur mais en 30 secondes je sentis une barre d'acier qui se dessinait sur son pantalon je le massai doucement... il gemissait puis tourna brusquement dans un chemin et arreta la voiture. Un silence de plomb regnait dans la voiture.Nous n'entendions que mes doigts qui griffaient son pantalon. je deboutonnai la ceinture descendit la braguette, et decouvrit son sexe en baissant le devant de son slip il etait enorme brulant. Le prepuce etait a moitie tire et son gland etait humide et chaud. Sans une parole je le caressai doucement .Il soufflait fort et bruyamment je ralentissais le mouvement quand je sentais des spasmes puis reaccelerais ca dura une bonne dizaine de minutes. puis soudain il ouvrit la portiere , j'avais le clitoris tendu a se rompre je sentais qu'il coulait doucement, alors il descendit fit le tour de la voiture ouvrit ma porte. Je m'asseyais de cote les pieds au sol face a lui.Son sexe dresse devant mon visage, il essaya de se frotter mais comme une bonne salope que je suis et que je deviendrai je le gardais a distance et le caressais doucement,.. tres doucement, il devait en avoir mal et j'en prenai du plaisir. Dans le silence de la nuit on entendait que le bruit de succion de son sexe degoulinant tandis que je le branlai... je l'approchais doucement de mon visage et couvrit son sexe de petits baisers il gemissait et essayait de forcer ma bouche,je caressais ses gros testicules gonfles et tout fripes et les lechais je ne l'avais jamais fait, il poussait des petits cris en se debattant, c'etait agreable, j'etais un peu genee par les poils mais a l'epoque....

Il me traita de salope, je etais tres excitee et mon clitoris en etait douloureux et coulant il faut bien le dire. Je le branlais doucement , tres doucement en continuant de lecher ses beaux fruits tout fripes et durs il gemissait et couinait comme un cochon. j'avais tres envie de le sucer mais je voulais lui faire payer la premiere fois et son petit chantage alors je continuais ... ca durait , il en tremblait, quand je sentais qu'il allait jouir je serrais son sexe tres fort et j'arretais..il me suppliait de le sucer. Je restais sourde puis soudain,j'en avais tellement envie, sans rien dire je l'ai enfoncé dans ma bouche en le branlant comme une folle , quand je sentais les spasmes et son gland devenir tout lisse et bien gros... j'arretais hmmm un peu de sperme coulait. je recommencais et hmm finalement je le laissais venir il me tint la tete comme la premiere fois mais deja en bonne salope c'est moi qui donna le mouvement de ma bouche sur sa bite..il gemit, grogna, en deversant deux semaines de jus epais et brulant dans ma bouche,il y en avait trop et a regret j'en ai laisse un peu couler sur les cotes de ma bouche hmmm..ensuite je lui fis sa toilette.. avec ma bouche et ma langue,il battait encore ce salaud je recuperais tout hmmm il etait silencieux et repu... moi aussi

la prochaine fois je vous raconterai la nuit qui s'en suivit.. je dresse a ce souvenir , je vais me caresser et jouir en sentant encore sa grosse verge dressee et humide dans ma bouche
bisous

irenenylon Jan 20 '23 · Voter: 4.67 · Commentaires: 1
irenenylon
La premiere fois, j'avais 19 ans . Parfois,je mettais les petites gaines porte jarretelles les bas et les culottes de ma mere pour me caresser le samedi en fin de journee dans ma chambre sous les couvertures faisant semblant de dormir quand quelqu'un approchait

.Une fois, un ami est venu me voir c'etait en fin d'apres midi et mes parents allaient s'absenter. Ma Mere l'a fait monter dans ma chambre.

J'etais coince dans mon lit et n'osais pas sortir en tenue de salope, de plus la douceur et l'excitation que provoquait cette tenue faisait que j'avais le clitoris enorme et bien dresse. Il s'est assis et nous avons discute mais rien a faire il etait colle a la chaise.

Plusieurs fois il m'avait effleure les fesses et simuler un coit en me prenant par la taille et je me caressai souvent en pensant qu'il aurait pu aller plus loin, il avait une grosse verge que j'avais deja vu dressee.

A un moment il me dit , tu te leves? on va aller prendre un verre.j'etais cloue dans le lit... en rigolant il se leve prend les couvertures et me decouvre avant que j'ai eu le temps de reagir. Je me suis senti rougir mon sexe etait tendu a se rompre. Il a ete surpris et m'a demande ce que je faisais avant qu'il arrive en meme temps je voyais une bosse enorme se former sous la braguette. Je lui ai dit que j'etais en train de me caresser et que cette tenue m'excitait que je mettais souvent de la lingerie , des culottes que j'empruntai dans les salles de bains des gens que je visitais et dont la femme m'excitait.Je m'arrangeai toujours pour avoir a me laver les mains j'en profitais pour fouiller les corbeilles a linges a la recherche de culottes sexy et odorantes dans lesquelles je me masturbai apres les avoir longuement humer et lecher.

Il me repondit , ben continues alors sinon je dis tout a ta Mere.

Alors je l'ai regarde et me suis caressee doucement. ses yeux regardait ma main et mon sexe,ils etaient exhorbites et il etait devenu tout rouge. Il a alors ouvert sa braguette et sorti son gros sexe a moitie decalotte. J'etais dans un etat second veritablement hypnotisée par cette grosse verge dont le bout suintait d'excitation et la vue que je lui donnai etait loin de calmer

Alors j'ai fermer les yeux et me suis caressee doucement , il faisait de meme j'entendais le petit bruit de succion que faisait sa queue tandis qu'il la branlait doucement. Nous etions terriblement excites, je retardai le moment ou j'allais jouir voulant profiter pleinement de ce moment. il m'a demande de m'asseoir sur le bord du lit et s'est approche ,il m'a prise par les epaules et a commencait a frotter son sexe contre mon visage je n'osai rien dire, j'etais prete a exploser ca faisait plus d'une heure que je me caressai et j'etais au bord de l'orgasme le bout de mon clitoris suintait et etait tout humide. Je continuais a me caresser doucement.je sentais la jouissance monter et son gros sexe effleurait ma bouche mes joues , il soufflait comme un boeuf n'y tenant plus, j'ai empoigne son sexe et j'ai commencé a le branler j'allai jouir et tellement excitee que je n'ai pas resiste,j'allais realiser ce phantasme ,je m'etais souvent caresse en revant qu'il jouissait dans ma bouche alors je l'ai enfonce dans ma bouche en gemissant

C'etait la premiere fois c'etait humide doux et avec un petit gout pas desagreable .Il grognait de plaisir. Je sentais que j'allais jouir je l'ai garde dans ma bouche et l'ai suce en me branlant retardant l'instant de ma propre jouissance... il s'est mis a grogner plus fort, tenait ma tete en se deversant dans ma bouche en faisait avec des mouvements de va et vient comme si ma bouche etait une chatte et en me traitant de salope... j'en avais reve hmmm j'etais tellement excitee que j'ai joui en avalant son jus j'ai failli tomber dans les pommes tellement cette jouissance avait ete forte...

Quel souvenir j'en ai mouille ma culotte.. je raconterai la suite et elle a dure 10 ans par episode a travers une autre histoire
irenenylon Jan 18 '23 · Voter: 5 · Commentaires: 4
Sophie101

j' ai récemment passé une "annonce" sur un site de rencontre pour Travesti , concernant ma prochaine venue sur Lyon. Je n'ai eu aucune réponse, si ce n'est quelques moqueries, quelques insultes, mais je viens aujourd'hui vous raconter comment j'ai passé ma journée...

La première journée ou j’ai osé ….


Vers 9h00 le matin du Jeudi 24 Novembre, je suis sorti de mon hôtel et suis parti en centre-ville. Après un petit déjeuné rapide, je me suis mis en quête d'un institut de beauté. Là, j'ai demandé une épilation intégrale. L'institut ne le proposait pas, mais ils m'ont orientés vers un établissement voisin qui le faisait.
La douleur était supportable, et je me suis laissé aller aux mains expertes d’un jeune homme qui m'a ensuite appliqué une huile sur tout le corps. J'imaginais déjà plein de choses, et mon cerveau rendu fou par les positions prises pour l'épilation créait des images de plus en plus coquines.
Après avoir payé, je file sur la presqu’ile , rue de la République, échauffé mais heureux de me sentir tout lisse.
Là-bas, je me dirige vers la boutique Etam. Un coup d'œil dans les rayons et je suis mal à l’aise et hésitant!
J’arrête une vendeuse mature très souriante, et lui fait part de ma recherche, à savoir un ensemble porte jarretelle , soutient gorges et string en dentelle noir. Elle me demande en quelle taille ? Devant mon air indécis, elle me demande" combien fait-elle en jean ?". Je réponds "heu, 40". Elle sourit, il me semble qu’elle a compris ma demande et me dit "je reviens". Elle me présente un modèle et me dit "voulez-vous l’essayer ?". J’ai dû devenir écarlate, mais elle a continué, me propose d’autres ensembles, des magnifiques basses coutures. Je décline sa proposition d'essayage, je règle mes achats, et sors rapidement du magasin.
Je décide d’aller boire un café dans un bar , je demande les toilettes pour me changer. Enfermé dans les toilettes je retire mon jean, et j’enfile ma paire de bas couture noirs, le porte jarretelle, le string, et le soutien-gorge. Je remets mon pantalon, et je sens monter une excitation qui ne me quittera que très tard en fin de journée.
Je continu a me balader en centre-ville, rue de la république, en quête de sex-shop avec cabine. Je cherche aussi un plug, curieux de tester ce que j’ai lu sur le sujet.
Je rentre finalement au « César Love Shop » situé proche de la place des Terreaux.
Il n'y a personne, juste un vendeur d’une quarantaine d'année. Des vitrines présentent des sous-vêtements coquins, des sextoys divers et variés et notamment deux modèles de plug. Un petit à 15 euros, un gros à 25 euros. Je choisis le petit et demande si je peux avoir accès aux cabines pour visionner un film, je paye le tout, et le vendeur m’indique les cabines, «c’est là, derrière le rideau ».
Je rentre dans le long couloir derrière le rideau, et entre dans une cabine. Je ferme à clef, regarde mon film, et doucement, je commence à ôter mon jean, mon blouson, et mes chaussures. J’ouvre mon sac à dos, sors une paire de talons 10 cm (25 euros à la Halle aux chaussures) que j’avais amené avec moi, enfile ma perruque et me maquille légèrement (fond de teint, eye-liner et rouge à lèvre)

Je me décide d’ouvrir la porte de la cabine, et je m'assois, jambes croisées, en lingerie très « pute », et je regarde mon film où l’on voit de très beaux Trans non opérés se faire des choses très agréables. Après quelques minutes, très excitée, je décide de m’introduire le plug. Je le lubrifie, je m'accroupis, et je me l enfile, je suis assez étroite, mais l’excitation faisant il entre aisément. Une fois en place, je remets le string et me rassois, jambes croisées. Je suis hyper excité, travestie et plugée. C 'est un sentiment inouï, très cérébral. Je sens ce plug dans mon anus, Je suis là, offerte, en tenue sexy, dans l’attente d’un visiteur.

Je suis excitée mais ne bande pas, résultat de l’excitation et la peur surement !

De toutes façons, je préfère sentir mon «  clito » petit dans mon string .
Je sors de la cabine faire quelques pas avec mon plug. Mes talons claquent sur le carrelage, j’ai peur et en même temps j’ai envie qu’on me surprenne. Envie de ne plus pouvoir reculer, surement !

Il y a là une dizaine de cabines, vides. C'est frustrant ! Je lève la tête et je vois une caméra de surveillance. Je ne sais pas si elle fonctionne mais, j’ose et je prends les poses les plus coquines, au cas où...
Encore quelques minutes et toujours personne, il est environ 12h30.
Je décide alors de revenir dans la boutique, en lingerie, pour voir si des personnes sont là.
Mon cœur bat comme un fou, et ma bouche est sèche. Mais faire cette petite exhibe m’excite, et pourquoi pas ? Je déambule dans la boutique en sous vêtement sexy, maquillée, et moi seule le sais, « plugée »

Le vendeur s’accoude a son comptoir et je sens qu’il me mate
Dans la boutique, il y a 4 ou 5 hommes. Tous me regardent, mais je n’en regarde aucun. Le vendeur me regarde aussi. Je fais mine de chercher un accessoire, je lui demande des renseignements sur d’autres gadgets, et je dis, assez fort pour être entendu, " Merci, je retourne à la cabine !!!". Puis je repars dans le couloir. J’entends mon cœur battre et le sang monter dans mes oreilles...
Arrivé dans la cabine, je m’assoie et croise les jambes , en position d’attente sexy… 3 des clients de la boutique m’ont suivi . Ils sont devant la porte et me regardent. L’un d’eux s’exclame "putain quelle salope !!!". Mes jambes, mes mains tremblent, je suis affolée et excitée. Ils sont devant moi, me regardent. Deux d’entre eux ont sorti leur sexe et se caressent.

J’y suis, je n’ai plus le choix, je vais faire ce qu’ils attendent !!! …je pose une jambe gainée de bas tenus par mon porte jarretelle sur la chaise, écarte les jambes et m exhibe. Je me comporte en une allumeuse…
Je vais passer une bonne parti de l’après-midi la- bas. Un premier homme va entrer dans la cabine et me présenter son sexe tendu. Je vais entendre « allez suce moi salope », je vais m’exécuter, peureuse, honteuse, mais excitée. Les mains des hommes vont me caresser, me guider, m’obliger. On va se servir de ma bouche, de mes mains pendant plus d’une heure et même de mon sexe.

L’un des clients a voulu me doigter mais quand il a senti le plug, je me suis fait traité de "pute", de « chienne », de « salope ». Un autre client a même fait des photos.

Un couple est arrivé, et c’est madame qui est entré la première dans la cabine. Elle a saisi entre ses doigts mon sexe et l’a serré très fort entre ses ongles. Elle m’a regardé et s’est moqué de moi en souriant « Quelle petite bite !! ce n’est pas avec ça que tu feras jouir une femme !! »

Puis elle a ôté sa culotte et relevé sa jupe, a pris ma tête avec ses deux mains et m’a obligé à la lécher en m’insultant, se moquant de moi, me traitant de pute et salope, tout cela jusqu’à ce qu’elle jouisse dans ma bouche.

Voilà, ce que certains d’entre vous ont peut-être loupé.

Je ne suis qu’un homme qui a ses fantasmes et qui a osé !!! alors respectez mes idées, mes mœurs, mes fantasmes.

Oui j’ai aimé être traité en pute, Oui j’aime être humiliée, Oui j’aime être forcée de subir les envies perverses des hommes ou des femmes.


Pour les râleurs, ceux qui critiquent, qui se moquent, êtes-vous sûrs de valoir beaucoup mieux ?

Sophie101 Déc 30 '22 · Voter: 5 · Commentaires: 5
NathPierre

Douce sodomie du matin


En déplacement dans la capitale pour raison professionnelle, cela faisait une semaine que je logeais dans ce studio loué sur *b*b.


C’est vendredi soir que j’ai accroché Paul sur un site de rencontre pour travestis. Nos profils et nos attentes pour la soirée correspondent presque trop parfaitement.


La rencontre se passe effectivement super bien. Nous prenons l’apéro, nous flirtons (petits baisers, moments enlacés, caresses sensuelles), nous mangeons un petit repas tout simple que je me suis faite un plaisir de préparer et de servir ; puis nous faisons une première fois l’amour, normalement, sans violence ni trop de tendresse ; sans même ouvrir le canapé-lit. Juste une bonne baise bien faite.


Après cela, je ai pris une petite douche histoire de me rafraîchir, je me suis mise à l’aise : petite nuisette rose clair, bas résille, collier de (fausses) perles.

Nous nous installons dans le canapé et nous choisissons un film romantique mais tout de même déconseillé au moins de 18 ans, de par la présence de scènes à caractère sexuel.


La soirée se déroule ainsi tendrement ; Paul assis dans le canapé, sirotant son digestif et moi allongée à ses côtés la tête posée sur ses cuisses. Puis les choses étant ce qu’elles sont, la sensualité du film ajoutant du piquant à la situation, nous recommençons à nous caresser, nous embrasser ; la montée de désir faisant le reste, nous nous mettons au lit et faisons longuement l’amour... à plusieurs reprises.


Paul est un homme superbe, dans la quarantaine, tout en tendresse et douceur ; bien monté mais pas trop et surtout très à l’écoute de sa partenaire, mais aussi de ses propres désirs.

Plus (+) qu’un coup d’un soir, un amant, qui réussit à vous faire croire, le temps d’une soirée, qu’il vous aime pour de vrai.


Un brin de toilette fait, je propose à Paul (pour la première fois de ma vie) de passer le reste de la nuit ici. Il est déjà tard, nous sommes samedi matin et rien, selon moi, ne le force à partir.

Il accepte et nous nous couchons donc, comme deux amoureux de longue date, lui nu et moi en nuisette, blottie tout contre lui.


Il est entre 7h00 et 8h00 du matin lorsque je sens de nouveau le corps d’un homme serré tout contre moi. J’avais dû me retourner dans mon sommeil et j’étais maintenant couchée en chien de fusil. Un homme est collé à moi, lui aussi en chien de fusil, son corps totalement lové sur le mien, sa main passé sous ma nuisette titille mes tétons qui répondent à ces caresses en pointant fermement. Sa bouche embrasse mon cou.

Je me réveille alors, réalisant que Paul est là, à me provoquer du désir, sa queue raide du matin dans mon dos.


Je gémis un peu, puis j’essaye de me retourner.

« Non reste comme ça » me dit Paul « c’est dans cette position que j’ai envie de te prendre. »

J’ai un mouvement de rejet, pensant que je n’ai même pas eu le temps d’aller aux toilettes, que mon cul ne doit pas être assez propre, que, que…

Sentant que je vais répondre négativement à cette demande, Paul se serre encore plus contre moi et pause sa main droite sur ma bouche en guise de bâillon.

Plus j’essaye de m’écarter et plus Paul resserre son étreinte.


Sa main droite toujours sur ma bouche, il glisse sa main gauche jusqu’à ma queue qu’il se met à caresser d’abord doucement.

J’essaye encore de me retirer de cette étreinte, Paul me murmure alors à l’oreille :

« Laisse toi faire ma petite chienne, je sais que tu en as envie. De toute façon que tu le veuilles ou non...tu vas y passer. Tu vas la sentir ma bite dans ton petit cul. Tu as voulu que je reste dormir, tu as passé la nuit à te coller sur moi...maintenant il est temps de payer...tout se paye. »

Il finit sa phrase en passant sa langue dans mon oreille puis en mordillant mon lobe.

Sa main gauche branle maintenant frénétiquement ma queue.


Ces paroles crues dans la bouche de cet homme si tendre hier soir, ce baiser dans mon oreille et cette masturbation violente ont raison de mes dernières réticences et je m’abandonne à ce corps, bien décidée à profiter du plaisir qu’il veut m’offrir. « De toute façon il sait bien que je ne suis pas propre ; si c’est ce qu’il veut, qu’il me prenne. »


Décidée à prendre ce qui m’est offert, je m’abandonne totalement, arrêtant toute tentative de résistance. Ma main passe elle aussi sous ma nuisette et je commence à me caresser la poitrine, accompagnant la branle Paul par des pincements sur met tétons.


J’ai de nouveau totalement basculé à l’écoute de ma féminité et de mon plaisir « homosexuel » , Nathalie vient de nouveau de prendre totalement possession de moi. Je gémis à travers cette main posée sur ma bouche ; mon corps ondule, plus aucun résistance, juste la recherche du plaisir.


Me sentant totalement à sa merci, Paul desserre légèrement son étreinte, mais ne retire pas sa main de ma bouche pour autant. Sa main gauche laisse mon pénis gonflé de sang par cette masturbation frénétique et vient se poser entre mes fesses. Ses doigts glissent le long de ma raie, se posant sur ma rondelle puis remontent le long de ma colonne, soulevant ma nuisette au passage.


Sa main droite se retire et les doigts de sa main gauche viennent s’introduire dans ma bouche. Je les suce, je les lèche, je les happe, je voudrais tant les avoir au fond de ma gorge.


Paul s’écarte un peu, libérant le chemin à cette main gluante qui se dirige vers le bas de mes reins. Spontanément et sans y réfléchir je pose ma main sur ma fesse et écarte le passage. Son majeur s’introduit en moi sans douceur et commence à fouiller mon intimité. Je gémis de douleur mais surtout de plaisir devant se doigtage soudain.

Paul retire son majeur et re introduit majeur et index en moi. Instantanément je tire encore plus sur ma fesse pour m’offrir encore mieux. Après quelques instants à fouiller mes entrailles, Paul retire sa main et dit « Ouvre la bouche salope !!! » et il introduit ses doigts « Suce bien, lave les biens, c’est ton cul qui est sale, pas ma main. Lave salope lave !!! »

Ses doigts ont le goût de mon anus, au début j’ai un haut le cour, puis le plaisir est plus fort, le désir reprend le dessus. Je les avale au plus profond de moi, je les lèche, je les retire pour être sure de ne rien laisser dessus et je les reprends en bouche.

Tout mon corps n’est plus que sensation de plaisir, j’ai des frissons sur la peau, ma verge est prête à exploser tellement elle est tendue.


Paul se redresse un peu, tourne légèrement ma tête entre ses mains et pose ses lèvres sur les miennes. Sa langue vient fouiller ma bouche comme pour y retrouver le goût de ses doigts.

Il me regarde en souriant « Allez à mon tour maintenant, tu es assez préparée. »


Il se replace en chien de fusil derrière moi, son sexe tendu et raide va enfin me pénétrer.

Il pose son gland contre ma rondelle et pousse légèrement son bassin pour s’introduire en moi. Mon anus s’ouvre doucement pour laisser rentrer ce sexe tant désiré depuis mon réveil. Lentement, régulièrement, centimètre après centimètre, Paul s’introduit entièrement en moi. Puis il se retire tout aussi lentement et recommence. Chaque portion de ce sexe qui entre en moi m’arrache soupir et gémissement. Quelle sensation que de se sentir entièrement possédée, entièrement soumise et remplie.


Paul recommence cette lente pénétration plusieurs fois, me poussant toujours à la limite de la jouissance, tant il a bien repéré mon point sensible et qu’il aime sentir la décharge que le passage de son gland provoque en moi. Je réalise aussi que s’il ne me pilonne pas comme il l’a fait hier soir, c’est peut-être pour résister plus longtemps avant de jouir. C’est vrai que, si comme il le dit, j’ai passé ma nuit à l’allumer…


Paul m’arrache à ses douces pensées : « Mets-toi à plat ventre sur le lit, et écarte bien tes fesses avec tes deux mains !!! ». Je m’exécute. Paul se positionne au-dessus de moi, comme s’il préparait à faire des pompes. Son gland posé sur ma rondelle. Tout à coup j’ai l’impression que Paul se laisse tomber sur moi de tout son corps. La pénétration est violente et brûlante et m’arrache un cri étouffé par l’oreiller sur lequel ma tête est posée.


Paul remonte lentement, jusqu’à ce que son sexe soit de nouveau juste à l’entrée et se laisse tomber de nouveau. Je crie encore plus fort par la douleur, par la chaleur du glissement violent de cette peau sur mes entrailles...mais surtout par le plaisir que je retire de tout ça.


Une troisième fois m’arrache carrément un « Ohhhhh Ouiiiiiiiiii » de plaisir. Paul reste posé bien au fond de moi et me crie « Hurle salope, Jouit comme il faut. Tu l’aimes ma bite hein vieille putain ».


Il se remet à bout de bras et se laisse de nouveau tomber. Je ne sais plus combien de fois il a recommencé tellement je suis partie sur mon nuage, dans mon extase ; l’oreiller qui me sert à étouffer mes cris de plaisir est trempé de ma bave et de ma sueur ; mais je ne veux pas que Paul arrête. Je n’ai jamais ressenti un tel plaisir, jamais un homme ne m’avait faite sentir autant à sa merci, jamais un homme ne m’avait possédée de la sorte.


Au bout d’un certain temps, qui me paraît interminable et à la fois trop bref, Paul s’agenouille sur le lit. « Allez sur le dos, ma chérie, les jambes relevées et tenues pas tes mains, je veux te voir jouir. » La tendresse de ces propos tranche brutalement avec ce que je viens de vivre.

Je me retourne, me mets sur le dos. Paul pose un second oreiller sous ma tête, pour mieux me voir. Il se place derrière moi, je relève mes jambes au maximum et il me pénètre. Sa queue m’a semblé démesurée, et pourtant elle entre en moi en douceur.


Quatre ou cinq va et vient en douceur me font revenir au calme, ma respiration ralenti, mon cœur aussi et les hurlements de plaisir d’il y a cinq minutes se transforme en doux gémissements. Paul me regarde dans les yeux. Son sourire est maintenant celui du maître qui baise sa soumise : « Tu vois que c’est bon aussi de se faire baiser au réveil. Tu vois que je sais AUSSI te posséder comme je le veux. Elle aime ça ma petite salope ? Hein Nathalie, tu aimes ça. »


Je ne peux même pas répondre que oui. Seuls des gémissements de plaisir sortent de ma gorge. Aucun son maîtrisé de ma part ne s’en échappe.


Bien calé au fond de moi, toute sa queue en moi, Paul s’arrête et saisie mon sexe. Il me masturbe lentement et sur toute la longueur de ma queue. Je ne suis pas longue à venir. Déjà qu’en temps normal je ne suis pas très résistante, le traitement de faveur que Paul m’a fait subir m’envoie directement à l’orgasme.

Sentant ma veine gonfler, signe d’une éjaculation imminente, Paul lâche ma queue et reprend un va et vient complet, va et vient rythmé sur mon éjaculation. Chacun de mes jets est calé sur son mouvement. J’ai la sensation d’éjaculer des litres pendant des heures. Je crie, je murmure, je

sussure : « Ouiiii c’est bon » « Ohhhh tu me fais jouiiiiiir » « Mon dieu c’est pas possible » « Continue plus fort, plus au fond, défonce moi…. »

Mais rien n’y fait, Paul a décidé qu’il rythmerait mon éjaculation et j’en retire un plaisir inimaginable.


A la fin de mon orgasme, Paul se retire, appuie sur mes jambes pour je les pose sur le lit, et vient se placer juste au dessus de moi, sa queue, ENORME, au dessus de ma bouche.


« OUVRE ».


Mes lèvres se desserrent presque malgré moi. Paul entre dans ma bouche. Sa queue a le goût de mes excréments, de mes sécrétions et aussi un léger goût d’urine.

A ma moue surprise et dégoûtée il ricane :

« Tu n’as même pas réalisé qu’à chaque coup de queue, j’urinais un peu en toi. Ahahahah. Allez suce, prends moi au fonds de ta gorge. »

Il saisit ma tête et la gigote un peu afin de que sa bite entre au plus profond. Puis il commence un très très très léger va et vient ; à peine quelques millimètres.

Son visage se crispe, sa bouche s’ouvre pour laisser sortit un râle de plaisir. De longs jets de sperme chaud inondent ma gorge, j’ai du mal à déglutir, mais je sens ce liquide chaud qui coule en moi. Il ressort un peu son sexe laissant son gland dans ma bouche. Je le lèche, je le tête, voulant récupérer toute sa semence.


Paul se retire, lâche ma tête que je laisse s’enfoncer dans les oreillers. Je ne suis plus que sensations de plaisir et tremblements. Les yeux fermés je me laisse, redescendre lentement à la réalité.


Tout à coup, la porte de l’appartement claque.

J’ouvre les yeux et regarde autour de moi.

Plus personne, Paul est parti, il me laisse seule, allongée sur mon lit, encore à l’écoute des sensations de mon corps.


J’ajuste ma nuisette, tasse un peu mon oreiller et je me recouche en chien de fusil.

Le goût du sperme de Paul remplit encore ma bouche.

Mon corps est couvert de mon sperme et de ma sueur.

Mon cul endolori semble être lui aussi rempli. Est ce une sensation due à cette pénétration totale ou est-ce que réellement Paul a uriné en moi ???

Je m’endors sans trouver la réponse à cette question.

De toute façon, ce n’est pas grave, la machine à laver, dans les communs de l’immeuble, remettra nuisette et draps tout propre.


Je m’endors repue, satisfaite.

NathPierre Nov 8 '22 · Tags: sodomie
clitorine16700
Ce soir dernier rendez vous avec E qui a envi de se soulager. Arrivés sur notre parking, pas de temps à perdre je mets le long manteau et hop dans la voiture pour une bonne fellation et le mettre en forme quoique l'érection de mon homme est déjà très belle. Je le suce , embrasse son gland, le lèche , passe ma langue sur sa tige bien dure. Il me dit avoir envi à l'extérieur de la voiture. nous nous embrassons puis il me fait mettre contre la voiture et je sens son gland frotter entre mes fesses, j'enlève alors mon string pour lui offrir ce qu'il cherchait et je le sens s'enfoncer en moi et de suite aller et venir. Il se retire et je n'ai pas le temps de me retourner qu'il éjacule sur le parking par des jets puissants. En le raccompagnant je lui ai demandé d'éjaculer dans ma bouche après m'avoir enculée......
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