Je rencontre surtout des hommes de plus de 50 ans avec un petit sexe
Michel un homme de 40 ans voulais vraiment me rencontrer, je lui ai dit que son sexe était trop gros.
Il m'a dit tout ce qu'il me fera pour bien préparé et me pénétré sans aucune douleur.
J'avais peur mais j'ai accepté de le rencontrer car j'avais très envies.
Je me suis bien préparé avec un plug anal de plusieurs diamètre.
pour le rencontrer une tenue de soubrette: lingerie noir, bas, porte jarretelle, chemisier blanc et jupe courte plissée, maquillage, parfum, perruque
Il a commencé par me caresser doucement les fesses par-dessus ma jupe puis il m'a demandé de retirer doucement ma jupe,
Il m'a tripoté et bougé les fesses dans tous les sens, ma longuement léché, j'étais très excité,
J'avais très envie qu'il me pénètre, je les sucer avec préservatif, sur le lit, il m'a léché puis doigté avec du gel.
il m'a pénétré allonger sur le dos très doucement puis sur le côté, sur le ventre, assis sur lui,
Debout contre le mur, j'ai pris beaucoup de plaisir.
j'aime la sodomie mais toujours avec préservatif. lors de mes premières relations avec un homme. j'avais très envie qu'un homme éjacule dans mon cul, un homme mur avec un HIV négatif, il m'a sodomisé sans préservatif. après m'avoir bien excité, il m'a sodomisé dans plusieurs position.
allongé sur le dos, il a rentré entièrement sa queue et lorsqu'il a éjaculé, je n'ai pas senti les jets de sperme. lors d'une nouvelle rencontre, après m'avoir prise avec un préservatif dans plusieurs positions.
il a retiré le préservatif et il m'a sodomisé sur le côté en me disant des mots crus.
j'étais très excité, je me suis masturbé et lorsqu'il a éjaculé, j'ai senti plusieurs jets de sperme, j'ai éjaculé.
il m'a bien rempli, lorsqu'il s'est retiré, le sperme à coulé le long de mes cuisses.
j'ai commencé avec des plugs anal de plusieurs diamètre.
j'aime me goder.
pour ma première sodomie, c'était avec un homme mur qui ma bien préparé,
il ma tripoté les fesses, longuement léché puis doigter.
il m'a prise allongé sur le dos, il m'a pénétré doucement puis plus fort.
je prenais beaucoup de plaisir, j'aime les mots crus, cela m'excite beaucoup.
Le lendemain il etait tout gene. Pendant quelques temps on se vit plus rarement. Je me caressais en pensant a cet episode , c'etait delicieux pendant quelques mois il ne se passa rien et nous faisions comme si de rien n'etait.
Pourtant ce n'etait pas fini loin de la..Un samedi soir ou nous rentrions de boite nous discutions et il me dit qu'il y avait una salope qui l'avait allume et laisse en plan. puis le sujet devia. Mes parents etaient partis en week end. Tandis que nous roulions il essayait de me reparler maladroitement de cet apres midi brulant
J'eludai les questions mais je sentais mon clitoris durcir de plus en plus. J'essayai d'evacuer les idees et l'image
de son gros sexe frottant mon visage mais mon clitoris me disait le contraire. Tandis qu'il en parlait ma maincomme si elle etait dotee d'une vie autonome s'est egarée sur sa braguette. rien de dur mais en 30 secondes je sentis une barre d'acier qui se dessinait sur son pantalon je le massai doucement... il gemissait puis tourna brusquement dans un chemin et arreta la voiture. Un silence de plomb regnait dans la voiture.Nous n'entendions que mes doigts qui griffaient son pantalon. je deboutonnai la ceinture descendit la braguette, et decouvrit son sexe en baissant le devant de son slip il etait enorme brulant. Le prepuce etait a moitie tire et son gland etait humide et chaud. Sans une parole je le caressai doucement .Il soufflait fort et bruyamment je ralentissais le mouvement quand je sentais des spasmes puis reaccelerais ca dura une bonne dizaine de minutes. puis soudain il ouvrit la portiere , j'avais le clitoris tendu a se rompre je sentais qu'il coulait doucement, alors il descendit fit le tour de la voiture ouvrit ma porte. Je m'asseyais de cote les pieds au sol face a lui.Son sexe dresse devant mon visage, il essaya de se frotter mais comme une bonne salope que je suis et que je deviendrai je le gardais a distance et le caressais doucement,.. tres doucement, il devait en avoir mal et j'en prenai du plaisir. Dans le silence de la nuit on entendait que le bruit de succion de son sexe degoulinant tandis que je le branlai... je l'approchais doucement de mon visage et couvrit son sexe de petits baisers il gemissait et essayait de forcer ma bouche,je caressais ses gros testicules gonfles et tout fripes et les lechais je ne l'avais jamais fait, il poussait des petits cris en se debattant, c'etait agreable, j'etais un peu genee par les poils mais a l'epoque....
Il me traita de salope, je etais tres excitee et mon clitoris en etait douloureux et coulant il faut bien le dire. Je le branlais doucement , tres doucement en continuant de lecher ses beaux fruits tout fripes et durs il gemissait et couinait comme un cochon. j'avais tres envie de le sucer mais je voulais lui faire payer la premiere fois et son petit chantage alors je continuais ... ca durait , il en tremblait, quand je sentais qu'il allait jouir je serrais son sexe tres fort et j'arretais..il me suppliait de le sucer. Je restais sourde puis soudain,j'en avais tellement envie, sans rien dire je l'ai enfoncé dans ma bouche en le branlant comme une folle , quand je sentais les spasmes et son gland devenir tout lisse et bien gros... j'arretais hmmm un peu de sperme coulait. je recommencais et hmm finalement je le laissais venir il me tint la tete comme la premiere fois mais deja en bonne salope c'est moi qui donna le mouvement de ma bouche sur sa bite..il gemit, grogna, en deversant deux semaines de jus epais et brulant dans ma bouche,il y en avait trop et a regret j'en ai laisse un peu couler sur les cotes de ma bouche hmmm..ensuite je lui fis sa toilette.. avec ma bouche et ma langue,il battait encore ce salaud je recuperais tout hmmm il etait silencieux et repu... moi aussi
la prochaine fois je vous raconterai la nuit qui s'en suivit.. je dresse a ce souvenir , je vais me caresser et jouir en sentant encore sa grosse verge dressee et humide dans ma bouche
bisous
j' ai récemment passé
une "annonce" sur un site de rencontre pour Travesti , concernant ma
prochaine venue sur Lyon. Je n'ai eu aucune réponse, si ce n'est quelques
moqueries, quelques insultes, mais je viens aujourd'hui vous raconter comment j'ai
passé ma journée...
La première journée ou
j’ai osé ….
Vers 9h00 le matin du Jeudi 24 Novembre, je suis
sorti de mon hôtel et suis parti en centre-ville. Après un petit déjeuné
rapide, je me suis mis en quête d'un institut de beauté. Là, j'ai demandé une
épilation intégrale. L'institut ne le proposait pas, mais ils m'ont orientés
vers un établissement voisin qui le faisait.
La douleur était supportable, et je me suis
laissé aller aux mains expertes d’un jeune homme qui m'a ensuite appliqué une
huile sur tout le corps. J'imaginais déjà plein de choses, et mon cerveau rendu
fou par les positions prises pour l'épilation créait des images de plus en plus
coquines.
Après avoir payé, je file sur la presqu’ile ,
rue de la République, échauffé mais heureux de me sentir tout lisse.
Là-bas, je me dirige vers la boutique Etam. Un
coup d'œil dans les rayons et je suis mal à l’aise et hésitant!
J’arrête une vendeuse mature très souriante, et
lui fait part de ma recherche, à savoir un ensemble porte jarretelle , soutient
gorges et string en dentelle noir. Elle me demande en quelle taille ? Devant
mon air indécis, elle me demande" combien fait-elle en jean ?". Je
réponds "heu, 40". Elle sourit, il me semble qu’elle a compris ma
demande et me dit "je reviens". Elle me présente un modèle et me dit
"voulez-vous l’essayer ?". J’ai dû devenir écarlate, mais elle a continué,
me propose d’autres ensembles, des magnifiques basses coutures. Je décline sa
proposition d'essayage, je règle mes achats, et sors rapidement du magasin.
Je décide d’aller boire un café dans un bar , je
demande les toilettes pour me changer. Enfermé dans les toilettes je retire mon
jean, et j’enfile ma paire de bas couture noirs, le porte jarretelle, le
string, et le soutien-gorge. Je remets mon pantalon, et je sens monter une
excitation qui ne me quittera que très tard en fin de journée.
Je continu a me balader en centre-ville, rue de
la république, en quête de sex-shop avec cabine. Je cherche aussi un plug,
curieux de tester ce que j’ai lu sur le sujet.
Je rentre finalement au « César Love
Shop » situé proche de la place des Terreaux.
Il n'y a personne, juste un vendeur d’une
quarantaine d'année. Des vitrines présentent des sous-vêtements coquins, des
sextoys divers et variés et notamment deux modèles de plug. Un petit à 15
euros, un gros à 25 euros. Je choisis le petit et demande si je peux avoir
accès aux cabines pour visionner un film, je paye le tout, et le vendeur
m’indique les cabines, «c’est là, derrière le rideau ».
Je rentre dans le long couloir derrière le
rideau, et entre dans une cabine. Je ferme à clef, regarde mon film, et
doucement, je commence à ôter mon jean, mon blouson, et mes chaussures. J’ouvre
mon sac à dos, sors une paire de talons 10 cm (25 euros à la Halle aux
chaussures) que j’avais amené avec moi, enfile ma perruque et me maquille
légèrement (fond de teint, eye-liner et rouge à lèvre)
Je me décide d’ouvrir la
porte de la cabine, et je m'assois, jambes croisées, en lingerie très « pute »,
et je regarde mon film où l’on voit de très beaux Trans non opérés se faire des
choses très agréables. Après quelques minutes, très excitée, je décide de m’introduire
le plug. Je le lubrifie, je m'accroupis, et je me l enfile, je suis assez
étroite, mais l’excitation faisant il entre aisément. Une fois en place, je
remets le string et me rassois, jambes croisées. Je suis hyper excité, travestie
et plugée. C 'est un sentiment inouï, très cérébral. Je sens ce plug dans mon
anus, Je suis là, offerte, en tenue sexy, dans l’attente d’un visiteur.
Je suis excitée mais ne
bande pas, résultat de l’excitation et la peur surement !
De toutes façons, je
préfère sentir mon « clito » petit dans mon string .
Je sors de la cabine faire quelques pas avec mon
plug. Mes talons claquent sur le carrelage, j’ai peur et en même temps j’ai
envie qu’on me surprenne. Envie de ne plus pouvoir reculer, surement !
Il y a là une dizaine de
cabines, vides. C'est frustrant ! Je lève la tête et je vois une caméra de
surveillance. Je ne sais pas si elle fonctionne mais, j’ose et je prends les
poses les plus coquines, au cas où...
Encore quelques minutes et toujours personne, il
est environ 12h30.
Je décide alors de revenir dans la boutique, en
lingerie, pour voir si des personnes sont là.
Mon cœur bat comme un fou, et ma bouche est sèche.
Mais faire cette petite exhibe m’excite, et pourquoi pas ? Je déambule
dans la boutique en sous vêtement sexy, maquillée, et moi seule le sais,
« plugée »
Le vendeur s’accoude a son
comptoir et je sens qu’il me mate
Dans la boutique, il y a 4 ou 5 hommes. Tous me
regardent, mais je n’en regarde aucun. Le vendeur me regarde aussi. Je fais
mine de chercher un accessoire, je lui demande des renseignements sur d’autres
gadgets, et je dis, assez fort pour être entendu, " Merci, je retourne à
la cabine !!!". Puis je repars dans le couloir. J’entends mon cœur
battre et le sang monter dans mes oreilles...
Arrivé dans la cabine, je m’assoie et croise les
jambes , en position d’attente sexy… 3 des clients de la boutique m’ont suivi .
Ils sont devant la porte et me regardent. L’un d’eux s’exclame "putain
quelle salope !!!". Mes jambes, mes mains tremblent, je suis affolée et
excitée. Ils sont devant moi, me regardent. Deux d’entre eux ont sorti leur
sexe et se caressent.
J’y suis, je n’ai plus
le choix, je vais faire ce qu’ils attendent !!! …je pose une jambe gainée de
bas tenus par mon porte jarretelle sur la chaise, écarte les jambes et m exhibe.
Je me comporte en une allumeuse…
Je vais passer une bonne parti de l’après-midi
la- bas. Un premier homme va entrer dans la cabine et me présenter son sexe
tendu. Je vais entendre « allez suce moi salope », je vais
m’exécuter, peureuse, honteuse, mais excitée. Les mains des hommes vont me caresser,
me guider, m’obliger. On va se servir de ma bouche, de mes mains pendant plus
d’une heure et même de mon sexe.
L’un des clients a voulu
me doigter mais quand il a senti le plug, je me suis fait traité de
"pute", de « chienne », de « salope ». Un autre client
a même fait des photos.
Un couple est arrivé, et
c’est madame qui est entré la première dans la cabine. Elle a saisi entre ses
doigts mon sexe et l’a serré très fort entre ses ongles. Elle m’a regardé et
s’est moqué de moi en souriant « Quelle petite bite !! ce n’est pas
avec ça que tu feras jouir une femme !! »
Puis elle a ôté sa
culotte et relevé sa jupe, a pris ma tête avec ses deux mains et m’a obligé à
la lécher en m’insultant, se moquant de moi, me traitant de pute et salope,
tout cela jusqu’à ce qu’elle jouisse dans ma bouche.
Voilà, ce que certains d’entre
vous ont peut-être loupé.
Je ne suis qu’un homme
qui a ses fantasmes et qui a osé !!! alors respectez mes idées, mes mœurs,
mes fantasmes.
Oui j’ai aimé être
traité en pute, Oui j’aime être humiliée, Oui j’aime être forcée de subir les
envies perverses des hommes ou des femmes.
Pour les râleurs, ceux qui critiquent, qui se
moquent, êtes-vous sûrs de valoir beaucoup mieux ?
Douce sodomie du matin
En déplacement dans la capitale pour raison professionnelle, cela faisait une semaine que je logeais dans ce studio loué sur *b*b.
C’est vendredi soir que j’ai accroché Paul sur un site de rencontre pour travestis. Nos profils et nos attentes pour la soirée correspondent presque trop parfaitement.
La rencontre se passe effectivement super bien. Nous prenons l’apéro, nous flirtons (petits baisers, moments enlacés, caresses sensuelles), nous mangeons un petit repas tout simple que je me suis faite un plaisir de préparer et de servir ; puis nous faisons une première fois l’amour, normalement, sans violence ni trop de tendresse ; sans même ouvrir le canapé-lit. Juste une bonne baise bien faite.
Après cela, je ai pris une petite douche histoire de me rafraîchir, je me suis mise à l’aise : petite nuisette rose clair, bas résille, collier de (fausses) perles.
Nous nous installons dans le canapé et nous choisissons un film romantique mais tout de même déconseillé au moins de 18 ans, de par la présence de scènes à caractère sexuel.
La soirée se déroule ainsi tendrement ; Paul assis dans le canapé, sirotant son digestif et moi allongée à ses côtés la tête posée sur ses cuisses. Puis les choses étant ce qu’elles sont, la sensualité du film ajoutant du piquant à la situation, nous recommençons à nous caresser, nous embrasser ; la montée de désir faisant le reste, nous nous mettons au lit et faisons longuement l’amour... à plusieurs reprises.
Paul est un homme superbe, dans la quarantaine, tout en tendresse et douceur ; bien monté mais pas trop et surtout très à l’écoute de sa partenaire, mais aussi de ses propres désirs.
Plus (+) qu’un coup d’un soir, un amant, qui réussit à vous faire croire, le temps d’une soirée, qu’il vous aime pour de vrai.
Un brin de toilette fait, je propose à Paul (pour la première fois de ma vie) de passer le reste de la nuit ici. Il est déjà tard, nous sommes samedi matin et rien, selon moi, ne le force à partir.
Il accepte et nous nous couchons donc, comme deux amoureux de longue date, lui nu et moi en nuisette, blottie tout contre lui.
Il est entre 7h00 et 8h00 du matin lorsque je sens de nouveau le corps d’un homme serré tout contre moi. J’avais dû me retourner dans mon sommeil et j’étais maintenant couchée en chien de fusil. Un homme est collé à moi, lui aussi en chien de fusil, son corps totalement lové sur le mien, sa main passé sous ma nuisette titille mes tétons qui répondent à ces caresses en pointant fermement. Sa bouche embrasse mon cou.
Je me réveille alors, réalisant que Paul est là, à me provoquer du désir, sa queue raide du matin dans mon dos.
Je gémis un peu, puis j’essaye de me retourner.
« Non reste comme ça » me dit Paul « c’est dans cette position que j’ai envie de te prendre. »
J’ai un mouvement de rejet, pensant que je n’ai même pas eu le temps d’aller aux toilettes, que mon cul ne doit pas être assez propre, que, que…
Sentant que je vais répondre négativement à cette demande, Paul se serre encore plus contre moi et pause sa main droite sur ma bouche en guise de bâillon.
Plus j’essaye de m’écarter et plus Paul resserre son étreinte.
Sa main droite toujours sur ma bouche, il glisse sa main gauche jusqu’à ma queue qu’il se met à caresser d’abord doucement.
J’essaye encore de me retirer de cette étreinte, Paul me murmure alors à l’oreille :
« Laisse toi faire ma petite chienne, je sais que tu en as envie. De toute façon que tu le veuilles ou non...tu vas y passer. Tu vas la sentir ma bite dans ton petit cul. Tu as voulu que je reste dormir, tu as passé la nuit à te coller sur moi...maintenant il est temps de payer...tout se paye. »
Il finit sa phrase en passant sa langue dans mon oreille puis en mordillant mon lobe.
Sa main gauche branle maintenant frénétiquement ma queue.
Ces paroles crues dans la bouche de cet homme si tendre hier soir, ce baiser dans mon oreille et cette masturbation violente ont raison de mes dernières réticences et je m’abandonne à ce corps, bien décidée à profiter du plaisir qu’il veut m’offrir. « De toute façon il sait bien que je ne suis pas propre ; si c’est ce qu’il veut, qu’il me prenne. »
Décidée à prendre ce qui m’est offert, je m’abandonne totalement, arrêtant toute tentative de résistance. Ma main passe elle aussi sous ma nuisette et je commence à me caresser la poitrine, accompagnant la branle Paul par des pincements sur met tétons.
J’ai de nouveau totalement basculé à l’écoute de ma féminité et de mon plaisir « homosexuel » , Nathalie vient de nouveau de prendre totalement possession de moi. Je gémis à travers cette main posée sur ma bouche ; mon corps ondule, plus aucun résistance, juste la recherche du plaisir.
Me sentant totalement à sa merci, Paul desserre légèrement son étreinte, mais ne retire pas sa main de ma bouche pour autant. Sa main gauche laisse mon pénis gonflé de sang par cette masturbation frénétique et vient se poser entre mes fesses. Ses doigts glissent le long de ma raie, se posant sur ma rondelle puis remontent le long de ma colonne, soulevant ma nuisette au passage.
Sa main droite se retire et les doigts de sa main gauche viennent s’introduire dans ma bouche. Je les suce, je les lèche, je les happe, je voudrais tant les avoir au fond de ma gorge.
Paul s’écarte un peu, libérant le chemin à cette main gluante qui se dirige vers le bas de mes reins. Spontanément et sans y réfléchir je pose ma main sur ma fesse et écarte le passage. Son majeur s’introduit en moi sans douceur et commence à fouiller mon intimité. Je gémis de douleur mais surtout de plaisir devant se doigtage soudain.
Paul retire son majeur et re introduit majeur et index en moi. Instantanément je tire encore plus sur ma fesse pour m’offrir encore mieux. Après quelques instants à fouiller mes entrailles, Paul retire sa main et dit « Ouvre la bouche salope !!! » et il introduit ses doigts « Suce bien, lave les biens, c’est ton cul qui est sale, pas ma main. Lave salope lave !!! »
Ses doigts ont le goût de mon anus, au début j’ai un haut le cour, puis le plaisir est plus fort, le désir reprend le dessus. Je les avale au plus profond de moi, je les lèche, je les retire pour être sure de ne rien laisser dessus et je les reprends en bouche.
Tout mon corps n’est plus que sensation de plaisir, j’ai des frissons sur la peau, ma verge est prête à exploser tellement elle est tendue.
Paul se redresse un peu, tourne légèrement ma tête entre ses mains et pose ses lèvres sur les miennes. Sa langue vient fouiller ma bouche comme pour y retrouver le goût de ses doigts.
Il me regarde en souriant « Allez à mon tour maintenant, tu es assez préparée. »
Il se replace en chien de fusil derrière moi, son sexe tendu et raide va enfin me pénétrer.
Il pose son gland contre ma rondelle et pousse légèrement son bassin pour s’introduire en moi. Mon anus s’ouvre doucement pour laisser rentrer ce sexe tant désiré depuis mon réveil. Lentement, régulièrement, centimètre après centimètre, Paul s’introduit entièrement en moi. Puis il se retire tout aussi lentement et recommence. Chaque portion de ce sexe qui entre en moi m’arrache soupir et gémissement. Quelle sensation que de se sentir entièrement possédée, entièrement soumise et remplie.
Paul recommence cette lente pénétration plusieurs fois, me poussant toujours à la limite de la jouissance, tant il a bien repéré mon point sensible et qu’il aime sentir la décharge que le passage de son gland provoque en moi. Je réalise aussi que s’il ne me pilonne pas comme il l’a fait hier soir, c’est peut-être pour résister plus longtemps avant de jouir. C’est vrai que, si comme il le dit, j’ai passé ma nuit à l’allumer…
Paul m’arrache à ses douces pensées : « Mets-toi à plat ventre sur le lit, et écarte bien tes fesses avec tes deux mains !!! ». Je m’exécute. Paul se positionne au-dessus de moi, comme s’il préparait à faire des pompes. Son gland posé sur ma rondelle. Tout à coup j’ai l’impression que Paul se laisse tomber sur moi de tout son corps. La pénétration est violente et brûlante et m’arrache un cri étouffé par l’oreiller sur lequel ma tête est posée.
Paul remonte lentement, jusqu’à ce que son sexe soit de nouveau juste à l’entrée et se laisse tomber de nouveau. Je crie encore plus fort par la douleur, par la chaleur du glissement violent de cette peau sur mes entrailles...mais surtout par le plaisir que je retire de tout ça.
Une troisième fois m’arrache carrément un « Ohhhhh Ouiiiiiiiiii » de plaisir. Paul reste posé bien au fond de moi et me crie « Hurle salope, Jouit comme il faut. Tu l’aimes ma bite hein vieille putain ».
Il se remet à bout de bras et se laisse de nouveau tomber. Je ne sais plus combien de fois il a recommencé tellement je suis partie sur mon nuage, dans mon extase ; l’oreiller qui me sert à étouffer mes cris de plaisir est trempé de ma bave et de ma sueur ; mais je ne veux pas que Paul arrête. Je n’ai jamais ressenti un tel plaisir, jamais un homme ne m’avait faite sentir autant à sa merci, jamais un homme ne m’avait possédée de la sorte.
Au bout d’un certain temps, qui me paraît interminable et à la fois trop bref, Paul s’agenouille sur le lit. « Allez sur le dos, ma chérie, les jambes relevées et tenues pas tes mains, je veux te voir jouir. » La tendresse de ces propos tranche brutalement avec ce que je viens de vivre.
Je me retourne, me mets sur le dos. Paul pose un second oreiller sous ma tête, pour mieux me voir. Il se place derrière moi, je relève mes jambes au maximum et il me pénètre. Sa queue m’a semblé démesurée, et pourtant elle entre en moi en douceur.
Quatre ou cinq va et vient en douceur me font revenir au calme, ma respiration ralenti, mon cœur aussi et les hurlements de plaisir d’il y a cinq minutes se transforme en doux gémissements. Paul me regarde dans les yeux. Son sourire est maintenant celui du maître qui baise sa soumise : « Tu vois que c’est bon aussi de se faire baiser au réveil. Tu vois que je sais AUSSI te posséder comme je le veux. Elle aime ça ma petite salope ? Hein Nathalie, tu aimes ça. »
Je ne peux même pas répondre que oui. Seuls des gémissements de plaisir sortent de ma gorge. Aucun son maîtrisé de ma part ne s’en échappe.
Bien calé au fond de moi, toute sa queue en moi, Paul s’arrête et saisie mon sexe. Il me masturbe lentement et sur toute la longueur de ma queue. Je ne suis pas longue à venir. Déjà qu’en temps normal je ne suis pas très résistante, le traitement de faveur que Paul m’a fait subir m’envoie directement à l’orgasme.
Sentant ma veine gonfler, signe d’une éjaculation imminente, Paul lâche ma queue et reprend un va et vient complet, va et vient rythmé sur mon éjaculation. Chacun de mes jets est calé sur son mouvement. J’ai la sensation d’éjaculer des litres pendant des heures. Je crie, je murmure, je
sussure : « Ouiiii c’est bon » « Ohhhh tu me fais jouiiiiiir » « Mon dieu c’est pas possible » « Continue plus fort, plus au fond, défonce moi…. »
Mais rien n’y fait, Paul a décidé qu’il rythmerait mon éjaculation et j’en retire un plaisir inimaginable.
A la fin de mon orgasme, Paul se retire, appuie sur mes jambes pour je les pose sur le lit, et vient se placer juste au dessus de moi, sa queue, ENORME, au dessus de ma bouche.
« OUVRE ».
Mes lèvres se desserrent presque malgré moi. Paul entre dans ma bouche. Sa queue a le goût de mes excréments, de mes sécrétions et aussi un léger goût d’urine.
A ma moue surprise et dégoûtée il ricane :
« Tu n’as même pas réalisé qu’à chaque coup de queue, j’urinais un peu en toi. Ahahahah. Allez suce, prends moi au fonds de ta gorge. »
Il saisit ma tête et la gigote un peu afin de que sa bite entre au plus profond. Puis il commence un très très très léger va et vient ; à peine quelques millimètres.
Son visage se crispe, sa bouche s’ouvre pour laisser sortit un râle de plaisir. De longs jets de sperme chaud inondent ma gorge, j’ai du mal à déglutir, mais je sens ce liquide chaud qui coule en moi. Il ressort un peu son sexe laissant son gland dans ma bouche. Je le lèche, je le tête, voulant récupérer toute sa semence.
Paul se retire, lâche ma tête que je laisse s’enfoncer dans les oreillers. Je ne suis plus que sensations de plaisir et tremblements. Les yeux fermés je me laisse, redescendre lentement à la réalité.
Tout à coup, la porte de l’appartement claque.
J’ouvre les yeux et regarde autour de moi.
Plus personne, Paul est parti, il me laisse seule, allongée sur mon lit, encore à l’écoute des sensations de mon corps.
J’ajuste ma nuisette, tasse un peu mon oreiller et je me recouche en chien de fusil.
Le goût du sperme de Paul remplit encore ma bouche.
Mon corps est couvert de mon sperme et de ma sueur.
Mon cul endolori semble être lui aussi rempli. Est ce une sensation due à cette pénétration totale ou est-ce que réellement Paul a uriné en moi ???
Je m’endors sans trouver la réponse à cette question.
De toute façon, ce n’est pas grave, la machine à laver, dans les communs de l’immeuble, remettra nuisette et draps tout propre.
Je m’endors repue, satisfaite.
Depuis peu, j'ai un boulot assez physique, qui ne correspond absolument pas avec mes jolies mains de princesse.
Quand j'étais au chômage, je pouvais me laisser pousser les ongles, et jouer à la playstation toute la journée, en fumant des joints.
Mais depuis que je bosse, c'est devenu impossible.
Je commande donc des capsules taille 1, chez PEGGY SAGE.
Des tailles 7 pour les petits doigts, pour éviter de devoir trop les limer.
Un coupe ongle.
Des limes.
De la colle glue, de base, c'est exactement la même chose que la colle spécifique pour ongles.
Du dissolvant, AVEC acétone.
Du coton, un récipient (ou une bouteille de soda découpée).
1
Nettoyez vos ongles, coupez les courts
2
Limez la base de vos faux ongles, en fonction de la forme des vôtres.
Et disposez les dans l'ordre de pose, sur votre table.
3
Commencez par votre main directrice.
Déposez une goutte de colle sur la base de la première capsule.
Déposez une goutte de colle sur l'ongle choisi, étalez partout.
Posez l'ongle, appuyez un peu.
Etc pour tous les ongles.
4
Coupez ensuite à la taille voulue avec le coupe-ongle.
Limez dans la forme voulue.
5.
Vernissez.
Pour les décoller.
1
Coupez au plus court les faux ongles.
2
La plupart du temps, j'arrive à décoller les capsules avec le coupe ongles, en faisant bascule, doucement.
3
Si vous galérez sur un ongle, ou que vous voulez fignoler pour ne laisser aucune trace, préparez un récipient rempli de dissolvant AVEC acétone, et laissez tremper vos doigts plusieurs minutes.
Si vous préférez vernir vos vrais ongles, et souhaitez rester discrèt(e)s, n'oubliez pas de mettre une première couche de base, pour éviter de colorer vos ongles, même après le dissolvant.
Maquillez vous, et mettez vos collants, ou vos bas AVANT de faire vos ongles.
Idem pour les boucles d'oreilles, sachez bien qu'avec des ongles très longs, toutes les tâches quotidiennes deviennent difficiles, voir impossibles !
^^