j'aime les scénarios avant une rencontre, même les demandes insolites.
maintenant je rencontre 2 hommes par mois , Michel 65 ans marié, je le reçois depuis plus de 2 ans, il est doux, entreprenant, il aime que je sois très soumise.
lorsque je le reçois il aime me tripoter les fesses, il me dit que je suis jolie puis il me demande de retirer ma jupe, il écarte mon string pour me lécher, il me dit que j'ai une belle chatte.je le suce dans la chambre après m'avoir doigté il me sodomise.
il aime me dire des mots crus comme ma pute, ma petite salope, cela m'excite et après m'avoir baisé dans toutes les positions, il éjacule sur mon anus et mes fesses.
l'autre homme est différent, Daniel 60 ans veuf, je viens de le rencontrer, je le reçois aussi 1 fois par mois, il est très doux, à l'écoute de mes envies, il embrasse tendrement, il me dit des mots doux comme ma petite femme, ma chérie et qu'il m'aime, il me caresse doucement les fesses par-dessus la jupe puis il retire ma jupe, mon string.
il me lèche longuement, je suis très excité. je le suce et après m'avoir doigté, il me sodomise avec douceur, il me donne beaucoup de plaisir, il éjacule sur mes fesses.
Je rencontrais surtout des hommes de plus de 50 ans avec un petit sexe .Michel un homme de 40 ans voulais vraiment me rencontrer.mais son sexe était trop gros.
Il m'a dit tout ce qu'il me fera pour bien préparé et me pénétré sans aucune douleur.J'avais peur mais j'ai accepté de le rencontrer car j'avais très envies.
Je me suis bien préparé avec des plugs anal de plusieurs diamètre.
pour le rencontrer, une tenue de soubrette: lingerie noir, bas,porte-jarretelle, chemisier blanc et jupe courte plissée, maquillage, parfum, perruque.
Il a commencé par me caresser doucement les fesses par-dessus ma jupe puis il m'a demandé de retirer doucement ma jupe
Il m'a tripoté et bougé les fesses dans tous les sens, ma longuement léché, j'étais très excité,
sur le lit, après l'avoir sucé, il m'a léché puis doigté avec du gel.
il a commencé à me pénétrer doucement allongé sur le dos, sur le côté, sur le ventre, assis sur lui, debout contre le mur, j'ai pris beaucoup de plaisir.
#Soubrettesexy!#J'aimemetravestir....
Profitant d’un
voyage professionnel d’une semaine sur Lyon, et comme j’en avais l’habitude,
j’en profitai pour me travestir seule dans ma chambre d’hôtel. Être marié et
aimer se travestir est compliqué et nécessite une organisation pour pouvoir
vivre mon fantasme secret.
En navigant
sur le web, j’avais vu qu’une soirée « Travestis » était organisée,
le jeudi soir, dans un club échangisme, qui par hasard se trouvait non loin de
mon hôtel. L’envie d’y aller était grande, mais je savais que je n’oserai
jamais m’y rendre. Surtout que l’entrée était réservé aux travesties, et aux
autres membres. N’étant pas membre, cela m’obligeait de me rendre à cette
adresse en travesti, chose que je n’avais jamais faite, et n’oserai jamais.
Idéalement,
j’étais prête à aller à cette soirée, mais en homme et de pouvoir me travestir,
une fois arrivé sur place.
L’envie
d’aller plus loin dans mon fantasme secret, me fit téléphoner à ce club pour me
renseigner.
Je téléphonais
donc et tomba sur un homme à qui je demandais si il était possible de venir à
cette soirée en homme et que je puisse me travestir à mon arrivée à l’intérieur
du club. Il me répondit que c’était envisageable, si j’avais une tenue
correcte, et que par contre je devrais payer le prix d’entrée « homme
seul » et non pas l’entrée gratuite pour les travestis.
J’étais donc
renseignée et donc maintenant à moi de me décider de franchir le pas ou
non !
Le jeudi soir
arriva, je rentrais à mon hôtel après ma journée de travail et décidais de me
rendre à cette soirée. C’était à partir de 22 Heures, j’avais le temps de me
préparer.
Je décidais de
parfaire mon épilation, et de déjà mettre mes sous-vêtements féminins,
guêpière, bas et string dentelle, sous mes vêtements d’homme. Je pris mon petit
sac de travail, dans lequel je mis ma perruque, talons, trousse a maquillage,
robe… bref tout ce qui me permettrai de terminer mon travestissement une fois
arrivée la bas.
L’heure d’y
aller arriva, je quittais l’hôtel, pris un taxi et arriva devant le club. Je me
présentai à l’entrée, payais mon ticket d’entrée en expliquant, l’échange
téléphonique que j’avais eu. On me confirma que je pouvais me rendre dans une
salle « vestiaire « pour me changer.
Je fus
rassurer en entrant dans cette pièce, de trouver une autre personne dans ma
situation, elle aussi en train de s’habiller. J’engageai la conversation et
expliquai à cette personne que c’était une première pour moi et que son aide
surtout pour me maquiller me serait extrêmement agréable. Sympathiquement, elle
m’aida à me maquiller, et même me verni les ongles… J’enfilai ma petite robe
noire laissant apparaitre mes bas, je chaussais mes talons 10 cm. Je me
regardai dans la glace… humm je me trouvais assez présentable, et crédible.
J’étais donc
un peu plus rassurée et moins stressée ayant pu me faire déjà une amie.
J’entrai donc
dans l’espace Club, et me dirigea directement dans un coin du bar. Celle qui
m’avais aidé, elle partit danser sur la piste et étant une habituée se retrouva
rapidement avec son groupe d’amis. Je restais seule, mais ce n’était pas grave,
j’avais franchis le pas, j’y étais !
Je restais un
bon moment seule dans mon coin de bar à boire mon verre, je faisais un peu
tapisserie.
Finalement, un
homme de bonne éducation vint vers moi me demander si nous pouvions échanger et
boire un verre ensemble. Je répondis bien sur oui, et lui expliqua rapidement
ma situation de travesti secrète et débutante. Que c’était ma première fois en
public, etc…
Il était très
prévenant et compréhensif. Il avait environ la cinquantaine, il était divorcé
et habitait Lyon.
Après quelques
minutes passés à échanger, il m’invita à aller sur la piste de danse avec lui.
J’hésitai lui expliquant, que je n’avais pas trop l’habitude de porter des
talons hauts et que je n’étais pas très à l’aise. Il m’invita alors à danser un
slow, avec lui.
« Cette
danse est lente et je vous tiendrai ! « me dit-il.
J’acceptai et
me retrouvais collée à lui, sur la piste de danse. C’était très agréable. Très
rapidement je senti qu’il était en érection, je sentais son sexe gonflé contre
moi… sensation agréable et un peu affolante.
« Je vois
que je vous fais de l’effet », lui dis-je !
« Oui, je
vous l’ai dit, j’aime la femme telle que vous et votre côté débutante me plait
beaucoup ! »
Il approcha
son visage de moi pour m’embrasser, je me refusai. Il m’embrassa alors dans le
cou, tendrement et lécha mon lob d’oreille…
Je me laissai
faire, c’était excitant, tellement excitant que c’est moi qui pris l’initiative
de l’embrasser sur la bouche en y mettant la langue. Il répondit à cela e
m’embrassant fougueusement et en caressant mon corps.
Humm, j’étais
une vraie femme entre ces bras.
Le slow se
termina et il m’entraina sur un canapé dans un petit recoin du club. Nous
discutions, échangions des baisers, et des caresses. Ma main caressa plusieurs
fois son sexe à travers son pantalon, j’aimais la situation.
Il me dit que
je pouvais aller plus loin, si je le souhaitai. J’ouvris donc sa braguette et
glissa ma main aux ongles peint rouge carmin, a l’intérieur de son pantalon et
commençai à caresser son sexe…
J’adorai, et
il se laissait faire en poussant quelques gémissements. Son sexe se tendait et
durcissait, j’avais envie d’aller encore plus loin et je le voyais lui aussi.
Nous étions
dans un Club échangiste, le lieu le tolérait… je sorti son sexe et approcha ma
bouche pour commencer à le lécher, puis sucer.
Ma main
montait et descendait le long de cette verge tendue, ma bouche suivait le
mouvement, léchant, aspirant, suçant… Je m’appliquais au mieux afin de ne pas
le décevoir.
Mon compagnon
appréciait me félicitant pour mon « savoir-faire »
Humm ! J’adorai
la situation, j’étais travesti, en train de m’occuper d’un homme en public.
Au bout d’un
moment, il prit ma tête entre ses mains, m’embrassât fougueusement et me
proposa :
Je n’habite
pas très loin, voudrais tu venir boire un verre chez moi ?
Je répondis
oui, sur le principe, mais lui fit part de mon inquiétude de sortir a l’extérieur
dans la rue, travestie ! Même si il était minuit, je ne sais pas si j’oserai.
Il me rassura,
sa voiture était stationnée tout près et il serait à côté de moi ! J’appréciai
sa gentillesse et son coté gentlemen rassurant ! Je pris mon courage à
deux mains et le suivi.
Je marchais
pour la première fois dans la rue au bras d’un homme, ma démarche n’était pas
très sure, 10 cm de talon oblige. Je me retrouvai a côté de lui dans sa voiture
et ne pu m’empêcher de caresser son sexe en roulant, il appréciait !
Arrivé chez
lui, il m’offrit un verre, assis dans son salon, il commença à me caresser et
me déshabiller. Je me retrouvai rapidement, en guêpière, bas et talons devant
lui. Il ôta mon string
Il caressait
mon clitoris pendant que ma bouche avait retrouvé son sexe, et je me régalais.
Je l’entendis
me dire, j’ai envie de toi Sophie !
Cette phrase
que j’attendais, m’affola un petit peu, mais je lui avais avoué que je n’avais
jamais été sodomisée, et il était très prévenant et rassurant.
Il m’entraina
dans sa chambre et me coucha sur le lit, il me caressa longuement, puis pris du
gel lubrifiant et commença à me caresser et doigter délicatement. Il
m’embrassait dans le cou, je sentais son souffle sur ma nuque, il était très
délicat, je me laissais faire et gémissais.
Il me fit
mettre à quatre patte et je le senti ce sexe que j’avais longuement sucé venir
derrière moi, je senti son gland se poser à l’entrée da ma chatte, et par
pression douce et lente me pénétrer. Son sexe entra lentement en moi, j’étais
dilatée, en confiance, il me pénétra totalement. J’étais prise, pénétrée, et ses
vas et viens devenaient source de plaisirs.
Il caressait
mon sexe qui restait tout petit tel un clitoris, en même temps, la sensation
d’être femme était totale.
Je l’entendis
et senti jouir en moi…. Son sexe gonfla et je senti les jets de son jus gicler
en moi.
Je me
retournai et l’embrassai goulument avant, de lui ôter son préservatif et de
prendre son sexe dégoulinant dans la bouche et de me régaler …
Je quittais mon
ôte ½ heure plus tard et rentrai (en homme) a mon hôtel, encore excitée de
cette belle soirée.
Mon amie s'était levé tôt et ca sentait bon le café.
j'écartais le drap, contemplais mes ongles de pieds rouge très vif qu'elle avait fait la veille ainsi que ceux des mains alors que simultanément je m'occupais des siens.
C'était rare qu'elle s'occupe de mes ongles.
Heureuse, me sentant belle, je m'étirais longuement et ma nuisette de nylon suivait les mouvements de mon corps.
Je regardai en transparence les bourgeons de seins, mes hanches qui s'élargissaient et mes fesses qui semblaient s'arrondir. J'étais nue sous le voile et ma fine verge paresseuse s'étendait mollement sur mon estomac.
Je la saisis à travers le nylon tout en essayant de me souvenir de la dernière érection véritable que j'avais eue.
Mon amie semblait se contenter de ce que j'avais à lui offrir et embrassait tendrement mon gland tout rose quand je lui avais donné du plaisir avec ma langue et mes caresses et que quelques gouttes liquides s'échappaient de mon sexe, tenant lieu d'éjaculation.
Les fins anneaux qu'elle avait disposé sur mon sexe, un à travers l'urètre, plusieurs sur le frein de mon gland et d'autres sur mes testicules, brillaient dans la lumière du matin.
Je m'assis sur le rebord du lit et enfilais mes mules à talon.
Ma toilette était beaucoup plus longue dorénavant.
Elle accordait beaucoup d'importance à mes soins intimes, j'utilisais une multitude de crèmes pour
rendre ma peau plus douce.
Dans les premiers temps elle avait pris un soin maladif à briquer la rose de mon anus, si bien qu'effectivement celui ci était devenu tout rose et étrangement sensible, comme l'étaient mes tétons
turgescents. Ainsi J' y appliquais consciencieusement les pommades, y prenant de plus en plus plaisir.
Elle m'avait donné la veille un paquet de serviettes hygiéniques et de tampons en m'en expliquant l'usage. J'avais déjà porté des serviettes lors des saignements provoqués par la pose des anneaux mais cela avait été anecdotique.
Malgré tout je n'en voyais pas l'usage me concernant et avait suivi distraitement ces explications.
Je pourrai porter les serviettes discrètement sous la culotte mais si j'étais amenée à ne pas en porter, les tampons devenaient très utiles. Certains hommes étaient très grands, énormes me dit elle en me prenant la main et me regardant dans les yeux intensément.
J'accordais un soin particulier à mon maquillage ce jour là et coiffais longuement mes longs cheveux roux. Le roux n'était pas ma couleur naturelle, mais depuis que mes cheveux avaient poussé, elle me faisait régulièrement coiffer et teindre. Le petit triangle de mon pubis était également teint pour que l'illusion soit parfaite.
Sur la chaise, je saisis la culotte affolante et le soutien gorge assorti. La culotte, très bouffante et élastique, pouvait s'appliquer à des fesses largement plus grosses que les miennes et le soutien gorge bonnet D, garni de la même dentelle que la culotte, était conçu pour une poitrine largement plus généreuse que mes pauvres petits seins.
Je les enfilais magré tout, y voyant une facétie de mon amie qui venait de faire refaire les seins.
C'était maintenant la parfaite bimbo, une poupée sexuelle.
En plus de ses nouveaux seins bonnet D, au cours des derniers mois elle avait eu une opération de lipofilling qui lui avait donné une croupe plus que généreuse, accentuant la finesse de sa taille.
Sa taille si fine elle la devait aussi à l'ablation de sa dernière paire de côtes et le port intensif de corsets
Lorsqu'elle prenait mon sexe entre ses lèvres, je ressentais leur gonflement exagéré et le froid des clous qui traversaient sa langue.
En inconditionnelle du piercing, ses tétons étaient ornés de bijoux et de délicats anneaux ornaient le contour de sa vulve dont l'un sur le capuchon de son clitoris.
Puis j'enfilais avec un soupir d'aise les fins collants Golden Lady gris souris, la robe pull verte aux genoux, ajustai la large ceinture de cuir noir et enfilai les mules rouges à talons très hauts.
Ces mules lui appartenaient, j'étais émue que pour la première fois elle me les fit porter
Ainsi parée et me déplaçant maladroitement dans ces talons vertigineux, je me rassis au bord du lit
et ajustait les collants sur le bout de mes pieds ainsi qu'elle me l'avait appris, la couture visible et appliquée juste sur les bout des orteils et la pointe renforcée légèrement plus sombre les couvrant parfaitement.
Les hommes sont attentifs à ce genre de détails chez une femme, ils adorent disait-elle.
Puis je la retrouvais buvant sa tasse de café, prête déjà.
Sa vue me causa un choc
(A suivre ...)
mais comme une amie, comme sa maîtresse.
Je ne savais plus exactement quand ca avait commencé, peut être quand elle m'avait dit qu'elle
préférait que je la fasse jouir avec ma langue ? Ou quand elle m'avait interdit d'éjaculer en elle ?
Ou quand elle avait commencé à s'occuper activement de mon corps, de ce que je portais ?
Je l'avais accompagné chez l'esthéticienne, ma pilosité avait disparue complétement disparu après
les séances laser, me laissant juste le petit triangle du pubis. A mon grand embarras, l'anus aussi fit
partie du traitement.
Et puis elle changea complètement ma garde robe, les chemises devinrent de plus en plus légères et
colorées, les manches bouffantes, les pantalons élastiques très moulants et très fins, les chaussettes
furent remplacées par des socquettes transparentes de fille en nylon et les chaussures des ballerines
ornées de petits nœuds. Cela fut complété par des parkas et vestes unisexes
Enfin elle demanda à sa coiffeuse de me faire pour l'instant une coupe garçonne - ce qui aurait du m'alerter finalement -
Nos ébats sexuels devenaient de plus en plus rare et j'étais sujet à une anxiété dont je ne comprenais pas vraiment la cause. Dans le même temps je sentais bien que le regard de mes collègues vis à vis de moi changeaient, les hommes semblaient gênés. A mon approche les discussions s' arrêtaient et les femmes me dévisageaient curieusement.
Après en avoir fait part à mon amie, celle ci me fit prendre des pilules recommandées par son
médecin. En effet, après plusieurs semaines de ce traitement, mes angoisses disparurent.
Dans le même temps, nos jeux avaient changés. Je ressentais moins le besoin d'éjaculer et avais davantage le souci de son plaisir. C'est ainsi qu'elle me présenta un jour un de ses déshabillé, une
guêpière, des bas et des mules haut talons. Nous faisions la même taille et approximativement la
même pointure ce qui facilita les choses. Devant ma gêne et mon rire gêné, elle ris à son tour
et m'aida à tout enfiler.
Je rougis car mon pénis qui depuis quelque temps restait léthargique, prit instantanément une position verticale de garde à vous.
Ainsi se passèrent plusieurs mois, peut être un an, je prenais de plus en plus de plaisir à nos jeux
travesti , moi lui offrant du plaisir avec mes caresses et ma langue et elle me masturbant de ses doigts ou de sa bouche.
Mais dans le même temps, je notais que mes érections devenaient moins fermes, au point que souvent je n'éjaculais pas alors qu'elle avait de bruyants orgasmes. J'avais pris un peu de poids ce qu'elle me reprochaient et ma poitrine semblait gonfler légèrement.
-Aïe, faisais-je quand elle pinçait mes tétons.
Il n'était plus question que je la pénètre bien sur, mes maigres tentatives en ce sens étaient immédiatement repoussées. Au contraire ma masse musculaire diminuant, elle me renversait sans mal, écartait les collants ou la culotte que je portais et, insérant un doigt dans mon anus, m'amenait sans peine au plaisir.
Et puis elle décida qu'il serait mieux que je sois toujours habillée en femme quand j'étais à la maison. Ainsi progressivement elle me refit une garde robe complète.
J'allais de moins en moins à mon travail, souvent je gardais sur moi mes vêtements féminins.
Ainsi un jour, j'y portai un body dentelle, une jupe crayon au genou, des bas chair à couture et des escarpins à talon très dénudés.
Ce fut la dernière fois que je m'y rendis, alors que les hommes devenaient pressants et les femmes souriantes.
Peu de temps après, elle m'annonça que nous irions faire du shopping entre filles le lendemain.
Je n'en fut pas choquée
(A suivre ...)
Tous les matins, à chaque fois que je m’habille, l’éternelle
question du port et du choix de la petite culotte se pose…Je ne sais jamais si
je vais être punie parce que j’en porte une ou au contraire parce que j’en ai
pas !
Cependant, je trouve très agréable de me la faire arracher,
quand mon Maître décide de me violer ou alors, après avoir reçu une fessée cul
nu, d’être mise au coin, la culotte descendue jusqu’au genoux pour une
humiliation supplémentaire.
Mais quel bonheur aussi de sortir sans, les fesses libres sous
une petite jupe qui vole au vent avec en permanence le sentiment de décadence
et la honte d’être vue. De subir les mains baladeuses de son Maître en public
et son envie perverse de vérifier les traces de la cravache qu’il vous a administré
pour avoir voulu en mettre une…
C'est plutot joli de préferer une cage de chasteté et un plug sous sa mini-jupe !
Le lendemain il etait tout gene. Pendant quelques temps on se vit plus rarement. Je me caressais en pensant a cet episode , c'etait delicieux pendant quelques mois il ne se passa rien et nous faisions comme si de rien n'etait.
Pourtant ce n'etait pas fini loin de la..Un samedi soir ou nous rentrions de boite nous discutions et il me dit qu'il y avait una salope qui l'avait allume et laisse en plan. puis le sujet devia. Mes parents etaient partis en week end. Tandis que nous roulions il essayait de me reparler maladroitement de cet apres midi brulant
J'eludai les questions mais je sentais mon clitoris durcir de plus en plus. J'essayai d'evacuer les idees et l'image
de son gros sexe frottant mon visage mais mon clitoris me disait le contraire. Tandis qu'il en parlait ma maincomme si elle etait dotee d'une vie autonome s'est egarée sur sa braguette. rien de dur mais en 30 secondes je sentis une barre d'acier qui se dessinait sur son pantalon je le massai doucement... il gemissait puis tourna brusquement dans un chemin et arreta la voiture. Un silence de plomb regnait dans la voiture.Nous n'entendions que mes doigts qui griffaient son pantalon. je deboutonnai la ceinture descendit la braguette, et decouvrit son sexe en baissant le devant de son slip il etait enorme brulant. Le prepuce etait a moitie tire et son gland etait humide et chaud. Sans une parole je le caressai doucement .Il soufflait fort et bruyamment je ralentissais le mouvement quand je sentais des spasmes puis reaccelerais ca dura une bonne dizaine de minutes. puis soudain il ouvrit la portiere , j'avais le clitoris tendu a se rompre je sentais qu'il coulait doucement, alors il descendit fit le tour de la voiture ouvrit ma porte. Je m'asseyais de cote les pieds au sol face a lui.Son sexe dresse devant mon visage, il essaya de se frotter mais comme une bonne salope que je suis et que je deviendrai je le gardais a distance et le caressais doucement,.. tres doucement, il devait en avoir mal et j'en prenai du plaisir. Dans le silence de la nuit on entendait que le bruit de succion de son sexe degoulinant tandis que je le branlai... je l'approchais doucement de mon visage et couvrit son sexe de petits baisers il gemissait et essayait de forcer ma bouche,je caressais ses gros testicules gonfles et tout fripes et les lechais je ne l'avais jamais fait, il poussait des petits cris en se debattant, c'etait agreable, j'etais un peu genee par les poils mais a l'epoque....
Il me traita de salope, je etais tres excitee et mon clitoris en etait douloureux et coulant il faut bien le dire. Je le branlais doucement , tres doucement en continuant de lecher ses beaux fruits tout fripes et durs il gemissait et couinait comme un cochon. j'avais tres envie de le sucer mais je voulais lui faire payer la premiere fois et son petit chantage alors je continuais ... ca durait , il en tremblait, quand je sentais qu'il allait jouir je serrais son sexe tres fort et j'arretais..il me suppliait de le sucer. Je restais sourde puis soudain,j'en avais tellement envie, sans rien dire je l'ai enfoncé dans ma bouche en le branlant comme une folle , quand je sentais les spasmes et son gland devenir tout lisse et bien gros... j'arretais hmmm un peu de sperme coulait. je recommencais et hmm finalement je le laissais venir il me tint la tete comme la premiere fois mais deja en bonne salope c'est moi qui donna le mouvement de ma bouche sur sa bite..il gemit, grogna, en deversant deux semaines de jus epais et brulant dans ma bouche,il y en avait trop et a regret j'en ai laisse un peu couler sur les cotes de ma bouche hmmm..ensuite je lui fis sa toilette.. avec ma bouche et ma langue,il battait encore ce salaud je recuperais tout hmmm il etait silencieux et repu... moi aussi
la prochaine fois je vous raconterai la nuit qui s'en suivit.. je dresse a ce souvenir , je vais me caresser et jouir en sentant encore sa grosse verge dressee et humide dans ma bouche
bisous