devant le bureau de Madame.
Bien que celui-ci fut capitonné, elles entendaient
distinctement les éclats de voix de l'homme qui
se trouvait à l'intérieur avec Madame.
Celui ci se plaignait que la fille avec laquelle il
était allé lui avait pratiquement coupé le sexe
en deux avec ses dents.
Il fallut l'intervention de l'infirmière de la maison
qui assura qu'il ne s'agissait que d'un tout petit
bobo et surtout la diplomatie de Madame pour
que l'homme se calme.
Enfin après s'être vu offrir gratuitement et pour un
an l'accès gratuit à tous les plaisirs de la maison,
l'homme parut satisfait et dans un grand bruit de
chaises, la porte s'ouvrit sur l'homme.
Son physique était ordinaire, mais quelque chose
dans l'expression de son visage et de tordre la
bouche entrainait l'antipathie.
Marilyn le reconnut immédiatement comme celui
que toutes les filles détestaient car il aimait faire
mal et était mauvais payeur.
Malheur à celle qui tombait sur lui et les filles
comprenaient mal pourquoi Madame, si
intransigeante d'habitude, le laissait encore
rentrer.
Quand il passa devant Marilyn, il s'arréta net et
son visage devint rubicond quand son regard se
baissa sur ventre et qu'il aperçut le petit tuyau et
au bout la petite excroissance ronde.
- Et cette merveille cria t'il vous me l'a cachiez ?
Son bras entoura sa taille fine et sa main
descendit vers son ventre quand ...
- Stop dit d'une voix forte Madame d'un ton sans
réplique.
L'homme tourna vers elle un regard contrarié
mais sa main s'arréta net.
- Cette demoiselle n'est pas une pensionnaire,
elle effectue seulement une visite chez nous
Et elle ajouta avec un faux air de confidence
- C'est la fiancée de Monsieur
A ces mots les bras de l'homme retombèrent,
ses épaules s'avachirent, il bredouilla quelque
chose d'incompréhensible et se hâta vers la sortie.
- Ignoble individu murmura Madame
- S' il n'y avait pas ta famille tu nourrirait depuis
longtemps les poissons.
Or c'est ce qu'il advint, et cela les filles l'apprirent
plus tard, occasion d'ouvrir une bouteille de champagne,
car son oncle, immensément riche et qui détenait
par ricochet la fortune de la famille, fut pris dans
un énorme scandale financier qui entraîna à la fois
son suicide et celui plus ou moins librement consentie de toute sa famille.
La fille qui avait mordu le sexe se remit difficilement de la blessure que l'homme lui avait
infligée. En effet elles apprirent que lorsque elle
avait mordu l'homme, celui ci lui insérait une bouteille de champagne dans le vagin par le cul,
lui causant des déchirures graves des parois
vaginales.
Se retournant tout à fait vers les deux jeunes filles
Madame fronça de plus belle les sourcils.
- A nous deux Marilyn dit elle
- Entrez toutes les deux, je vois que tu à fait
connaissance avec Agnès, ajouta t'elle
- Sache qu' Agnès c'est moi, tu dois lui obéir en
tout comme tu m'obéirait. Tu as compris ?
- Oui Madame, répondit Marilyn avec une petite
révérence.
Quand elle plia le genou en avançant très légèrement
la jambe elle grimaca et étouffa une exclamation
de douleur
- Aïe mes fesses pensa t'elle
- pour une piqûre sans douleur ça fait très mal.
Et trois fois par jour en plus elles veulent me tuer !
- Bien approche Marilyn ou plutôt madame Marilyn.
Marilyn rougit et la tirant par le bras Madame l'attira contre elle. Passant sa main sous la fine
combinaison bleue elle continua
- Je ne comprend pas comment tu as pu lui plaire
ma petite fille, tu n'as pas de fesses, tu n'as pas de
seins, comment as tu fait ?
Marilyn était rouge comme une pivoine et Agnès l'
observait en souriant.
- J'ai une trentaine de filles ici qui sont mieux
faites que toi, enfin ...
Et elle retira sa main en laissant retomber la
combinaison.
- Allez, baisse tes jolis collants et vient t'allonger
sur mes genoux que j'observe ce miracle !
Un peu génée par la présence d'Agnès, Marilyn
s'éxécuta et les collant sur les genoux, elle se
hissa sur la pointe des pieds dans ses mules et
se pencha sur Madame jusqu'à être allongée sur
ses jambes.
Madame souleva à nouveau sa combinaison
et dégraffa le body de Marilyn entre ses cuisses
ce qui libéra ses petits testicules et le bijou de
sa verge .
Auscultant ses fesses, entrouvrant légèrement
son anus de ses deux mains, Madame s'exclama
- Un miracle, c'est un vrai miracle qu' il ne t'ai pas
tuée, déchirée en deux, pourtant il m'a assuré
t'avoir goûtée
La voix assourdie de Marilyn lui parvint d'en dessous
- Il n'est pas rentré en moi complètement.
Sa voix était un murmure
- Oui je vois que tu es légèrement distendue
répondit Madame en insérant facilement
sa main dans l'anus de Marilyn
Comme un réflexe, son bijou vint se plaquer sur
son ventre faisant cliqueter les anneaux
Madame rit franchement et regarda Agnès en
souriant.
- Oui ça n'est pas mal ma chérie. Et lui donnant
une nouvelle claque sur les fesses lui ordonna
de se rhabiller puis d'une voix sérieuse.
- Nous avons encore énormément de travail à
faire, je ne sais pas si tu te rends compte de la
chance que tu as Monsieur est immensément riche
et il a fixé sur toi son choix. Mais si tu n'est pas
prète à temps, sa virilité te tueras je le sais.
Aussi prépare toi la prochaine année va être très
difficile pour toi et tu vas beaucoup souffrir.
Mais au bout il y a la récompense : devenir la
femme de Monsieur !
Dans dix jours tu vas subir une première opération
et d'ici là Agnès t'administrera trois piqûres par jour
Elle sortit une espèce de cylindre mêtallique
d'une trentaine de centimètres de circonférence
et autant de longueur.
- Ceci est un spéculum réglable grâce au petit
mécanisme que tu vois là. Agnès te l'appliquera
dès ce matin et tu le gardera nuit et jour jusqu'à
ton opération. Nous reprendrons ensuite.
Si tu peux atteindre quinze centimètres d'ici là
et que ta chatte reste ouverte sans le spéculum
nous pourrons vite atteindre des dimensions très
respectables, l'ouverture de tes chairs étant provisoire le but final étant d'assouplir tes muscles.
Elle saisit la petite verge qui pendait sous la combinaison, Marilyn n'ayant pas eu le temps de
ragraffer son body ni de remonter son collant.
- Bien Agnès va retirer ton bijou, dit elle .
Elle saisit à travers le voile l'anneau qui perçait le gland et tira légèrement. Marilyn grimaça.
- Par contre, ajouta.t'elle encore, interdiction de te
donner du plaisir toute seule ou avec les autres
filles. Marilyn baissa les yeux et rougit à nouveau.
- Et pour ce faire conclut elle en présentant un
nouvel objet constitué d'un anneau, d'une tige d'une douzaine de centimètres, d'un capuchon et
d'un cadenas
- Tu portas ce mécanisme qu' Agnes va t'installer
Monsieur aura seul la clé.
Ah et il vient te voire dans deux mois
Allez file !
(A suivre ...)
Le Mur