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L'ÉDUCATION DE MARILYN, CHAPITRE 8, UN ROMAN PORNOTIQUE PAR CAROLE LE VICE from Blog de lilileet

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La nuit suivante, Marilyn eut beaucoup de difficultés à trouver le sommeil.

La journée avait pourtant été exténuante, aprés la convocation de Madame.


Tout d'abord un énorme colis avait été livré pour elle, qui contenait énormément

de lingerie et des chaussures principalement à talons, des sandales, des mules, 

des escarpins, toutes rivalisantes de féminité. Quelques paires de ballerines et de

talons plats, toutes plus mignonnes les unes que les autres. Aidée d'Agnès, les deux

jeunes filles rangèrent tout cela dans sa penderie, Agnès prenant l'une après l'autre

les fines culottes toutes transparentes, garnies de dentelles, s'exclamant à chaque

fois devant leur douceur et leur finesse. Les deux jeunes filles se rendirent compte que,

de même que les soutiens gorges, beaucoup étaient beaucoup trop larges pour Marilyn.

De la même façon, les nombreuses guépières et bodies. 

Agnès, qui avait une poitrine plus développée que Marilyn, plaquait contre sa poitrine les

nombreux soutien gorges garnis de dentelles, transparents, parmes ou noirs et elles 

pouffaient devant leur taille.

Marilyn rangea soigneusement, par couleur, par motif, les nombreuses paires de bas et de

collants du paquet, les deux filles s'extesiant devant leur finesse.


Un incident s'était produit alors que le gardien et son plus jeune fils déposaient le

paquet dans la chambre de Marilyn. 

Le gardien devait avoir l'àge de la maison et sa vue n'était plus très bonne. 

Son fils, par contre, était grand svelte et musclé. Petits enfants, Lui et Marilyn avaient

partagés leurs jeux. Il était très beau et avait de magnifiques yeux vert émeraude.

Les hommes n'étant  jamais admis dans cette partie de la maison cela donnait une

tonalité particulière à leur venue.


Marilyn était toute réjouie à la vue de son ancien camarade de jeu, Madame ayant 

décidé qu'ils ne se verraient plus quand il eut atteint l'age de la puberté et Marilyn

celui de la danse et des tutus.


Pierre baissait les yeux, occupé à manipuler la charge et à ne pas la regarder. Agnès

non plus ne le quittait pas des yeux, comme toutes les filles de la maison elle aimerait

bien être très ggentille avec lui.


Or il advint qu'un tournevis s'échappa de la poche du garçon. Toujours souriante,

Marilyn se précipita pour le ramasser. Bien malgré lui, le garçon vit alors son derrière 

alors qu'elle sétait penchée.


Il vit le derrière de la superbe Marylin, à travers le voile d'une combinaison bleue brodée

qui lui arrivait aux chevilles, perchée sur de hautes mules argentées, portant un body

et des collants, il vit la raie de ses fesses aussi clairement que si elle avait été nue.


Il baissa la tête immédiatement, mais ses joues étaient devenues toutes rouges et il

émit un gargouillis quand elle déposa le tournevis dans sa main.

- Bonjour Pierre dit elle


Il releva alors brusquement la tête pour répondre et la regarda une fraction de seconde

dans les yeux

- Hum fit Agnes

- C'est bon messieurs nous allons pouvoir nous débrouiller seules maintenant

Et comme le garçon baissait de nouveau la tête et se retournait pour s'en aller, son

regard se posa sur le petit bijou que Marylin portait sur son ventre, le petit tube de 

son pénis et la petite boule rose qui le surmontait. Il rougit encore violement

et son père le tirant par le bras, sortit.


- Hum fit de nouveau Agnes,

- Espérons que ca n'arrive pas trop souvent ou notre Pierre va succomber d'apoplexie

ce disant elle caressa les fesss de Marilyn à travers les voiles et celle ci se rendit compte

tout à coup de sa nudité qu'elle avait presque oubliée

- Oh fit elle 

- Quelle honte, qu'est ce qu'il va croire. Et elle se mit à sangloter

Agnès alors s'approcha d'un coup devant elle et saisissant dans sa main les petites 

olives de ses testicules et les tordant, asséna fermement

- Séchez tout de suite ces larmes, si cela vient aux oreilles de Madame, vous serez punie

et si cela vient aux oreilles de Monsieur ...

- Marilyn mit sa main aux longs ongles rouges devant sa bouche et s'interrompit

instantanément.


- Bon, dit Agnès il est l'heure de votre deuxième piqûre, suivez moi.

Et Marilyn, grimaçante, la suivit dans le chaloupement de ses hauts talons et des voiles 

bleus de sa combinaison.


L'après midi fut consacré à la pose et au réglage du spéculum.

Malgré les objections de Marilyn, Agnès tourna et tourna la vis

qui en réglait l'écartement bien après que les grognements de Marilyn

se soient transformés en cris et en pleurs.


Ainsi cette nuit là, Marilyn ne put pas dormir.

Agnes la fit coucher nue sous un long déshabillé de voile noir,

et elle se tournait dans tous les sens pour échapper à la sensation intolérable 

que le vent s'engouffrait en elle par l'ouverture béante de son anus.

De plus elle avait bien trop chaud, bien qu'elle fut pratiquement nue


Alors qu'elle l'aidait à retirer ses mules assise sur son lit, Agnès lui fit

observer qu'elle semblait avoir une érection, que cela était sans doute dû

au frottement du voile de son déshabillé sur son anus, sans mentionner les

piqûres dont d'ailleurs Marilyn ignorait la raison exacte, mais qu'il lui était

interdit de se caresser, ordre de Monsieur, qu'Agnès le saurait tout de suite

le lendemain en touchant ses draps de soie et qu'elle installerait dès le

lendemain le mécanisme de chasteté


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Par lilileet
Ajouté Aoû 2 '20

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