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lilileet
Sa main toujours sous les fesses rebondies de

Marilyn, Monsieur pressa un bouton discret sur 

sa portière et un écran noir sépara la cabine du chauffeur du reste de la limousine.


Alors dans le silence et l'intimité nouvelle,

Monsieur ordonna :

- Déshabille toi et suce moi maintenant


Malgré son ton péremptoire il n'éleva pas la voix.

Obéissante, Marilyn fit glisser sa jupe et passa son body par dessus la tête. 

Ses gros seins libérés ballotèrent et se tendirent devant elle. Puis elle roula ses bas sur ses chevilles et s'en débarassa.


Puis s'étant mise à quatre pattes sur la banquette,

d'une main elle ouvrit la braguette de Monsieur et de l'autre en coupelle, elle dégagea les grosses

 couilles du slip et l'énorme bite.


Baissant la tête, elle lécha le gros gland et le mât comme on lui avait appris. Le sexe pris

 rapidement des dimensions monstrueuses.


 Monsieur, saisissant Marilyn par les hanches, la 

souleva sans efforts et elle se retrouva accroupie 

sur ses cuisses , ses petits pieds aux ongles peints,

aux orteils bagués, reposant de part et d'autre, faisant face à l'écran noir, les paumes appuyées

sur l'écran, montrant à Monsieur sa large croupe.


Monsieur avait face à lui ce cul majestueux, qui 

avait été façonné pour lui, il tenait par ses si fines 

hanches cette fille superbe et elle était à lui.


Il donna un baiser léger sur les lèvres pulpeuse de son anus refermé, sentit frémir la fille.

Elle était à lui, il allait franchir les limites du plaisir avec tous les moyens dont il disposait.


Perdu dans se pensées lascives il pris 

entre dans ses mains les gros melons de ses seins.


Jusqu'ici elle avait extrèment bien réagit  à ses 

traitements, il voulait aller plus loin, beaucoup 

plus loin.


Entre ses doigts il serrait les tétons, l'entendit

 gémir. Il saisit les anneaux qui traversaient ses tétons et elle laissa échapper un petit cri quand 

il tira.


Ses seins étaient tendus droit devant elle, tirés

 par les mamelons.Les mains de l'homme qui

tenaient les anneaux reposaient maintenant sur

 l'écran de séparation.


Elle respirait plus vite, par petits coups pour ne pas

se laisser envahir par la douleur. Machinalement 

ses jambes pliaient davantage, son anus frôlant 

l'énorme gland de Monsieur.


Devant ses yeux, les lévres pulpeuses de l'anus 

de Marilyn frémissaient mais restaient énergiquement fermées.


Monsieur lacha d'un coup les anneaux de ses

 seins et Marilyn poussa un large soupir. 

Une de ses mains rejoignit les hanches tandis que

 l'autre s'insérait entre les cuisses de Marilyn.


Il saisit entre ses deux doigts la fine verge de 

Marilyn. Lui redressant légèrement le bassin,

 il appliqua un profond baiser sur les lèvres

 pulpeuses de son anus, y forçant sa langue

 tandis qu'il masturbait la petite verge.


Rapidement la petite verge de Marilyn durcit, se 

 recourba et se plaqua contre le bijou de son nombril, elle gémissait et lentement, son anus 

s'ouvrit.


Naturellement, presque sans qu'il ait besoin de la 

guider, Marilyn se plaça à la verticale du sexe de

 Monsieur. Elle se baissa jusqu'à ce que son anus 

vienne caresser l'énorme gland et miracle de la 

chirurgie, l'avala goulument. 


Les doigts de Monsieur s'agitaient de plus belle

 sur la petite verge et Marilyn, affolée de plaisir

 craignait que son gland éclate tant, comprimé

 qu'il était par l'anneau qui l'enserrait, il était gorgé

 de sang.


N'en pouvant plus, Marilyn s'empala d'elle même 

sur le pieu de Monsieur. Elle respirait par saccade 

quand elle crût en avoir atteint l'extrémité 


Mais monsieur avait devant ses yeux ce

 spectacle.Il relacha la petite verge tendue, 

tâta la petite mandarine que formait le gland 

et ses mains rejoignirent toutes deux les hanches 

de Marilyn.


Sans effort, Monsieur fit glisser Marilyn le long de 

son mât, les mouvements de va et vient la 

faisaient descendre de plus en plus bas 

Elle avait été bien élargie mais pas 

suffisement encore et elle ne lubrifiait 

pas encore assez 


Monsieur sentit qu'il était tout proche de 

l'ogasme. La petite verge rigide de Marilyn 

était plaquée contre son ventre, son gland 

gonflé à éclater. Elle gémissait.


D'un coup sec, il s'enfonca entièrement en elle.

La croupe généreuse de Marilyn rebondit contre 

les cuisses de Monsieur.


Elle cria.


Un fin jet de liqueur mélée de sang s'écrasa contre

la paroi. Le ventre de Marilyn s'emplit du sperme 

épais de Monsieur tandis que de son cul

s'échappait une petite mare de sang clair.


Baissant les yeux, Monsieur était contrarié


Mailyn gémissait toujours, empalée une

fois encore sur le sexe de son maître.


Quand il se retira d'elle, elle voulu s'allonger 

à côté de lui mais il lui ordonna de le nettoyer 

de sa langue et ainsi, nue, à quatre pattes, alors

 que le foutre brûlant de Monsieur mélé à son 

sang s'échappait encore d'elle, elle lécha le ventre, et le sexe de Monsieur.


Peu après qu'elle eut finit de le nettoyer et lui de

se reboutonner, elle encore nue, le chauffeur 

la fit sursauter en annoncant qu'ils arrivaient.


Son regard de biche effrayée essaya de trouver 

 celui de Monsieur 


(A suivre ...) Carole le Vice Le 11 Mai 2021



















































lilileet Mai 11 '21 · Voter: 5
lilileet
Ainsi Monsieur avait soustrait Marilyn à la maison close où elle avait toujours vécu et avait

reçu son éducation ainsi que peu à peu les traitements qui avaient fait d'elle une superbe 

jeune femme. Car Marilyn était née garçon mais suivant la volonté de sa mère était devenue

fille, couvée qu'elle était par toutes les filles de la maison, par la mère maquerelle un peu sorcière

qui avait dispensé les traitements de sa transformation et par Monsieur, qui avait décidé très tôt queMarilyn serait sa femme.

La dernière année avait été très éprouvante pour Marilyn, son corps avait été sculpté selon les

 désirs de Monsieur, sous le regard effrayé de sa mère qui comprit trop tard que Monsieur, loin des

 sentiments charitables du départ, était un monstre pervers qui avait fait de sa fille un pur objet sexuel


Non seulement avait elle reçu des traitements de chirurgie esthétique qui l'avaient doté d'une très forte poitrine, son bassin avait été élargi, des côtes enlevés, ses lèvres gonflées et horrible détail

une partie de la production de ses testicules redirigée vers son anus. Sa mère avait manqué devenir follle en l'apprenant et elle vivait maintenant dans un brouillard rempli d'hommes qui venaient se

servir de ses charmes. Elle apprenait par bribes des autres filles d'autres détails monstrueux qui

maintenant la laissaient indifférente. Comme ces injections qui avaient rendues trés pulpeuses les

lèvres de son ... pénis et de son ... anus. Elle avait appris que le canal de son urêtre avait été

très élargi, donnant aux lèvres de son gland l'aspect d'une bouche entrouverte, elle n'osait deviner

pourquoi. Elle avait appris que l'orifice de son anus avait été considérablement élargi, de façon

permanente également.


Des larmes coulaient lentement de ses joues tandis que le visage appuyé contre une fenêtre, 

elle vit partir pour toujours sa pauvre petite fille accompagné du monstre qui était son mari.


Seule elle pensait à ele comme une petite fille, tous les autres qui virent partir Marilyn ce jour là

virent une superbe pute, une rare bimbo aux fesses épanouies, à la démarche chaloupante, montée

sur des mules à talons aiguilles interminables, vétue d'une mini jupe qui découvrait le haut de ses

bas, avec de très gros seins bandés, un visage et des cheveux magnifiques, curieusement les

yeux baissés et tenue par la main par un colosse.


Marilyn était comme anesthésiée, tandis que Monsieur, lui tenant fermement la main, se dirigeait

vers une grande limousine où attendait patiemment un chauffeur en livrée. Celui-ci, retirant sa

casuette, ouvrit la portiere, tandis que Monsieur poussait Marilyn à l'intérieur de la voiture.

Monsieur ayant pris place à son tour du côté opposé, la portière claqua.

- A la maison, Georges

dit il tranquillement tandis que sa main ressaisissait celle de Marilyn. 

Elle releva enfin les yeux. Sous ses fesses elle sentait le contact froid du cuir.

Elle vit que le chauffeur la regardait dans le rétroviseur, ou plutôt qu'il regardait son entrejambe.

Sa mini jupe remontée ne cachait presque rien de son intimité, le haut de ses cuisses, blanches et

charnues au dessus de la lisière des bas, les attaches dorées des jarretelles et dans l'ombre le

reflet brillant d'un anneau et une boule rose.

Elle vit que son visage couperosé devenait pourpre ainsi que son gros cou, que ses grosses mains

serrérent très fort le volant et que les jointures devinrent blanches.

Instinctivement elle passa la main sous ses fesses, saisit l'extrémité de son body que Monsieur

avait défait plus tôt dans le bureau de Madame et, libérant son autre main de l'emprise de

Monsieur, saisit l'autre extrémité du body afin de réajuster les boutons pression, couvrant son

intimité, son anus et son pénis.

- Non !

ordonna Monsieur 

Et ce disant, glissant la main sous sa jupette, de deux de ses énormes doigts il saisit son gland 

rose et tirant, étendit la petite verge de Marilyn sur la banquette. Puis en souriant, de ses deux

doigts saisit les testicules et les reposa de chaque côté de la verge. Et Marilyn suivant la main du 

regard, le vit ressortir de sa poche une laisse dont il accrocha promptement l'extrémité à l'anneau

qui traversait le gland de Marilyn tandis qu'il liait l'autre extrémité à un autre anneau beaucoup 

plus gros fixé dans le dossier du siège devant elle.


Plus que son humiliation, elle était fascinée par cet anneau fixé dans le siège, comme si cela était

naturel, qu'il était normal et habituel qu'elle se trouve ainsi entravée.


Le silence s'installa dans l'habitacle, Monsieur ferma les yeux, sembla dormir. 

Le chauffeur fixait maintenant sans aucune gène l'entrejambe de Marilyn. Il se tortillait

sur son siège, Marilyn était sûre qu'il se masturbait. Elle préféra regarder par la fenêtre,

elle savait que l'homme regardait, entre ses jambes gainées de bas, sa fine verge entourée des

des petits testicules, le gland rose et l'anneau.


Au bout d'un long moment, sans ouvrir les yeux, Monsieur dit

- Ca vous plaît, Georges

- Oui 

répondit celui ci d'une voix rauque

- Donne moi tes pieds

ordonna t'il à Marilyn


Elle retourna la tête et obéit, quittant ses mules elle se retourna à demi vers Monsieur, son

pénis toujours entravé et posa ses pieds sur les cuisses de Monsieur, sa jupe totalement

remontée à présent, son sexe complètement découvert. Dans le mouvement un de seins pointa tel

un obus sous le fin body noir, le téton saillant tel une petite verge tendant le nylon. Ses larges

fesses blanches apparaissaient également ainsi que le large orifice de son anus.


Le chauffeur avait les yeux exorbités et une de ses mains avait quitté le volant.


Monsieur saisit les petits pieds gainés de Marilyn, appliqua des baisers sur leur plante et les lécha.

Marilyn fermait les yeux, le plaisir mélé de honte était intense, elle sentait ses seins gonflés et durs

son anus qui palpitait. Elle repensait à la nuit précédente, à tout ce que Monsieur lui avait fait 

subir, toutes ces choses inommables qu'il avait fait et qu'il lui avait fait faire. Et elle savait qu'elle

était à lui et qu'il ferait d'elle ce qu'il voulait. 


Pourtant, dans la position où elle était, son intimité ainsi dévoilée, elle nne voulait pas offrir à ce

chauffeur repoussant, l'image de sa plus grande humiliation. Elle savait qu'il avait les yeux fixés

sur l'ouverture béante de son anus qu'elle sentait palpiter. Pourtant son sexe bien visible retenu

par la laisse à demi tendue ne reflétait pas le plaisir qu'elle prenait et elle en ressentait de la fierté

dans son humiliation. 


Alors Monsieur, semblant lire dans ses pensées, eut un sourire malicieux et, approchant les pieds

de Marilyn de sa bouche, lécha doucement ses orteils à travers le nylon, les goba, les suça, découvrant les bijoux dont chaque orteil était paré.


Une vague de plaisir foudroyante atteignit alors Marilyn

- Non,non

pensa t'elle.


Mais déja son fin pénis s'allongeait, se redressait en se recourbant, ses petits testicules dégagés

de son ventre à présent se dressaien fièrement, la laisse se tendit


Elle sentit sous elle une petite flaque se former et elle gémit en murmurant

- non, non


Alors la voiture fit un écart et elle entendit un grognement. 

-Ca y est 

pensa t'elle 

- L'autre brute a éjaculé

Elle n'eut pas le temps de penser davantage, déja la grosse main de Monsieur était sous ses fesses 

et tâtait appréciativement la surface de son orifice anal. 

Il détacha la laisse de son gland et la verge retrouva sa forme initiale. Seul le gland de Marilyn,

contraint par l'anneau qui l'enserrait, restait anormalement gonflé et noir par le sang qui le gorgeait


(A suivre - Carole Le Vice alias lilileet Le 7 Mai 2021)





lilileet Mai 7 '21 · Voter: 5
rose2802
Coucou à tous et toutes,


Beaucoup s'inscrivent sur ce site en se disant qu'il n'y a personne pour filtrer les photos qu'ils posent.

Ils pensent que c'est une galerie de photos, tout simplement....

Quand on prend le temps de converser, ce sont toujours les mêmes questions et réponses  que je dirai  préparées à toutes conversations, " t'es bonne" je vais t'enfoncer " et j'en passe de meilleures et plus dévergondées.

Les vantards se vantent d'avoir perforé un collant avec leur "jouet de famille", je connait la résistance du fil nylon pour avoir vu les résultats dynamiques à la traction ; mais de plus les slips sont en double- fils , vas y pour passer cela avec ton engin en peau et animé de la pression sanguine, tu peux bourrer tant que tu veux; tu n'arriveras même pas à filer le slip...

Un grossier personnage "Jiral" m'a insulté en MP pour avoir dénoncé ses photos outrancières, je lui souhaite de ne jamais le rencontrer , il aura le bonheur de connaître qui est "la truie rose" selon ses écrits, c'est son avis personnel et je m'en fout.

On préfère dès lors à choisir des profils qui nous conviennent entièrement , si on est loin l'une de l'autre à discuter en toute sympathie, comme beaucoup me connaisse, c'est dans mon esprit d'être sympa, prête aussi à vous aider, par du réconfort pour celle qui ont une santé fragile, par des conversations de personnes qui sont assez isolées qui n'osent pas devenir une femme , au départ par  un travestissement correct et crédible; il ya des essais à réaliser, mais aussi des petits détails à peaufiner...

Les vieilles chipies comme moi, les connaissent ces secrets, j'ai été coiffée et maquillée pendant un certain temps par les services d'un théâtre très connu où je jouait un rôle féminin en dépannage pendant 3 ans!!!!, donc j'étai crédible, parce que j'ai appris à me maquiller seule après quelques semaines.

Cela m'a servi aussi pour filer mon ex qui ne présentait plus les enfants et un domicile introuvable pour les services de la justice....

Elle a été étonnée de trouver devant sa porte gendarmes et assistantes sociales du service de la jeunesse... 

Elle a plus d'un tour dans son sac la vieille chipie, croyez moi, 

Les gens mal élevés , imbus de leurs personne et autres chasseurs de sexe, n'ont pas tous leurs place dans ce site, il y a des sites plus crades pour ce genre de personne , ce qui leur donneront une entière satisfaction .

J'ai fini mon caca nerveux , comme beaucoup vont le penser, mais il fallait que cela soit écrit .

Bises à vous toutes, les "indéfinis", passez votre chemin, il y en a des milliers de sites pour vous ,où l'anarchie est la règle.



rose2802 Avr 3 '21 · Voter: 5 · Commentaires: 4
lilileet
Malgré les somnifères qu'Agnès, magnanime, lui avait donné pour la nuit précédent la venue de

Monsieur, Marilyn avait eu beaucoup de peine à trouver le sommeil. L'excitation, l'appréhension,

la peur se mêlaient. Surtout ne pas faire de rêves érotiques, pensait elle en se pinçant le bras.

Agnès l'avait laissé dormir nue en la prévenant que c'était certainement la dernière fois qu'elle ne portait que sa guépière


Au matin, après sa toilette et son maquillage, qui comprenait outre son visage, la peinture de ses

ongles, de ses lèvres et de sa chatte, Agnès l'attira d'un coup à elle en la tirant par les tétons.

-Aie fit Marilyn, mais pieds nus et entrainée par ses seins, elle bascula sur Agnès qui lui appliqua sur les lèvres un long baiser mouillé tout en malaxant les tétons durcis. 

- Au revoir ma belle, ma mission est finie, tu est à présent la poupée d'amour de Monsieur. Comble

tous ses désirs et nous nous reverrons peut être, rit elle en jetant un regard appuyé sur la tomate qu'était devenu son gland.

Et elle la laissa là, nue sur les dalles froides.


Les yeux dans le vague et ne pensant à rien, Marilyn resta là un long moment sans bouger.

Puis, saisie par le froid, elle se ressaisit soudain et sur la pointe des pieds courut dans sa chambre 

et vers ses nombreuses penderies


Les découvrant l'une après l'autre, elle ne faisait pas un geste. Elle était dans un grand état d

confusion. C'était la première fois qu'elle s'habillait seule, qu'allait elle mettre, et puis Monsieur

viendrait ce soir, c'était certain, comment devrait elle être habillée pour cette rencontre. Son regard tomba sur les tiroirs aux collants, débordants. Il y

en avait des centaines. Elle se mordit les lèvres. Non, pas tout de suite pensa t'elle, sentant, plaquée contre son ventre, la tomate qu'était son 

gland et le froid cabochon qui le surmontait. Non,

se répétat elle, je ne le supporterai pas. 

Elle enfila une large culotte en dentelle blanche,

transparente et très douce, couvrant ses larges

fesses et son sexe au très fin pénis surmonté de

l'énorme gland et du cabochon. Elle eut un 

Soupir de satisfaction et sous le voile léger de

la culotte les lèvres de sa chatte se détendirent,

le disque noir en son centre s'élargissant largement, comme aspirant la culotte . Elle le sentit et tenta de contrôler cette sensation de bien être. Elle choisit rapidement une jupette, un top en tulle rose qui laissait voir ses gros seins,

allez, pas de soutien gorge rit elle intérieurement,

elle enfila une paire de ballerines bleues qui découvraient largement ses petits pieds

et sans plus y penser, courut vers le parc.


Elle marchait d'un pas léger dans le parc, les yeux fermés, aspirant de grandes bouffées de cet

air léger de septembre, son visage tendu vers le soleil,la poitrine dressée fièrement, ses tétons 

durcias transperçant le voile de son top rose, sa jupette se soulevant par instant dévoilant la transparence et la dentelle de sa culotte. Au détour de l'allée elle se laissa tomber sur le banc.


Elle savait qu'il était là, quelque part dans les arbres et qu'il la regardait. Elle rejeta la tête en

arrière, ses seins se soulevant, elle écarta un peu les jambes. Elle crut entendre frémir le  feuillage.

Elle était sûre qu'il l'observait, écarta plus largement ses jambes. Dans l'ombre de la jupette, on

pouvait distinguer l'éclat vert de la pierre qu'elle portait sur le gland. 


Elle souriait de son audace, elle avait oté sa guépière. malgré cela, sa taille restait très fine, mais

elle ne sentait plus ce carcan permanent.

Soudain et alors qu'elle avait toujours les yeux fermés, elle sut qu'il était là, derrière elle.


Deux énormes mains saisirent ses seins. Elle eut un cri de surprise. Elle ouvrit les yeux, pleine de confusion alors que dans un même instant elle pensait que Pierre avait vraiment des énormes

 mains. 

Monsieur la fixait, ses yeux fixés dans les siens, un large sourire sur sa face si dure,les larges

seins de Marilyn emprisonnés dans ses énormes mains laissant filter ses tétons dans l'intervalle de 

deux doigts a travers le tulle de son top. Il resserra sa poigne, pressant les seins et perçant les

 tétons. 

Sa bouche baillonna la bouche de Marilyn étouffant son cri de douleur de de surprise. Elle avait 

toujours la tête renversée et gémit comme il resserrait encore son étreinte, sa langue fouissant

profondément dans sa bouche, les tétons durcis pincés entre ses doigts.

Malgré sa honte, elle pouvait sentir son anus se dilater sous la culotte, la tendre encore, la fraicheur

du courant d'air aspiré par sa chatte qui s'ouvrait largement, son gland qui sous la jupette , poussait

sur la culotte. Elle voulait crier, mais sa bouche était baillonnée.

Et Monsieur, d'un mouvement souple, vint s'asseoir à côté d'elle. En cet instant et dans sa confusion, elle pensait à Pierre, qui la haut, perché sur son arbre, regardait.

Monsieur, l'embrassant toujours, lacha ses seins, un bras entoura sa taille si fine et l'autre

s'enouffra sous la jupette. Il relâcha légerement son étreinte, murmura un 

- coquine 

quand il sentit qu'elle ne portait pas de guépière, tordit la bouche en une éspèce de sourire

et lui saisit le gland.

Marilyn sursauta. Monsieur avait saisit son gland et le caraissait

- mhmhm 

gémit Marilynn

Elle sursauta de douleur quand soudain il pressa son gland. Sa bouche étant baillonnée elle n'émit

qu'un faible murmure en se débattant. Mais elle avait beau se tortiller, la pression du poing fermé sur son gland s'accentuait et elle crut défaillir tandis que Monsieur lui murmurait

- Tu es à moi tu le sait. tu m'appartient

- Oui, oui répondit elle dans un souffle.


Soudain tout s'arréta, Monsieur, qui avait relâché sabouche, relacha son gland mais lui tenant

 toujours la taille lui orsonna de se lever, d'ouvrir sa braguette et de sortir son membre.

Marilyn se redressa et d'une main tremblante dégagea le sexe monstrueux dont elle faisait à peine 

tour. Monsieur bandait et les 30 centimètres de son pieu se dressèrent devant les yeux hagards de

Marilynn. 

Docilement Marilyn laissa Monsieur retirer sa culotte et l'attirer à lui entre ses jambes écartées.

Il posa la main sur son anus en la fixant . Malgré la souffrance qu'il venait de lui infliger, sa chatte était entrouverte et sous la pression de ses doigts, palpitante, s'ouvrit largement.

Saisissant des deux mains sa taille, il la souleva sans effort et amenant son sexe à hauteur de son 

visage, il l'avala goulûment et de sa langue lécha longuement le gland. 

Marilyn crut que son gland allait éclater tant il gonflait et se rendait la peau. Maintenue en l'air,

elle battait l'air de ses jambes sous l'effet de l'excitation.

Enfin, l'amenant à la verticale de son pieu, il la laissa redescendre doucement. 

Marilyn sentit l'énorme gland contre sa chatte. 

Ramenant la tête en arrière elle émit un long gémissement. Son corps entraîné attendait cela depuis si longtemps. Elle s'abandonna toute entière à son plaisir. Sa liqueur lubrifiait abondamment tandis que très doucement, le sexe monstrueux s'enfonçait en elle.

Elle replia ses jambes, se débarrassa de ses ballerines et reposa le dessus de ses pieds sur les cuisses de l'homme. Sa petite verge tendue reposait sur la poitrine de l'homme tandis qu'il regardait le gland de Marilyn qui semblait têter son cabochon comme un bébé son biberon.

Elle descendait toujours sur lui. Ainsi des 15 premiers centimètres. Elle avait reposé les mains sur ses épaules et enfoui son visage dans son cou . 

Haletante, elle se sentait remplir par le sexe de son maître et l'inondait de sa liqueur de femme.

Sa respiration s'accéléra quand 20 centimétres du pénis furent en elle et commença à gémir tandis qu'elle descendait toujours. 

Enfin son long gémissement se transforma en cri tandis que les derniers centimètre de l'énorme pénis s'enfonçaient en elle. Le souffle court, elle

avait rejeté la tête en arrière et son cri était devenu râle. A présent ses larges fesses reposaient sur les cuisses de Monsieur.

La fontaine qui s'écoulait scellé était un mélange 

de sa liqueur et de sang. Elle n'avait pas été préparée à cela. Elle se souvenait dans un flash de la rousse de la clinique et de ses énormes dildos. Et elle sut que c'était volontairement que jamais elle n'avait été possédée par quelque chose d'aussi gros 

Mais elle n'était pas morte , elle était remplie par le sexe de l'homme qui pressait contre son coeur, lui coupait le souffle et triomphante elle baiss la tête.


Il souriait et prenant les fesses de Marilyn à pleines mains, il commença à la soulever.

Elle s'abandonna aux vagues de plaisir qui la submergeaient, tandis qu'elle était à nouveau hissée au sommet du mât. 

Là, une fois qu'à nouveau le gland de Marilyn fut

devant le visage de l'homme il le mordit cruellement. Marilyn eut un long cri de douleur

 tandis que du sang s'échappait de son gland blessé et des larmes coulèrent sur se joues. 

Alors l'homme lécha la plaie et du bout des dents

ôta le cabochon qu'elle portait. 

Elle fut surprise mais à travers ses larmes elle

sentit les puissantes mains de l'homme qui à nouveau l'ammenai à la verticale de son sexe et

 l'empalai. 

Cela dura longtemps, l'homme la pénétrai au plus profond et allait et venait en elle. Elle criait sous les spasmes de plaisir violent qu'il lui procurait et enfin le rythme s'accélèra elle sentit qu'il

allait jouir au plus profond d'elle et tandis qu'il tenait entre deux de ses doigts sa fine verge à elle et la masturbait, elle sentit qu'après tous ses mois de frustration où ils avaient fait d'elle une vraie femme pour l'homme, celui ci allait lui

permettre de répandre sa liqueur. 

Elle crut qu'ils allaient jouir ensemble mais la main de l'homme se referma sur son gland et tandis que dans une ultime crispation il la remplit

de son sperme il réinstalla dans l'urètre de Marilyn le cabochon, alors que les lèvres de son

gland s'étaient totalement ouvertes sous le plaisir

et que la liqueur montait dans sa petite verge

- Nooon cria Marilyn  ses larges fesses trempées à nouveau sur les cuisses de Monsieur

- Pourquoi ? murmura t'elle

- Ce n'est que le début répondit il, nous avons

beaucoup de temps à passer ensemble. Tu ne portes même pas de corset. Il me semblait pourtant avoir été clair. Quand à ta tenue ...

j'ai d'autres idées pour toi.

Elle sentait la veine de l'énorme pénis palpiter 

dans son ventre tandis qu'il saisissait ses petits

pieds et qu'il regardait la boucle du collier qu'elle

portait à son cou. 

Se retirant d'elle, il la prit par la main et il se dirigèrent vers la maison.


Sur son arbre, Pierre qui avait assisté à toute la scène grincait les dents de rage, alors que de dos s'éloignait le couple, du géant tant redouté et 

de la fille qu'il aimait, pieds nus, ses jolis fesses nues se balançant sous la jupette, ses cuisses trempées de sang clair


(A suivre ...)





lilileet Sep 25 '20 · Voter: 5 · Commentaires: 1
Annafe

A tous les mecs qui se posent des questions…


Qui pensent avoir un fantasme inavouable…


Qui ont peur d’être, par ce fantasme, touché dans leur virilité.


A tous ceux qui n’osent passer à l’acte.


Je vous le dis bien haut et fort


VOUS N’ÊTES PAS SEUL


Croyez-en l’expérience d’une « personne féminine » avec quelque chose en plus.

 

Vous êtes vraiment très nombreux, gentils hommes bien hétéros, à vouloir être sodomisé.


Lorsque vous marchez dans la rue, dites-vous bien que beaucoup de confrères de la "gente masculine" que vous croisez ont déjà expérimentés avec succès et délices d’avoir un joli membre dans les fesses.


Non, vous n’êtes pas seul


Personne n’ose le dire. Le tabou est bien ancré (moi jamais !!!) mais beaucoup en ont envie et passe à l’acte


Ne vous sentez pas anormal ou déviant.


Vous êtes des milliers…


Et puis, connaissant cela, éviter maintenant de vous moquer des gays ou des travesties. Vous aimez les mêmes choses…Vous faire plaisir

 

Hihihi

Anna

Annafe Nov 23 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 3
Annafe

Je tenais a remercier chaleureusement de tout mon coeur et de toute mon amitié mes copines Annabelle et Nina qui m'ont fait l'immense plaisir, tout à tour, de m'accompagner dans mon escapade féminine Parisienne.

Elles ont été des compagnons agréables et très gentils

En leur souhaitant (si elles le désire) de sortir un jour dans un jolie tenue féminine et ce jour, si elle me le demande, je serai enchantée de les accompagner à mon tour.

Je vous livre quelques réflexions, astuces, anecdotes de cette journée.

En femme dans paris:

  • 95% des personnes que vous croisez ne font ABSOLUMENT PAS attention à vous

  • Parmi les 5% restant, 99% vous regarde d'un air, étonné, amusé ou gentil mais sont plutôt bienveillante et souriante votre égard

  • Le pourcentage minime restant peut avoir un visage réprobateur ou (surtout si ce sont deux hommes) se prépare a faire une petite réflexion amusé à son collègue lorsque vous serez passée. Mais vous vous en « foutez » car vous serez passée et vous ne le reverrai plus jamais. Alors, si vous êtes crédible, N'hésitez plus (et je suis prête à vous accompagner sur paris et R.P)

  • Quel kiffe d'être femme et de se payer un petit repas (léger: cause attention à ma ligne) à la table d'une brasserie parisienne, surtout quand le serveur est charmant

  • Je ne comprenais pas pourquoi il y avait tant de choses dans les sacs des femmes. Maintenant j'ai compris. Entre le portable, les papiers, les clefs, la brosse à cheveux, le fond de teint, le rouge à lèvres, le ricil, le crayon pour les yeux, le vernis a ongles, les mouchoirs, la paire de bas ou collant de rechange (je vous le conseille impérativement) et le gel et quelques capotes (on ne sait jamais hi hi hi). Prévoyez un grand sac a main.

  • Le magasin Concorde, c'est très bien et on y trouve des soldes parfois intéressante (humm, je vais bientôt essayer mon body sexy en dentelle à moins 70%)

  • En parlant du magasin Concorde, je conseillerai à toutes les copines qui ont des grandes tailles (chaussures et lingerie) d'y aller souvent car il y a beaucoup d'articles grande taille soldés (moins 50 ou 70%). Il y a notamment, en ce moment au Concorde Austerlitz (pub gratuite, je ne touche rien hi hi), des escarpins magnifiques a 20€ (à partir du 42 -snifff je fais du 40)

  • Ne croyez pas les étiquettes vous assurant que la paire de collant que vous achetez est « infilable »

  • En parlant collant, moi qui étais pas vraiment pour ça fait mémé) et bien je peux vous dire que finalement je reviens sur ma décision car pour sortir dans la rue c'est très confortable et cela évite de toujours s'inquiéter si le bas tient et si on ne voit pas le haut des jarretelles (bien sûr il n'y a plus la sensation du petit vent qui passe en-dessous de votre robe ou jupe et qui vous donne des jolies sensations). Alors, le mieux c'est d'alterner.

  • En parlant jarretelle, la rue c'est pas un club privé. Alors tenue de ville. Pas de tenue trop sexy parce que sinon vous passez pour une pute

  • Par contre, il serait faux de croire que puisque on met des bas, on a la possibilité de mettre un joli string ( vous savez celui qui vous titille la raie des fesses en marchant) car notre « truc supplémentaire » ne se balade pas. (oui en bas et string, le clito a trop tendance à sortir de son logement et il pendouille,ce qui n'est pas agréable et moi, lorsque je sors en bas dehors, je met toujours de jolies culottes qui le protège bien).Et bien non, mettez aussi des culottes avec les bas parce que si le clito sort de son logement, c'est pas vraiment agréable lorsqu'il frotte le collant.

  • C'est comme même génial de se faire appeler toute une journée Madame (j'ai même eu un « Mademoiselle » mais là je pense que la personne ne regardait pas mon visage)

  • Je crois n'avoir rien oublié...


En conclusion, être en balade de 10h à 18h m'a rendue pleinement heureuse. Merci encore à mes copines. Et vous savez, si je vivais seule, et bien je serai femme tous mes week-ends...et plus encore.

Bisous à toutes et tous.

Anna

Annafe Sep 5 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 3
Annafe
Il y a quelques jours, c'était mon anniversaire.
Alors, je me suis fait un cadeau pour moi toute seule. Un cadeau de folle mais tant pis. j'en avais envie (c'est pourquoi je me dis parfois que je suis dingue) et je l'ai fait. Non sans trembler.

Alors le jour de mon anniv et bien je me suis préparée (dans mon boxe équipée pour) et je suis sortie en fille. Long manteau en jean laissant apercevoir, quant je marche mes bas noirs (Dim-up car j'avais peur que les portes jarretelles ne tiennent pas), jupe courte noire, chemisier noir transparent avec soutien gorge en dentelle noire et string rouge houuuu). perruque brune, maquillage rouge à lèvres et lunettes de soleil (mais il faisait plutot gris) car je n'ai pas osé montrer mes yeux
je suis sortie et cela commencait mal. Un de mes dim-up descendait a chaque pas. j'ai du rapidement me cacher derrière un arrêt de bus pour remonter tout ça (je connais un automobilisme qui m'a bien reluqué en passant) mais bon après cela a tenue.
J'ai pris le bus (bondée), le RER (heureusement sans trop de monde) et j'avoue que je passai plutôt mon temps a regarder mon portable de peur de lever les yeux. j'ai quand même croiser des regards bizarres mais bon, c'est peut-être moi qui me faisait des idées.
Grand plaisir lorsqu'à la sorite du RER, l'homme qui distribuait des journaux gratuits m'a lancé "Bonjour Madame" (Ouh que cela m'a fait du bien).
Ensuite je me balade un peu, téléphone à une copine, assise sur un banc. un homme Passe et me sourit car il entend ma voix plutôt bien féminine et me regarde plusieurs fois avec insistance (bien que je sois sûre qu'il est vu que j'étais une trav).
Je reprends mon courage à deux mains et je rentre dans un pub. Le serveur me dit "bonjour madame". Mais je sais que plus tard, il ne sera pas dupe mais il est resté très courtois, tres gentil.
Je bois mon coca, puis repart. je commence a être stressé. re-balade. RER et bus pour rentrer. Et enfin je reviens pour me changer avant de partir au boulot.

Résultat deux heures trente d'angoisse et de "pur plaisir".
Je l'ai fait. Je suis heureuse.
Un beau cadeau d'anniversaire pour Anna la folle.
J'ai déjà envie de recommencer
Mais si une copine veut m'accompagner
j'aimerai réellement
Sortir en fille, je kiffe grave et là je me sens pleinement FEMME
Car je suis de plus en plus femme et j'aime cela
je me sens vraiment Anna
ANNA
Annafe Jui 22 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 5
Annafe

Voilà. Comme je suis franche et honnête j'ai décidé de m'ouvrir à vous. Oh je vois déjà vos réactions et idées en lisant ce mot. Non, je ne parle pas de sexe là mais juste que j'ai tellement de chose en moi et envie de vous les dire, sur ce site. Oui parce que c'est peut-être le seul endroit ou j'ose tout dire (attention, je ne vais certainement pas tout dire aujourd'hui).


Qui suis-je?

Quelles sont mes pensées?

Cela n'intéressera peut-être pas grand monde , mais si je le dis c'est aussi pour moi. Parce que tout cela doit sortir un jour.


Sur le tchat, certains pourront peut-être penser que je «flatte» les personnes ou que je les «drague». Vous avez le droit de le croire et pourtant nul n'est mon intention.

J'aime les gens. Oui, j'affirme cela. Je les aimes car c'est la seule chose que je fais bien. C'est la seule chose qui est importante pour moi.


Et sur ce site je trouve une majorité de personnes qui méritent le respect et l'amour. J'aime les femmes (ou plutôt je les aie aimées, mais elles m'ont beaucoup déçues). J'aime les hommes car, peut-être (je dis bien peut-être car je n'ai pas encore saisie la vérité et je ne la saisirais probablement jamais), ils me permettent de faire ressortir et extériorisée ma fragilité et ma féminité. Ils me permettent d'être ce petit animal soumis qui n'a pas besoin d'être meneur, qui peut se laisser guider et qui a besoin de ressentir une force supérieure, une protection. J'aime les travs car, peut-être elles me ressemblent. Elles ont les mêmes angoisses, les mêmes soucis, les mêmes attentes, les mêmes goûts, elles me comprennent mieux. Oui je vous aime tous si vous me prenez pour un être respectable et que vous acceptez ma condition.


Et quand je vais sur le tchat et que je dis à une trav qu'elle est jolie, que je suis heureuse de l'entendre ou de la voir, je suis sincère. Absolument sincère.


Ma prime jeunesse dans ce milieu hippie m'a peut-être marquée. Je suis rester longtemps l'un des derniers hippies au moment ou ce mouvement était devenu désuet. Mais je me souviens ces accolades (plus que des accolades on se prenaient carrément dans les bras) qui voulait dire «je t'aime» (sans différence de sexe).

Oui j'aime parler avec vous et vous voir. Ce n'est pas flatterie de le dire si on le pense vraiment. Et l'on devrait le dire bien plus souvent, et même toujours. On devrait affirmer que l'on s'aime et que l'on adore se parler, se voir, se regarder. Le monde serait si beau si tout le monde affirmait l'amour.


Cela ne veut pas dire que je veux draguer ni «baiser» avec tout le monde car l'amour c'est tant de choses différentes.

C'est le tendresse d'un regard

C'est le geste qui aide

C'est le baiser chaste au coin de lèvres

C'est le mot qui rassure

C'est la phrase qui vous fait comprendre que l'autre est là si vous avez besoin

C'est le sourire face a l'inconnue

...et tant d'autres beautés encore


C'est bien sûr, également, les moments intimes entre personnes majeures et consentantes.

Et pour quoi devrions nous le partager avec un seul être?

Pourquoi n'aurions nous pas le droit d'aimer l'intimité avec plusieurs personnes?


L'amour ce n'est pas la propriété ni l'exclusivité.

C'est la liberté de chacun de disposer de son coeur et de son corps.

Si vous aimez une personne et qu'elle se trouve plus heureuse ailleurs, et même si cela vous rends affreusement triste. Vous n'avez pas le droit de la retenir. Sinon c'est que vous ne l'aimiez pas vraiment. Car lorsque l'on aime une personne, la seule chose qui doit compter, c'est son bonheur. Pas le vôtre.


Alors oui, sur ce site et dans ma vie, mon seul but est d'apporter du bonheur. Un peu ou énormément suivant les attentes et les rencontres. Elles peuvent me demander peu ou beaucoup mais ce qui compte pour moi c'est d'allumer une petite lumière de bonheur dans leurs yeux. C'est tout ce que je cherche. Je ne réussis pas toujours et je m'en excuse mais mon seul bonheur est de l'offrir.


Pardonnez ma longue litanie.

J'avais juste besoin de le dire

Bien à vous

Anna




Annafe Avr 29 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 17
travlove75
je suis la preuve vivante, que l'on peut vivre une vie normale avec une transsexuelle, ce promener main dans la main, s'embrasser, allé au resto... 


Faut dire que ma belle demoiselle et très féminine, adorant la lingerie sexy, et les vêtement simple, comme elle adore me le dire : j'ai pas besoin d'allumer la moitié de paris, je t'es toi et cela me suffit.


Récemment opéré, la convalescents a été dur, mais les médecins ( non français et non opéré en france ) ont fait un excellent travail.


Pour sceller notre amour, nous comptons adopter, mais les démarches sont longues et fastidieuses... pour un couple tansgenre...

travlove75 Fév 12 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 5
Claire Admin


Oui ! Merci à toutes et tous pour cette année passée en votre compagnie !

Je vous souhaite du plus profond du cœur une bonne, très bonne, excellente année 2015.
Une année pleine de rencontres riches en plaisir, en câlins et en caresses. Une année pleine d'amants à embrasser, à câliner, à dévorer des yeux et des lèvres. Une année pleine de maitresses attentionnées et gourmandes. En un mot comme en mille, une année pleine de sexe sans tabou...

Je vous souhaite une année pleine de compréhension et dépourvue de jugements hâtifs et d'esprits étroits.

Bref...


BONNE ANNÉE 2015 A TOUTES ET TOUS !!


Claire
Claire Déc 31 '14 · Voter: 5 · Commentaires: 2
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