Je ne sais pas ce que vous en pensez mais je suis toujours effaré de voir ces messieurs qui vous adresse sur les sites ou part sms leur photo de sexe en gros plan. Je me demande s'il ne sont pas complexé et finalement, souhaite qu'on les rassures en leur disant que leur b... est belle (si c'est la leur car parfois ce sont des photos volées).
De mon coté, loin de les rassurer, je leur
réponds, lorsque je suis bien lunée, que des queues j'en ai vu une
bonne centaine et donc qu'il n'y a aucun intérêt à m'en envoyer un
de plus et qu'en plus, j'en ai une et donc que je sais ce que c'est.
Lorsque je suis mal lunée, je suis plutôt du style insulte que je
tairai ici.
Peut-être pensez-vous que cette réflexion vient du Sainte Nitouche qui ne connait rien aux plaisirs du sexe mâle. Détrompez-vous je suis plutôt une Sainte qui touche et mon expérience en la matière est plutôt du genre quatre étoiles.
Mais sachez Messieurs que si, dans l'intimité ou dans des circonstances où l'érotisme nous entrainent dans la volupté du sexe, je suis adepte de m'occuper d'un (ou même de plusieurs) membres excités de ces Messieurs et que la fellation que j'offre, ainsi que la vue d'un membre en érection,m'apporte beaucoup de plaisir ou de désir, je trouve par-contre complètement ridicule, absurde et pitoyable de s'extasier devant une queue prise en gros plan.
Si encore ces Messieurs avaient l'imagination (mais ce n'est pas leur fort tout le monde le sait) de prendre des photos de leur sexe de façon à suggérer, ou en s'attardent sur la beauté du cliché, je le comprendrai. Mais non, on voit juste une queue (comme il en existe des milliers) avec souvent des poils. Un tue l'amour total (pour ma, part rédhibitoire quant à l'obtention d'un rdv)
Je ferai d'ailleurs la, même remarque à ces travestis (souvent moche d'ailleurs) qui montre leur cul en gros plan sans aucune intention de rendre leur photos jolies , sensuelles ou agréables à regarder.
Lorsque l'on se dit féminine, je pense que même si l'on a envie de montrer sa chatte de derrière, il est important que cette photo soit sensuelle, érotique et subjective. Alors Messieurs et Mesdames, faites un effort pour nous offrir des photos de charme. Pas des photos pourries et peu ragoutantes.
Qu'en pensez-vous
hiver 1985 je décide de passer le cap, ma première sortie en foret habillé bien évidemment en fille.
Je connaissais un endroit de rencontres pour les coquins dans la belle foret de Fontainebleau.Ce jour là j'avais choisi je mettre une petite jupette en jeans et des bas, pas de petite culotte , bottes et manteau de fourrure pour avoir bien chaud, malgré des températures négatives ce jour là.
je gare ma voiture sur le parking d'Apremont ( certain connaisse ) et je commence à m'introduire dans le sous bois tout en respectant une distance où l'on pourrais me voir.
Au bout d'un quart d'heure une voiture se gare à coté de la mienne, en descend un petit papy , et commence à se diriger vers moi .
Nous commençons une discussion un peu coquine, tout en s'approchant de moi je sens ses mains sur la dentelle de mes bas , mains chaudes et très agréable, mon clito commençais à prendre un petit de volume, par contre la température négative allait contre mon désir.
Il me demanda s'il pouvait aller pour loin dans sa recherche, d'un ouiiiiii je lui donnais cette autorisation, ses mains chaudes caressaient mes petites boules et d'un doigt je sentais une pénétration de ma rose ( tous les jours après mon bain je huile ma petite chatte toujours prête à recevoir un objet magique appelé sexe).
Nous avons partagé un long baiser chaud , humide , sensuel ....... et ses mains toujours sous ma jupes me donnant un plaisir obsessionnel. mon clito perlait de plaisir.
Et de nouveau , il me demanda encore une fois s'il pouvait encore plus moi, toujours d'un soupir et un signe de tête , seul lui pouvait décider de ce qu'il voulait , et là il s'agenouilla devant moi sa bouche et son souple chaud à hauteur de mon sexe, il me poussa violemment contre l’arbre qui était derrière moi, soulevant le peu de tissu de ma jupette, et enfourna mon clito en demi érection dans sa bouche chaude, je sais les succions et les va et vient très actifs de mon partenaire, se mains caressaient mes fesses de temps en temps un petit doigt venait pénétrer ma chatte.
J'avais toujours du mal à avoir une véritable érection , la salive de mon papy coulait sur mon entre cuisse , effet de froid désagréable, et lui ,il s'acharné sur mon petit bout de viande.
C’était terrible pour moi et pour lui aussi.
Alors il s’arrêta net et me proposa de finir se qu'il avait commencé chez lui, toujours d'un signe de tête et un long soupir validant sa volonté.
Nous sommes allés chez lui , au chaud blotti contre lui dans son lit , nous avons fait l'amour toute la nuit jusqu'au petit matin. i
Il a été mon amant pendant des années, et il est parti un jour d'hiver pour l'éternité
Voilà J "avais envie de vous faire partager le meilleur moment de ma vie
Bises les filles, je vous aime
Hélène
RENCONTRE PARISIENNE
Je dois rentrer chez moi car il est presque 18h. Mais en cette journée ensoleillée de début septembre j’éprouve encore le besoin d’admirer les reflets du soleil sur mes bas « sublime ». De sentir le léger souffle du vent qui, coquin, se glisse sous ma jupe et m’oblige au léger frisson.
Alors je m’installe, seule, à cette grande terrasse des beaux quartiers. Sur la table à mes côtés, trois jolies femmes qui me sourient. L’une d’elle va même échanger quelques mots avec moi.
Je me sens bien à siroter ma boisson rafraichissante. Je regarde les passants. Je jette un oeil, parfois, à mon petit sac ou se repose les jolies escarpins hauts que je viens d’acquérir à un prix très abordable. Je repense à ma belle journée féminine tout en sachant que bientôt je devrais quitter ma douce lingerie, ma robe légère, mes fines chaussures et ma jolie tignasse blonde méchée.
Oter également collier, boucles d’oreilles, bagues et ce vernis rouge que j’adore lorsqu’il s’étale, comme un rubis sur mes ongles.
Oui, après ce retour en RER, je retrouverai mes frusques masculines qui me rebutes de plus en plus.
Alors je profite des derniers rayons chauds de l’astre du jour. Seule mais heureuse.
Pourtant, depuis plusieurs minutes, je m’interroge. Devant le kiosque à journaux, cet homme d’une quarantaine d’années, paraissant encore très consommable semble me lancer des regards furtifs.
Je m’aperçois que son intérêt pour les magazines est futile et qu’il jette régulièrement un œil en ma direction.
« Non, tu es folle Anna »
Qui s’intéresserait à une créature féminine plus vraiment jeunette. Tu rêves trop. Tu n’es plus une adolescente. Et pourtant j’aime que l’on me trouve belle, que l’on m ‘admire, je l’avoue.
J’évite de le regarder, me concentrant sur la paille qui glisse entre mes lèvres.
Là, je me dis, attention. Le Monsieur vient de prendre la place, laissée disponible, à côté de moi par les trois jeunes femmes. Tu ne rêvais pas Anna. C’est bien lui, assis tout près, qui commande un café.
Je me recroqueville un peu et écarte ma bouche de la paille, des fois que cela lui donnerait des idées. Pourvu qu’il se soit aperçut que je ne suis pas une femme-bio. J’aurais l’air idiote. Je sais qu’il hésite, là à quelques décimètres de moi.
- - Pardonnez-moi de vous importuner Madame. Connaissez-vous la MDT
Il est fin le bougre, la MDT, la Maison du Travesti. Il me fait bien comprendre qu’il sait ce que je suis
Je ne peux que lui répondre la vérité :
- - Oui, j’y suis déjà allée.
Et lui de répondre, charmeur
- - Je n’ai jamais eu le plaisir de vous y rencontrer
Et voilà. Le malin a réussi à déclencher le dialogue.
Me faire draguer à une terrasse dans Paris. Moi qui il y a encore peu n’aurait jamais osée mettre le bout d’un escarpin dehors. C’est le monde à l’envers. Mais c’est si agréable…
Anna
Salut les copines,
Voilà, je ne sais pas si cela vous intéressera mais j'ai quelque chose à vous dire. Où plutôt, nous avons quelque chose à vous dire.
J'ai toujours affirmé que ma vie privée ne regardait que moi et que je ne souhaitais pas l'étaler sur le site. Mais j'ai également tempéré cette affirmation car si je rencontrai « le Grand Amour », celui qui vous fait vibrer plus que de raison, je vous en parlerai.
De plus, je ne fouille pas dans la vie des autres et ne cherche pas a savoir « qui fréquente qui ». mais je sais que ma modeste personne fait parfois l'objet de rumeurs (oui, on me le rapporte parfois et malheureusement je le déplore mais chacun fait comme il veut). Pourtant je ne suis pas si intéressante que cela. Je ne suis qu'une fragile « créature féminine » avec ses joies, ses petits bonheurs mais aussi ses peurs et ses angoisses terribles que je tente de dissimuler.
Alors, oui aujourd'hui (pour faire un peu taire ces rumeurs) et en accord avec celle que j'aime et parce qu'elle le souhaite aussi, nous allons dévoiler notre Amour.
Nous nous sommes rencontrés plusieurs fois et j'avoue que je suis tombée follement amoureuse d'elle. Je peux vous assurer qu'elle m'a fait « Naître femme ». Qu'elle a révélée totalement ma nature féminine par ses attentions, l'intelligence de son coeur, sa fougue amoureuse (n'en déplaise à certains qui se sont trompés à son égard car méfiez-vous de l'eau qui dort, il peut devenir Tsunami). Que dire de plus que d'avoir découvert l'extase physique, morale, sentimentale.
Nous formons donc un couple. Le couple Lola04-Anna et nous sommes heureuses.
Bien sûr. Nous sommes éloignées l'une de l'autre (mais nous trouvons des solutions pour se retrouver) et nous sachons bien que, sexuellement parlant, n'étant pas des nonnes, nous nous permettons de rencontrer des partenaires et laisser libre cours à quelques escapades sexuelles si importante à l'équilibre de nos êtres sensuels.
Mais nos deux âmes sont liés d'un Amour intense.
J'ai trouvé en Lola le bonheur que mon coeur n'osait espérer.
Merci à ce site de m'avoir permis de la découvrir (elle est magnifique)
Ainsi, tout est clair. En souhaitant que les rumeurs cesseront et que chacun d'entre vous trouve le bonheur qu'elle espère comme je l'ai trouvé auprès de mon Elfe.
Rien n'est plus beau que l'Amour et j'aime passionnément Lola
Bisous à tous
Anna, si heureuse...
Evolution, oui evolution. Des nouvelles de la petite Anna qui es si heureuse de devenir...non plutot d'être femme (ou une créature du 3eme genre, une femme avec un beau clito en plus hi hi). Au début, je pensai que tous cela n'était finalement que pulsions sexuelles; me taper des mecs, sucer des queues, sentir le plaisir d'avoir un sexe en soi (humm la sodomie j'adore), être « secoué » par plusieurs mecs en même temps. Faire même des trucs un peu hard. Oui j'ai donné et, je l'avoue, j'aime.
Mais ce que j'ai découvert aujourd'hui, ce qui s'est révélée a mon existence, c'est que le plus grand bonheur que j'éprouve est bien plus simple. S'habiller, sortir dans la rue en femme, en soirée. Mais aussi en voiture, en bus, en RER. Bref vivre en femme. Etre femme (toujours avec un joli truc en plus hi hi).
Maintenant que mon maquillage a fait beaucoup de progrès, que j'ai une petite garde robe (pas trop sexy les jupes ou robes pour sortir même si elles sont assez courtes mais surtout ne pas faire pute). Maintenant que j'ai mon petit sac, ma démarche un rien sensuelle avec mes talons et bien c'est cela mon bonheur. Mon grand bonheur.
Et je ne sens plus de regards bizarres, ni interrogateur parce que j'assume à fond.
Je soupconne même parfois des regards d'hommes genre « pas mal celle -là » ou plus encore.... Et puis les bonjours Madame, l'homme qui l'autre fois m'a tenue la porte et s'est écartée pour me laisser passer avec un grand sourire, j'ose dire « PUTAIN, que c'est bon »
Et quant je vais dans des soirées et bien je kiffe a la folie
Bien sur, je n'aurai jamais le summum total (vu que je ne vie pas seule), me réveiller le matin dans ma nuisette légère et vivre a la maison en Anna. Car je suis ANNA, une petite femme fragile pleine d'amour et de bonheur à partager.
Mais des que je revêt mes atours féminins, je n'ai qu'une envie. Ne pas rester cachée. Vivre pleinement mon genre
Et puis, la vie est toujours pleine de surprise car aujourd'hui...On est amoureux de moi Anna. Mais Chut....
Bisouuus a toutes les travs merveilleuses et ceux qui les aiment
Anna
Bonjour mes chéri(e)s !
Comme le titre le dit clairement, dans cet article, il va être question de hauteur. Pas d'altitude ! De hauteur... Et, comme à l'accoutumée, j'aimerais vraiment que vous apportiez votre grain de sel, comme le dit si bien ma très belle Chriss que j'embrasse au passage. (sourire)
Donc, je vais vous parler de hauteur...
... De talons !
Les chaussures de femme sont légion. Contrairement aux garçons, nous avons un choix illimité de formes, de coupes, de talons, de plateformes... Etc, etc...
Mais quel plaisir, n'est-ce pas, de passer ces merveilleux escarpins qui nous manquent tant lorsque, contraintes par la norme, nous portons nos vêtements de garçon. Quel bonheur d'enfin pouvoir laisser libre court à la sublimation de nos pieds à l'élancement de nos jambes, à la beauté que procurent des talons de 12 cm à nos gambettes voilées d'un fin nylon.
Je ne conçois pas de m'habiller sans avoir au préalable choisi quels escarpins je vais porter. Ma tenue en est même totalement dépendante. Telle paire s'adapte à telle jupe ou telle robe de telle couleur et il n'est pas possible pour moi, de me vêtir sans être certaine que mes escarpins seront parfaitement coordonnés à ma tenue. Du moins, c'est ma tenue qui doit être coordonnée à mes chaussures.
Peu importe la hauteur du talon ou sa forme. Dès lors que mes escarpins ont trouvé tenue à leur pied, je sais que je serai belle et que je pourrai me présenter au monde ainsi.
Mais, normalement, il était question ici de hauteur. Donc, de talons. Personnellement, je porte toujours des talons de 12 cm minimum. De préférence des talons aiguille. Je suis une grande fan du petit claquement sec qu'ils produisent sur le carrelage d'une cuisine ou d'une terrasse, sur le béton ou sur le bitume d'un trottoir. Lorsque je marche, j'essaye toujours de m'écouter. J'en suis à la limite du fétichisme... Peut-être même, en suis-fétichiste (rires). Mais j'aime ce bruit et j'aime mes jambes quand elles sont mises en valeur par la hauteur d'un talon vertigineux (j'ai de très beaux escarpins et de très belles sandales avec un talon de 15 cm).
Le seul problème en fait, c'est que les talons hauts me rendent très grande car je mesure déjà 1.90 m sans eux. Imaginez donc Claire avec des talons de 15 cm... Un jolie fille de 2.05 m de haut, ça perche !!! (rires) Et il semble que certains garçons reculent devant une telle taille. Qu'à cela ne tienne, j’aime les talons hauts et je ne vais sans doute pas arrêter d'en porter pour un détail aussi insignifiant (sourire).
Et vous mes chéries... Qu'en est-il de vos goûts en matière de chaussures ? Qu'aimez-vous porter. Êtes-vous talons hauts, mi-hauts ou chaussures de type ballerines ?
Si nous en discutions vous et moi ? Vous avez une idée de mes goûts, échangeons sur les vôtres. Qu'en pensez-vous ?
Je vous embrasse tendrement
Claire
Profitant d’un
voyage professionnel d’une semaine sur Lyon, et comme j’en avais l’habitude,
j’en profitai pour me travestir seule dans ma chambre d’hôtel. Être marié et
aimer se travestir est compliqué et nécessite une organisation pour pouvoir
vivre mon fantasme secret.
En navigant
sur le web, j’avais vu qu’une soirée « Travestis » était organisée,
le jeudi soir, dans un club échangisme, qui par hasard se trouvait non loin de
mon hôtel. L’envie d’y aller était grande, mais je savais que je n’oserai
jamais m’y rendre. Surtout que l’entrée était réservé aux travesties, et aux
autres membres. N’étant pas membre, cela m’obligeait de me rendre à cette
adresse en travesti, chose que je n’avais jamais faite, et n’oserai jamais.
Idéalement,
j’étais prête à aller à cette soirée, mais en homme et de pouvoir me travestir,
une fois arrivé sur place.
L’envie
d’aller plus loin dans mon fantasme secret, me fit téléphoner à ce club pour me
renseigner.
Je téléphonais
donc et tomba sur un homme à qui je demandais si il était possible de venir à
cette soirée en homme et que je puisse me travestir à mon arrivée à l’intérieur
du club. Il me répondit que c’était envisageable, si j’avais une tenue
correcte, et que par contre je devrais payer le prix d’entrée « homme
seul » et non pas l’entrée gratuite pour les travestis.
J’étais donc
renseignée et donc maintenant à moi de me décider de franchir le pas ou
non !
Le jeudi soir
arriva, je rentrais à mon hôtel après ma journée de travail et décidais de me
rendre à cette soirée. C’était à partir de 22 Heures, j’avais le temps de me
préparer.
Je décidais de
parfaire mon épilation, et de déjà mettre mes sous-vêtements féminins,
guêpière, bas et string dentelle, sous mes vêtements d’homme. Je pris mon petit
sac de travail, dans lequel je mis ma perruque, talons, trousse a maquillage,
robe… bref tout ce qui me permettrai de terminer mon travestissement une fois
arrivée la bas.
L’heure d’y
aller arriva, je quittais l’hôtel, pris un taxi et arriva devant le club. Je me
présentai à l’entrée, payais mon ticket d’entrée en expliquant, l’échange
téléphonique que j’avais eu. On me confirma que je pouvais me rendre dans une
salle « vestiaire « pour me changer.
Je fus
rassurer en entrant dans cette pièce, de trouver une autre personne dans ma
situation, elle aussi en train de s’habiller. J’engageai la conversation et
expliquai à cette personne que c’était une première pour moi et que son aide
surtout pour me maquiller me serait extrêmement agréable. Sympathiquement, elle
m’aida à me maquiller, et même me verni les ongles… J’enfilai ma petite robe
noire laissant apparaitre mes bas, je chaussais mes talons 10 cm. Je me
regardai dans la glace… humm je me trouvais assez présentable, et crédible.
J’étais donc
un peu plus rassurée et moins stressée ayant pu me faire déjà une amie.
J’entrai donc
dans l’espace Club, et me dirigea directement dans un coin du bar. Celle qui
m’avais aidé, elle partit danser sur la piste et étant une habituée se retrouva
rapidement avec son groupe d’amis. Je restais seule, mais ce n’était pas grave,
j’avais franchis le pas, j’y étais !
Je restais un
bon moment seule dans mon coin de bar à boire mon verre, je faisais un peu
tapisserie.
Finalement, un
homme de bonne éducation vint vers moi me demander si nous pouvions échanger et
boire un verre ensemble. Je répondis bien sur oui, et lui expliqua rapidement
ma situation de travesti secrète et débutante. Que c’était ma première fois en
public, etc…
Il était très
prévenant et compréhensif. Il avait environ la cinquantaine, il était divorcé
et habitait Lyon.
Après quelques
minutes passés à échanger, il m’invita à aller sur la piste de danse avec lui.
J’hésitai lui expliquant, que je n’avais pas trop l’habitude de porter des
talons hauts et que je n’étais pas très à l’aise. Il m’invita alors à danser un
slow, avec lui.
« Cette
danse est lente et je vous tiendrai ! « me dit-il.
J’acceptai et
me retrouvais collée à lui, sur la piste de danse. C’était très agréable. Très
rapidement je senti qu’il était en érection, je sentais son sexe gonflé contre
moi… sensation agréable et un peu affolante.
« Je vois
que je vous fais de l’effet », lui dis-je !
« Oui, je
vous l’ai dit, j’aime la femme telle que vous et votre côté débutante me plait
beaucoup ! »
Il approcha
son visage de moi pour m’embrasser, je me refusai. Il m’embrassa alors dans le
cou, tendrement et lécha mon lob d’oreille…
Je me laissai
faire, c’était excitant, tellement excitant que c’est moi qui pris l’initiative
de l’embrasser sur la bouche en y mettant la langue. Il répondit à cela e
m’embrassant fougueusement et en caressant mon corps.
Humm, j’étais
une vraie femme entre ces bras.
Le slow se
termina et il m’entraina sur un canapé dans un petit recoin du club. Nous
discutions, échangions des baisers, et des caresses. Ma main caressa plusieurs
fois son sexe à travers son pantalon, j’aimais la situation.
Il me dit que
je pouvais aller plus loin, si je le souhaitai. J’ouvris donc sa braguette et
glissa ma main aux ongles peint rouge carmin, a l’intérieur de son pantalon et
commençai à caresser son sexe…
J’adorai, et
il se laissait faire en poussant quelques gémissements. Son sexe se tendait et
durcissait, j’avais envie d’aller encore plus loin et je le voyais lui aussi.
Nous étions
dans un Club échangiste, le lieu le tolérait… je sorti son sexe et approcha ma
bouche pour commencer à le lécher, puis sucer.
Ma main
montait et descendait le long de cette verge tendue, ma bouche suivait le
mouvement, léchant, aspirant, suçant… Je m’appliquais au mieux afin de ne pas
le décevoir.
Mon compagnon
appréciait me félicitant pour mon « savoir-faire »
Humm ! J’adorai
la situation, j’étais travesti, en train de m’occuper d’un homme en public.
Au bout d’un
moment, il prit ma tête entre ses mains, m’embrassât fougueusement et me
proposa :
Je n’habite
pas très loin, voudrais tu venir boire un verre chez moi ?
Je répondis
oui, sur le principe, mais lui fit part de mon inquiétude de sortir a l’extérieur
dans la rue, travestie ! Même si il était minuit, je ne sais pas si j’oserai.
Il me rassura,
sa voiture était stationnée tout près et il serait à côté de moi ! J’appréciai
sa gentillesse et son coté gentlemen rassurant ! Je pris mon courage à
deux mains et le suivi.
Je marchais
pour la première fois dans la rue au bras d’un homme, ma démarche n’était pas
très sure, 10 cm de talon oblige. Je me retrouvai a côté de lui dans sa voiture
et ne pu m’empêcher de caresser son sexe en roulant, il appréciait !
Arrivé chez
lui, il m’offrit un verre, assis dans son salon, il commença à me caresser et
me déshabiller. Je me retrouvai rapidement, en guêpière, bas et talons devant
lui. Il ôta mon string
Il caressait
mon clitoris pendant que ma bouche avait retrouvé son sexe, et je me régalais.
Je l’entendis
me dire, j’ai envie de toi Sophie !
Cette phrase
que j’attendais, m’affola un petit peu, mais je lui avais avoué que je n’avais
jamais été sodomisée, et il était très prévenant et rassurant.
Il m’entraina
dans sa chambre et me coucha sur le lit, il me caressa longuement, puis pris du
gel lubrifiant et commença à me caresser et doigter délicatement. Il
m’embrassait dans le cou, je sentais son souffle sur ma nuque, il était très
délicat, je me laissais faire et gémissais.
Il me fit
mettre à quatre patte et je le senti ce sexe que j’avais longuement sucé venir
derrière moi, je senti son gland se poser à l’entrée da ma chatte, et par
pression douce et lente me pénétrer. Son sexe entra lentement en moi, j’étais
dilatée, en confiance, il me pénétra totalement. J’étais prise, pénétrée, et ses
vas et viens devenaient source de plaisirs.
Il caressait
mon sexe qui restait tout petit tel un clitoris, en même temps, la sensation
d’être femme était totale.
Je l’entendis
et senti jouir en moi…. Son sexe gonfla et je senti les jets de son jus gicler
en moi.
Je me
retournai et l’embrassai goulument avant, de lui ôter son préservatif et de
prendre son sexe dégoulinant dans la bouche et de me régaler …
Je quittais mon
ôte ½ heure plus tard et rentrai (en homme) a mon hôtel, encore excitée de
cette belle soirée.