Marilyn, Monsieur pressa un bouton discret sur
sa portière et un écran noir sépara la cabine du chauffeur du reste de la limousine.
Alors dans le silence et l'intimité nouvelle,
Monsieur ordonna :
- Déshabille toi et suce moi maintenant
Malgré son ton péremptoire il n'éleva pas la voix.
Obéissante, Marilyn fit glisser sa jupe et passa son body par dessus la tête.
Ses gros seins libérés ballotèrent et se tendirent devant elle. Puis elle roula ses bas sur ses chevilles et s'en débarassa.
Puis s'étant mise à quatre pattes sur la banquette,
d'une main elle ouvrit la braguette de Monsieur et de l'autre en coupelle, elle dégagea les grosses
couilles du slip et l'énorme bite.
Baissant la tête, elle lécha le gros gland et le mât comme on lui avait appris. Le sexe pris
rapidement des dimensions monstrueuses.
Monsieur, saisissant Marilyn par les hanches, la
souleva sans efforts et elle se retrouva accroupie
sur ses cuisses , ses petits pieds aux ongles peints,
aux orteils bagués, reposant de part et d'autre, faisant face à l'écran noir, les paumes appuyées
sur l'écran, montrant à Monsieur sa large croupe.
Monsieur avait face à lui ce cul majestueux, qui
avait été façonné pour lui, il tenait par ses si fines
hanches cette fille superbe et elle était à lui.
Il donna un baiser léger sur les lèvres pulpeuse de son anus refermé, sentit frémir la fille.
Elle était à lui, il allait franchir les limites du plaisir avec tous les moyens dont il disposait.
Perdu dans se pensées lascives il pris
entre dans ses mains les gros melons de ses seins.
Jusqu'ici elle avait extrèment bien réagit à ses
traitements, il voulait aller plus loin, beaucoup
plus loin.
Entre ses doigts il serrait les tétons, l'entendit
gémir. Il saisit les anneaux qui traversaient ses tétons et elle laissa échapper un petit cri quand
il tira.
Ses seins étaient tendus droit devant elle, tirés
par les mamelons.Les mains de l'homme qui
tenaient les anneaux reposaient maintenant sur
l'écran de séparation.
Elle respirait plus vite, par petits coups pour ne pas
se laisser envahir par la douleur. Machinalement
ses jambes pliaient davantage, son anus frôlant
l'énorme gland de Monsieur.
Devant ses yeux, les lévres pulpeuses de l'anus
de Marilyn frémissaient mais restaient énergiquement fermées.
Monsieur lacha d'un coup les anneaux de ses
seins et Marilyn poussa un large soupir.
Une de ses mains rejoignit les hanches tandis que
l'autre s'insérait entre les cuisses de Marilyn.
Il saisit entre ses deux doigts la fine verge de
Marilyn. Lui redressant légèrement le bassin,
il appliqua un profond baiser sur les lèvres
pulpeuses de son anus, y forçant sa langue
tandis qu'il masturbait la petite verge.
Rapidement la petite verge de Marilyn durcit, se
recourba et se plaqua contre le bijou de son nombril, elle gémissait et lentement, son anus
s'ouvrit.
Naturellement, presque sans qu'il ait besoin de la
guider, Marilyn se plaça à la verticale du sexe de
Monsieur. Elle se baissa jusqu'à ce que son anus
vienne caresser l'énorme gland et miracle de la
chirurgie, l'avala goulument.
Les doigts de Monsieur s'agitaient de plus belle
sur la petite verge et Marilyn, affolée de plaisir
craignait que son gland éclate tant, comprimé
qu'il était par l'anneau qui l'enserrait, il était gorgé
de sang.
N'en pouvant plus, Marilyn s'empala d'elle même
sur le pieu de Monsieur. Elle respirait par saccade
quand elle crût en avoir atteint l'extrémité
Mais monsieur avait devant ses yeux ce
spectacle.Il relacha la petite verge tendue,
tâta la petite mandarine que formait le gland
et ses mains rejoignirent toutes deux les hanches
de Marilyn.
Sans effort, Monsieur fit glisser Marilyn le long de
son mât, les mouvements de va et vient la
faisaient descendre de plus en plus bas
Elle avait été bien élargie mais pas
suffisement encore et elle ne lubrifiait
pas encore assez
Monsieur sentit qu'il était tout proche de
l'ogasme. La petite verge rigide de Marilyn
était plaquée contre son ventre, son gland
gonflé à éclater. Elle gémissait.
D'un coup sec, il s'enfonca entièrement en elle.
La croupe généreuse de Marilyn rebondit contre
les cuisses de Monsieur.
Elle cria.
Un fin jet de liqueur mélée de sang s'écrasa contre
la paroi. Le ventre de Marilyn s'emplit du sperme
épais de Monsieur tandis que de son cul
s'échappait une petite mare de sang clair.
Baissant les yeux, Monsieur était contrarié
Mailyn gémissait toujours, empalée une
fois encore sur le sexe de son maître.
Quand il se retira d'elle, elle voulu s'allonger
à côté de lui mais il lui ordonna de le nettoyer
de sa langue et ainsi, nue, à quatre pattes, alors
que le foutre brûlant de Monsieur mélé à son
sang s'échappait encore d'elle, elle lécha le ventre, et le sexe de Monsieur.
Peu après qu'elle eut finit de le nettoyer et lui de
se reboutonner, elle encore nue, le chauffeur
la fit sursauter en annoncant qu'ils arrivaient.
Son regard de biche effrayée essaya de trouver
celui de Monsieur
(A suivre ...) Carole le Vice Le 11 Mai 2021
Le Mur