Une enquête va être ouverte concernant la disparition des « photographes de travesties » sur Travrencontre. En effet, nous avons constatés que ces messieurs qui propose à nos chères créatures féminines de les prendre en photos (j’ai bien dit en photos), se targuant de pouvoir leur offrir de jolies clichés disparaissent dès qu’il faut passer à l’acte et prendre un VRAI RDV.
Ces disparitions inquiétantes concernent déjà deux hommes, soi-disant, photographes sur le site (je ne citerai pas de nom), l’un vers Fontainebleau, l’autre vers Montargis.
Il y a-t’il un serial killer de photographe où une malédiction "des clichés"???? La question reste posée.
Si vous avez des infos ou des indices, prévenez l'inspectrice Anna, en charge de l'affaire (hihihi)
En tout cas, mes chères amies qui souhaitaient avoir de jolies clichés sexy, ne prenez pas à la lettre les paroles de ces messieurs qui vous assurent être prêt et dispos pour mette en valeur vos atours. Il y a des fantasmeurs partout, que voulez-vous…
Une fois posée la question en titre, il me fallait y répondre le plus objectivement possible.
Donc, que suis-je ?
Longtemps, je fus UN
travesti. En fait, cela a duré certainement une grande partie de ma vie
(au moins la moitié). Pourquoi ? Tout simplement parce que isolé (je
mets le masculin volontairement), je pensais être assez unique. Je ne
faisais, comme beaucoup de travestis, que m'habiller en femme. De loin
(très loin), on aurait pu croire que j'en étais une mais dès qu'on
s'approchait suffisamment, l'illusion disparaissait comme la rosée du
matin au soleil. Envolée donc, cette femme que je rêvais de devenir !
Et
puis, internet est arrivé. J'ai alors commencé à mener des recherches.
Recherches qui m'ont d'abord conduite sur un site que je n'oublierai
jamais : TVQ (travestis Québec).
Ce site, aujourd'hui disparu m'a
ouvert les yeux. Non ! Je n'étais pas seule ! Il existait à travers le
monde des tas de personnes comme moi !!! Elles vivaient alors le même
dilemme que moi : étaient-ils (elles) des hommes déguisés en femme ou
étaient-elles (ils) des femmes à part entière lorsqu'ils (elles) se
transformaient ?
J'ai appris, grâce à ce site qu'en fait, je n'étais rien moins qu'une femme (ou un homme, c'est selon) à temps partiel ! 100% homme (avec quelques détails en moins, j'y reviendrai) lorsque je n'étais pas "transformé". Et 100% femme (avec un détail en plus) lorsque j'étais "transformé".
L'homme que j'étais a alors pris une décision. Puisque la crédibilité de la femme que je devenais était primordiale, il fallait me débarrasser de quelques détails "encombrants". Je me suis donc rasé puis, me rendant compte que le rasage ne durait pas assez à mon goût, j'ai commencé à m'épiler. J'ai pris des leçons de maquillage, j'ai commencé à acheter des vêtements, des dessous, des chaussures. En fait, j'ai utilisé au maximum cet endroit magique qu'est internet pour affiner et parfaire la femme que je devenais de temps à autre.
Et le résultat ne s'est pas fait attendre, plus j'avançais dans cette démarche, plus je devenais cette femme que je voulais être.
J'ai alors recherché des espaces où il serait possible d'exposer le résultat du travail accompli et y ai posté mes photos. Et là, la magie a opéré ! Les contacts se sont multipliés, j'ai trouvé des amis et des amies sincères et fidèles. J'ai également trouvé des amants extraordinaires. Amants d'un soir ou d'une période donnée. Tous étaient animés par la même passion : ils aimaient les travestis et voulaient le leur montrer aussi souvent qu'il était possible ! Tous adoraient les caresses que Claire leur prodiguait. Tous aimaient ce corps que Claire leur offrait ! Et tous en redemandaient !
Ceci étant, et en guise de conclusion à ce billet, je dirais que je ne me considère plus comme un travesti. Non ! Je ne suis plus un travesti. Je suis une transgenre. Une personne au sexe, comment dire.... ALTERNATIF ! Le terme exact pour désigner nombre d'entre nous. Car en fait, je suis amoureux fou de mon épouse qui partage avec moi cette passion dévorante qui m'anime et qui l'accepte sans réserve. Mais en même temps, Claire est toujours là, tapie dans l'ombre et prête à surgir à la moindre occasion ! Claire est une femme. Elle vit en moi ! Elle est en quelque sorte locataire du mec que je suis le plus souvent. Et lorsqu'elle peut sortir, je lui laisse toute la liberté dont elle a besoin pour s'épanouir.
Voilà qui est Claire. Claire n'est pas un ou une travesti(e). Claire est VRAIMENT une femme. Simplement, elle ne se manifeste que lorsque le besoin (car il s'agit vraiment d'un besoin) s'en fait sentir. Et Claire est tellement femme qu'elle ne regarde que les hommes lorsqu'elle se libère. Claire aime s'offrir à un garçon lorsque, libre, elle peut être celle qu'elle veut.
Je vous embrasse toutes et tous tendrement.
Claire
Mon amie s'était levé tôt et ca sentait bon le café.
j'écartais le drap, contemplais mes ongles de pieds rouge très vif qu'elle avait fait la veille ainsi que ceux des mains alors que simultanément je m'occupais des siens.
C'était rare qu'elle s'occupe de mes ongles.
Heureuse, me sentant belle, je m'étirais longuement et ma nuisette de nylon suivait les mouvements de mon corps.
Je regardai en transparence les bourgeons de seins, mes hanches qui s'élargissaient et mes fesses qui semblaient s'arrondir. J'étais nue sous le voile et ma fine verge paresseuse s'étendait mollement sur mon estomac.
Je la saisis à travers le nylon tout en essayant de me souvenir de la dernière érection véritable que j'avais eue.
Mon amie semblait se contenter de ce que j'avais à lui offrir et embrassait tendrement mon gland tout rose quand je lui avais donné du plaisir avec ma langue et mes caresses et que quelques gouttes liquides s'échappaient de mon sexe, tenant lieu d'éjaculation.
Les fins anneaux qu'elle avait disposé sur mon sexe, un à travers l'urètre, plusieurs sur le frein de mon gland et d'autres sur mes testicules, brillaient dans la lumière du matin.
Je m'assis sur le rebord du lit et enfilais mes mules à talon.
Ma toilette était beaucoup plus longue dorénavant.
Elle accordait beaucoup d'importance à mes soins intimes, j'utilisais une multitude de crèmes pour
rendre ma peau plus douce.
Dans les premiers temps elle avait pris un soin maladif à briquer la rose de mon anus, si bien qu'effectivement celui ci était devenu tout rose et étrangement sensible, comme l'étaient mes tétons
turgescents. Ainsi J' y appliquais consciencieusement les pommades, y prenant de plus en plus plaisir.
Elle m'avait donné la veille un paquet de serviettes hygiéniques et de tampons en m'en expliquant l'usage. J'avais déjà porté des serviettes lors des saignements provoqués par la pose des anneaux mais cela avait été anecdotique.
Malgré tout je n'en voyais pas l'usage me concernant et avait suivi distraitement ces explications.
Je pourrai porter les serviettes discrètement sous la culotte mais si j'étais amenée à ne pas en porter, les tampons devenaient très utiles. Certains hommes étaient très grands, énormes me dit elle en me prenant la main et me regardant dans les yeux intensément.
J'accordais un soin particulier à mon maquillage ce jour là et coiffais longuement mes longs cheveux roux. Le roux n'était pas ma couleur naturelle, mais depuis que mes cheveux avaient poussé, elle me faisait régulièrement coiffer et teindre. Le petit triangle de mon pubis était également teint pour que l'illusion soit parfaite.
Sur la chaise, je saisis la culotte affolante et le soutien gorge assorti. La culotte, très bouffante et élastique, pouvait s'appliquer à des fesses largement plus grosses que les miennes et le soutien gorge bonnet D, garni de la même dentelle que la culotte, était conçu pour une poitrine largement plus généreuse que mes pauvres petits seins.
Je les enfilais magré tout, y voyant une facétie de mon amie qui venait de faire refaire les seins.
C'était maintenant la parfaite bimbo, une poupée sexuelle.
En plus de ses nouveaux seins bonnet D, au cours des derniers mois elle avait eu une opération de lipofilling qui lui avait donné une croupe plus que généreuse, accentuant la finesse de sa taille.
Sa taille si fine elle la devait aussi à l'ablation de sa dernière paire de côtes et le port intensif de corsets
Lorsqu'elle prenait mon sexe entre ses lèvres, je ressentais leur gonflement exagéré et le froid des clous qui traversaient sa langue.
En inconditionnelle du piercing, ses tétons étaient ornés de bijoux et de délicats anneaux ornaient le contour de sa vulve dont l'un sur le capuchon de son clitoris.
Puis j'enfilais avec un soupir d'aise les fins collants Golden Lady gris souris, la robe pull verte aux genoux, ajustai la large ceinture de cuir noir et enfilai les mules rouges à talons très hauts.
Ces mules lui appartenaient, j'étais émue que pour la première fois elle me les fit porter
Ainsi parée et me déplaçant maladroitement dans ces talons vertigineux, je me rassis au bord du lit
et ajustait les collants sur le bout de mes pieds ainsi qu'elle me l'avait appris, la couture visible et appliquée juste sur les bout des orteils et la pointe renforcée légèrement plus sombre les couvrant parfaitement.
Les hommes sont attentifs à ce genre de détails chez une femme, ils adorent disait-elle.
Puis je la retrouvais buvant sa tasse de café, prête déjà.
Sa vue me causa un choc
(A suivre ...)
mais comme une amie, comme sa maîtresse.
Je ne savais plus exactement quand ca avait commencé, peut être quand elle m'avait dit qu'elle
préférait que je la fasse jouir avec ma langue ? Ou quand elle m'avait interdit d'éjaculer en elle ?
Ou quand elle avait commencé à s'occuper activement de mon corps, de ce que je portais ?
Je l'avais accompagné chez l'esthéticienne, ma pilosité avait disparue complétement disparu après
les séances laser, me laissant juste le petit triangle du pubis. A mon grand embarras, l'anus aussi fit
partie du traitement.
Et puis elle changea complètement ma garde robe, les chemises devinrent de plus en plus légères et
colorées, les manches bouffantes, les pantalons élastiques très moulants et très fins, les chaussettes
furent remplacées par des socquettes transparentes de fille en nylon et les chaussures des ballerines
ornées de petits nœuds. Cela fut complété par des parkas et vestes unisexes
Enfin elle demanda à sa coiffeuse de me faire pour l'instant une coupe garçonne - ce qui aurait du m'alerter finalement -
Nos ébats sexuels devenaient de plus en plus rare et j'étais sujet à une anxiété dont je ne comprenais pas vraiment la cause. Dans le même temps je sentais bien que le regard de mes collègues vis à vis de moi changeaient, les hommes semblaient gênés. A mon approche les discussions s' arrêtaient et les femmes me dévisageaient curieusement.
Après en avoir fait part à mon amie, celle ci me fit prendre des pilules recommandées par son
médecin. En effet, après plusieurs semaines de ce traitement, mes angoisses disparurent.
Dans le même temps, nos jeux avaient changés. Je ressentais moins le besoin d'éjaculer et avais davantage le souci de son plaisir. C'est ainsi qu'elle me présenta un jour un de ses déshabillé, une
guêpière, des bas et des mules haut talons. Nous faisions la même taille et approximativement la
même pointure ce qui facilita les choses. Devant ma gêne et mon rire gêné, elle ris à son tour
et m'aida à tout enfiler.
Je rougis car mon pénis qui depuis quelque temps restait léthargique, prit instantanément une position verticale de garde à vous.
Ainsi se passèrent plusieurs mois, peut être un an, je prenais de plus en plus de plaisir à nos jeux
travesti , moi lui offrant du plaisir avec mes caresses et ma langue et elle me masturbant de ses doigts ou de sa bouche.
Mais dans le même temps, je notais que mes érections devenaient moins fermes, au point que souvent je n'éjaculais pas alors qu'elle avait de bruyants orgasmes. J'avais pris un peu de poids ce qu'elle me reprochaient et ma poitrine semblait gonfler légèrement.
-Aïe, faisais-je quand elle pinçait mes tétons.
Il n'était plus question que je la pénètre bien sur, mes maigres tentatives en ce sens étaient immédiatement repoussées. Au contraire ma masse musculaire diminuant, elle me renversait sans mal, écartait les collants ou la culotte que je portais et, insérant un doigt dans mon anus, m'amenait sans peine au plaisir.
Et puis elle décida qu'il serait mieux que je sois toujours habillée en femme quand j'étais à la maison. Ainsi progressivement elle me refit une garde robe complète.
J'allais de moins en moins à mon travail, souvent je gardais sur moi mes vêtements féminins.
Ainsi un jour, j'y portai un body dentelle, une jupe crayon au genou, des bas chair à couture et des escarpins à talon très dénudés.
Ce fut la dernière fois que je m'y rendis, alors que les hommes devenaient pressants et les femmes souriantes.
Peu de temps après, elle m'annonça que nous irions faire du shopping entre filles le lendemain.
Je n'en fut pas choquée
(A suivre ...)
j' ai récemment passé
une "annonce" sur un site de rencontre pour Travesti , concernant ma
prochaine venue sur Lyon. Je n'ai eu aucune réponse, si ce n'est quelques
moqueries, quelques insultes, mais je viens aujourd'hui vous raconter comment j'ai
passé ma journée...
La première journée ou
j’ai osé ….
Vers 9h00 le matin du Jeudi 24 Novembre, je suis
sorti de mon hôtel et suis parti en centre-ville. Après un petit déjeuné
rapide, je me suis mis en quête d'un institut de beauté. Là, j'ai demandé une
épilation intégrale. L'institut ne le proposait pas, mais ils m'ont orientés
vers un établissement voisin qui le faisait.
La douleur était supportable, et je me suis
laissé aller aux mains expertes d’un jeune homme qui m'a ensuite appliqué une
huile sur tout le corps. J'imaginais déjà plein de choses, et mon cerveau rendu
fou par les positions prises pour l'épilation créait des images de plus en plus
coquines.
Après avoir payé, je file sur la presqu’ile ,
rue de la République, échauffé mais heureux de me sentir tout lisse.
Là-bas, je me dirige vers la boutique Etam. Un
coup d'œil dans les rayons et je suis mal à l’aise et hésitant!
J’arrête une vendeuse mature très souriante, et
lui fait part de ma recherche, à savoir un ensemble porte jarretelle , soutient
gorges et string en dentelle noir. Elle me demande en quelle taille ? Devant
mon air indécis, elle me demande" combien fait-elle en jean ?". Je
réponds "heu, 40". Elle sourit, il me semble qu’elle a compris ma
demande et me dit "je reviens". Elle me présente un modèle et me dit
"voulez-vous l’essayer ?". J’ai dû devenir écarlate, mais elle a continué,
me propose d’autres ensembles, des magnifiques basses coutures. Je décline sa
proposition d'essayage, je règle mes achats, et sors rapidement du magasin.
Je décide d’aller boire un café dans un bar , je
demande les toilettes pour me changer. Enfermé dans les toilettes je retire mon
jean, et j’enfile ma paire de bas couture noirs, le porte jarretelle, le
string, et le soutien-gorge. Je remets mon pantalon, et je sens monter une
excitation qui ne me quittera que très tard en fin de journée.
Je continu a me balader en centre-ville, rue de
la république, en quête de sex-shop avec cabine. Je cherche aussi un plug,
curieux de tester ce que j’ai lu sur le sujet.
Je rentre finalement au « César Love
Shop » situé proche de la place des Terreaux.
Il n'y a personne, juste un vendeur d’une
quarantaine d'année. Des vitrines présentent des sous-vêtements coquins, des
sextoys divers et variés et notamment deux modèles de plug. Un petit à 15
euros, un gros à 25 euros. Je choisis le petit et demande si je peux avoir
accès aux cabines pour visionner un film, je paye le tout, et le vendeur
m’indique les cabines, «c’est là, derrière le rideau ».
Je rentre dans le long couloir derrière le
rideau, et entre dans une cabine. Je ferme à clef, regarde mon film, et
doucement, je commence à ôter mon jean, mon blouson, et mes chaussures. J’ouvre
mon sac à dos, sors une paire de talons 10 cm (25 euros à la Halle aux
chaussures) que j’avais amené avec moi, enfile ma perruque et me maquille
légèrement (fond de teint, eye-liner et rouge à lèvre)
Je me décide d’ouvrir la
porte de la cabine, et je m'assois, jambes croisées, en lingerie très « pute »,
et je regarde mon film où l’on voit de très beaux Trans non opérés se faire des
choses très agréables. Après quelques minutes, très excitée, je décide de m’introduire
le plug. Je le lubrifie, je m'accroupis, et je me l enfile, je suis assez
étroite, mais l’excitation faisant il entre aisément. Une fois en place, je
remets le string et me rassois, jambes croisées. Je suis hyper excité, travestie
et plugée. C 'est un sentiment inouï, très cérébral. Je sens ce plug dans mon
anus, Je suis là, offerte, en tenue sexy, dans l’attente d’un visiteur.
Je suis excitée mais ne
bande pas, résultat de l’excitation et la peur surement !
De toutes façons, je
préfère sentir mon « clito » petit dans mon string .
Je sors de la cabine faire quelques pas avec mon
plug. Mes talons claquent sur le carrelage, j’ai peur et en même temps j’ai
envie qu’on me surprenne. Envie de ne plus pouvoir reculer, surement !
Il y a là une dizaine de
cabines, vides. C'est frustrant ! Je lève la tête et je vois une caméra de
surveillance. Je ne sais pas si elle fonctionne mais, j’ose et je prends les
poses les plus coquines, au cas où...
Encore quelques minutes et toujours personne, il
est environ 12h30.
Je décide alors de revenir dans la boutique, en
lingerie, pour voir si des personnes sont là.
Mon cœur bat comme un fou, et ma bouche est sèche.
Mais faire cette petite exhibe m’excite, et pourquoi pas ? Je déambule
dans la boutique en sous vêtement sexy, maquillée, et moi seule le sais,
« plugée »
Le vendeur s’accoude a son
comptoir et je sens qu’il me mate
Dans la boutique, il y a 4 ou 5 hommes. Tous me
regardent, mais je n’en regarde aucun. Le vendeur me regarde aussi. Je fais
mine de chercher un accessoire, je lui demande des renseignements sur d’autres
gadgets, et je dis, assez fort pour être entendu, " Merci, je retourne à
la cabine !!!". Puis je repars dans le couloir. J’entends mon cœur
battre et le sang monter dans mes oreilles...
Arrivé dans la cabine, je m’assoie et croise les
jambes , en position d’attente sexy… 3 des clients de la boutique m’ont suivi .
Ils sont devant la porte et me regardent. L’un d’eux s’exclame "putain
quelle salope !!!". Mes jambes, mes mains tremblent, je suis affolée et
excitée. Ils sont devant moi, me regardent. Deux d’entre eux ont sorti leur
sexe et se caressent.
J’y suis, je n’ai plus
le choix, je vais faire ce qu’ils attendent !!! …je pose une jambe gainée de
bas tenus par mon porte jarretelle sur la chaise, écarte les jambes et m exhibe.
Je me comporte en une allumeuse…
Je vais passer une bonne parti de l’après-midi
la- bas. Un premier homme va entrer dans la cabine et me présenter son sexe
tendu. Je vais entendre « allez suce moi salope », je vais
m’exécuter, peureuse, honteuse, mais excitée. Les mains des hommes vont me caresser,
me guider, m’obliger. On va se servir de ma bouche, de mes mains pendant plus
d’une heure et même de mon sexe.
L’un des clients a voulu
me doigter mais quand il a senti le plug, je me suis fait traité de
"pute", de « chienne », de « salope ». Un autre client
a même fait des photos.
Un couple est arrivé, et
c’est madame qui est entré la première dans la cabine. Elle a saisi entre ses
doigts mon sexe et l’a serré très fort entre ses ongles. Elle m’a regardé et
s’est moqué de moi en souriant « Quelle petite bite !! ce n’est pas
avec ça que tu feras jouir une femme !! »
Puis elle a ôté sa
culotte et relevé sa jupe, a pris ma tête avec ses deux mains et m’a obligé à
la lécher en m’insultant, se moquant de moi, me traitant de pute et salope,
tout cela jusqu’à ce qu’elle jouisse dans ma bouche.
Voilà, ce que certains d’entre
vous ont peut-être loupé.
Je ne suis qu’un homme
qui a ses fantasmes et qui a osé !!! alors respectez mes idées, mes mœurs,
mes fantasmes.
Oui j’ai aimé être
traité en pute, Oui j’aime être humiliée, Oui j’aime être forcée de subir les
envies perverses des hommes ou des femmes.
Pour les râleurs, ceux qui critiquent, qui se
moquent, êtes-vous sûrs de valoir beaucoup mieux ?
Mon corps change rapidement depuis qu'il
me fait prendre des hormones. J'ai de
fréquentes bouffées de chaleur et ma poitrine
gonflée tend la nuisette longue que je porte.
Il ne me fait plus de demandes mais je sais ce
qu'il veut. Quand j'enfile sur le bord du lit les
collants voile ultra fins, que je glisse mes pieds
dans les mules vertigineuses, que je rabat ma
nuisette sur mes attraits et que je me glisse sous
les draps, je vois ses yeux briller, découvrir ses dents carnivores, sa braguette bombée.
Trois fois, trois fois il éjaculera cette nuit
encore. Blotti contre moi, ses mains couvrent mes
seins gonflés. Il les caresse doucement à travers
le nylon en embrassant mon cou.
Son sexe tendu appuyé contre mes fesses je sens
son désir de moi. Je tremble comme une biche
prise dans les griffes d'un lion et sentant que je lui
appartient totalement.
Je sais qu'il guette les signes de mon abandon et
peu à peu ses tendres caresses me font gémir.
Sa main vient palper mon sexe à travers la
nuisette et les collants. Il le saisit et de son pouce
caresse doucement mon gland.
Quand il y détecte la moindre trace d'humidité,
c'est comme un signal pour lui.
Il lache mes seins, tourne mon visage contre le
sien et allongée sur le dos il me prend.
Ma nuisette relevée à demi, son gros
gland durci vient frapper mon collant à l'endroit
de l'anus. D'un coup de rein, il entre en moi.
Je gémis plus fort comme il me chevauche.
Mon sexe tendu sous le collant, ma liqueur de fille
s'écoule doucement, mes jambes gainées et mes pieds toujours chaussés enserrent sa taille.
Il éjacule bruyamment en moi et je soupire plus fort tandis que son sperme épais et brûlant remplit mon ventre.
Il s'assoupit, son sexe en moi, ses bras protecteurs m'entourent. Je m'endors moi aussi.
Le jour se lève à peine, son bras m'entoure
toujours. Je sens contre mes fesses humides son sexe qui se tend.
Je lui fais face, il me sourit. J'entoure son membre de ma main et le masturbe doucement.
Il m'embrasse. Je m'enfonce sous les draps et
prends son membre dans ma bouche.
Je léche comme une glace sa queue et ses couilles. A son tour de gémir. Entre mes doigts
son membre durcit encore, son gland gonfle encore et je glisse le bout de ma langue dans son urètre. Enfin je glisse un doigt dans son
anus. C'en est trop pour lui. Il se tend, se cambre et dans un ultime spasme remplit ma gorge de son foutre .
Instantanément il se redresse dans le lit et me découvre du drap. Il saisit mes petits pieds gainés
et se masturbe sur leur plante.
Rapidement il éjacule, recouvrant mon collant
du liquide visqueux. Il s'empare alors de mes
mules et m'en rechausse. Puis il me recouvre du drap et me laisse ainsi, pantelante, soumise, mon
corps de femme prèt à de nouveau assauts, mes seins tendus sous le voile, ma petite verge a demi tendue en arc sous le collant
Il y avait des jardiniers, cuisiniers, servantes,
pas mal de blouses blanches, à l'étonnement
un peu inquiet de Marilyn, des infirmières, des
messieurs en costume aux allures de médecins
mais surtout, en première ligne, une
grande femme très mince, en veste et tailleur
noirs, bas noirs et escarpins.
- Bonjour Victorine, voici Marilyn.
Dit Monsieur à l'adresse de la femme.
Arrivée tout près, Marilyn l'observait.
Elle avait un visage long et maigre, un rouge à
lèvres discret et un maquillage outrancier sur
les paupières qui tranchait avec son aspect
austère et lui donnait l'air horriblement vulgaire.
Pour completer son personnage, elle portait
à la taille un impressionnant trousseau de clés.
- Marilyn, je te présente Madame Victorine.
C'est elle qui est en charge du bon
fonctionnement de la maison.
Ses ordres sont mes ordres.
Tous ici doivent lui obéir et
cela t'inclut Marilyn. Me suis je bien
fait comprendre ? ajouta t'il en la dévisageant
durement
- Ca ne va pas beaucoup me changer pensa
Marilyn en hochant la tête. Finalement cette
Victorine est une Madame. Pourtant le lieu
n'avait pas l'air d'une Maison Close, il n'y avait
pas de filles.
Ce qui étonnait le plus Marilyn, c'était toutes ces
blouses blanches qui faisaient penser à une
clinique.
- Conduisez Madame à sa chambre Victorine
ordonna Monsieur
La femme, qui détaillait à son tour Marilyn les
lèvres pincées, demanda d'un ton sec qui avait un
air de défi
- laquelle, Monsieur ?
Aussitôt, on sentit comme un tresaillement
dans la rangée du personnel
- Nous en avons déja parlé,
répondit d'une voix plus forte Monsieur.
Aidez la à se préparer pour le diner
- très bien, fit la femme et se rapprochant de
Marilyn
- Suivez moi Madame.
C'est alors que Marilyn remarqua le martinet à
sa taille.
Devancant Marilyn montant les marches, exposant
la couture de ses bas aux talons à la française, la
femme roulait ses maigres hanches ce qui
paraissait risible si on comparaît à Marilyn dont
la démarche chaloupée accentuée par la hauteur
de ses talons, déchaînait à chaque pas un roulement naturel à faire frémir un saint, de ses
fesses et de ses hanches, tandis que ses seins
parfaits rebondissaient sous la combinaison.
Tendant le bras, la femme agrippa une fille en tablier
- Viens toi ordonna t'elle
La fille jeta un regard craintif vers Marilyn et la
précéda.
Elle portait une courte robe noire, un petit tablier
blanc, des collants voile bleus et des ballerines
noires.
A chaque pas, sa robe se soulevait et dévoilait
la blancheur de sa culotte sous les collants
Marilyn se demandait quel age pouvait avoir la
fille, elle semblait plus jeune qu'elle même.
Elles entrèrent dans un hall monumental et se
dirigèrent vers un ascenseur que Madame ouvrit
avec une clé.
Puis elle appuya sur le bouton +3, inséra sa clé de
nouveau et silencieusement, l'ascenseur s'éleva.
La chambre était superbe, grande et clair.
Le très grand lit recouvert de soie rose faisait
face à une grande table à maquillage couverte de
produits. Marilyn vit son reflet dans le miroir.
Levant les yeux, elle vit que le plafond très haut
était lui aussi couvert de miroirs
Se dirigeant vers le fond de la pièce où elle avait
distingué une porte, elle tenta de l'ouvrir mais
sans succès.
- Que faites vous ? demanda Madame d'un ton
soupconneux
- Je voudrais faire pipi répondit tranquillement
Marilyn
- Il fallait demander, répondit la femme
- Montre lui, dit t'elle à la jeune servante
aussitôt, celle ci, suivie de Marilyn, ouvrit une deuxième porte.
Marilyn s'empressa d'entrer
Une faible lumière éclairait la pièce. Dans la semi
obscurité Marilyn distingua un étroit lit de fer.
Sur le sol, sur les murs, au pladond, des chaines,
des anneaux des crochets encastrés. Reportant
son regard sur le lit, Marilyn découvrit le matelas
souillé et à nouveau sur le sol et contre les murs
de nombreux instruments tachés de sang
Marilyn mit la main devant sa bouche et ses
narines furent soudain envahis par une odeur
fétide
Tenant la main devant sa bouche Marilyn était
horrifiée. Une chambre de torture, c'était une
chambre de torture et qui avait servi.
Alors que choquée elle se demandait qui avait
pu mériter un tel traitement abominable elle
fut saisie par une main énergique qui la tira
brutalement en arrière et hors de la pièce.
Déja la Madame tournait la clé dans la serrure et
giflait la jeune servante à toute volée
- Petite idiote, cria t'elle tu sera punie
- Suivez moi madame, dit elle d'une voix
mielleuse en appuyant sur le madame d'une
façon désagréable
- Voici la chambre de Monsieur dit elle en ouvrant une autre porte . La chambre était grande
et claire comme la sienne mais Marilyn ne la
voyait plus. Ses yeux étaient remplis de l'horreur
de ce qu'elle venait de voir.
La tirant de nouveau en arrière, fermant la porte à
clé et en ouvrant une autre la femme conclut :
- Voici les toilettes, madame, faites vite nous
devons nous préparer pour ce soir
Assise sur la cuvette Marilyn sombrait dans le désespoir. De l'autre côté de la porte la femme lui
expliquait que ce qu'elle venait de voir était en fait
un décor. Monsieur était dans le cinéma il le lui
avait certainement dit non ?
Enfin bref que ce décor avait été utilisé pour un de
ses films, qu'il avait été mis là faute de place
mais qu'il devait être enlevé dès le lendemain
Mon dieu, c'était tellement réaliste, pensait
Marilyn, ce matelas souillé et sur le sol,
ces choses abjectes . Elle avait buté sur des
choses molles qui s'écrasaient, éclataient sous
ses mules.
Et cette odeur pestilentielle ...
Passant la tête par la porte qu'elle n'avait pas
fermée, la femme enjoignit Marilyn de se hâter.
Celle ci, comme émergeant d'un rêve et choquée
du regard de la femme sur elle, renfila
promptement la combinaison descendue sur ses
cuisses. Elle voulait se débarasser de ses mules
souillées mais un regard de la femme l'en
dissuada.
- Allez, suivez moi et asseyez vous sur le lit dit la femme alors que Marilyn la suivait d'un pas mal
assuré.
- Paulette, prends les affaires de madame dit elle
à l'adresse de la jeune fille qui était debout dans un coin, les yeux baissés.
Marilyn était assise nue sur le lit, le bout de ses
pieds nus touchant le sol.
La femme se tenait devant elle. D'un geste assuré
de ses mains en coupelles elle soupesa les seins
et les relacha en murmurant des mots incompréhensibles.
Puis, baissant les yeux, sa bouche se tordit dans
une grimace de dégoût.
La femme eut un sourire mauvais sur sa bouche
tordue alors qu'elle découvrait le pénis
minuscule et le gland disproportionné traversé
d'un anneau, les lèvres fardées de son méat
souriant et l'anneau à la base du gland qui le
contraignait.
- C'est fonctionnel ça ? demanda t'elle
d'un air dégouté tandis qu'elle saisissait les petits
testicules et les pinçait de ses ongles.
Marilyn se mordit les lèvres.
- J'espère pour vous que non dit la femme. Elle ajouta
- et pas parce que je vais percer vos petites
olives !
- Mais ...
voulut protester Marilyn
- Ordre de votre mari grimaca la femme
- Il a dit, les anneaux sur les tétons, vous les avez
déja, des grandes créoles aux oreilles, au nez un
anneau, je vois que vous n'êtes pas encore percée
là, l'anneau du nombril - elle cochait
mentalement des cases -, l'anneau au bout de
votre petit truc - regardant le gland de Marilyn,
vos deux olives à percer d'anneau et ....
obligeant Marilyn à relever son bassin,
découvrant les lèvres épaisses de son anus entrebaillé, elle
les saisit entre ses doigts avec dégoùt
- 6 ici !
- Allez Paulette, amène moi ma trousse et mes
gants
40 minutes plus tard, le visage couvert de
larmes, Marilyn entrait dans une grande
baignoire et Paulette lui massait doucement
les épaules
Lavée et parfumée, le petit
triangle de son pubis soigneusement
épilé, débarassée des rares poils disgacieux,
ses cheveux séchés, Paulette la maquilla
Le pourpre léger sur ses paupières, le rouge baiser sur ses lèvres et - Paulette rougit - le même rouge sur les lèvres du gland et de l'anus.
Quand Paulette eut terminé, Madame entra de nouveau dans la chambre. Elle fit lever Marilyn
et la fit tourner sur elle même. Satisfaite, elle
choisit avec soin les vètements dans les placards
qui entouraient la pièce :
Paulette laça dans son dos la guépière
transparente délicatement brodée qui lui
étranglait la taille et présentait ses seins. Elle
lui demanda de retenir son souffle et jamais la
taille de Marilyn n'avait été aussi fine. Elle l'aida
à attacher les 8 jarretelles sur ses longs bas en
voile blanc, veillant au bon alignement de la
couture et à enfiler la large culotte en nylon blanc transparente.
Enfin elle lui fit enfiler le très long déshabillé rose
en voile et les mules roses à pompons et petits
talons.
Présentant Marilyn devant le miroir, celle ci
pouvait deviner ce que serait la soirée avec
Monsieur, intime, elle en lingerie
Elle était un véritable appel au viol. Elle savait
l'appétit d'elle qu'avait monsieur. Mais ainsi
parée elle avait le sentiment de réclamer ce
qu'il lui ferait :
L'anneau de son nez, de ses seins, qui la
déshumanisaient, dans son sexe, dans son anus
qui l'appelaient.
Et sa lingerie, si transparente qu'elle était plus que
nue.
Ses longs tétons transpercés qui pointaient sous le voile,
les lèvres de son gland et de son anus, si rouges,
si épaisses, comme un baiser sur le voile de la
culotte, les anneaux qui brillaient partout dans la
culotte, les ongles rouges sous les bas, ses
doigts de pieds bagués dans les mules roses ...
En fait de diner, elle imaginait que Monsieur allait
rapidement abuser d'elle, sans attendre de
l'emmener dans sa chambre, de la mettre dans son
lit.
- Allons y, dit la femme
- Ils vous attendent
Marilyn fut remplie de stupeur,
ILS ? ...
(A suivre ...)
Carole le Vice alias Lilileet Le 12 Mai 2021
Monsieur l'arréta d'un geste et lui tendit un paquet.
Marilyn, ayant extrait la combinaison jumpsuit qu'il contenait, l'enfila rapidement.
Elle était côtelée, de couleur noir, et moulait intimement son corps volupteux.
Elle ne put remonter entièrement le zip qui partait de sa taille, s'arrétant à la base des seins.
La voiture s'arréta puis reparti, ayant franchi une large grille.
Un bon moment plus tard, la voiture s'arréta de nouveau.
la portière du côté de Monsieur s'ouvrit et le chauffeur, tenant sa casquette à la main,
apparût.
- Enfin arrivés dit Monsieur
- Vous nettoierez la voiture, Georges, Madame a été indisposée
Jetant un regard rapide à l'intérieur de la voiture, ledit Georges, tordant les
lèvres en un rictus de dégoût salace corrigé par sa soumission répondit
- Bien Monsieur,
Jetant un regard sur la trainée ensanglantée du dossier et la large tâche rougie du siège
il posa un regard rapide sur Marilyn avec toujours la même expression.
- Viens vite, dit Monsieur à l'adresse de Marliyn en lui tendant la main comme il s'extrayait de
la limousine.
Celle ci, ayant renfilé ses mules noires de Domina aux talons aiguilles de 18 centimètres qui
cambraient ses petits pieds à l'extrème, le suivit.
Quand elle se redressa, Monsieur passa son bras autour de sa taille
- Bienvenue dans ta nouvelle maison ! dit il, découvrant une trés large demeure de style gothique
Le chauffeur sa casquette à la main et tenant
toujours la portière était maintenant bouche bée
et ne pouvait détacher son regard de Marilyn
Au côtés de Monsieur qui la tenait par la taille,
Marilyn était aussi grande que lui.
Ses pieds étaient nus dans les mules, ses ongles
vermillon. Ses longues jambes jusqu'au
chevilles étaient gainées par la combinaison
Ses larges fesses et ses hanches larges accentuaient la finesse
extrème de sa taille. Le décolleté très généreux
laissait apercevoir la rondeur de ses gros seins
qui pointaient sous l'étoffe.
Ses lèvres charnues légèrement entrouvertes laissaient apparaître les perles de ses dents,
ses longs cils de biche couvraient ses magnifique yeux verts. Sa féminité extrème n'était
en rien entamée par ses cheveux coupés court.
Soudain sur les gravillons on entendit une
cavalcade et un enorme chien apparut.
C'était un genre de doberman, peut être un
mâle pensa Marilyn.
Le chien trotta joyeusement jusqu'à eux et
vint se tenir au côté de Monsieur.
La langue pendante, le chien quémandait
des caresses. Puis, tournant autour du couple
il s'intéressa à Marilyn
Le chien s'approcha de Marilyn et la renifla.
Se tenant face à elle, il plaqua son museau entre
ses cuisses. Puis il s'écarta et commenca à
gronder. Il se placa derriere elle, grondant
toujours et colla son mufle entre ses fesses
Marilyn, qui sentait la chatouille mouillée de
la truffe du chien et ses puissants reniflements
à travers la combinaison contre son anus n'osait
pas bouger.
Puis soudain le chien cessa de gronda, jappa joyeusement
et se mit à gambader autour d'eux.
C'est bien un màle, pensa Marilyn en regardant le chien joyeux.
Sous son ventre, un long pénis effilé était sorti de la gaine de son ventre.
Debout sur les pattes de derrière il vint s'appuyer sur Monsieur, toujours
jappant joyensement en tirant la langue
- Oui, je sais, elle est belle la dame , dit Monsieur en caressant la tête du chien
- Vous aurez l'occasion de jouer tous les deux plus tard, rajouta t'il en posant une
main sur les fesses de Marilyn
- Allez Néron, laisse nous conclua t'il en repoussant le chien dont le très long sexe
rose restait tendu comme un poignard
Pincant et tapotant la fesse de Marilyn, il lui glissa
- Tu as de la chance, Néron t'aime beaucoup, tu devra être très gentille avec lui
la prochaine fois, tu as vu dans quel état tu as mis la pauvre bête.
Reprenant sa taille
- Nous avons oublié le corset, j'ai l'impression que tu prends du ventre toi
Marilyn savait que son estomac était vide, la diète qu'elle devait suivre était drastique
et la seule chose qui remplissait son ventre c'était le sperme de Monsieur, qui venait
encore d'éjaculer en elle après l'orgie de la nuit dernière.
Reprenant la marche vers la vaste demeure, tenant la main de Marilyn, elle chaloupant
sur ses talons aiguilles, ses fesses et ses seins gainés dans la combinaison il dit :
- Allez viens, je vais te présenter au personnel
Il les dirigea vers l'allée que formait le personnel nombreux au pied des marches.
(A suivre ...)
Carole le Vice alias Lilileet Le 5 Mai 2021