Loading...
fr

Blogs

Pubs
Annafe

RENCONTRE PARISIENNE


Je dois rentrer chez moi car il est presque 18h. Mais en cette journée ensoleillée de début septembre j’éprouve encore le besoin d’admirer les reflets du soleil sur mes bas « sublime ». De sentir le léger souffle du  vent qui,  coquin, se glisse sous ma jupe et m’oblige au léger frisson.


Alors je m’installe, seule, à cette grande terrasse des beaux quartiers. Sur la table à mes côtés, trois jolies femmes qui me sourient.  L’une d’elle va même échanger quelques mots avec moi.


Je me sens bien à siroter ma boisson rafraichissante. Je regarde les passants. Je jette un oeil, parfois, à mon petit sac ou se repose les jolies escarpins hauts que je viens d’acquérir à un prix très abordable. Je repense à ma belle journée féminine tout en sachant que bientôt je devrais quitter ma douce lingerie, ma robe légère, mes fines chaussures et ma jolie tignasse blonde méchée.

Oter également collier, boucles d’oreilles, bagues et ce vernis rouge que j’adore lorsqu’il s’étale, comme un rubis sur mes ongles.

Oui, après ce retour en RER, je retrouverai mes frusques masculines qui me rebutes de plus en plus.

Alors je profite des derniers rayons chauds de l’astre du jour. Seule mais heureuse.


Pourtant, depuis plusieurs minutes, je m’interroge. Devant le kiosque à journaux, cet homme d’une quarantaine d’années, paraissant encore très consommable semble me lancer des regards furtifs.

Je m’aperçois que son intérêt pour les magazines  est futile et qu’il jette régulièrement un œil en ma direction.


« Non, tu es folle Anna »


Qui s’intéresserait à une créature féminine plus vraiment jeunette. Tu rêves trop. Tu n’es plus une adolescente. Et pourtant j’aime que l’on me trouve belle, que l’on m ‘admire, je l’avoue.


J’évite de le regarder, me concentrant sur la paille qui glisse entre mes lèvres.


Là, je me dis, attention. Le Monsieur vient de prendre la place, laissée disponible, à côté de moi par les trois jeunes femmes. Tu ne rêvais pas Anna. C’est bien lui, assis tout près, qui commande un café.

Je me recroqueville un peu et écarte ma bouche de la paille, des fois que cela lui donnerait des idées. Pourvu qu’il se soit aperçut que je ne suis pas une femme-bio. J’aurais l’air idiote. Je sais qu’il hésite, là à quelques décimètres de moi.


-          - Pardonnez-moi de vous importuner Madame. Connaissez-vous la MDT

 

Il est fin le bougre, la MDT, la Maison du Travesti. Il me fait bien comprendre qu’il sait ce que je suis

Je ne peux que lui répondre la vérité :

-          - Oui, j’y suis déjà allée.

Et lui de répondre, charmeur

-         -   Je n’ai jamais eu le plaisir de vous y rencontrer

 

Et voilà. Le malin a réussi à déclencher le dialogue.

Me faire draguer à une terrasse dans Paris. Moi qui il y  a encore peu n’aurait jamais osée mettre le bout d’un escarpin dehors. C’est le monde à l’envers. Mais c’est si agréable…


Anna

 

 

Annafe Sep 17 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 3
Annafe

Salut les copines,


Voilà, je ne sais pas si cela vous intéressera mais j'ai quelque chose à vous dire. Où plutôt, nous avons quelque chose à vous dire.

J'ai toujours affirmé que ma vie privée ne regardait que moi et que je ne souhaitais pas l'étaler sur le site. Mais j'ai également tempéré cette affirmation car si je rencontrai « le Grand Amour », celui qui vous fait vibrer plus que de raison, je vous en parlerai.

De plus, je ne fouille pas dans la vie des autres et ne cherche pas a savoir « qui fréquente qui ». mais je sais que ma modeste personne fait parfois l'objet de rumeurs (oui, on me le rapporte parfois et malheureusement je le déplore mais chacun fait comme il veut). Pourtant je ne suis pas si intéressante que cela. Je ne suis qu'une fragile « créature féminine » avec ses joies, ses petits bonheurs mais aussi ses peurs et ses angoisses terribles que je tente de dissimuler.


Alors, oui aujourd'hui (pour faire un peu taire ces rumeurs) et en accord avec celle que j'aime et parce qu'elle le souhaite aussi, nous allons dévoiler notre Amour.


Nous nous sommes rencontrés plusieurs fois et j'avoue que je suis tombée follement amoureuse d'elle. Je peux vous assurer qu'elle m'a fait « Naître femme ». Qu'elle a révélée totalement ma nature féminine par ses attentions, l'intelligence de son coeur, sa fougue amoureuse (n'en déplaise à certains qui se sont trompés à son égard car méfiez-vous de l'eau qui dort, il peut devenir Tsunami). Que dire de plus que d'avoir découvert l'extase physique, morale, sentimentale.


Nous formons donc un couple. Le couple Lola04-Anna et nous sommes heureuses.


Bien sûr. Nous sommes éloignées l'une de l'autre (mais nous trouvons des solutions pour se retrouver) et nous sachons bien que, sexuellement parlant, n'étant pas des nonnes, nous nous permettons de rencontrer des partenaires et laisser libre cours à quelques escapades sexuelles si importante à l'équilibre de nos êtres sensuels.


Mais nos deux âmes sont liés d'un Amour intense.

J'ai trouvé en Lola le bonheur que mon coeur n'osait espérer.

Merci à ce site de m'avoir permis de la découvrir (elle est magnifique)


Ainsi, tout est clair. En souhaitant que les rumeurs cesseront et que chacun d'entre vous trouve le bonheur qu'elle espère comme je l'ai trouvé auprès de mon Elfe.

Rien n'est plus beau que l'Amour et j'aime passionnément Lola

Bisous à tous

Anna, si heureuse...

Annafe Sep 15 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 4
Annafe

Je tenais a remercier chaleureusement de tout mon coeur et de toute mon amitié mes copines Annabelle et Nina qui m'ont fait l'immense plaisir, tout à tour, de m'accompagner dans mon escapade féminine Parisienne.

Elles ont été des compagnons agréables et très gentils

En leur souhaitant (si elles le désire) de sortir un jour dans un jolie tenue féminine et ce jour, si elle me le demande, je serai enchantée de les accompagner à mon tour.

Je vous livre quelques réflexions, astuces, anecdotes de cette journée.

En femme dans paris:

  • 95% des personnes que vous croisez ne font ABSOLUMENT PAS attention à vous

  • Parmi les 5% restant, 99% vous regarde d'un air, étonné, amusé ou gentil mais sont plutôt bienveillante et souriante votre égard

  • Le pourcentage minime restant peut avoir un visage réprobateur ou (surtout si ce sont deux hommes) se prépare a faire une petite réflexion amusé à son collègue lorsque vous serez passée. Mais vous vous en « foutez » car vous serez passée et vous ne le reverrai plus jamais. Alors, si vous êtes crédible, N'hésitez plus (et je suis prête à vous accompagner sur paris et R.P)

  • Quel kiffe d'être femme et de se payer un petit repas (léger: cause attention à ma ligne) à la table d'une brasserie parisienne, surtout quand le serveur est charmant

  • Je ne comprenais pas pourquoi il y avait tant de choses dans les sacs des femmes. Maintenant j'ai compris. Entre le portable, les papiers, les clefs, la brosse à cheveux, le fond de teint, le rouge à lèvres, le ricil, le crayon pour les yeux, le vernis a ongles, les mouchoirs, la paire de bas ou collant de rechange (je vous le conseille impérativement) et le gel et quelques capotes (on ne sait jamais hi hi hi). Prévoyez un grand sac a main.

  • Le magasin Concorde, c'est très bien et on y trouve des soldes parfois intéressante (humm, je vais bientôt essayer mon body sexy en dentelle à moins 70%)

  • En parlant du magasin Concorde, je conseillerai à toutes les copines qui ont des grandes tailles (chaussures et lingerie) d'y aller souvent car il y a beaucoup d'articles grande taille soldés (moins 50 ou 70%). Il y a notamment, en ce moment au Concorde Austerlitz (pub gratuite, je ne touche rien hi hi), des escarpins magnifiques a 20€ (à partir du 42 -snifff je fais du 40)

  • Ne croyez pas les étiquettes vous assurant que la paire de collant que vous achetez est « infilable »

  • En parlant collant, moi qui étais pas vraiment pour ça fait mémé) et bien je peux vous dire que finalement je reviens sur ma décision car pour sortir dans la rue c'est très confortable et cela évite de toujours s'inquiéter si le bas tient et si on ne voit pas le haut des jarretelles (bien sûr il n'y a plus la sensation du petit vent qui passe en-dessous de votre robe ou jupe et qui vous donne des jolies sensations). Alors, le mieux c'est d'alterner.

  • En parlant jarretelle, la rue c'est pas un club privé. Alors tenue de ville. Pas de tenue trop sexy parce que sinon vous passez pour une pute

  • Par contre, il serait faux de croire que puisque on met des bas, on a la possibilité de mettre un joli string ( vous savez celui qui vous titille la raie des fesses en marchant) car notre « truc supplémentaire » ne se balade pas. (oui en bas et string, le clito a trop tendance à sortir de son logement et il pendouille,ce qui n'est pas agréable et moi, lorsque je sors en bas dehors, je met toujours de jolies culottes qui le protège bien).Et bien non, mettez aussi des culottes avec les bas parce que si le clito sort de son logement, c'est pas vraiment agréable lorsqu'il frotte le collant.

  • C'est comme même génial de se faire appeler toute une journée Madame (j'ai même eu un « Mademoiselle » mais là je pense que la personne ne regardait pas mon visage)

  • Je crois n'avoir rien oublié...


En conclusion, être en balade de 10h à 18h m'a rendue pleinement heureuse. Merci encore à mes copines. Et vous savez, si je vivais seule, et bien je serai femme tous mes week-ends...et plus encore.

Bisous à toutes et tous.

Anna

Annafe Sep 5 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 3
Robin29396
J'en ai rêvé depuis longtemps et j'ai pris mon courage à 2 mains en allant dans un sauna échangiste.

C'était hier après-midi, à Nice: il se nomme "Azur Sauna" (très original le nom par rapport à l'emplacement); la réceptionniste était très accueillante, mais comme ce fut la première fois que j'y allais, j'ai présenté ma carte d'identité: j'ai beaucoup de chance, comme j'ai 19 ans, j'ai payé moins cher (10 € au lieu de 15 €)

Bref, je descendis, avec seulement une serviette autour de moi, je prenais une douche, et c'est là que je rencontra une travestie brésilienne, et nue: on se disait bonjour, mais on était tellement attiré l'un et l'autre. Alors, je commençais à la prendre dans mes bras, à la caresser, on s'embrassait langoureusement, avant que je téte ses seins. Voulant la prendre sauvagement, on se rendit dans un coin câlin: elle a commencé à me sucer la queue et......Oh mon Dieu, quel délice: elle savait bien sucer. Ensuite, je lui ai enlevé son string et j'ai sucé sa belle chatte: c'était.......hmmmmmm délicieux. Je mis ma capote et je commençais à la baiser sauvagement dans tous les sens, que ça soit en levrette ou en missionnaire. Comme elle voulait avaler ma semence,  on s'est mis en 69: j'adore cette position car je peux à la fois lui bouffer le clito, la doigter et lui mettre une fessée: c'était le paradis. Elle avala ma semence, puis ce fut à mon tour d'astiquer son minou pour boire ce délicieux nectar: franchement, j'ai adoré ce moment; ça a duré 10 à 12 minutes.

Puis, je me suis reposé: je suis allé au hammam, puis au sauna, puis dans le jacuzzi. Et c'est là que je voyais une belle travestie, française, avec une petite robe rouge en dentelle, un soutien-gorge et un string. Je mattais son petit cul, mais je voyais qu'elle était timide. Alors, je me rendis dans une cabine pour regarder un film X: c'est alors qu'elle m'aborda. Elle me demandait si ça me dérangeait qu'elle était habillée en femme et je disais "non" car j'aime ça; elle commença par me sucer la queue; puis, on s'embrassait langoureusement; elle me demandait si je voulais la baiser, et oh que oui, j'en avais envie. J'ai alors enfilé une capote, ça ne voulais pas rentrer car sa chatte n'était pas assez dilatée. Alors, elle s'est mis du lubrifiant, puis, je l'ai doigté avec 1,2,3 puis 4 doigts, puis je lui enfoncé un gros pot de gel (en guise de gode car elle en avait pas), tandis qu'elle prenait du Poppers (honnêtement, je prends pas ça car je déteste ce produit). Mission accomplie: j'ai pu la pénétré, d'abord doucement, puis sauvagement, tandis que je lui donnais des fessées, comme des coups de reins, tout en l'insultant: une vraie salope très excitante. Je l'ai baisais en levrette, tout comme en missionnaire; là aussi, ça a duré 10 à 12 minutes. À la fin je l'embrassais sensuellement, puis j'ai léché sa chatte: au début, elle hésitait pour que je le fasse, puis elle s'est laissée faire: hmmmmm quel délice.

Ce fut une très belle expérience, j'ai pris mon pied et je peux vous assurer mesdames qu'elles ont apprécié et qu'elles ont jouis

Robin29396 Aoû 27 '15 · Commentaires: 2 · Tags: bite, libertin, salope, travestie, sauna, baisse
Annafe

Evolution, oui evolution. Des nouvelles de la petite Anna qui es si heureuse de devenir...non plutot d'être femme (ou une créature du 3eme genre, une femme avec un beau clito en plus hi hi). Au début, je pensai que tous cela n'était finalement que pulsions sexuelles; me taper des mecs, sucer des queues, sentir le plaisir d'avoir un sexe en soi (humm la sodomie j'adore), être « secoué » par plusieurs mecs en même temps. Faire même des trucs un peu hard. Oui j'ai donné et, je l'avoue, j'aime.

Mais ce que j'ai découvert aujourd'hui, ce qui s'est révélée a mon existence, c'est que le plus grand bonheur que j'éprouve est bien plus simple. S'habiller, sortir dans la rue en femme, en soirée. Mais aussi en voiture, en bus, en RER. Bref vivre en femme. Etre femme (toujours avec un joli truc en plus hi hi).

Maintenant que mon maquillage a fait beaucoup de progrès, que j'ai une petite garde robe (pas trop sexy les jupes ou robes pour sortir même si elles sont assez courtes mais surtout ne pas faire pute). Maintenant que j'ai mon petit sac, ma démarche un rien sensuelle avec mes talons et bien c'est cela mon bonheur. Mon grand bonheur.

Et je ne sens plus de regards bizarres, ni interrogateur parce que j'assume à fond.

Je soupconne même parfois des regards d'hommes genre « pas mal celle -là » ou plus encore.... Et puis les bonjours Madame, l'homme qui l'autre fois m'a tenue la porte et s'est écartée pour me laisser passer avec un grand sourire, j'ose dire « PUTAIN, que c'est bon »

Et quant je vais dans des soirées et bien je kiffe a la folie


Bien sur, je n'aurai jamais le summum total (vu que je ne vie pas seule), me réveiller le matin dans ma nuisette légère et vivre a la maison en Anna. Car je suis ANNA, une petite femme fragile pleine d'amour et de bonheur à partager.

Mais des que je revêt mes atours féminins, je n'ai qu'une envie. Ne pas rester cachée. Vivre pleinement mon genre

Et puis, la vie est toujours pleine de surprise car aujourd'hui...On est amoureux de moi Anna. Mais Chut....

Bisouuus a toutes les travs merveilleuses et ceux qui les aiment

Anna

Annafe Aoû 5 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 2
Annafe
Episode attendue, j'espère qu'il ne vous décevra pas. A vous de me dire si je dois continuer l'histoire....

VENGEANCE BLONDE

 

Ma dernière mission s’étant plutôt mal terminée, ma hiérarchie me proposait de prendre un peu de vacances. Du repos me ferait du bien et pour m’enlever tout stress, je louai une petite maison loin de tout, dans un bois accueillant au bord d’un plan d’eau magnifique. Balades dans la nature, baignade totalement nue (j’adore cette sensation de l’eau sur tout mon corps), course à pied, vtt etc.., je profitai de ce congé pour me refaire une forme olympique dans l’optique de prochaines missions dangereuses.


Pourtant, dans ce service, on n’est jamais totalement en vacances. Ainsi je reçus un appel codé me signalant que je devais servir d’intermédiaire pour un colis destiné à un autre agent (un certain BA254). Cet agent devait récupérer le paquet quelques jours plus tard, en matinée. Il me donnerait un code me permettant de l’identifier.


J’attendais donc mon collègue inconnu. Profitant d’une jolie matinée ensoleillée, je portais une jupe courte blanche rehaussée d’un top de dentelle  rose à fine bretelle laissant apparaitre un mini soutien-gorge de la même couleur. On ne sait jamais. Si je trouvais cet inconnu à mon goût, nous échangerions peut-être un peu plus qu’un simple paquet anonyme. Seule depuis une quinzaine de jours, le manque de caresse et d’action commençait à me travailler.


Vers 10h, j’entendis un véhicule sur le chemin gravillonné. Par la fenêtre, un petit coupé sportif déboucha à l’orée du bois. Je filai dans la chambre prendre mon petit pistolet que je glissai sous ma jupe, dans le dos. Je devais tout de même rester prudente.


J’entendis frapper à la porte et l’ouvris rapidement. Le choc fut énorme.  Malgré de jolies lunettes de soleil lui cachant son regard, je la reconnut aussitôt. Face à moi, la blonde me remit en mémoire l’outrage de ma nomination quelques mois plus tôt. Oui, c’était bien elle qui avait activement participé à mon bizutage dans les sous-sols du manoir. Je reconnus également cette paire de seins qui tendait son chemisier écru. Elle était toute mignonne avec sa petite jupe en jean et ses longues jambes fines.


Ne percevant aucune réaction de sa part, je ne sus si elle me reconnut. Après l’échange de nos codes, je la fis entrer. Elle pénétra nonchalamment dans mon homme, d’une démarche sensuelle.

Je lui offrais du thé qu’elle accepta volontiers.

Nous devisions en buvant nos tasses. Elle était superbe et mon désir frémissait. Elle me félicita pour le choix de ma villégiature. Je sautai sur l’occasion pour lui faire visiter la maison. Nous montâmes à l’étage et je l’a fis pénétrer dans ma chambre. Elle sembla un moment troublée mais, voyant que je lui laissai le passage, s’y infiltra devant moi.

Je fis quelque chose de dangereux, en dehors de toutes les règles de notre service mais j’en avais trop envie. Je remerciai mes patrons d’avoir, sans le savoir, mis cette superbe créature sur ma route. Ma sensuelle vengeance ne pouvait tomber mieux, moi qui me trouvai en manque. Je me plaçai derrière elle et brutalement je lui pris les mains et je les plaquai contre son dos. Elle poussa un petit cri de frayeur qui m’enthousiasma

-         -       Ne t’inquiètes pas ma belle, je ne vais pas te faire de mal.

Elle pouffa la salope

-          -  Je sais

-          Tu sais quoi

-         -   Moi aussi je t’ai reconnu. Elle ne cherchait même pas à se débattre. Elle continuait à parler tout en ricanant

-         Comment oublier une pareille soirée avec une superbe fille comme toi. Je m’en suis donnée à cœur joie et tu as bien reçue, comme vraie une chienne

-          -  Oh oui ma garce, tu as raison, j’en ai reçue. J’ai mis plusieurs jours à m’en remettre. Mais tu sais, je me suis promis une chose

-         -     Laquelle demanda-t-elle ingénue

-          -  Parmi tous ceux qui m’ont défoncé ce soir-là, j’ai remarqué une blondasse bien salope avec  des seins affolants et un clito bien dur

-          -   Je t’ai laissée un si beau souvenir

-          -  Oui ma belle pute et je me suis promis de te retrouver et de me venger

-         --  De te venger…mais de quoi

-          -  De tout ce que tu m’as fait subir ma belle

-          - Je m’inquiète là dit-elle en riant.

-          -  Et même j’ai tellement attendu que ma vengeance va être bien supérieure à ce que j’ai subi

Je sentie sa voix plus inquiète,

-         -  Tu rigoles là

Je la jetai sur le lit

-Non, je n’ai jamais été aussi sérieuse


Je me précipitai vers ma petite valise d’accessoires qui ne me quittait jamais et en sortait une corde fine. Elle se retourna et s’assit sur le couvre-lit en me regardant circonspecte

-        -   Et tu crois que je vais me laisser faire

-          -  Comme tu veux, mais plus tu te défendras et plus je te ferais subir

J’étais déterminée à me la faire bien proprement cette blonde qui me faisait bander déjà comme une folle

-          - Tu ne vas  pas être trop hard si je t’obéis

-         -  Ca va dépendre ma belle. Retournes-toi et tend tes bras dans le dos, mains jointes.


Elle obéit et se laissa lier les mains, puis je la basculai en avant et entrepris de lui ôter sa petite jupette en jean très serré. Elle m’aida en se tortillant les fesses. Un tanga de dentelle noire révélait de magnifiques petites pommes rondes bien douces et dodues. Ce fessier était superbe. Je n’en pouvais plus. Je lui écartai les cuisses et je commençai à la caresser de manière subtile. Elle ne mit pas longtemps à gémir, surtout lorsque qu’écartant son Tanga, je lui mis un doigt en sa chatte de derrière. Elle se trémoussait et commençait à relever son petit cul pour venir à ma rencontre.


Toute excitée, je la retournai, la prit par les cheveux et l’agenouillait devant moi. Ma petite robe blanche soulevée, sans culotte, je lui présentai mon clito droit comme un mat et elle ne fit aucune difficulté pour l’enfourner dans sa bouche fine. Je fus sympa de ne pas lui labourer la gorge de suite mais j’étais tellement gonflée que je la voyais souffrir un peu, dans l’impossibilité de m’avaler totalement. Elle me devait bien ça, je lui fis un peu violence en lui prenant l’arrière de la tête pour la forcer à m’engloutir. Oh je sentais bien qu’elle avait peine à suivre le rythme mais au diable la tendresse. Elle n’en avait pas fait beaucoup preuve lors de mon bizutage. Elle allait se rendre compte du calibre du clito d’Anna cette chienne lubrique.


Elle en bavait, au sens propose comme au figuré, et j’en rajoutai pour qu’elle comprenne bien qui était la Maîtresse maintenant. Plusieurs fois, elle du déglutir et je commençai à voir le rimmel de ses yeux coulés. N’étant pas une tortionnaire, je décidai de changer de jeux. Je lui pris le dessous du menton pour qu’elle se relève et je l’embrassai goulument, ma langue lui explorant la totalité de sa bouche. Elle semblait soumise et se laissa faire alors que je l’entourai de mes bras.


Puis je passai aux choses sérieuses, je la basculai brutalement sur le lit et attrapais ma paire de menottes. Elle se laissa attacher au barreau du lit en fer, comme si elle acceptait cette punition méritée la petite cochonne. Face à moi, son regard mêlait excitation et inquiétude. Lentement, je dégrafai son chemisier et ses deux seins de trav’ hormonée apparurent. Je reconnus avec délice ses tétons bruns qui pointaient en ma direction comme un appel à la succion. Je plaquai mes mains dessus et commençai à lui caresser les mamelons. En même temps, j’apercevais avec délice la bosse sous son tanga noir. Cela redoubla mon désir et j’entrepris de lui caresser la totalité de ce corps souple et lisse offert à ma lubricité.


Je me penchai et attrapai ses tétons pour les mordiller alors que ma main glissait sous sa culotte pour saisir son membre dur. Une belle trav comme elle, humm, cela me plaisait à la folie. Elle fermait les yeux et gémissait doucement. Elle adorait cette jolie blonde et cela décuplait mon désir. Bientôt je m’occupai de son clito avec ma langue. Partout, sa douceur de peau me donnait faim et la sucer m’apportait de merveilleuses sensations. Ses gémissements s’accéléraient. Je lui procurais un plaisir intense, cela se voyait.


Mais trop était trop, finie la volupté sensuelle. Bien que j’aime  lui manger le clito, je devais encore lui faire subir quelques outrages. Je la retournai et ses bras attachés se croisèrent. Je lui descendis, sans ménagement son tanga et aperçus la belle paire de fesses dénudée bien blanche. Ce petit cul manquait de couleur pensai-je en attrapant mon martinet. Et, avant même qu’elle ne s’en rende compte, je lui admonestai un coup sec sur son arrière-train. Un petit cri de surprise se fit entendre de la belle bouche de ma blonde. Je continuai alternant le rythme, force et parfois caresse avec les lanières. Elle se mit à crier plus souvent. Je lui faisais mal, j’en étais consciente mais j’adorais cela. Je voyais rougir ses fesses. Mon martinet laissait des traces et elle souffrait de plus en plus. Des cris strident et fort accompagnaient mes coups brefs.


-         -  Tu peux hurler ma belle, dans ce coin paumé personne ne t’entendra

Puis je repris ma besogne.

Après quelques minutes, je stoppai mes agissements. A ma grande surprise je l’entendis dans un souffle

-Encore me disait-elle.

A la coquine, serait-elle adepte du masochisme. Alors je recommençai et elle hurlait de plus belle.

Je continuai quelques minutes et son cul devenait mûr.


Mais tout cela m’affolait. Voir cette belle blonde bien membrée se tortiller et réclamer encore plus de coups de martinet, je devenais bouillante de désir.

N’en pouvant plus je lâchai le martinet et me jetai littéralement sur elle, en attrapant le gel et une capote sur la table de nuit. Bien couverte, je lui enfilai deux doigts gélés dans ces fesses déjà bien ouvertes et je la pénétrai violemment lui arrachant un gémissement de pucelles effarouchées.


Je commençai doucement avant de prendre un rythme bien effréné car elle m’avait mise dans tous mes états cette blondasse adorée.


Tout cela était si bon, si gouteux, si affriolant. Ma soumise ronronnait de plaisir. Elle m’invita à la défoncée encore plus  en me lançant des « vas-y » entrecouper de « han » très sensuels. Ouh je lui administrai une sacrée baise à ma trav’ enflammée.


J’y allai comme une folle. Comme une sprinteuse impatiente de toucher au but.

Je sentais l’excitation monter mais n’en avais pas finie avec elle.


Je me retirai précipitamment, me levai et la retournai sur le dos. Je vis son regard totalement affolé et empli de désir. J’ôtai la capote et présentai mon clito face à sa bouche en finissant de me masturber. Obéissante, elle l’ouvrit juste au moment où mon désir jaillit avec force. Elle prit tout. Je l’aspergeai dans la bouche mais aussi sur ses joues, ses yeux, ses cheveux. Je me vidai de mon plaisir sur elle, avant de m’affaler sur son corps.

Elle était brulante et sentait la sueur amoureuse.


Nous restâmes quelques minutes sans bouger, respirant fortement. Puis la respiration se calma. Je me levai lentement et allai prendre une douche. Je la laissai attachée sur mon lit et sa nudité m’excitait encore.


Elle resta finalement deux jours et nous organisames plusieurs jeux en duos ma jolie trav’ blonde et moi.


On se voit parfois lorsque nous avons quelque temps à perdre. Elle est toujours aussi délicieuse et nous sommes tout à tour dominatrice ou soumise.

 

 


Annafe Jul 8 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 1
Annafe
Il y a quelques jours, c'était mon anniversaire.
Alors, je me suis fait un cadeau pour moi toute seule. Un cadeau de folle mais tant pis. j'en avais envie (c'est pourquoi je me dis parfois que je suis dingue) et je l'ai fait. Non sans trembler.

Alors le jour de mon anniv et bien je me suis préparée (dans mon boxe équipée pour) et je suis sortie en fille. Long manteau en jean laissant apercevoir, quant je marche mes bas noirs (Dim-up car j'avais peur que les portes jarretelles ne tiennent pas), jupe courte noire, chemisier noir transparent avec soutien gorge en dentelle noire et string rouge houuuu). perruque brune, maquillage rouge à lèvres et lunettes de soleil (mais il faisait plutot gris) car je n'ai pas osé montrer mes yeux
je suis sortie et cela commencait mal. Un de mes dim-up descendait a chaque pas. j'ai du rapidement me cacher derrière un arrêt de bus pour remonter tout ça (je connais un automobilisme qui m'a bien reluqué en passant) mais bon après cela a tenue.
J'ai pris le bus (bondée), le RER (heureusement sans trop de monde) et j'avoue que je passai plutôt mon temps a regarder mon portable de peur de lever les yeux. j'ai quand même croiser des regards bizarres mais bon, c'est peut-être moi qui me faisait des idées.
Grand plaisir lorsqu'à la sorite du RER, l'homme qui distribuait des journaux gratuits m'a lancé "Bonjour Madame" (Ouh que cela m'a fait du bien).
Ensuite je me balade un peu, téléphone à une copine, assise sur un banc. un homme Passe et me sourit car il entend ma voix plutôt bien féminine et me regarde plusieurs fois avec insistance (bien que je sois sûre qu'il est vu que j'étais une trav).
Je reprends mon courage à deux mains et je rentre dans un pub. Le serveur me dit "bonjour madame". Mais je sais que plus tard, il ne sera pas dupe mais il est resté très courtois, tres gentil.
Je bois mon coca, puis repart. je commence a être stressé. re-balade. RER et bus pour rentrer. Et enfin je reviens pour me changer avant de partir au boulot.

Résultat deux heures trente d'angoisse et de "pur plaisir".
Je l'ai fait. Je suis heureuse.
Un beau cadeau d'anniversaire pour Anna la folle.
J'ai déjà envie de recommencer
Mais si une copine veut m'accompagner
j'aimerai réellement
Sortir en fille, je kiffe grave et là je me sens pleinement FEMME
Car je suis de plus en plus femme et j'aime cela
je me sens vraiment Anna
ANNA
Annafe Jui 22 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 5
Annafe
Suite de "la chevalière d'EONNE" avec l'épisode 3 qui est la seconde partie de l'épisode 2 (vous suivez???).
Au prochain épisode, le retour de la blonde hi hi hi (je sais qu'elle vous a émoustillée celle-là...)


« Le chemin est malaisé. Mes talons hauts ne me facilitent pas la tâche. Le bois est sombre et j’avance difficilement sur cet étroit sentier, le microfilm à la main. Je sais, l’alerte a été donnée. Les services ont failli su ce coup.

Alors que je devrais tranquillement rentrer au volant de ma Mercedes de location, je me retrouve à errer dans cette nuit noire à me tordre les chevilles. Personne ne m’avait prévenu que le fait de soulever le microfilm de son minuscule coffre, camouflé dans le parquet, déclencherait aussitôt une alarme.

Par leur négligence, je dois me débrouiller seule. Pas facile avec ma robe moulante bleu pâle (pas vraiment adaptée à une fuite nocturne). Je stoppe un instant car j’ai entendu du bruit. Je sais qu’ils sont là, tout près. Qu’ils me poursuivent.

J’ai enlevé mes escarpins et je me pique les pieds. Mes bas ne vont pas y résister.

Je suis persuadé de les avoir entendus. Où sont-ils ces barbouzes ? Je me souviens d’en avoir aperçu à la réception, avec leur tête chercheuse qui dépasse la foule. Pas le genre à vous faire des politesses. S’il me tombe dessus, je risque de passer un sale quart d’heure. »

(Deux hommes cachés derrière les arbres se précipitent brusquement sur Anna).


NOTES D’ANNA SUR L’EVENEMENT


Ils m’ont bondi dessus par surprise. L’un m’a carrément balancé une énorme gifle et ma tête s’en souvient encore, puis il me tordit le bras, mis sa main sur mon cou et m’emprisonna de ces muscles gonflés à  la testostérone.

-        -   Où est le microfilm salope !!!. hurla l’autre, un blond pas vraiment commode, en me faisant face.

J’ai serré ma main.

-         -  Je l’ai perdu en fuyant.

Il me regarda incrédule, alors j’ajoutai d’un ton suppliant de vierge effarouchée

-         -  Je vous jure

Il arracha mon sac et se mit à genoux. Puis, alluma une lampe troche tout en retournant le contenu de mon sac sur le sol. L’autre me serra de plus belle. Sa main, de la taille d’un battoir à linge, m’étouffait. Il lui suffisait d’accentuer encore un peu la pression et la jolie Anna s’envolerait directement au paradis. J’avoue que la peur traversa mon corps. Mon être glacé fit saillir mes tétons.

A terre, l’homme trouva le leurre. Il se releva

-         -   Il est là, dans son sac.

-          - Alors trainée, tu l’avais soi-disant perdu hein…aboya  mon tortionnaire dans l’oreille

-          - C’est bon, on l’a récupéré Maxime, dit l’homme blond qui s’était relevé face à moi.

-          -  Et elle, on en fait quoi chef. Répondit l’autre sans me relâcher.

Je commençais à haleter, manquant d’air.

-         -   Le patron l’a dit. On l’a tue pas. Un cadavre, s’est difficile de s’en débarrasser

Cette simple phrase me rassura.

-         -   L’important c’est le microfilm.

Je serrais encore le vrai microfilm dans mes mains moites.

-     -  Par contre Maxime, j’ai peut-être une idée de récompense, dit le chef dans un sourire qui m’inquiéta. Il ôta le talkie de sa ceinture et le porta à ses lèvres.

-          - C’est bon les gars. On a le microfilm. La salope s’est enfuie. Vous pouvez rentrer. C’est un ordre.

Il coupa son talkie et me regarda avec insistance

-      -  Voilà Maxime. On est tranquille maintenant. On va pouvoir s’occuper de la demoiselle en récompense de nos efforts.

Je compris aussitôt que j’allais devoir me plier aux ardeurs de ces messieurs. Un moindre mal pensai-je philosophe.


Le chef s’approcha et passa sa main sur mes fesses. L’autre me lâcha et je repris ma respiration. J’en profitai pour porter ma main devant ma bouche en toussant et avalais le microfilm. Je n’avais pas le choix. Ils pouvaient le trouver si je le gardai dans ma frêle mimine.

Le chef me caressait maintenant ma modeste poitrine. Pendant ce temps, Maxime prenait lui aussi de l’assurance. Des fesses délaissées par le chef, il passa à mes hanches, ce qui eut pour effet d’exciter mon clito. Il continua à m’entourer de ces caresses jusqu’au moment fatidique. Il s’écarta brutalement en bafouillant

-          -  Chef, Chef !!!

-          -  Quoi Maxime

-         -   C’est pas une fille Chef !!!

-          -   Quoi !

Aussitôt, en bon chef courageux qu’il était, le blond voulu s’en assurer en soulevant ma robe. Il écarquilla les yeux en voyant le clito dur dépassant de mon string.

-        -   La vache ! Le patron se tape des travs !

J’esquissai un sourire en les voyant effrayés. Ils reculèrent  comme s’ils avaient touché une pestiférée. Ils allaient peut-être me laisser tranquille.

- Mais le chef se reprit.

-        -  Après tout si le Prince se paie  une trav’, c’est qu’elle doit être bonne non ?

Je déchantai en comprenant que là, ma belle, je risquai de subir.

Violemment il arracha ma jolie robe qui virevolta jusqu’au sol me laissant en dessous très coquins.

-        -   Vrai qu’elle me semble bonne, dit-il goulument.


Il me prit par les cheveux, m’obligea à me mettre à genoux et aussitôt sortie sa queue pour me l’enfiler violemment dans la bouche. Il me fit mal ce salaud et commença à me ramoner la gorge sans aucun égard. L’autre nous regardait incrédule.

Il me l’emplissait brutalement et je faillis plusieurs fois m’étouffer sous ses profonds coups de bite. Il ne me ménageait pas le sagouin et je devais respirer par le nez car son membre me remplissait bien la bouche, la déformant à chaque mouvement. Il touchait ma gorge à chaque coup et je haletai face à ce pilonnage bien profond.

Au bout d’un long moment, qui me parut une éternité, il ressortit enfin sa queue très grosse et, je l’avoue, savoureuse. Violemment, et je dois dire que cela m’excitait fiévreusement, il me prit par les cheveux et me traina sur le côté de façon à ce qu’il puisse attraper ma croupe blanche qui luisait dans la pénombre et sans ménagement, il me pénétra, sans gel, avec une force qui déclencha en moi une douleur enivrante. Je poussai un petit cri plaintif ce qui lui fit redoubler d’ardeur. Mes fesses s’écartaient pour laisser le passage à ce membre bien dodu qui m’enfilait profondément. Douleur mais aussi plaisir s’emparèrent de moi car je savais déjà que j’aimais la tendresse mais également être parfois bousculée comme une chienne à défoncer.


C’est alors que j’aperçus l’autre, le timide Maxime, son dard à la main, occupé à se masturber. Sentir le gros sexe du chef me défoncer me rendait plutôt chaude et pleine d’émoi. Alors j’ouvris la bouche en un appel vers la queue du Maxime qui n’osait pas se rapprocher. Mais les coups du forcené dans mon cul comblaient petit à petit l’espace me séparant de la queue tendue du timide. Finalement, il me l’enfila dans la bouche avec douceur et je le suçais comme on déguste une sucette en me persuadant que finalement, autant se faire souiller jusqu’au bout pour leur faire croire qu’ils m’avaient vaincu. Pendant ce temps, je soufrais, toujours avec délice, de la vigueur de l’autre assaillant qui me bourrait comme une sale pute prête à tout recevoir.

Très vite, le Maxime de son coté, se retira et m’aspergea de son liquide chaud sur mes lèvres entrouvertes et le haut de ma poitrine. Il en avait en réserve ce salaud car mon soutien-gorge en dentelle bleue se retrouvait maculé de foutre.


C’est à cet instant que le chef, dans une série de coups frénétiques, qui finirent de m’écarteler la chatte de derrière,  éjacula dans mon cul. Je compris que  toute sa semence me remplissait et lorsque sa queue se libéra de mon trou, je sus que mon cul devait ressembler à un tunnel à TGV tellement j’avais la sensation qu’il était béant.

Je sentis ensuite son sperme me couler sur l’arrière de mes cuisses.


Pendant que le gentil Maxime se rhabillait, l’homme me prit par le menton et m’asséna une gifle carabinée qui me fit m’étaler à même le sol sur le flanc.

-         -  Ne t’avises plus de remettre les pieds ici, sale pute. Sinon, je te finirais au surin.

Puis, il tourna les talons et s’en alla, suivi par son acolyte qui tentait de reboutonner  tant bien que mal son pantalon.


Je restai un long moment sur le flanc sans bouger, Sali par les liquides de ces messieurs et blessées dans mon amour-propre. J’avais perdu et il était normal que ces mâles en profitent. La sodomie violente du chef avait pourtant excité mes sens et je ne savais pas si j’en étais heureuse ou dépitée. Finalement, fourbue de cette nuit agitée, je ramassai ma robe, tentai tant bien que mal de m’envelopper avec et repartait, le clito entre les jambes, vers les bois. Pourtant la mission était réussie mais ces messieurs du service allaient devoir patienter un peu avant de récupérer ce putain de microfilm.

 


Annafe Jui 12 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 1
missa_missa
trois petits coups résonnent à ma porte

trois petites claques me rougissent les fesses

droit et fier au seuil de mon antre

je ne puis que te dire : entre


j’entrouvre légèrement la porte

je te sens tout hésitant, tout timide

à faire de petits vas et viens au seuil de ma grotte

je t'accueille à bras ouverts légèrement humide


fais comment chez toi dis-je

met toi à  l'aise à ta guise

viens à moi, viens en moi

je veux être toute en émoi


pour finir toute arrosée

d'un apéro sucré salé

te remerciant d'un long baiser

en te souhaitant revenir vite me combler


missa_missa Jui 8 '15 · Voter: 4 · Commentaires: 3
Annafe
"Chose promise, chose due". 2eme épisode de "La Chevalière d'Eonne.
N"hésitez pas à me donner vos critiques et à me dire si vous souhaitez une suite...
j'espère que vous aurez autant de plaisir à le lire que je l'ai eu à l'écrire (ouuuuhhhh)
(textes déposés, à ne pas reproduire sans mon autorisation sinon...)
Bisouus Anna


EPISODE 2- RECEPTION CHEZ LE PRINCE


La salle était immense. Une musique disco se répandait, enveloppant les invités d'un rythme sirupeux. Le Prince, dans son costume blanc rehaussé de diamants, déambulait affable au milieu de son harem de courtisans. Mais son regard perçant cherchait déjà une proie pour la nuit. Et ma mission, à moi, consistait justement à devenir cette proie.

La rumeur avait fait la réputation de ce bel homme. Même si cela n'était que chuchotements d'alcôves, le Prince avait un penchant pour les Travs'. J'en avais déjà remarqué une bonne dizaine parmi les convives, toute plus belles les unes que les autres. Il fallait vraiment un regard avisé, comme le mien ou celui du Prince, pour savoir que certaines de ces magnifiques créatures féminines possédaient un clito bien développé.

Pourtant j'étais intimement persuadée que j'allais réussir. Que ce soir, je serai le choix du monarque.


Dans ma robe bleue pastel moulante, j'étais loin de passer inaperçue et mes sourires, mes attitudes, ma sensualité que je laissai entrevoir produisait un effet immédiat chez la gent masculine, et même féminine d'ailleurs. Une armée d'individu à queue et à chatte s'agglutinait autour de moi. Je riais intérieurement car bien peu ne devinai mon véritable genre. Si l'un ou l'une s'avisait de me frôler le bas-ventre, il avalerait son olive de travers. J'avais quand même pris soin d'emprisonner mon sexe d'une bande sparadrap de peur qu'il soit trop visible sous ma robe moulante. Car tous ces effluves de désir autour de moi me durcissaient le membre.


Du coin de l'œil je surveillais le Prince et sans en avoir l'air, l'attirais dans mes filets. Je n'ignorais pas, qu'apercevant l'attroupement d'affamé autour de moi, il se rapprochait subtilement de ma personne. Jamais très loin, papotant ici et là. Il ressemblait au félin esquissant une manœuvre silencieuse d'approche de sa victime. Je savais qu'en spécialiste, il ne pouvait ignorer qu'il pouvait compter sur ma personne pour lui offrir les délicieux outrages qu'il adorait.


Le manège dura plus d'une heure mais l'attente attise le désir. Je discutais avec un petit gras qui reluquait mon décolleté (il se trouvait à hauteur de ses yeux) en transpirant allègrement. Je ressentis un souffle léger caressant ma nuque. Le parfum du prince m'enveloppas.

- Mademoiselle, nous n'avons pas eu l'honneur d'être présentés.

Je me retournai avec sensualité et remarquai le pastel de ses yeux déjà avide.


Il tenait dans ses mains deux coupes de champagne et m'en offrit une. Nonchalamment je donnai celle, presque vide que je tenais alors, au petit gras qui s'empressa de filer. On ne rivalisait pas face au prince.

Je m'imaginai un instant que ce gros suintant allait boire le reste de ce breuvage, ou j'avais trempé mes lèvres en se masturbant.

- Miss Losanne mon Prince. Très honorée d'avoir reçu une invitation à cette délicieuse soirée.

- Si vous avez reçu une invitation, c'est que vous la mériter jolie dame.

C'était plutôt parce que nos services faisaient preuve d'efficacité


Il m'invita à danser et aussitôt, par le plus grand des hasards ordonnés par le Prince, les slows s'imposèrent. Ainsi ce bel homme au teint légèrement cuivré put à loisir se rapprocher de mon corps déjà chaud et sentir la légère bosse de mon bas-ventre qui se gonflait de plus en plus sous les caresses langoureuses de ses cuisses.

  • Il me semble que vous avez l'anatomie qui me convient Miss Losanne.

  • Peut-être est-ce là, la raison de mon invitation Cher prince.

  • Mes conseillers ont l'art et la manière de trouver les plus belles et je dois dire, qu'avec vous ce soir, ils m'offrent un joli présent.

  • Ce compliment me ravit, Cher prince

  • J'espère que vous êtes débordante d'activités ma chère.

Mon clito déjà se sentait prêt à l'assaut

  • Je pense que mon activité vous ravira Prince, votre aura me fait tellement d'effet.


Rapidement, nous nous retrouvâmes dans une immense chambre. Il avait un cul magnifique. Un cul de Prince que je pris plaisir à lui lécher avec ma petite langue bien tendue. Il m'implorait de continuer, satisfait de mon exploration «linguistique» anale.

A quatre pattes sur le lit, son beau fessier m'excitait. Ce n'est pas tous les jours que l'occasion se présente de baiser un prince de sang et j'en profitais pleinement. Ses fesses lisses sans aucun poil, ravissaient mon regard et m'entrainaient à bander comme une «Turque».


Il m'ordonna de le prendre et j'obéis aussitôt. Je me relevai et me plaçai derrière lui. Enfilai un préservatif taille maxi et lui appliquai un doigt bien gelé en sa chatte. D'un mouvement tournant, je maculai les parois de son trou pour lui éviter toute douleur. L'ayant bien humidifié, je me présentai et lui enfournai avec lenteur ma matraque raide.

Il se cabra et sa respiration s'accéléra. Je m'appliquai tout en tentant de garder mon sang-froid car une bouffée de chaleur m'envahissait. Je kiffai de m'enfiler un prince. Mes tétons durcis, le bas de mon ventre brûlant, je contrôlai ma respiration pour ne pas éjaculer trop vite. J'entamai un va-et-vient incessant en procédant par de petites accélérations. Je l'entendais gémir et il répondait à chacun de mes mouvements par un mouvement inverse, cul bien redressé. Il était détendu à merveille permettant à mon clito de se frayer un chemin tendre et suave.


Ce beau mâle, adepte de la sodomie réagissait à mes changements de rythme. Il commença à me chuchoter des mots exquis

  • tu aimes me baiser salope

  • Oui mon Prince, votre chatte est enivrante

  • Alors vas-y pute, vas-y

A ces mots, je compris qu'il recherchait plus et je mis l'accélérateur. Non seulement il répondit fort bien à mes coups de plus en plus vifs, mais je m'aperçus avec plaisir qu'il pouvait recevoir bien au fond. Mon clito, pourtant pourvu d'une taille très respectable, s'enfonçait à loisir jusqu'à la garde. En à coups réguliers, j'augmentai la cadence et l'entendai haleter de plus en plus vite. Il aimait ça le salaud et appréciait mes coups de reins. Nous étions entré dans une phase sportive et je lui administrai des coups de queue de plus en plus violemment. Mes mains, agrippées à ces petites poignées d'amour, je fus prise d'un élan de violence soudain.

  • Tiens, tu en veux hein

  • Ouui souffla t'il, vas-y, défonce.

En moi-même, je pensai que le Prince était une belle putain que l'on pouvait à loisir déchiré comme une chienne. Alors je n'eus plus aucune retenue. Mes coups de bite lui ravageaient la chatte et ses gémissements redoublaient. Putain, c'était trop bon avais-je envie de m'exclamer.

C'était un ravissement de voir ce cul rebondi avaler brutalement mon clito aussi facilement. Maintenant je n'hésitais plus à lui asséner des coups brutaux et il continuait à adorer vu qu'un râle profond de bête blessée, mais soumise, accompagnait mon assaut.


Je sentis d'un coup la sève de mon sexe prête à bondir hors de moi. Mes seins gonflés me signalaient, comme chaque fois, que j'approchais de l'exquise délivrance. Alors j'en remettais une couche en accélérant encore, jusqu'à mon maximum. Il ne râlait plus le prince, il gueulait et j'espérai que sa chambre fut insonorisée car sinon tout son palais devait résonner. Je l'enculais si fort que ses fesses devenaient dures et enflammaient mes cuisses. J'y mis tout mon cœur et toute ma force pour lui défoncer ce qui lui restait de pudeur. Il tremblait sous ma violence et d'un coup je lâchai tout en hurlant littéralement tellement je jouissais fort, mon corps parcouru de soubresauts merveilleux. Une sensation qui m'envahit de bas en haut, souleva mes seins de plaisir en électrisant mon être féminin et viril. Il sentit le chaud liquide emprisonné par le préservatif se répandre car il murmura dans un souffle

  • Oui, lâche-moi tout ma belle

Oui je laissai ma jouissance éclater et je me vidai de ma substance sexuelle avec enchantement.


Il s'affala sur les draps et je suivis le mouvement, restant en lui.

J'étais sur son dos recouvert de sueur et me laissai quelques instants goûter à ce plaisir intense qu'il m'avait procuré.


Mais je devais penser à ma mission. Se taper un Prince, c'est génial mais je n'étais pas venue que pour cela. Alors je récupérai, collé derrière mon oreille la minuscule fiole de somnifère. Après avoir coupé précautionneusement avec les dents la minuscule capuche recouvrant l'aiguille, je me laissai aller sur lui. Il était sans défense, repu et grisé par tant de sexe débridé. Une toute petite piqure. Il ne broncha pas et quelques secondes après s'endormit comme un bébé.


Je devais maintenant récupérer les dossiers. Les services affirmaient qu'ils se trouvaient dans un cache sous le plancher de sa chambre. J'étais nue, bouillante, ruisselante et plutôt épuisée. Mon corps sentait l'amour et j'aurai adoré me laisser tomber lasse dans les bras du Prince, lui demandant à son réveil de me prendre à son tour, car ma chatte trempée aurait souhaité recevoir une bonne queue . Pourtant je repris mes esprits rapidement en affirmant toute haute comme pour tourner la page sexe.


- Au boulot ma belle.







Annafe Mai 24 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 3
Pages: «« « ... 8 9 10 11 12 »
Pubs