C'est fait !
Pour la première fois je me suis lancée
et suis sortie seule au Cap d'Agde en cette belle soirée d'Août.
Il faut dire que j'avais bien ficelé le
tout et ma soirée s'annonçait plutôt bien...
Au programme, plage de fin d'après-midi
sur la célèbre baie des cochons, début de soirée au château de Tredos pour une
spéciale Tgirls, fin de soirée dans le village naturiste là où le vent me mène…
1. La baie des cochons
Vers 17h30, je me rends donc sur cette
fameuse plage dont j'ai déjà beaucoup entendu parler.
La plage est bondée et chacun attend la
levée de camp des maîtres nageurs sauveteurs à 18h pour lancer le bal.
Première surprise, moins de vieux
cochons que prévu et beaucoup de couples hétéro et gay qui bronzent, se
caressent gentiment ou se baignent. Des hommes seuls arpentent déjà les dunes
derrière à la recherche de quelques exhibitions cachées.
Il fait vraiment beau et chaud et chacun
a l'air peu soucieux de son voisin.
J'ai pris le parti d'y aller nue comme
tout le monde, ce qui ne laissera bien entendu aucune ambiguité sur mon
véritable sexe...
En revanche, mon maquillage, mon joli
vernis sombre sur mes pieds et mains, ma chaînette au pied, mon paréo sur
l'épaule et mes mules à talons ne laisseront aucun doute aux moins avertis.
Je ne laisse pas indifférente c'est sûr,
et beaucoup d'hommes se retournent sur mon passage.
Je choisis tranquillement ma place,
assez proche des gay mais pas trop non plus car je préfère être entourée de
couples et hommes en même temps.
Un homme avec son épouse me regarde avec
insistance, je décide de me coller à eux; il faut dire aussi qu'il n'y a pas
beaucoup de place !
Le soleil est bon et j'avoue être déjà
bien excitée par tous ces gens autour de moi.
Monsieur me regarde avec insistance mais
il n'est pas le seul dans le coin.
C'est pourtant sa femme, une jolie dame
assez bcbg d'une cinquantaine d'année, qui m'interpelle et me propose que son
mari m'enduise gentiment de crème solaire car je suis blanche !
Je me retourne, sors mon tube et le tend
à son mari qui semble un peu fébrile à l'idée de m'enduir de crème :)
Allongée, il me masse doucement les
épaules, le dos, les fesses, le tout sans excès.
Je me retourne à sa demande et il
m'enduit le torse, le ventre, les jambes. Il termine très rapidement par mon
sexe à priori troublé aussi par la situation. Sa femme en revanche l'incite à
"bien me protéger" et lui demande de ne pas hésiter sur mon
entrejambes.
Il appuie à nouveau sur le tube et me
masse plus franchement entre les jambes, le haut de mes cuisses, mon anus, mes testicules
puis ma queue. C'est un peu plus facile à enduire car je bande désormais, aux
yeux et à la vue de tous, à commencer par mon couple voisin.
Jean, c'est son prénom, arrête ses
massages et reprend sa place auprès de sa femme qui est visiblement très
excitée par la situation. Je reste allongée sur le dos et les vois s'embrasser,
chuchoter et j'imagine bien y être pour quelque chose !...
Il bande et Evelyne sa femme le masturbe
tranquillement.
Quelques minutes passent sans dire un
mot et le spectacle sur la plage est fascinant.
Les gardes ont quitté la plage, à droite
à gauche, des groupes apparaissent au beau milieu de la plage puis se défont,
puis recommencent au milieu de l'eau, puis dans les dunes.
Je suis partagée entre l'envie de voir,
et l'envie de faire...
Le bukkake je n'ai jamais fait mais si
quelque chose me fait fantasmer c'est bien ça : avoir des dizaines d'hommes
autour de moi prêts à bander et jouir sur moi.
Je reste à ma place et profite pour
l'instant du soleil, c'est tellement bon.
La plage est toujours bondée, mes
voisins sont à l'affut de mes moindres faits et gestes.
C'est Evelyne qui fait à nouveau le
premier pas et me demande si l'on peut se rapprocher. Je n'ai pas vraiment
l'envie ni le temps de dire non !
Jean se retrouve collé à ma serviette,
Evelyne est de l'autre côté de son mari. On échange quelques politesses puis
Evelyne demande à son mari s'il souhaite me caresser encore. C'est n'est pas
vraiment une question, et sans attendre la réponse, il commence à me caresser
doucement les cuisses, puis ma queue qu'il fait rapidement gonfler.
Je ne bouge pas et le laisse faire; il
est visiblement très excité et sa femme a pris sa queue en main, queue qu'il a
assez volumineuse. Nos voisins directs de serviette n'en perdent évidemment pas
une miette et d'autres couples ainsi qu'un homme seul se caressent gentiment en
nous regardant. Je me rends compte de l'attrait que nous portons réellement
quand je vois un homme d'une soixantaine d'année la queue dure à la main se
poster seul debout face à moi.
Jean lui se fait plus insistant, il me
branle lentement et s'est rapproché de moi. Je sens sa queue dure contre ma
cuisse ce qui n'est pas pour me déplaire. Sa femme est contre lui dans son dos,
elle semble le stimuler... Je décide de ne pas rester passive comme je l'étais
et me redresse à côté de lui, j'ai très envie de le sucer. Ma main prend sa
queue, puis je la prends dans ma bouche.
Visiblement il est comblé, sa femme
aussi. Sa queue est bien raide et chaude et là je n'ai qu'une seule envie, le
faire jouir. Tous deux me caressent la queue. Quelques minutes suffisent pour
que Jean me demande de faire plus doucement.... je le regarde dans les yeux et
il comprend que je n'ai pas vraiment l'intention d'arrêter. Entre temps, non
seulement l'homme seul s'est encore rapproché - je peux voir sa queue à côté de
celle que je suis en train de sucer - mais d'autres, de nombreux autres hommes sont
arrivés entre temps ! Il y a au bas mot une dizaine d'hommes attroupés autour
de nous, la queue à la main. Les serviettes qui m'entouraient ont quasiment
disparu.
Je décide de continuer à m'occuper de
Jean exclusivement; il aime, me tient la tête et me fait prendre sa queue
entièrement en bouche. Je suis à genoux, lui toujours allongé, et derrière moi,
certains ne se gênent pas pour me toucher les fesses, le dos, la nuque.
Jean pousse un long soupir et repousse
ma tête; visiblement il veux jouir mais pas dans ma bouche. J'avoue ne pas être
mécontente de moi et préfère qu'il fasse sur moi plutôt que dans ma bouche. J’ai
envie de continuer à sucer et ne veux pas que chacun s'imagine que je vais
avaler du sperme pendant 2 heures !
Il tient sa queue face à moi et lâche
alors plusieurs giclées de suite sur mon torse et mon cou. Je prends sa queue
et frotte mes joues contre pour lui témoigner de ma gratitude et soumission.
Evelyne lui caresse les couilles, Jean a
la main droite entre les cuisses de sa femme pour éviter probablement les
débordements avec tous ces hommes insistant autour de nous...
Je n'ai pas vraiment le temps de
réfléchir quand Jean se rassoit; une bonne de douzaine de queues raides sont
autour de moi.
Je reste à genoux et masse les couilles
de mes différents assaillants avec mes deux mains. Je demande à mon couple
préféré de surveiller mes affaires et commence à masturber ce que j'ai sous les
yeux.
J'avoue ne pas avoir envie de faire
n'importe quoi et préfère commencer à branler gentiment ces messieurs pour
qu'ils se fassent du bien ainsi.
Un joli black se présente pourtant
devant moi, et l'excitation aidant je lui lèche les couilles puis fait quelques
aller / retour avec sa grande queue dans ma bouche.
Au même moment je sens quelqu'un
éjaculer sur mon dos puis me caresser le dos avec son liquide chaud. Je laisse
faire sans savoir qui fait cela et j'adore.
Je suis très excitée et ma queue est là
pour en témoigner. De nombreux hommes veulent me branler et je me laisse faire
sans hésitation.
Certain aventurent des doigts près de
mon anus mais découvrent mon rosebud rouge bien enfoncé en moi... simple
précaution.
Je demande au black de se retirer pour
éjaculer; il entend bien et les autres assaillants aussi ce qui évite toute
confusion : je suis là pour recevoir sur moi.
Ce ne sera pas long, je reçois plusieurs
jets sur les joues et la bouche aussitôt.
Je prends un plaisir énorme à faire
plaisir à cet homme. Je vois une quinzaine ou peut-être plus encore prêts à se
faire sucer à côté de moi.
Tous bandent et attendent leur tour.
J'essuie avec ma serviette le sperme de
mon beau black et il se retire tout de suite.
Evelyne et Jean sont toujours à mes
côtés, visiblement bien excités par la situation.
Un beau gars d'une trentaine d'années
est maintenant face à moi et me dis ne pas vouloir se faire sucer. Je le branle
quelques secondes et le fais venir immédiatement sur moi. Il crie de plaisir et
lâche plusieurs grosses giclées contre ma bouche. C'est délicieux.
Visiblement il est plus consciencieux
que les autres et l'essuie lui-même !...
Au même moment je sentais un homme jouir
dans mon cou sur ma gauche. Je ne l'avais même pas capté mais à priori il a
aimé ça !
Je ne sais pas combien d'hommes se sont
lâchés sur moi alors mais j'imagine une petite quinzaine. Certains sur mon dos,
d'autres sur mes cuisses et ma queue, d'autres encore plus courageux sur mon
visage sans que je ne les branle puisque j'avais déjà les mains ou la bouche
occupée.
Je viens de jouir sans m'en rendre
compte avec toutes ses mains qui m'ont excité et branlé.
J'arrêt quand mon couple protecteur me
dit vouloir quitter la plage.
Beaucoup d’hommes étaient encore là. Cela
faisait un peu fin du monde et morts de faim mais de nombreux hommes se sont
littéralement finis sur moi quand j'ai commencé à bouger pour faire comprendre
que j'allais partir.
Bien entendu j’ai laissé faire et j’avoue
que sentir tous ces hommes se faire plaisir sur moi ont mis le feu en moi. J’ai
pris ma queue en main et me suis masturbée encore sous les giclées de ces
messieurs. C’était délicieux.
Vers 19h15, trois ou quatre hommes
étaient à mes côtés encore quand je décidais d’arrêter là…
Un couple était là parmi les hommes
restant; elle masturbait son mari et lui la tenait pour éviter les assauts des quelques
hommes autour.
D’un signe j’ai compris qu’il finirait
bien dans ma bouche. Je me suis approchée de lui à genoux et l'ai sucé. Sa
queue était énorme et visiblement il prenait du plaisir sous mes coups de
langue.
Il a vite joui, un peu dans ma bouche et
surtout sur mon visage. Son sperme était délicieux et j'étais à mon comble.
Je me suis relevée après m'être essuyée,
puis j'ai filé dans l'eau. Mon corps était enduit de sperme et malgré l’excitation
que cela me procurait le bain était libérateur.
La célèbre baie des cochons venait de
tenir ses promesses.
Ne restait plus qu'à se préparer pour la
suite...
2. Le chateau de Tredos - A suivre
Une fois posée la question en titre, il me fallait y répondre le plus objectivement possible.
Donc, que suis-je ?
Longtemps, je fus UN
travesti. En fait, cela a duré certainement une grande partie de ma vie
(au moins la moitié). Pourquoi ? Tout simplement parce que isolé (je
mets le masculin volontairement), je pensais être assez unique. Je ne
faisais, comme beaucoup de travestis, que m'habiller en femme. De loin
(très loin), on aurait pu croire que j'en étais une mais dès qu'on
s'approchait suffisamment, l'illusion disparaissait comme la rosée du
matin au soleil. Envolée donc, cette femme que je rêvais de devenir !
Et
puis, internet est arrivé. J'ai alors commencé à mener des recherches.
Recherches qui m'ont d'abord conduite sur un site que je n'oublierai
jamais : TVQ (travestis Québec).
Ce site, aujourd'hui disparu m'a
ouvert les yeux. Non ! Je n'étais pas seule ! Il existait à travers le
monde des tas de personnes comme moi !!! Elles vivaient alors le même
dilemme que moi : étaient-ils (elles) des hommes déguisés en femme ou
étaient-elles (ils) des femmes à part entière lorsqu'ils (elles) se
transformaient ?
J'ai appris, grâce à ce site qu'en fait, je n'étais rien moins qu'une femme (ou un homme, c'est selon) à temps partiel ! 100% homme (avec quelques détails en moins, j'y reviendrai) lorsque je n'étais pas "transformé". Et 100% femme (avec un détail en plus) lorsque j'étais "transformé".
L'homme que j'étais a alors pris une décision. Puisque la crédibilité de la femme que je devenais était primordiale, il fallait me débarrasser de quelques détails "encombrants". Je me suis donc rasé puis, me rendant compte que le rasage ne durait pas assez à mon goût, j'ai commencé à m'épiler. J'ai pris des leçons de maquillage, j'ai commencé à acheter des vêtements, des dessous, des chaussures. En fait, j'ai utilisé au maximum cet endroit magique qu'est internet pour affiner et parfaire la femme que je devenais de temps à autre.
Et le résultat ne s'est pas fait attendre, plus j'avançais dans cette démarche, plus je devenais cette femme que je voulais être.
J'ai alors recherché des espaces où il serait possible d'exposer le résultat du travail accompli et y ai posté mes photos. Et là, la magie a opéré ! Les contacts se sont multipliés, j'ai trouvé des amis et des amies sincères et fidèles. J'ai également trouvé des amants extraordinaires. Amants d'un soir ou d'une période donnée. Tous étaient animés par la même passion : ils aimaient les travestis et voulaient le leur montrer aussi souvent qu'il était possible ! Tous adoraient les caresses que Claire leur prodiguait. Tous aimaient ce corps que Claire leur offrait ! Et tous en redemandaient !
Ceci étant, et en guise de conclusion à ce billet, je dirais que je ne me considère plus comme un travesti. Non ! Je ne suis plus un travesti. Je suis une transgenre. Une personne au sexe, comment dire.... ALTERNATIF ! Le terme exact pour désigner nombre d'entre nous. Car en fait, je suis amoureux fou de mon épouse qui partage avec moi cette passion dévorante qui m'anime et qui l'accepte sans réserve. Mais en même temps, Claire est toujours là, tapie dans l'ombre et prête à surgir à la moindre occasion ! Claire est une femme. Elle vit en moi ! Elle est en quelque sorte locataire du mec que je suis le plus souvent. Et lorsqu'elle peut sortir, je lui laisse toute la liberté dont elle a besoin pour s'épanouir.
Voilà qui est Claire. Claire n'est pas un ou une travesti(e). Claire est VRAIMENT une femme. Simplement, elle ne se manifeste que lorsque le besoin (car il s'agit vraiment d'un besoin) s'en fait sentir. Et Claire est tellement femme qu'elle ne regarde que les hommes lorsqu'elle se libère. Claire aime s'offrir à un garçon lorsque, libre, elle peut être celle qu'elle veut.
Je vous embrasse toutes et tous tendrement.
Claire
Bonjour mes chéri(e)s !
Comme le titre le dit clairement, dans cet article, il va être question de hauteur. Pas d'altitude ! De hauteur... Et, comme à l'accoutumée, j'aimerais vraiment que vous apportiez votre grain de sel, comme le dit si bien ma très belle Chriss que j'embrasse au passage. (sourire)
Donc, je vais vous parler de hauteur...
... De talons !
Les chaussures de femme sont légion. Contrairement aux garçons, nous avons un choix illimité de formes, de coupes, de talons, de plateformes... Etc, etc...
Mais quel plaisir, n'est-ce pas, de passer ces merveilleux escarpins qui nous manquent tant lorsque, contraintes par la norme, nous portons nos vêtements de garçon. Quel bonheur d'enfin pouvoir laisser libre court à la sublimation de nos pieds à l'élancement de nos jambes, à la beauté que procurent des talons de 12 cm à nos gambettes voilées d'un fin nylon.
Je ne conçois pas de m'habiller sans avoir au préalable choisi quels escarpins je vais porter. Ma tenue en est même totalement dépendante. Telle paire s'adapte à telle jupe ou telle robe de telle couleur et il n'est pas possible pour moi, de me vêtir sans être certaine que mes escarpins seront parfaitement coordonnés à ma tenue. Du moins, c'est ma tenue qui doit être coordonnée à mes chaussures.
Peu importe la hauteur du talon ou sa forme. Dès lors que mes escarpins ont trouvé tenue à leur pied, je sais que je serai belle et que je pourrai me présenter au monde ainsi.
Mais, normalement, il était question ici de hauteur. Donc, de talons. Personnellement, je porte toujours des talons de 12 cm minimum. De préférence des talons aiguille. Je suis une grande fan du petit claquement sec qu'ils produisent sur le carrelage d'une cuisine ou d'une terrasse, sur le béton ou sur le bitume d'un trottoir. Lorsque je marche, j'essaye toujours de m'écouter. J'en suis à la limite du fétichisme... Peut-être même, en suis-fétichiste (rires). Mais j'aime ce bruit et j'aime mes jambes quand elles sont mises en valeur par la hauteur d'un talon vertigineux (j'ai de très beaux escarpins et de très belles sandales avec un talon de 15 cm).
Le seul problème en fait, c'est que les talons hauts me rendent très grande car je mesure déjà 1.90 m sans eux. Imaginez donc Claire avec des talons de 15 cm... Un jolie fille de 2.05 m de haut, ça perche !!! (rires) Et il semble que certains garçons reculent devant une telle taille. Qu'à cela ne tienne, j’aime les talons hauts et je ne vais sans doute pas arrêter d'en porter pour un détail aussi insignifiant (sourire).
Et vous mes chéries... Qu'en est-il de vos goûts en matière de chaussures ? Qu'aimez-vous porter. Êtes-vous talons hauts, mi-hauts ou chaussures de type ballerines ?
Si nous en discutions vous et moi ? Vous avez une idée de mes goûts, échangeons sur les vôtres. Qu'en pensez-vous ?
Je vous embrasse tendrement
Claire