j' ai récemment passé
une "annonce" sur un site de rencontre pour Travesti , concernant ma
prochaine venue sur Lyon. Je n'ai eu aucune réponse, si ce n'est quelques
moqueries, quelques insultes, mais je viens aujourd'hui vous raconter comment j'ai
passé ma journée...
La première journée ou
j’ai osé ….
Vers 9h00 le matin du Jeudi 24 Novembre, je suis
sorti de mon hôtel et suis parti en centre-ville. Après un petit déjeuné
rapide, je me suis mis en quête d'un institut de beauté. Là, j'ai demandé une
épilation intégrale. L'institut ne le proposait pas, mais ils m'ont orientés
vers un établissement voisin qui le faisait.
La douleur était supportable, et je me suis
laissé aller aux mains expertes d’un jeune homme qui m'a ensuite appliqué une
huile sur tout le corps. J'imaginais déjà plein de choses, et mon cerveau rendu
fou par les positions prises pour l'épilation créait des images de plus en plus
coquines.
Après avoir payé, je file sur la presqu’ile ,
rue de la République, échauffé mais heureux de me sentir tout lisse.
Là-bas, je me dirige vers la boutique Etam. Un
coup d'œil dans les rayons et je suis mal à l’aise et hésitant!
J’arrête une vendeuse mature très souriante, et
lui fait part de ma recherche, à savoir un ensemble porte jarretelle , soutient
gorges et string en dentelle noir. Elle me demande en quelle taille ? Devant
mon air indécis, elle me demande" combien fait-elle en jean ?". Je
réponds "heu, 40". Elle sourit, il me semble qu’elle a compris ma
demande et me dit "je reviens". Elle me présente un modèle et me dit
"voulez-vous l’essayer ?". J’ai dû devenir écarlate, mais elle a continué,
me propose d’autres ensembles, des magnifiques basses coutures. Je décline sa
proposition d'essayage, je règle mes achats, et sors rapidement du magasin.
Je décide d’aller boire un café dans un bar , je
demande les toilettes pour me changer. Enfermé dans les toilettes je retire mon
jean, et j’enfile ma paire de bas couture noirs, le porte jarretelle, le
string, et le soutien-gorge. Je remets mon pantalon, et je sens monter une
excitation qui ne me quittera que très tard en fin de journée.
Je continu a me balader en centre-ville, rue de
la république, en quête de sex-shop avec cabine. Je cherche aussi un plug,
curieux de tester ce que j’ai lu sur le sujet.
Je rentre finalement au « César Love
Shop » situé proche de la place des Terreaux.
Il n'y a personne, juste un vendeur d’une
quarantaine d'année. Des vitrines présentent des sous-vêtements coquins, des
sextoys divers et variés et notamment deux modèles de plug. Un petit à 15
euros, un gros à 25 euros. Je choisis le petit et demande si je peux avoir
accès aux cabines pour visionner un film, je paye le tout, et le vendeur
m’indique les cabines, «c’est là, derrière le rideau ».
Je rentre dans le long couloir derrière le
rideau, et entre dans une cabine. Je ferme à clef, regarde mon film, et
doucement, je commence à ôter mon jean, mon blouson, et mes chaussures. J’ouvre
mon sac à dos, sors une paire de talons 10 cm (25 euros à la Halle aux
chaussures) que j’avais amené avec moi, enfile ma perruque et me maquille
légèrement (fond de teint, eye-liner et rouge à lèvre)
Je me décide d’ouvrir la
porte de la cabine, et je m'assois, jambes croisées, en lingerie très « pute »,
et je regarde mon film où l’on voit de très beaux Trans non opérés se faire des
choses très agréables. Après quelques minutes, très excitée, je décide de m’introduire
le plug. Je le lubrifie, je m'accroupis, et je me l enfile, je suis assez
étroite, mais l’excitation faisant il entre aisément. Une fois en place, je
remets le string et me rassois, jambes croisées. Je suis hyper excité, travestie
et plugée. C 'est un sentiment inouï, très cérébral. Je sens ce plug dans mon
anus, Je suis là, offerte, en tenue sexy, dans l’attente d’un visiteur.
Je suis excitée mais ne
bande pas, résultat de l’excitation et la peur surement !
De toutes façons, je
préfère sentir mon « clito » petit dans mon string .
Je sors de la cabine faire quelques pas avec mon
plug. Mes talons claquent sur le carrelage, j’ai peur et en même temps j’ai
envie qu’on me surprenne. Envie de ne plus pouvoir reculer, surement !
Il y a là une dizaine de
cabines, vides. C'est frustrant ! Je lève la tête et je vois une caméra de
surveillance. Je ne sais pas si elle fonctionne mais, j’ose et je prends les
poses les plus coquines, au cas où...
Encore quelques minutes et toujours personne, il
est environ 12h30.
Je décide alors de revenir dans la boutique, en
lingerie, pour voir si des personnes sont là.
Mon cœur bat comme un fou, et ma bouche est sèche.
Mais faire cette petite exhibe m’excite, et pourquoi pas ? Je déambule
dans la boutique en sous vêtement sexy, maquillée, et moi seule le sais,
« plugée »
Le vendeur s’accoude a son
comptoir et je sens qu’il me mate
Dans la boutique, il y a 4 ou 5 hommes. Tous me
regardent, mais je n’en regarde aucun. Le vendeur me regarde aussi. Je fais
mine de chercher un accessoire, je lui demande des renseignements sur d’autres
gadgets, et je dis, assez fort pour être entendu, " Merci, je retourne à
la cabine !!!". Puis je repars dans le couloir. J’entends mon cœur
battre et le sang monter dans mes oreilles...
Arrivé dans la cabine, je m’assoie et croise les
jambes , en position d’attente sexy… 3 des clients de la boutique m’ont suivi .
Ils sont devant la porte et me regardent. L’un d’eux s’exclame "putain
quelle salope !!!". Mes jambes, mes mains tremblent, je suis affolée et
excitée. Ils sont devant moi, me regardent. Deux d’entre eux ont sorti leur
sexe et se caressent.
J’y suis, je n’ai plus
le choix, je vais faire ce qu’ils attendent !!! …je pose une jambe gainée de
bas tenus par mon porte jarretelle sur la chaise, écarte les jambes et m exhibe.
Je me comporte en une allumeuse…
Je vais passer une bonne parti de l’après-midi
la- bas. Un premier homme va entrer dans la cabine et me présenter son sexe
tendu. Je vais entendre « allez suce moi salope », je vais
m’exécuter, peureuse, honteuse, mais excitée. Les mains des hommes vont me caresser,
me guider, m’obliger. On va se servir de ma bouche, de mes mains pendant plus
d’une heure et même de mon sexe.
L’un des clients a voulu
me doigter mais quand il a senti le plug, je me suis fait traité de
"pute", de « chienne », de « salope ». Un autre client
a même fait des photos.
Un couple est arrivé, et
c’est madame qui est entré la première dans la cabine. Elle a saisi entre ses
doigts mon sexe et l’a serré très fort entre ses ongles. Elle m’a regardé et
s’est moqué de moi en souriant « Quelle petite bite !! ce n’est pas
avec ça que tu feras jouir une femme !! »
Puis elle a ôté sa
culotte et relevé sa jupe, a pris ma tête avec ses deux mains et m’a obligé à
la lécher en m’insultant, se moquant de moi, me traitant de pute et salope,
tout cela jusqu’à ce qu’elle jouisse dans ma bouche.
Voilà, ce que certains d’entre
vous ont peut-être loupé.
Je ne suis qu’un homme
qui a ses fantasmes et qui a osé !!! alors respectez mes idées, mes mœurs,
mes fantasmes.
Oui j’ai aimé être
traité en pute, Oui j’aime être humiliée, Oui j’aime être forcée de subir les
envies perverses des hommes ou des femmes.
Pour les râleurs, ceux qui critiquent, qui se
moquent, êtes-vous sûrs de valoir beaucoup mieux ?
Le Mur