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Robin29396
Une bouteille de vin...


Un après-midi sexuel et torride, alchimique et érotique, complice et romantique, rien que pour nous 2...


Toi et moi...


Des caresses....Des baisers....Du sexe....Du sperme sur certaines parties de ton corps de Déesse....Beaucoup de sexe, de caresses et de baisers....


Moi t'enlaçant passionnément dans mes bras...


Des massages érotiques tout le long de ton corps de Déesse...


Des jouets pour profiter de l'instant...


Mes mains agrippant tes jambes, ta poitrine, tes fesses...


Ma main caressant ton visage pendant que je t'embrasse...


Mon autre main caressant ta culotte pour ensuite y glisser dedans pour caresser et branler ton clito en même temps...


Toi chevauchant ma queue...Toi me suçant à genoux, allongée et à 4 pattes sur le lit...


Moi te suçant...Moi te baisant, te faisant l'amour dans toute les positions...


Tes jambes m'agrippant pendant que je te pénètre en missionnaire...


Une fin de rencontre où on se caresse et s'embrasse non-stop, passionnément et langoureusement...


Il me tarde de ressentir tout cela avec toi.


Tu es peut-être plus grande et plus âgée que moi, mais peut importe: tu continues à me plaire chaque jour depuis qu'on se connaît et tu ne me laisses pas indifférent.


Encore une fois, je ne cherche pas à tirer un coup et à partir comme un lâche: je cherche une belle aventure coquine, surtout en compagnie.


Il me tarde d'être avec toi un jour...(Je ne dirai pas qui c'est, mais je pense qu'elle se reconnaîtra...que tu te reconnaîtras)

Robin29396 Mai 9 '21 · Commentaires: 1 · Tags: amante, amant, sexe
lilileet
Ainsi Monsieur avait soustrait Marilyn à la maison close où elle avait toujours vécu et avait

reçu son éducation ainsi que peu à peu les traitements qui avaient fait d'elle une superbe 

jeune femme. Car Marilyn était née garçon mais suivant la volonté de sa mère était devenue

fille, couvée qu'elle était par toutes les filles de la maison, par la mère maquerelle un peu sorcière

qui avait dispensé les traitements de sa transformation et par Monsieur, qui avait décidé très tôt queMarilyn serait sa femme.

La dernière année avait été très éprouvante pour Marilyn, son corps avait été sculpté selon les

 désirs de Monsieur, sous le regard effrayé de sa mère qui comprit trop tard que Monsieur, loin des

 sentiments charitables du départ, était un monstre pervers qui avait fait de sa fille un pur objet sexuel


Non seulement avait elle reçu des traitements de chirurgie esthétique qui l'avaient doté d'une très forte poitrine, son bassin avait été élargi, des côtes enlevés, ses lèvres gonflées et horrible détail

une partie de la production de ses testicules redirigée vers son anus. Sa mère avait manqué devenir follle en l'apprenant et elle vivait maintenant dans un brouillard rempli d'hommes qui venaient se

servir de ses charmes. Elle apprenait par bribes des autres filles d'autres détails monstrueux qui

maintenant la laissaient indifférente. Comme ces injections qui avaient rendues trés pulpeuses les

lèvres de son ... pénis et de son ... anus. Elle avait appris que le canal de son urêtre avait été

très élargi, donnant aux lèvres de son gland l'aspect d'une bouche entrouverte, elle n'osait deviner

pourquoi. Elle avait appris que l'orifice de son anus avait été considérablement élargi, de façon

permanente également.


Des larmes coulaient lentement de ses joues tandis que le visage appuyé contre une fenêtre, 

elle vit partir pour toujours sa pauvre petite fille accompagné du monstre qui était son mari.


Seule elle pensait à ele comme une petite fille, tous les autres qui virent partir Marilyn ce jour là

virent une superbe pute, une rare bimbo aux fesses épanouies, à la démarche chaloupante, montée

sur des mules à talons aiguilles interminables, vétue d'une mini jupe qui découvrait le haut de ses

bas, avec de très gros seins bandés, un visage et des cheveux magnifiques, curieusement les

yeux baissés et tenue par la main par un colosse.


Marilyn était comme anesthésiée, tandis que Monsieur, lui tenant fermement la main, se dirigeait

vers une grande limousine où attendait patiemment un chauffeur en livrée. Celui-ci, retirant sa

casuette, ouvrit la portiere, tandis que Monsieur poussait Marilyn à l'intérieur de la voiture.

Monsieur ayant pris place à son tour du côté opposé, la portière claqua.

- A la maison, Georges

dit il tranquillement tandis que sa main ressaisissait celle de Marilyn. 

Elle releva enfin les yeux. Sous ses fesses elle sentait le contact froid du cuir.

Elle vit que le chauffeur la regardait dans le rétroviseur, ou plutôt qu'il regardait son entrejambe.

Sa mini jupe remontée ne cachait presque rien de son intimité, le haut de ses cuisses, blanches et

charnues au dessus de la lisière des bas, les attaches dorées des jarretelles et dans l'ombre le

reflet brillant d'un anneau et une boule rose.

Elle vit que son visage couperosé devenait pourpre ainsi que son gros cou, que ses grosses mains

serrérent très fort le volant et que les jointures devinrent blanches.

Instinctivement elle passa la main sous ses fesses, saisit l'extrémité de son body que Monsieur

avait défait plus tôt dans le bureau de Madame et, libérant son autre main de l'emprise de

Monsieur, saisit l'autre extrémité du body afin de réajuster les boutons pression, couvrant son

intimité, son anus et son pénis.

- Non !

ordonna Monsieur 

Et ce disant, glissant la main sous sa jupette, de deux de ses énormes doigts il saisit son gland 

rose et tirant, étendit la petite verge de Marilyn sur la banquette. Puis en souriant, de ses deux

doigts saisit les testicules et les reposa de chaque côté de la verge. Et Marilyn suivant la main du 

regard, le vit ressortir de sa poche une laisse dont il accrocha promptement l'extrémité à l'anneau

qui traversait le gland de Marilyn tandis qu'il liait l'autre extrémité à un autre anneau beaucoup 

plus gros fixé dans le dossier du siège devant elle.


Plus que son humiliation, elle était fascinée par cet anneau fixé dans le siège, comme si cela était

naturel, qu'il était normal et habituel qu'elle se trouve ainsi entravée.


Le silence s'installa dans l'habitacle, Monsieur ferma les yeux, sembla dormir. 

Le chauffeur fixait maintenant sans aucune gène l'entrejambe de Marilyn. Il se tortillait

sur son siège, Marilyn était sûre qu'il se masturbait. Elle préféra regarder par la fenêtre,

elle savait que l'homme regardait, entre ses jambes gainées de bas, sa fine verge entourée des

des petits testicules, le gland rose et l'anneau.


Au bout d'un long moment, sans ouvrir les yeux, Monsieur dit

- Ca vous plaît, Georges

- Oui 

répondit celui ci d'une voix rauque

- Donne moi tes pieds

ordonna t'il à Marilyn


Elle retourna la tête et obéit, quittant ses mules elle se retourna à demi vers Monsieur, son

pénis toujours entravé et posa ses pieds sur les cuisses de Monsieur, sa jupe totalement

remontée à présent, son sexe complètement découvert. Dans le mouvement un de seins pointa tel

un obus sous le fin body noir, le téton saillant tel une petite verge tendant le nylon. Ses larges

fesses blanches apparaissaient également ainsi que le large orifice de son anus.


Le chauffeur avait les yeux exorbités et une de ses mains avait quitté le volant.


Monsieur saisit les petits pieds gainés de Marilyn, appliqua des baisers sur leur plante et les lécha.

Marilyn fermait les yeux, le plaisir mélé de honte était intense, elle sentait ses seins gonflés et durs

son anus qui palpitait. Elle repensait à la nuit précédente, à tout ce que Monsieur lui avait fait 

subir, toutes ces choses inommables qu'il avait fait et qu'il lui avait fait faire. Et elle savait qu'elle

était à lui et qu'il ferait d'elle ce qu'il voulait. 


Pourtant, dans la position où elle était, son intimité ainsi dévoilée, elle nne voulait pas offrir à ce

chauffeur repoussant, l'image de sa plus grande humiliation. Elle savait qu'il avait les yeux fixés

sur l'ouverture béante de son anus qu'elle sentait palpiter. Pourtant son sexe bien visible retenu

par la laisse à demi tendue ne reflétait pas le plaisir qu'elle prenait et elle en ressentait de la fierté

dans son humiliation. 


Alors Monsieur, semblant lire dans ses pensées, eut un sourire malicieux et, approchant les pieds

de Marilyn de sa bouche, lécha doucement ses orteils à travers le nylon, les goba, les suça, découvrant les bijoux dont chaque orteil était paré.


Une vague de plaisir foudroyante atteignit alors Marilyn

- Non,non

pensa t'elle.


Mais déja son fin pénis s'allongeait, se redressait en se recourbant, ses petits testicules dégagés

de son ventre à présent se dressaien fièrement, la laisse se tendit


Elle sentit sous elle une petite flaque se former et elle gémit en murmurant

- non, non


Alors la voiture fit un écart et elle entendit un grognement. 

-Ca y est 

pensa t'elle 

- L'autre brute a éjaculé

Elle n'eut pas le temps de penser davantage, déja la grosse main de Monsieur était sous ses fesses 

et tâtait appréciativement la surface de son orifice anal. 

Il détacha la laisse de son gland et la verge retrouva sa forme initiale. Seul le gland de Marilyn,

contraint par l'anneau qui l'enserrait, restait anormalement gonflé et noir par le sang qui le gorgeait


(A suivre - Carole Le Vice alias lilileet Le 7 Mai 2021)





lilileet Mai 7 '21 · Voter: 5
Robin29396
9 mois.... Je ne vois pas comment le dire de manière classe, mais... 9 mois sans libertinage, sans relation sexuelle, c'est long.


A l'heure où cette pandémie stoppe le temps, j'ai fait le choix d'arrêter les rencontres coquines pour faire preuve de prudence, mais aussi pour vous montrer + vous prouver mesdames que je fais attention, que je ne prends pas de risque dangereux; et pourtant, j'apprécie beaucoup votre compagnie, tout comme je vous apprécie, et je prends toujours mon pied à chaque relation sexuelle, même si c'est éphémère.


Et pourtant, je trouve le temps long... Quand je lis des témoignages d'aventures libertines, ça me fait remémorer ce que j'ai vécu: la douceur des caresses sur le corps de mes partenaires, mes lèvres posées sur les leurs, la gourmandise de leur bouche, leur hanche voluptueuse s'accrochant à moi, les va-et-viens fougueux et j'en passe.


L'été dernier, ça faisait 5 ans que je suis devenu libertin, mais j'ai privilégié l'attente pour ne pas prendre de risques.


A chaque fois que je rencontre l'une d'entre vous, je m'engage à faire les choses à la perfection (ou du moins le mieux possible), quitte à me prendre la tête au point que ça en devienne difficile car je veux vous prouver que je ne suis ni un mytho, ni un fantasmeur, d'où ma décision de tout arrêter.


Mais là, c'est trop long et psychologiquement, ça pèse: je désire ressentir cette alchimie sexuelle à nouveau sans contrainte, sans règle (hormis la confiance, le respect et la galanterie), bref, une liberté sexuelle absolue et totale. Je désire revivre des aventures dans des lieux libertins (et encore, je préfère les saunas aux clubs; je ne dirai pas les raisons car ça ne regarde que moi et puis, je ne souhaite pas recevoir de nouvelles insultes).


Et diable que ça me manque cette alchimie sexuelle...ça me manque tellement...


J'espère pouvoir revivre à nouveau une aventure avec l'une d'entre vous mesdames et si cela arrive un jour, je m'engage à tout faire pour vous offrir un bon moment. Je ferai tout pour que vous puissiez vous épanouir.


Mais pour l'instant et à l'heure actuelle, je continue à attendre et je vous promets de continuer à attendre jusqu'à ce qu'il soit possible de revivre cette liberté coquine et libertine; quitte à attendre des années, des décennies, voir jusqu'à la fin de ma vie jusqu'à ce qu'on peut revivre cette liberté sans contrainte et sans règle, je vous promets d'attendre, je vous promets de vous attendre... Même si 9 mois, psychologiquement, moralement et émotionnellement, ça fait long...

Robin29396 Avr 7 '21 · Commentaires: 3
annarusse

Après avoir été, pendant plusieurs années, et surtout dans les premiers temps de ma révélation féminine, une adepte inconditionnelle des clubs kokins.

Après avoir appréciée sans aucune modération ces endroits où je me retrouvai entouré d'une nuée de mâles que j'avais plaisir à exciter.

Après avoir, a genoux, eu la vision de tous ses membres tendus qui ne demandaient qu'a s'insinuer entre mes lèvres.

Après avoir offert, de façon très cambrées, mes fesses à qui voulaient s'en occuper langoureusement ou avec vigueur.

Après avoir reçue, de nombreuses fois les nectars chauds dans ma bouche grande ouverte ou sur mon corps imberbe de petite femelle affamée, Je me suis calmée car j'avais réaliser déjà beaucoup de mes fantasmes érotiques soft ou hard.


Oui, je me rappelle encore, chez notre sympathique Prisca, (qui nous manque toujours) être tellement connue que dès que je descendais au sous-sol plusieurs hommes me suivait de près alors que je tortillai d'un déhanchement subtil mon joli cul, juste recouvert d'une mini-jupe transparente.

je me souviens de ce couloir très étroit dans la pénombre allant vers deux alcôves ou j'adorai sentir les mains de ses inconnus commençant allègrement à me fouiller sans aucune retenue déclenchant en moi des bouffées de chaleur affolantes, avant d'être jetée sur un lit où je savais que j'allai prendre ''cher'' .

Je me revois aussi, attachée au sous sol du château des Lys, à la merci de ces hommes et de ces créatures féminines délicieuses, subir leurs envies sans pouvoir me défendre, ou a Triel, couchée sur le dossier en cuir suspendu, jambes en l'air, écartelée, recevoir l'hommage répété de queues délicieuses pendant que ma bouche en avalaient d'aussi belles.


Mais, à trop en faire, j'avoue m'être lassée de toutes ses folies car au bout d'un moment, on ne fait que répéter les mêmes postures, les mêmes habitudes, les mêmes orgies,


Pourtant, si l'on peut se lamenter de cette pandémie très difficile à vivre, je dois dire franchement qu'elle me permet une chose. Après avoir été sevré, volontairement d'abord (car je ne souhaitai plus aller en club) et ensuite par la venue de ce virus terrible, je me sens en manque de tous ces affolants instants passer dans les clubs, en pratiquant le sexe de groupe. Oui, cela a réveillée en moi ces appétits multiples ou je suis entourée d'une nuée d'hommes excités, voulant leur part de mon gâteau au goût de salope. Les multiples partenaires me manque. M'offrir à plusieurs mâles en rut me démange.


Alors je sais, que dès que nous pourrons ressortir dans ces lieux de débauche, je n'hésiterai pas une seule seconde à me jeter, avec délectation et gourmandise dans cette arène de sexe et de luxure.

Et si un Monsieur veut m'y emmener, il sera le bienvenue (à condition qu'il soit un gentleman) , mais il faut qu'il sache bien qu'il n'aura pas l'exclusivité de mon corps, ni de ma bouche ni de mes fesses......

annarusse Avr 7 '21 · Voter: 5 · Commentaires: 5
rose2802
Coucou à tous et toutes,


Beaucoup s'inscrivent sur ce site en se disant qu'il n'y a personne pour filtrer les photos qu'ils posent.

Ils pensent que c'est une galerie de photos, tout simplement....

Quand on prend le temps de converser, ce sont toujours les mêmes questions et réponses  que je dirai  préparées à toutes conversations, " t'es bonne" je vais t'enfoncer " et j'en passe de meilleures et plus dévergondées.

Les vantards se vantent d'avoir perforé un collant avec leur "jouet de famille", je connait la résistance du fil nylon pour avoir vu les résultats dynamiques à la traction ; mais de plus les slips sont en double- fils , vas y pour passer cela avec ton engin en peau et animé de la pression sanguine, tu peux bourrer tant que tu veux; tu n'arriveras même pas à filer le slip...

Un grossier personnage "Jiral" m'a insulté en MP pour avoir dénoncé ses photos outrancières, je lui souhaite de ne jamais le rencontrer , il aura le bonheur de connaître qui est "la truie rose" selon ses écrits, c'est son avis personnel et je m'en fout.

On préfère dès lors à choisir des profils qui nous conviennent entièrement , si on est loin l'une de l'autre à discuter en toute sympathie, comme beaucoup me connaisse, c'est dans mon esprit d'être sympa, prête aussi à vous aider, par du réconfort pour celle qui ont une santé fragile, par des conversations de personnes qui sont assez isolées qui n'osent pas devenir une femme , au départ par  un travestissement correct et crédible; il ya des essais à réaliser, mais aussi des petits détails à peaufiner...

Les vieilles chipies comme moi, les connaissent ces secrets, j'ai été coiffée et maquillée pendant un certain temps par les services d'un théâtre très connu où je jouait un rôle féminin en dépannage pendant 3 ans!!!!, donc j'étai crédible, parce que j'ai appris à me maquiller seule après quelques semaines.

Cela m'a servi aussi pour filer mon ex qui ne présentait plus les enfants et un domicile introuvable pour les services de la justice....

Elle a été étonnée de trouver devant sa porte gendarmes et assistantes sociales du service de la jeunesse... 

Elle a plus d'un tour dans son sac la vieille chipie, croyez moi, 

Les gens mal élevés , imbus de leurs personne et autres chasseurs de sexe, n'ont pas tous leurs place dans ce site, il y a des sites plus crades pour ce genre de personne , ce qui leur donneront une entière satisfaction .

J'ai fini mon caca nerveux , comme beaucoup vont le penser, mais il fallait que cela soit écrit .

Bises à vous toutes, les "indéfinis", passez votre chemin, il y en a des milliers de sites pour vous ,où l'anarchie est la règle.



rose2802 Avr 3 '21 · Voter: 5 · Commentaires: 4
annarusse

Je ne sais pas ce que vous en pensez mais je suis toujours effaré de voir ces messieurs qui vous adresse sur les sites ou part sms leur photo de sexe en gros plan. Je me demande s'il ne sont pas complexé et finalement, souhaite qu'on les rassures en leur disant que leur b... est belle (si c'est la leur car parfois ce sont des photos volées).


De mon coté, loin de les rassurer, je leur réponds, lorsque je suis bien lunée, que des queues j'en ai vu une bonne centaine et donc qu'il n'y a aucun intérêt à m'en envoyer un de plus et qu'en plus, j'en ai une et donc que je sais ce que c'est. Lorsque je suis mal lunée, je suis plutôt du style insulte que je tairai ici.


Peut-être pensez-vous que cette réflexion vient du Sainte Nitouche qui ne connait rien aux plaisirs du sexe mâle. Détrompez-vous je suis plutôt une Sainte qui touche et mon expérience en la matière est plutôt du genre quatre étoiles.


Mais sachez Messieurs que si, dans l'intimité ou dans des circonstances où l'érotisme nous entrainent dans la volupté du sexe, je suis adepte de m'occuper d'un (ou même de plusieurs) membres excités de ces Messieurs et que la fellation que j'offre, ainsi que la vue d'un membre en érection,m'apporte beaucoup de plaisir ou de désir, je trouve par-contre complètement ridicule, absurde et pitoyable de s'extasier devant une queue prise en gros plan.


Si encore ces Messieurs avaient l'imagination (mais ce n'est pas leur fort tout le monde le sait) de prendre des photos de leur sexe de façon à suggérer, ou en s'attardent sur la beauté du cliché, je le comprendrai. Mais non, on voit juste une queue (comme il en existe des milliers) avec souvent des poils. Un tue l'amour total (pour ma, part rédhibitoire quant à l'obtention d'un rdv)


Je ferai d'ailleurs la, même remarque à ces travestis (souvent moche d'ailleurs) qui montre leur cul en gros plan sans aucune intention de rendre leur photos jolies , sensuelles ou agréables à regarder.


Lorsque l'on se dit féminine, je pense que même si l'on a envie de montrer sa chatte de derrière, il est important que cette photo soit sensuelle, érotique et subjective. Alors Messieurs et Mesdames, faites un effort pour nous offrir des photos de charme. Pas des photos pourries et peu ragoutantes.

Qu'en pensez-vous

annarusse Mar 28 '21 · Voter: 5 · Commentaires: 10
Robin29396
Ce serait de la folie:


- de ne pas tomber sous votre charme mesdames.

- de ne pas agir pour vous séduire.

- de ne pas faire preuve d'authenticité et de sincérité à votre égard.

- de ne pas vouloir être avec vous.

- de ne pas vouloir sortir avec vous en toute sincérité.



De la passion, du plaisir et tutti quanti: tout est là.

Robin29396 Déc 27 '20 · Tags: désir, passion, plaisir, folie
Robin29396
Après des nuits endiablées et passionnelles, C. et R. franchissent le pas et décident de sortir ensemble en public. Pour C, comme pour R, au début, c'était trop tôt car ils se voyaient à peine et tous les 2 ne voulaient pas précipiter vite les choses, y aller progressivement. Et pourtant, l'envie était au rendez-vous, C. et R. ont une relation alchimique et passionnelle, et les 2 s'entendent à merveille.


Finalement, après discussion sur le lit de C. à son domicile, tous les 2 organisent cette sortie publique.


Habillé de manière classe et classique, R, accompagné d'un bouquet de fleurs, arrive chez C, lui offre ces fleurs et un baiser passionnel. Tous les 2 partent dehors et, se tenant la main, arrivent dans un quartier populaire, branché et animé les nuits.


C. et R. se posent dans un bar, trinquent ensemble à cette première sortie publique et discutent de leur relation, de ces moments passés ensemble: après tout, cela fait longtemps que C. et R. se connaissent, se séduisent, se charment, s'amusent et s'apprécient, malgré des différences et des écarts.


Quand un autre couple les interpelle et demande à R. qui est C. pour lui, R. leur répond que C. est sa femme, ce qui les surprend du fait des différences, et pourtant, C. et R. jouent à un jeu de séduction coquin, mais complice, où C. est la femme de R, le temps d'un instant. Après ces mots, R. embrasse C. avec complicité, ce qui touche C. et qui surprend l'autre couple.


Au moins, C. peut faire confiance à R, qui a toujours fait preuve d'authenticité et de vérité sincère avec elle.


Après cette soirée, C. et R. retournent chez C. et baisent passionnément toute la nuit, où R. remplit C. de tout son désir, avant que tous les 2 ne s'endorment, se prenant chacun dans les bras !

Robin29396
C'était un soir idéal: après des années de séduction virtuelle, R. a pris rendez-vous avec Z. à l'hôtel pour un tête-à-tête coquin. R. avait tout prévu: le vin, les fleurs, la chambre pour mettre à l'aise Z. et ajouter une ambiance érotique.


Quelqu'un tape à la porte: c'est Z. Et R. ne peut qu'être sous le charme: Z. porte une longue robe noire, des bas et talons noirs qui provoquent de l'effet à R. Le visage de Z. est si beau, si féminin et ses lèvres recouvertes d'un rouge passion érotique qui mettent en émoi R.


Z. et R. se font la bise pour ne pas vite précipiter les choses. R. offre les fleurs à Z, charmée par la petite attention de R. Z. et R se dirigent vers le lit. R. ouvre la bouteille de vin, verse à boire dans les verres et offre un verre à Z, qui s'est assise. R. s'assoit à son tour et trinque avec Z.


Z. et R. commencent à discuter: discuter du plaisir de se rencontrer en vrai, de leur désir, de chacun. R. est charmé et attiré par Z, par sa beauté, tandis que Z. est charmée par la sincérité et la passion désirée de R.


Pour que Z. se sente plus à l'aise, R. pose les verres et masse les épaules de Z. Ensuite, R. pose tout doucement des baisers sur le cou de Z, tout en descendant sa main le long du bras de Z, pour après lui tenir la main. Par la suite, R. se tourne vers Z: il lui caresse son visage et lui dit à quel point elle lui plaît. Tous les deux s'embrassent. Pendant qu'ils s'embrassent, R. commence à caresser les seins de Z, qui caresse l'entre-jambe de R, sentant qu'il commence à durcir, puis, R. glisse tout doucement sa main dans la robe de Z, pour mettre sa main dans sa culotte et la masturber lentement, mais passionnément.


R. commence à se déshabiller, puis enlève la robe de Z: Z. porte une lingerie rouge qui met en feu R. Z. et R. continuent de s'embrasser. Z. se met à genoux et déboutonne le jean de R: elle voit une bosse dans le caleçon de R. et commence à y déposer des baisers. Ensuite, Z. enlève le caleçon de R. et voit une queue bien raide et dure, avec un grand gland: charmée, elle branle R, puis le suce avec passion et appétit. La queue de R. va et vient dans la bouche gourmande de Z, qui suce et lèche les couilles de R. avec gourmandise.


Par la suite, R. allonge Z. sur le lit et s'allonge à son tour. R. continue à embrasser Z, descend le long de son corps de Déesse, embrasse les seins de Z, puis sa culotte. R. enlève la culotte de Z. avec les dents, caresse et embrasse ses jambes, puis voit le beau clito de Z: ravi et avec une fougue intense, Z. lèche et dévore le clito de Z, qui apprécie beaucoup; entre-temps, pendant qu'il dévore son clito, R. tient les mains de Z. avec complicité. Juste après, R. lèche le trou de Z, avant de remonter vers le visage de Z. et de l'embrasser à nouveau. 


Tous les deux se retournent: sur R, Z. continue à le couvrir de baisers et à descendre jusqu'à sa queue, qu'elle suce fougueusement, tandis que R. branle et doigte Z. Tous les deux se mettent en position 69 pour se procurer chacun du plaisir.


Après, R. met Z. à 4 pattes: R. continue de lécher et branler le trou et le clito de Z, la doigte pour la préparer à se faire baiser. R. ajoute du gel pour que ça soit plus agréable et insère sa queue: Z. gémit de plaisir.


Durant toute la nuit, R. baise Z. passionnément et fougueusement dans toutes les positions. Z. jouit de plaisir et profite de l'instant avec R: elle n'est pas soumise à R, elle est son amante, sa partenaire.


Plus tard, Z. et R. s'enlacent dans les bras et se tiennent la main. Tous les deux se remémorent cette nuit. Z. est totalement sous le charme de R, et c'est réciproque. Afin que Z. se repose, tous les deux se caressent et s'embrassent, avant de s'endormir enlacés.

Robin29396 Nov 26 '20 · Voter: 5 · Commentaires: 1 · Tags: hotel, amante, torride, hôtel, sexe, amant, nuit
lilileet
Plus tard ...

La nuit était désormais avancée, la grande

demeure était silencieuse, les filles dormaient,

les clients étaient partis.


Marilyn sortit de sa grande salle de bains. Elle était nue et chaussée de mules à pompons roses

et petits talons. Elle était baignée, parfumée, remaquillée. La jeune fille qui l'accompagnait disparut discrètement, les yeux baissés 

La grande chambre avait été nettoyée, seuls restaient au sol, éparpillée, la lingerie souillée qu'elle avait portée. 

Et dans le grand lit propre, l'homme, sous le drap,

les bras derrière la nuque, lui souriait.

- Allez, dit il en tapotant le lit à côté de lui. 

- Prépare toi et viens

Sur le sofa près des penderies, un grand nombre

de vétements avaient été préparés.

Après tous ces soirs où Agnès lui avait présenté ses tenues de nuit, elle savait ce que Monsieur voulait.

Elle prit un collant dans son fin emballage et Monsieur ayant acquiescé, se dirigea vers un fauteuil faisant face au lit. Assise, elle dégagea de sa boîte le collant le déplia du carton, l'étendit en l'air devant elle. 

Le très fin collant voile blanc, repassé, parfumé, laissant passer la lumière et à travers lui, elle pouvait voir l'homme qui la regardait goùlument.

Ôtant sa mule, elle replia la jambe sur le fauteuil

et roulant le collant, elle l'enfila lentement sur son pied. L'emplacement des orteils et du talon était finement marqué sur le précieux collant. Elle le

déroula avec précaution jusqu'à mi-cuisse, veillant

à sa tension.

Comme elle faisait ce mouvement, l'intérieur de

ses cuisses découvrait son gland gonflé aux très épaisses lèvres closes et par un mouvement

involontaire, l'amorce de sa vulve aux larges lèvres ouvertes se dévoila aussi.

Elle répéta le même mouvement sur l'autre jambe et, veillant toujours à la tension du collant, renfila

ses mules,se leva, finit de l'enfiler. Parfaitement tendu, le fin collant voile remontait haut sur son

ventre.

Elle retourna vers la pile de vètements 

Sous le collant, l'homme admirait

les larges fesses qui chaloupaient au rythme

des pas de Marilyn. Sa chatte était restée largement ouverte de son assaut précédent.

La vision de ses tendres chairs roses offertes, 

des grosses lèvres peintes de rouge vif de sa chatte sous le collant, enflammaient le désir de l'homme.

Elle lui présenta un large et tres fin soutien gorge en dentelle blanche envellopant et l'enfila 

après approbation Puis ce fut une courte nuisette baby doll bleu nuit bordée de fourrure 

noire et de très hautes et fines sandales noires qui accentuaient la finesse de ses chevilles.

La nuisette très fine couvrait à peine ses fesses et son clitoris.

Elle rejoignit le lit comme une pouliche apeurée et timidement s'allongea à côté de 

l'homme qui la couvait de ses yeux gourmands.

Ses longues jambes étaient repliées et reposaient sur les hauts talons.

L'homme, tourné vers elle, sa tête reposant sur sa sa main, son bras replié, lui entoura la taille et la tourna vers lui. Il dégagea ses seins de la nuisette et du soutien gorge. De sa main en coupelle, il en saisit un.

Le téton pointant, Marilyn regarda comme l'homme approchait ses lèvres gourmandes de 

son téton. Il s'en saisit du bout des dents et le mâchonna. 

- Aïe dit elle dans un mouvement de recul.

Alors il saisit le sein et téta goulûment.

Et le miracle se produisit, un très fin filet de lait jaillit du sein de Marilyn sous l'effet de la succion

de la bouche de l'homme. La succion redoubla, l'homme tenait fermement le sein et Marilyn soupira trés fort tout d'abord, c'était presque un cri.

De sa main, elle caressa les cheveux de l'homme. Une goutte de lait encore aux coins des lèvres,

quand le filet sembla se tarir, il répéta le même mouvement sur l'autre sein. 

Rassasié, il replaça les seins délicatement dans le soutien gorge enveloppant,

les recouvrit de la fine dentelle blanche et de la nuisette et regardant intensément Marilyn, baisa 

longuements sa bouche.


Embrassant toujours Marilyn, il glissa la main sous

sa nuisette et caressa son gland à travers le collant. Puis de sa langue il le lécha et déchira le

collant d'où il extirpa le clitoris : les petites olives, le fin pénis et le gland gonflé.

Il les prit tout entier dans sa bouche gourmande et de sa langue les caressa longtemps, la glissant profondément dans l'urètre, gobant les petits testicules et, plaçant les bras autour des hanches 

de Marilyn, pratiqua une fellation sur sa très fine verge.


Marilyn gémit comme sa trés fine verge s'allongea, se raidit, se courba, se plaqua contre son ventre et que son gland commença à enfler. 

Alors l'homme plaça sur la verge à la base du gland un petit anneau d'or et repris la 

masturbation. Le plaisir de Marylin était partagé entre le plaisir très vif et la torture du petit anneau qui étranglait sa verge si fine et engorgeait son gland. Son gland gorgé de sang devint presque noir grossissant démesurément alors que l'homme continuait de masturber sa petite verge déjà rigide. Son gémissement était continu et le clitoris de Marilyn ressemblait à une fleur, son gland ouvert comme la corolle d'une tulipe.

Alors il glissa à intervalles réguliers sur la petite verge de fins anneaux qui la compressaient.

Il passa la main sur ses fesses et sentit avec satisfaction qu'elle avait trempé son collant et que son anus était toujours aussi dilaté.

Il lui dit

- tu le trouve joli ton clito comme ça ?

elle répondit par un gémissement


Alors l'homme souleva le drap qui le couvrait.

Marilyn dont le regard fut irrésistiblement attiré ouvrit de grand yeux, sa bouche s'ouvrit et ses jambes toujours pliées se mirent à trembler


- Oohh fit elle en gémissant


La gigantesque verge de l'homme était entouré de gros anneaux métalliques hérissés de picôts. La base de son gland était également entourée d'un anneau ce qui avait pour effet de le congestionner.

 Il était énorme.


Sans attendre, il monta sur elle et plaça son gland contre son anus. Sans effort, il creva le collant qui en bloquait l'entrée et la pénétra de son énorme gland. Elle était largement ouverte et ne portait plus de guépière aussi le pieu entra sans difficulté. Il la pénétrait lentement cette fois, donnant un coup de reins plus appuyé au passage des anneaux. 

Dans la grande maison silencieuse ses cris retentissaient dans les étages. C'était à présent des cris de plaisir. Quand il fut complètement en elle, il plaça les jambes chaussées de talons

 aiguilles de Marilyn autour de lui et commença à la chevaucher.

 Elle  cria plus fort et de la tulipe de son clitoris jaillit un fin jet de sa liqueur. Lui, dans une ultime

crispation, la remplit à nouveau de son sperme épais.

Se baissant, avant que la fontaine ne se tarisse, il bu avidement de la liqueur de Marilyn. 

Saisissant les sandales de Marilyn, il la déchaussa et lécha le dessous de ses petits pieds couverts de nylon puis il finit de déchirer le collant et lui dit d'une voix rauque

- Allez, va te refaire belle, j'ai encore envie de toi

Obéissante, elle sauta du lit, se mit nue et se redirigea vers le tas de vétements. 

Elle revint rapidement dans le lit, uniquement vétue d'un collant voile chair et se blottit dans ses

bras. Aussitôt il la couvrit à nouveau, déchirant son collant d'un coup de reins, le clitoris de Marilyn

 toujours prisonnier du nylon. Elle cria encore, il la chevaucha et ils jouirent ensemble, lui au fond de son ventre et elle de la chatte et du clitoris, une tâche de liqueur écrasée sous le nylon des collants 


Les filles de Madame ne dormirent pas cette nuit là, on entendit très longtemps les hurlements de 

Marilyn, parfois de plaisir mais le plus souvent de douleur.


Quand Marilyn ouvrit les yeux il faisait grand jour.

Le sol de la chambre était jonché de dessous souillés. Le drap était couvert de tâches de sang, de sperme et d'autres tâches brunes indéfinissables. Son corps était gluant, son visage recouvert de sperme séché .

Elle portait des mules et un bodyhose en rêsille noir. Sa fine verge retenue par le filet était toujours bardée d'anneau. La bouche de son gland était anormalement béante. Elle avait dormi

sur le côté, le sexe de l'homme toujours plongé en elle. 

Se réveillant à son tour, il se retira d'elle et bondit hors du lit. Une minute plus tard, habillé il avait

 disparu.


La jeune fille qui vint bientôt, ne laissa rien paraître de son effarement.

Marilyn baignée, elle fut de nouveau maquillée. La jeune fille ne s'émut pas devant le spectacle

de sa chatte défoncée, de l'ouverture de la grosseur d'un poing sur ses chairs tendres. Non plus 

de son clitoris bardé d'anneaux et de l'ouverture de son gland largement épanouie .

Au contraire, elle présenta à Marilyn, les larges créoles qu'elle devait remettre sur ses tétons,

le collier équippé d'un anneau à son cou et l'anneau qui perçait son gland.

Marilyn se laissa faire docilement et s'habilla des vétements que lui présentait la jeune fille.


La guépière bleu nuit trop serrée laissait ses seins nus, elle enfila les bas bicolore bleu marine et

noir, le body noir en dentelle transparent qui plaqua les créoles contre ses seins, la jupette en cuir

brun et les mules domina noires à talons de 18 cm qui faisaient rouler ses fesses à chaque pas.


Dans le bureau de Madame, Monsieur était déja là qui discutait joyeusement avec elle. 

Sur un signe, elle vint s'asseoir à côté de lui. Sa jupette remontée laissait voir le haut de ses bas, les attaches dorées des jarretelles, la chair du haut de ses cuisses et les points brillants des

attaches de son body.


- Et bien Marilyn, commenca Madame, tu t'es bien amusée cette nuit, tu as fait un de ces bruits

Marilyn gardait les yeux baissés. Monsieur avait plaçé une main de propriétaire entre ses cuisses,

faisant crisser le nylon des bas.

- J'ai une bonne nouvelle à t'annoncer, Monsieur a décidé que tu partais aujourd'hui avec lui,

je ne sais pas si tu réalises la chance que tu as

- Oui, rajouta Monsieur, vous aviez raison, la faire attendre un an aurait été trop dur pour elle,

 elle a trop besoin de moi.

Disant cela, sa main glissa de ses cuisses à son entrejambe, il détacha les trois boutons pression

de son body. Il soupesa les petits testicules, saisit l'anneau de son gland et tirant légèrement, étala

la petite verge et le gland sur le siège. D'un coup d'oeil machinal et souriante, Madame aperçut

dépassant de la mini jupe le gland de Marilyn et son anneau brillant.

- Néanmoins, ajouta t'il sérieusement, nous sommes d'accord, Marilyn et moi, qu'elle a encore 

besoin de beaucoup de chirurgie

- Ah oui Marilyn ? demanda Madame curieuse

Marilyn hocha faiblement la tête

- Oui beaucoup conclut Monsieur, 

qui pensait aux dents de Marilyn qui avaient faillit blesser son membre, qui s'imaginait bien

en chirurgien opérant son pénis, son anus et puis aussi les testicules. Il soupira

- peut être élargir encore les hanches dit il pensivement

- Ah et puis nous somme d'accord sur des bonnets E, nous allons reprendre les hormones

Cette fois Marilyn releva un peu la tête et regarda furtivement Monsieur

- Oui Marilyn se sent frustrée, elle voudrait donner plus et j'aimerais sa croupe plus

 volumineuse. Qu'elle soit vraiment femme quoi !

Marilyn rebaissa la tête

- Vous allez sans doute faire un beau voyage et un beau mariage en blanc dit Madame

- Peut être peut être dit pensivement Monsieur.

En guise de beau voyage, il pensait à la chambre capitonnée qu'il avait fait préparer pour Marilyn,

où elle passerait la plupart de son temps attachée au lit, les nombreux instruments de torture qu'il

avait fait installer pour elle, la gamme infinie de sextoys qui l'attendait.

Personne ne l'entendrait crier et de toute façon personne n'oserait rien 

dire. En guise de mariage en blanc, il pensait à toutes les fois où, seul invité de la fête, elle

porterait pour lui des collants en voile blanc qu'il déchirerait d'un coup de reins

- Bien il est temps de partir dit-il. Dit adieu à Madame Marilyn.

- Au revoir Madame, murmura Marilyn sans lever les yeux

- Adieu, la corrigea Madame

Monsieur serrait dans sa poche de veste une laisse. 

- Plus tard, pensa t'il, quand ils seraient en voiture, il l'attacherait par le gland certainement. 

Il sourit et se leva

Automatiquement, Marilyn se leva avec lui, son clitoris battant entre ses jambes sous la jupe,

ses talons claquant sur le sol, ses grosses fesses et ses gros seins rythmant sa marche.


Quand ils furent partis, Madame décrocha négligemment son téléphone et bientôt parue une jeune

soubrette qui armée d'un chiffon, effaça les tâches de sang du siège de Marilyn, aux endroits 

qu'avaient touchés son gland et son anus.


FIN

Carole Le Vice alias Lilileet

Le 1er Octobre 2020

lilileet Oct 1 '20 · Voter: 5
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