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Blog de Annafe

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Episode attendue, j'espère qu'il ne vous décevra pas. A vous de me dire si je dois continuer l'histoire....

VENGEANCE BLONDE

 

Ma dernière mission s’étant plutôt mal terminée, ma hiérarchie me proposait de prendre un peu de vacances. Du repos me ferait du bien et pour m’enlever tout stress, je louai une petite maison loin de tout, dans un bois accueillant au bord d’un plan d’eau magnifique. Balades dans la nature, baignade totalement nue (j’adore cette sensation de l’eau sur tout mon corps), course à pied, vtt etc.., je profitai de ce congé pour me refaire une forme olympique dans l’optique de prochaines missions dangereuses.


Pourtant, dans ce service, on n’est jamais totalement en vacances. Ainsi je reçus un appel codé me signalant que je devais servir d’intermédiaire pour un colis destiné à un autre agent (un certain BA254). Cet agent devait récupérer le paquet quelques jours plus tard, en matinée. Il me donnerait un code me permettant de l’identifier.


J’attendais donc mon collègue inconnu. Profitant d’une jolie matinée ensoleillée, je portais une jupe courte blanche rehaussée d’un top de dentelle  rose à fine bretelle laissant apparaitre un mini soutien-gorge de la même couleur. On ne sait jamais. Si je trouvais cet inconnu à mon goût, nous échangerions peut-être un peu plus qu’un simple paquet anonyme. Seule depuis une quinzaine de jours, le manque de caresse et d’action commençait à me travailler.


Vers 10h, j’entendis un véhicule sur le chemin gravillonné. Par la fenêtre, un petit coupé sportif déboucha à l’orée du bois. Je filai dans la chambre prendre mon petit pistolet que je glissai sous ma jupe, dans le dos. Je devais tout de même rester prudente.


J’entendis frapper à la porte et l’ouvris rapidement. Le choc fut énorme.  Malgré de jolies lunettes de soleil lui cachant son regard, je la reconnut aussitôt. Face à moi, la blonde me remit en mémoire l’outrage de ma nomination quelques mois plus tôt. Oui, c’était bien elle qui avait activement participé à mon bizutage dans les sous-sols du manoir. Je reconnus également cette paire de seins qui tendait son chemisier écru. Elle était toute mignonne avec sa petite jupe en jean et ses longues jambes fines.


Ne percevant aucune réaction de sa part, je ne sus si elle me reconnut. Après l’échange de nos codes, je la fis entrer. Elle pénétra nonchalamment dans mon homme, d’une démarche sensuelle.

Je lui offrais du thé qu’elle accepta volontiers.

Nous devisions en buvant nos tasses. Elle était superbe et mon désir frémissait. Elle me félicita pour le choix de ma villégiature. Je sautai sur l’occasion pour lui faire visiter la maison. Nous montâmes à l’étage et je l’a fis pénétrer dans ma chambre. Elle sembla un moment troublée mais, voyant que je lui laissai le passage, s’y infiltra devant moi.

Je fis quelque chose de dangereux, en dehors de toutes les règles de notre service mais j’en avais trop envie. Je remerciai mes patrons d’avoir, sans le savoir, mis cette superbe créature sur ma route. Ma sensuelle vengeance ne pouvait tomber mieux, moi qui me trouvai en manque. Je me plaçai derrière elle et brutalement je lui pris les mains et je les plaquai contre son dos. Elle poussa un petit cri de frayeur qui m’enthousiasma

-         -       Ne t’inquiètes pas ma belle, je ne vais pas te faire de mal.

Elle pouffa la salope

-          -  Je sais

-          Tu sais quoi

-         -   Moi aussi je t’ai reconnu. Elle ne cherchait même pas à se débattre. Elle continuait à parler tout en ricanant

-         Comment oublier une pareille soirée avec une superbe fille comme toi. Je m’en suis donnée à cœur joie et tu as bien reçue, comme vraie une chienne

-          -  Oh oui ma garce, tu as raison, j’en ai reçue. J’ai mis plusieurs jours à m’en remettre. Mais tu sais, je me suis promis une chose

-         -     Laquelle demanda-t-elle ingénue

-          -  Parmi tous ceux qui m’ont défoncé ce soir-là, j’ai remarqué une blondasse bien salope avec  des seins affolants et un clito bien dur

-          -   Je t’ai laissée un si beau souvenir

-          -  Oui ma belle pute et je me suis promis de te retrouver et de me venger

-         --  De te venger…mais de quoi

-          -  De tout ce que tu m’as fait subir ma belle

-          - Je m’inquiète là dit-elle en riant.

-          -  Et même j’ai tellement attendu que ma vengeance va être bien supérieure à ce que j’ai subi

Je sentie sa voix plus inquiète,

-         -  Tu rigoles là

Je la jetai sur le lit

-Non, je n’ai jamais été aussi sérieuse


Je me précipitai vers ma petite valise d’accessoires qui ne me quittait jamais et en sortait une corde fine. Elle se retourna et s’assit sur le couvre-lit en me regardant circonspecte

-        -   Et tu crois que je vais me laisser faire

-          -  Comme tu veux, mais plus tu te défendras et plus je te ferais subir

J’étais déterminée à me la faire bien proprement cette blonde qui me faisait bander déjà comme une folle

-          - Tu ne vas  pas être trop hard si je t’obéis

-         -  Ca va dépendre ma belle. Retournes-toi et tend tes bras dans le dos, mains jointes.


Elle obéit et se laissa lier les mains, puis je la basculai en avant et entrepris de lui ôter sa petite jupette en jean très serré. Elle m’aida en se tortillant les fesses. Un tanga de dentelle noire révélait de magnifiques petites pommes rondes bien douces et dodues. Ce fessier était superbe. Je n’en pouvais plus. Je lui écartai les cuisses et je commençai à la caresser de manière subtile. Elle ne mit pas longtemps à gémir, surtout lorsque qu’écartant son Tanga, je lui mis un doigt en sa chatte de derrière. Elle se trémoussait et commençait à relever son petit cul pour venir à ma rencontre.


Toute excitée, je la retournai, la prit par les cheveux et l’agenouillait devant moi. Ma petite robe blanche soulevée, sans culotte, je lui présentai mon clito droit comme un mat et elle ne fit aucune difficulté pour l’enfourner dans sa bouche fine. Je fus sympa de ne pas lui labourer la gorge de suite mais j’étais tellement gonflée que je la voyais souffrir un peu, dans l’impossibilité de m’avaler totalement. Elle me devait bien ça, je lui fis un peu violence en lui prenant l’arrière de la tête pour la forcer à m’engloutir. Oh je sentais bien qu’elle avait peine à suivre le rythme mais au diable la tendresse. Elle n’en avait pas fait beaucoup preuve lors de mon bizutage. Elle allait se rendre compte du calibre du clito d’Anna cette chienne lubrique.


Elle en bavait, au sens propose comme au figuré, et j’en rajoutai pour qu’elle comprenne bien qui était la Maîtresse maintenant. Plusieurs fois, elle du déglutir et je commençai à voir le rimmel de ses yeux coulés. N’étant pas une tortionnaire, je décidai de changer de jeux. Je lui pris le dessous du menton pour qu’elle se relève et je l’embrassai goulument, ma langue lui explorant la totalité de sa bouche. Elle semblait soumise et se laissa faire alors que je l’entourai de mes bras.


Puis je passai aux choses sérieuses, je la basculai brutalement sur le lit et attrapais ma paire de menottes. Elle se laissa attacher au barreau du lit en fer, comme si elle acceptait cette punition méritée la petite cochonne. Face à moi, son regard mêlait excitation et inquiétude. Lentement, je dégrafai son chemisier et ses deux seins de trav’ hormonée apparurent. Je reconnus avec délice ses tétons bruns qui pointaient en ma direction comme un appel à la succion. Je plaquai mes mains dessus et commençai à lui caresser les mamelons. En même temps, j’apercevais avec délice la bosse sous son tanga noir. Cela redoubla mon désir et j’entrepris de lui caresser la totalité de ce corps souple et lisse offert à ma lubricité.


Je me penchai et attrapai ses tétons pour les mordiller alors que ma main glissait sous sa culotte pour saisir son membre dur. Une belle trav comme elle, humm, cela me plaisait à la folie. Elle fermait les yeux et gémissait doucement. Elle adorait cette jolie blonde et cela décuplait mon désir. Bientôt je m’occupai de son clito avec ma langue. Partout, sa douceur de peau me donnait faim et la sucer m’apportait de merveilleuses sensations. Ses gémissements s’accéléraient. Je lui procurais un plaisir intense, cela se voyait.


Mais trop était trop, finie la volupté sensuelle. Bien que j’aime  lui manger le clito, je devais encore lui faire subir quelques outrages. Je la retournai et ses bras attachés se croisèrent. Je lui descendis, sans ménagement son tanga et aperçus la belle paire de fesses dénudée bien blanche. Ce petit cul manquait de couleur pensai-je en attrapant mon martinet. Et, avant même qu’elle ne s’en rende compte, je lui admonestai un coup sec sur son arrière-train. Un petit cri de surprise se fit entendre de la belle bouche de ma blonde. Je continuai alternant le rythme, force et parfois caresse avec les lanières. Elle se mit à crier plus souvent. Je lui faisais mal, j’en étais consciente mais j’adorais cela. Je voyais rougir ses fesses. Mon martinet laissait des traces et elle souffrait de plus en plus. Des cris strident et fort accompagnaient mes coups brefs.


-         -  Tu peux hurler ma belle, dans ce coin paumé personne ne t’entendra

Puis je repris ma besogne.

Après quelques minutes, je stoppai mes agissements. A ma grande surprise je l’entendis dans un souffle

-Encore me disait-elle.

A la coquine, serait-elle adepte du masochisme. Alors je recommençai et elle hurlait de plus belle.

Je continuai quelques minutes et son cul devenait mûr.


Mais tout cela m’affolait. Voir cette belle blonde bien membrée se tortiller et réclamer encore plus de coups de martinet, je devenais bouillante de désir.

N’en pouvant plus je lâchai le martinet et me jetai littéralement sur elle, en attrapant le gel et une capote sur la table de nuit. Bien couverte, je lui enfilai deux doigts gélés dans ces fesses déjà bien ouvertes et je la pénétrai violemment lui arrachant un gémissement de pucelles effarouchées.


Je commençai doucement avant de prendre un rythme bien effréné car elle m’avait mise dans tous mes états cette blondasse adorée.


Tout cela était si bon, si gouteux, si affriolant. Ma soumise ronronnait de plaisir. Elle m’invita à la défoncée encore plus  en me lançant des « vas-y » entrecouper de « han » très sensuels. Ouh je lui administrai une sacrée baise à ma trav’ enflammée.


J’y allai comme une folle. Comme une sprinteuse impatiente de toucher au but.

Je sentais l’excitation monter mais n’en avais pas finie avec elle.


Je me retirai précipitamment, me levai et la retournai sur le dos. Je vis son regard totalement affolé et empli de désir. J’ôtai la capote et présentai mon clito face à sa bouche en finissant de me masturber. Obéissante, elle l’ouvrit juste au moment où mon désir jaillit avec force. Elle prit tout. Je l’aspergeai dans la bouche mais aussi sur ses joues, ses yeux, ses cheveux. Je me vidai de mon plaisir sur elle, avant de m’affaler sur son corps.

Elle était brulante et sentait la sueur amoureuse.


Nous restâmes quelques minutes sans bouger, respirant fortement. Puis la respiration se calma. Je me levai lentement et allai prendre une douche. Je la laissai attachée sur mon lit et sa nudité m’excitait encore.


Elle resta finalement deux jours et nous organisames plusieurs jeux en duos ma jolie trav’ blonde et moi.


On se voit parfois lorsque nous avons quelque temps à perdre. Elle est toujours aussi délicieuse et nous sommes tout à tour dominatrice ou soumise.

 

 


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