« Le chemin est malaisé. Mes talons hauts ne me facilitent pas la tâche. Le bois est sombre et j’avance difficilement sur cet étroit sentier, le microfilm à la main. Je sais, l’alerte a été donnée. Les services ont failli su ce coup.
Alors que je devrais tranquillement rentrer au volant de ma Mercedes de location, je me retrouve à errer dans cette nuit noire à me tordre les chevilles. Personne ne m’avait prévenu que le fait de soulever le microfilm de son minuscule coffre, camouflé dans le parquet, déclencherait aussitôt une alarme.
Par leur négligence, je dois me débrouiller seule. Pas facile avec ma robe moulante bleu pâle (pas vraiment adaptée à une fuite nocturne). Je stoppe un instant car j’ai entendu du bruit. Je sais qu’ils sont là, tout près. Qu’ils me poursuivent.
J’ai enlevé mes escarpins et je me pique les pieds. Mes bas ne vont pas y résister.
Je suis persuadé de les avoir entendus. Où sont-ils ces barbouzes ? Je me souviens d’en avoir aperçu à la réception, avec leur tête chercheuse qui dépasse la foule. Pas le genre à vous faire des politesses. S’il me tombe dessus, je risque de passer un sale quart d’heure. »
(Deux hommes cachés derrière les arbres se précipitent brusquement sur Anna).
NOTES D’ANNA SUR L’EVENEMENT
Ils m’ont bondi dessus par surprise. L’un m’a carrément balancé une énorme gifle et ma tête s’en souvient encore, puis il me tordit le bras, mis sa main sur mon cou et m’emprisonna de ces muscles gonflés à la testostérone.
- - Où est le microfilm salope !!!. hurla l’autre, un blond pas vraiment commode, en me faisant face.
J’ai serré ma main.
- - Je l’ai perdu en fuyant.
Il me regarda incrédule, alors j’ajoutai d’un ton suppliant de vierge effarouchée
- - Je vous jure
Il arracha mon sac et se mit à genoux. Puis, alluma une lampe troche tout en retournant le contenu de mon sac sur le sol. L’autre me serra de plus belle. Sa main, de la taille d’un battoir à linge, m’étouffait. Il lui suffisait d’accentuer encore un peu la pression et la jolie Anna s’envolerait directement au paradis. J’avoue que la peur traversa mon corps. Mon être glacé fit saillir mes tétons.
A terre, l’homme trouva le leurre. Il se releva
- - Il est là, dans son sac.
- - Alors trainée, tu l’avais soi-disant perdu hein…aboya mon tortionnaire dans l’oreille
- - C’est bon, on l’a récupéré Maxime, dit l’homme blond qui s’était relevé face à moi.
- - Et elle, on en fait quoi chef. Répondit l’autre sans me relâcher.
Je commençais à haleter, manquant d’air.
- - Le patron l’a dit. On l’a tue pas. Un cadavre, s’est difficile de s’en débarrasser
Cette simple phrase me rassura.
- - L’important c’est le microfilm.
Je serrais encore le vrai microfilm dans mes mains moites.
- - Par contre Maxime, j’ai peut-être une idée de récompense, dit le chef dans un sourire qui m’inquiéta. Il ôta le talkie de sa ceinture et le porta à ses lèvres.
- - C’est bon les gars. On a le microfilm. La salope s’est enfuie. Vous pouvez rentrer. C’est un ordre.
Il coupa son talkie et me regarda avec insistance
- - Voilà Maxime. On est tranquille maintenant. On va pouvoir s’occuper de la demoiselle en récompense de nos efforts.
Je compris aussitôt que j’allais devoir me plier aux ardeurs de ces messieurs. Un moindre mal pensai-je philosophe.
Le chef s’approcha et passa sa main sur mes fesses. L’autre me lâcha et je repris ma respiration. J’en profitai pour porter ma main devant ma bouche en toussant et avalais le microfilm. Je n’avais pas le choix. Ils pouvaient le trouver si je le gardai dans ma frêle mimine.
Le chef me caressait maintenant ma modeste poitrine. Pendant ce temps, Maxime prenait lui aussi de l’assurance. Des fesses délaissées par le chef, il passa à mes hanches, ce qui eut pour effet d’exciter mon clito. Il continua à m’entourer de ces caresses jusqu’au moment fatidique. Il s’écarta brutalement en bafouillant
- - Chef, Chef !!!
- - Quoi Maxime
- - C’est pas une fille Chef !!!
- - Quoi !
Aussitôt, en bon chef courageux qu’il était, le blond voulu s’en assurer en soulevant ma robe. Il écarquilla les yeux en voyant le clito dur dépassant de mon string.
- - La vache ! Le patron se tape des travs !
J’esquissai un sourire en les voyant effrayés. Ils reculèrent comme s’ils avaient touché une pestiférée. Ils allaient peut-être me laisser tranquille.
- Mais le chef se reprit.
- - Après tout si le Prince se paie une trav’, c’est qu’elle doit être bonne non ?
Je déchantai en comprenant que là, ma belle, je risquai de subir.
Violemment il arracha ma jolie robe qui virevolta jusqu’au sol me laissant en dessous très coquins.
- - Vrai qu’elle me semble bonne, dit-il goulument.
Il me prit par les cheveux, m’obligea à me mettre à genoux et aussitôt sortie sa queue pour me l’enfiler violemment dans la bouche. Il me fit mal ce salaud et commença à me ramoner la gorge sans aucun égard. L’autre nous regardait incrédule.
Il me l’emplissait brutalement et je faillis plusieurs fois m’étouffer sous ses profonds coups de bite. Il ne me ménageait pas le sagouin et je devais respirer par le nez car son membre me remplissait bien la bouche, la déformant à chaque mouvement. Il touchait ma gorge à chaque coup et je haletai face à ce pilonnage bien profond.
Au bout d’un long moment, qui me parut une éternité, il ressortit enfin sa queue très grosse et, je l’avoue, savoureuse. Violemment, et je dois dire que cela m’excitait fiévreusement, il me prit par les cheveux et me traina sur le côté de façon à ce qu’il puisse attraper ma croupe blanche qui luisait dans la pénombre et sans ménagement, il me pénétra, sans gel, avec une force qui déclencha en moi une douleur enivrante. Je poussai un petit cri plaintif ce qui lui fit redoubler d’ardeur. Mes fesses s’écartaient pour laisser le passage à ce membre bien dodu qui m’enfilait profondément. Douleur mais aussi plaisir s’emparèrent de moi car je savais déjà que j’aimais la tendresse mais également être parfois bousculée comme une chienne à défoncer.
C’est alors que j’aperçus l’autre, le timide Maxime, son dard à la main, occupé à se masturber. Sentir le gros sexe du chef me défoncer me rendait plutôt chaude et pleine d’émoi. Alors j’ouvris la bouche en un appel vers la queue du Maxime qui n’osait pas se rapprocher. Mais les coups du forcené dans mon cul comblaient petit à petit l’espace me séparant de la queue tendue du timide. Finalement, il me l’enfila dans la bouche avec douceur et je le suçais comme on déguste une sucette en me persuadant que finalement, autant se faire souiller jusqu’au bout pour leur faire croire qu’ils m’avaient vaincu. Pendant ce temps, je soufrais, toujours avec délice, de la vigueur de l’autre assaillant qui me bourrait comme une sale pute prête à tout recevoir.
Très vite, le Maxime de son coté, se retira et m’aspergea de son liquide chaud sur mes lèvres entrouvertes et le haut de ma poitrine. Il en avait en réserve ce salaud car mon soutien-gorge en dentelle bleue se retrouvait maculé de foutre.
C’est à cet instant que le chef, dans une série de coups frénétiques, qui finirent de m’écarteler la chatte de derrière, éjacula dans mon cul. Je compris que toute sa semence me remplissait et lorsque sa queue se libéra de mon trou, je sus que mon cul devait ressembler à un tunnel à TGV tellement j’avais la sensation qu’il était béant.
Je sentis ensuite son sperme me couler sur l’arrière de mes cuisses.
Pendant que le gentil Maxime se rhabillait, l’homme me prit par le menton et m’asséna une gifle carabinée qui me fit m’étaler à même le sol sur le flanc.
- - Ne t’avises plus de remettre les pieds ici, sale pute. Sinon, je te finirais au surin.
Puis, il tourna les talons et s’en alla, suivi par son acolyte qui tentait de reboutonner tant bien que mal son pantalon.
Je restai un long moment sur le flanc sans bouger, Sali par les liquides de ces messieurs et blessées dans mon amour-propre. J’avais perdu et il était normal que ces mâles en profitent. La sodomie violente du chef avait pourtant excité mes sens et je ne savais pas si j’en étais heureuse ou dépitée. Finalement, fourbue de cette nuit agitée, je ramassai ma robe, tentai tant bien que mal de m’envelopper avec et repartait, le clito entre les jambes, vers les bois. Pourtant la mission était réussie mais ces messieurs du service allaient devoir patienter un peu avant de récupérer ce putain de microfilm.