Quelle joie que de sentir une chose molle durcir au fur et à mesure qu’elle est malaxée dans la bouche. Chose qui gonfle, gonfle à devenir dure comme un roc. Morceau de viande sur lequel la bouche va et vient ; la langue chatouille la chose pour la stimuler car cette chose à un devoir. Bouche et langue sont condamnées à faire monter la sève. La bouche à la longue commence à ressentir des frémissements puis des soubresauts. Soit la bouche avale la chose jusqu’au pubis et reste ainsi, la langue continue ses chatouilles, soit la bouche reste à mi-course le long de cette hampe de chair, la langue faisant toujours son travail. C’est l’extase et la chose gicle à plusieurs reprises des jets que la bouche s’empresse d’avaler. Quel nectar !! Au suivant.