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Blog de lilileet

Pubs
Un mois et demi plus tard Marilyn se

promenait nonchalament dans le grand

parc entourant la grande demeure de Madame.

Sa large robe d'été légère flottait au vent.

Ses cheveux étaient coupés courts - selon les 

désirs de Monsieur, et cela lui donnait un air

de garçon manqué, son maquillage étant léger.

Mais cela était détrompé dés lors que le regard

descendait sur son corps voluptueux 

La finesse de sa robe ne cachait  rien d'elle.

Sa voluptueuse poitrine était soutenue par 

l'armature métallique du redresse seins qu'elle

portait, redresse seins en dentelle bleu d'ou s'échappaient les larges aréoles sombres.

Ce redresse sein était plutôt un parement d'où

pigeonnait sa poitrine qu'une utilité. Car ses seins gonflés se dressaient fièrement devant

elle, un fort 95C, ses tétons en érection permanente comme des petits penis tendant la

fine robe bleue transparente.

sa taille très fine (73 centimètres) s'accompagnait de hanches larges (93 centimètres)

et elle portait une culotte haute vert d'eau, très fine et transparente, qui bouffait un peu,

car très large (xxl) et choisit ainsi par Monsieur en prévision d'une augmentation  de ses fesses

s'il lui en venait le désir. 

Les injections d'hormones avaient été très ralenties devant leur effet spectaculaire, elle

était en permanence en état de chaleurs. Son très fin pénis libéré maintenant de sa gaine et

de la sonde avait pris sa forme définitive à la suite des interventions chirurgicales, dressée et plaquée contre son ventre, formant une courbe et terminée par la grosse fraise de son gland.

Même quand elle retirait sa culotte, la très fine tige qu'était son pénis restait plaquée contre son

ventre, seul son gland grossissait, pouvait atteindre la taille d'une grosse prune de couleur violette

 tres sombre. A ses pieds aux ongles peints de fines sandales à talons compensés de 12

centimétres. 

Elle s'assit sur un banc avec le souvenir mélancolique de la la très piquante infirmière rousse qui 

s'était occupée d'elle à la clinique. Harnachée de godemichets, elle avait été chargée de vérifier

que la redirection d'une partie de la production des petites olives de Marilyn vers sa chatte était

bien fonctionnelle. Cette rousse était très jolie et elle avait su réveiller la flamme chez Marilyn 

après la succession d'opérations douloureuses qu'elle avait subit. Prenant sa petite verge dans sa main et sucant son gland comme si elle avait sucé une glace, il ne lui fallut pas longtemps pour

le voir enfler démesurément. Répétant l'opération à maintes reprises et avec des godemichets de plus en plus gros, Marilyn sur le dos, jambes écartées, elle l'avait pénétré et exercé des mouvements de va et vient jusqu'à ce que Marylin gémisse et que les énormes godemichets la

trouvent lubrifiée complètement. Pendant une bonne semaine l'opération s'était répétée, Marilyn

et la fille atteignant toutes les deux l'orgasme, celle ci léchant goulument les gouttes de liqueur qui

s'échappaient du méat béant de Marilyn, tandis que marilyn gémissait. Les chirurgiens avaient

injectés du collagène à l'éxtrémité de son méat, formant comme deux petites lévres pulpeuses 

sur une bouche entrouverte, qui attiraient les baisers.

Le résultat étant jugé plus que satisfaisant, les ébats furent interrompus et Marilyn retourna 

chez Madame.


(A suivre ...)

Les yeux maquillés et rougis par le manque de sommeil de Marilyn s'ouvrirent sur la

silhouette d'Agnès, sa tortionnaire. De larges cernes violacées marquaient le visage

suppliant de Marilyn. 

s'asseyant sur le lit, Agnès défit les boucles des sandales de Marilyn, la déchaussa et

lui ordonna de se mettre nue et à quatre pattes sur le lit. C'était l'inspection journalière

de son orifice anal, pour lequel Agnès enfilait de long gants en caoutchouc qu'elle enduisait

de vaseline. Agnès ferma son poing, se glissa derrière elle et lentement introduisit facilement

son poing, puis son avant bras et même un peu plus dans le ventre de Marilyn. Ayant pris soin

de baillonner la bouche de Marilyn avec son collant roulé en boule, elle n'entendait pas ses

 protestation et ses mains et ses pieds étaient fixés aux montants du lit par des menottes,

agités de mouvements convulsifs.

Elle exerca pendant un long moment des mouvements de va et vient dans les entrailles de Marilyn

et cessa alors que les battements désespérés de ses pieds se calmèrent.

Elle enleva ses gants avec un air satisfait en regardant Marilyn dont les larmes coulaient

- C'est très bien Marilyn, nous y sommes presque. Ton corps réagit encore mieux que ce que l'on 

espérait. Dés cet après midi tu pars à la clinique. Tu en as de la chance. Madame va retirer ton

spéculum, je te le reposerai après tes opérations. Si tu pouvais voir ta chatte, ria t'elle, tu serais

très étonnée. On est arrivées en six jours à 27 centimètres. A travers ta chatte, je peux presque

voir ton coeur. Tu es presque prete à recevoir Monsieur ! Bon on finira ca à ton retour.

Ce disant elle défit les liens de Marilyn et ota son baillon. Marilyn alors se laissa aller à ses pleurs

et s'assit pieds nus sue le bord du lit, prete à recevoir son nouveau lot de lingerie qui allait

la torturer à nouveau pour une journée entière, à moins qu'Agnès décide plus tard de changer encore pour des collants, une combinaison encore plus insupportables par le frottement qu'ils

procuraient sur son corps à vif, accentué par le déhanchement des très hauts talons

Agnès fixa la poitrine rouge vif de Marilyn, tendue droit devant elle, ses mamelons turgescents

dressés comme des petits penis de 3 centimètres, frôla les seins et saisit entre deux doigts de

chaque main les mamelons durcis. Elle ne serra pas mais cela fit crier Marilyn.

- Hum fit t'elle en retirant ses doigts, c'est vrai que ca a l'air sensible. Ce disant elle jeta un coup

d'oeil sur le pénis de Marilyn, qui malgré les manipulations désagréables sur son corps etait 

toujours plaqué à la verticale contre son ventre, son gland noirc s'épanouissant toujours à la base

du capuchon de la sonde urétrale, son sexe libéré des collants ressemblant maintenant vraiment

à un champignon, son gland formant un large chapeau sur la tige fine de sa verge.

Anès lui tendit un porte jarretelle, des rose très clair, une culotte et un baby doll bleu tres clair, transparents et ornés de dentelle, ainsi qu'une paire de mules à pompons roses très hautes 

et des remonte seins noirs.

Avec un soupir, Marilyn enfila ces sous vètéments, heureuse magré tout d'être libérée de la torture

des collants et du soutien gorge, se mordant seulement un peu les lèvres quand le baby doll effleura

ses seins.

Quand pour finir elle voulut enfiler le culotte, elle n'y arriva pas. 

-Ah, je me suis trompée dit Agnès, avec ta coupe, tu as dû prendre au moins deux tailles.

 Heureusement Monsieur a tout prévu. et elle sortit d'une commode une culotte taille 40

qui convint merveilleusement à Marilyn.

Puis les deux filles s'installèrent un long moment dans la salle de bains pour le maquillage prononcé

de Marilyn et ses différents traitements hormonaux.

- Madame veut te voir dans son bureau tout de suitet après dit Agnès, tant pis pour le déjeuner.


(A suivre ...)

La semaine suivante se déroula dans la

fièvre pour Marilyn. De fortes bouffées de

chaleur lui montaient constamment au visage

et au bout du sixième jour elle supplia presque

Agnès de lui laisser porter des soutien

gorges plus grand. Elle passa en six jours

d'un petit 95A à un large 95 B !

Et encore, malgré qu'Agnès eut choisit pour

elle de ravissants soutien gorges en dentelle très

légers elle se plaignait dès le jour suivant qu'elle

ne pouvait plus les supporter.

Il semblait qu'Agnès prenait un malin plaisir à la

torturer, en lui présentant au coucher des dessous neufs du nylon et de la soie les plus fins

Ainsi elle ouvrait devant elle de nouvelles boîtes

de collants voiles repassés toujours plus fins que

Marilyn enfilait sans culotte avant d'enfiler une

nuisette neuve elle aussi, longue en voile et bien 

sur elle aussi transparente. Et puis toujours des sandales à brides très fines ou des mules

toujours à talons très hauts. Et à ses

protestations Agnès répondait invariablement

qu'elle devait s'habituer aux désirs de Monsieur.

Ainsi Marilyn passait des nuits très agitées, se

tournant sans cesse dans le lit. Le frottement du

nylon sur le nylon la rendait folle.

Ses seins étaient turgescents et durs

ses tétains comme de petites verges dressées

Sa petite verge restait plaquées verticalement

contre son ventre et le diamètre de la gaine était

reduit de quelques millimètres chaque  jour

Ainsi rendue folle par le frottement des collants

contre sa peau en feu et la nuisette, son petit

sexe n'avait d'autre issue que dans le gonflement

du gland. Or la sonde urétrale qu'elle portait

s'accompagnant d'un capuchon qui lui enserrait

le gland, il n'avait d'autre issue que de s'échapper

sous le capuchon formant ainsi comme la large

corolle d'un champignon, écrasés contre le

ventre de Marilyn par le nylon tendu des collants.

Si elle se mettait sur le dos, la béance de plus en plus large infligée sur son anus par le spéculum, excitée par les collants tendus était également insupportable. 

Sombrant par séquences dans le sommeil elle en arrivait à réver aux grosses mains de Monsieur 

sur ses seins, qui défaisaient les boucles de ses 

sandales, qui la la libérait de la sonde, du 

spéculum, qui rentrait complètement en elle ...

Et elle se réveillait, pour apercevoir sous ses l

longs cils fardés, Agnès, les bras chargés de 

nouvelle lingerie, les yeux fixés sur

ses tétins et son sexe champignon,

gorgés d'un sang noir.


(A suivre ...)


La nuit suivante, Marilyn eut beaucoup de difficultés à trouver le sommeil.

La journée avait pourtant été exténuante, aprés la convocation de Madame.


Tout d'abord un énorme colis avait été livré pour elle, qui contenait énormément

de lingerie et des chaussures principalement à talons, des sandales, des mules, 

des escarpins, toutes rivalisantes de féminité. Quelques paires de ballerines et de

talons plats, toutes plus mignonnes les unes que les autres. Aidée d'Agnès, les deux

jeunes filles rangèrent tout cela dans sa penderie, Agnès prenant l'une après l'autre

les fines culottes toutes transparentes, garnies de dentelles, s'exclamant à chaque

fois devant leur douceur et leur finesse. Les deux jeunes filles se rendirent compte que,

de même que les soutiens gorges, beaucoup étaient beaucoup trop larges pour Marilyn.

De la même façon, les nombreuses guépières et bodies. 

Agnès, qui avait une poitrine plus développée que Marilyn, plaquait contre sa poitrine les

nombreux soutien gorges garnis de dentelles, transparents, parmes ou noirs et elles 

pouffaient devant leur taille.

Marilyn rangea soigneusement, par couleur, par motif, les nombreuses paires de bas et de

collants du paquet, les deux filles s'extesiant devant leur finesse.


Un incident s'était produit alors que le gardien et son plus jeune fils déposaient le

paquet dans la chambre de Marilyn. 

Le gardien devait avoir l'àge de la maison et sa vue n'était plus très bonne. 

Son fils, par contre, était grand svelte et musclé. Petits enfants, Lui et Marilyn avaient

partagés leurs jeux. Il était très beau et avait de magnifiques yeux vert émeraude.

Les hommes n'étant  jamais admis dans cette partie de la maison cela donnait une

tonalité particulière à leur venue.


Marilyn était toute réjouie à la vue de son ancien camarade de jeu, Madame ayant 

décidé qu'ils ne se verraient plus quand il eut atteint l'age de la puberté et Marilyn

celui de la danse et des tutus.


Pierre baissait les yeux, occupé à manipuler la charge et à ne pas la regarder. Agnès

non plus ne le quittait pas des yeux, comme toutes les filles de la maison elle aimerait

bien être très ggentille avec lui.


Or il advint qu'un tournevis s'échappa de la poche du garçon. Toujours souriante,

Marilyn se précipita pour le ramasser. Bien malgré lui, le garçon vit alors son derrière 

alors qu'elle sétait penchée.


Il vit le derrière de la superbe Marylin, à travers le voile d'une combinaison bleue brodée

qui lui arrivait aux chevilles, perchée sur de hautes mules argentées, portant un body

et des collants, il vit la raie de ses fesses aussi clairement que si elle avait été nue.


Il baissa la tête immédiatement, mais ses joues étaient devenues toutes rouges et il

émit un gargouillis quand elle déposa le tournevis dans sa main.

- Bonjour Pierre dit elle


Il releva alors brusquement la tête pour répondre et la regarda une fraction de seconde

dans les yeux

- Hum fit Agnes

- C'est bon messieurs nous allons pouvoir nous débrouiller seules maintenant

Et comme le garçon baissait de nouveau la tête et se retournait pour s'en aller, son

regard se posa sur le petit bijou que Marylin portait sur son ventre, le petit tube de 

son pénis et la petite boule rose qui le surmontait. Il rougit encore violement

et son père le tirant par le bras, sortit.


- Hum fit de nouveau Agnes,

- Espérons que ca n'arrive pas trop souvent ou notre Pierre va succomber d'apoplexie

ce disant elle caressa les fesss de Marilyn à travers les voiles et celle ci se rendit compte

tout à coup de sa nudité qu'elle avait presque oubliée

- Oh fit elle 

- Quelle honte, qu'est ce qu'il va croire. Et elle se mit à sangloter

Agnès alors s'approcha d'un coup devant elle et saisissant dans sa main les petites 

olives de ses testicules et les tordant, asséna fermement

- Séchez tout de suite ces larmes, si cela vient aux oreilles de Madame, vous serez punie

et si cela vient aux oreilles de Monsieur ...

- Marilyn mit sa main aux longs ongles rouges devant sa bouche et s'interrompit

instantanément.


- Bon, dit Agnès il est l'heure de votre deuxième piqûre, suivez moi.

Et Marilyn, grimaçante, la suivit dans le chaloupement de ses hauts talons et des voiles 

bleus de sa combinaison.


L'après midi fut consacré à la pose et au réglage du spéculum.

Malgré les objections de Marilyn, Agnès tourna et tourna la vis

qui en réglait l'écartement bien après que les grognements de Marilyn

se soient transformés en cris et en pleurs.


Ainsi cette nuit là, Marilyn ne put pas dormir.

Agnes la fit coucher nue sous un long déshabillé de voile noir,

et elle se tournait dans tous les sens pour échapper à la sensation intolérable 

que le vent s'engouffrait en elle par l'ouverture béante de son anus.

De plus elle avait bien trop chaud, bien qu'elle fut pratiquement nue


Alors qu'elle l'aidait à retirer ses mules assise sur son lit, Agnès lui fit

observer qu'elle semblait avoir une érection, que cela était sans doute dû

au frottement du voile de son déshabillé sur son anus, sans mentionner les

piqûres dont d'ailleurs Marilyn ignorait la raison exacte, mais qu'il lui était

interdit de se caresser, ordre de Monsieur, qu'Agnès le saurait tout de suite

le lendemain en touchant ses draps de soie et qu'elle installerait dès le

lendemain le mécanisme de chasteté

Les deux jeunes filles attendaient debout 

devant le bureau de Madame.

Bien que celui-ci fut capitonné, elles entendaient

distinctement les éclats de voix de l'homme qui 

se trouvait à l'intérieur avec Madame.

Celui ci se plaignait que la fille avec laquelle il 

était allé lui avait pratiquement coupé le sexe 

en deux avec ses dents.

Il fallut l'intervention de l'infirmière de la maison

qui assura qu'il ne s'agissait que d'un tout petit

bobo et surtout la diplomatie de Madame pour 

que l'homme se calme. 

Enfin après s'être vu offrir gratuitement et pour un 

an l'accès gratuit à tous les plaisirs de la maison,

l'homme parut satisfait et dans un grand bruit de

chaises, la porte s'ouvrit sur l'homme.

Son physique était ordinaire, mais quelque chose

dans l'expression de son visage et de tordre la

bouche entrainait l'antipathie.

Marilyn le reconnut immédiatement comme celui 

que toutes les filles détestaient car il aimait faire

mal et était mauvais payeur.

Malheur à celle qui tombait sur lui et les filles

comprenaient mal pourquoi Madame, si 

intransigeante d'habitude, le laissait encore 

rentrer.

Quand il passa devant Marilyn, il s'arréta net et

son visage devint rubicond quand son regard se

baissa sur ventre et qu'il aperçut le petit tuyau et

au bout la petite excroissance ronde. 

- Et cette merveille cria t'il vous me l'a cachiez ?

Son bras entoura sa taille fine et sa main 

descendit vers son ventre quand ...

- Stop dit d'une voix forte Madame d'un ton sans

réplique. 

L'homme tourna vers elle un regard contrarié 

mais sa main s'arréta net.

- Cette demoiselle n'est pas une pensionnaire,

elle effectue seulement une visite chez nous

Et elle ajouta avec un faux air de confidence

- C'est la fiancée de Monsieur

A ces mots les bras de l'homme retombèrent,

ses épaules s'avachirent, il bredouilla quelque

chose d'incompréhensible et se hâta vers la sortie.

- Ignoble individu murmura Madame

- S' il n'y avait pas ta famille tu nourrirait depuis

longtemps les poissons.


Or c'est ce qu'il advint, et cela les filles l'apprirent

plus tard, occasion d'ouvrir une bouteille de champagne,

car son oncle, immensément riche et qui détenait

par ricochet la fortune de la famille, fut pris dans

un énorme scandale financier qui entraîna à la fois

son suicide et celui plus ou moins librement consentie de toute sa famille.

La fille qui avait mordu le sexe se remit difficilement de la blessure que l'homme lui avait

infligée. En effet elles apprirent que lorsque elle

avait mordu l'homme, celui ci lui insérait une bouteille de champagne dans le vagin par le cul,

lui causant des déchirures graves des parois 

vaginales.


Se retournant tout à fait vers les deux jeunes filles

Madame fronça de plus belle les sourcils.

- A nous deux Marilyn dit elle

- Entrez toutes les deux, je vois que tu à fait

connaissance avec Agnès, ajouta t'elle

- Sache qu' Agnès c'est moi, tu dois lui obéir en

tout comme tu m'obéirait. Tu as compris ?

- Oui Madame, répondit Marilyn avec une petite

révérence.

Quand elle plia le genou en avançant très légèrement

la jambe elle grimaca et étouffa une exclamation

de douleur

- Aïe mes fesses pensa t'elle

- pour une piqûre sans douleur ça fait très mal.

Et trois fois par jour en plus elles veulent me tuer !

- Bien approche Marilyn ou plutôt madame Marilyn.


Marilyn rougit et la tirant par le bras Madame l'attira contre elle. Passant sa main sous la fine

combinaison bleue elle continua

- Je ne comprend pas comment tu as pu lui plaire

ma petite fille, tu n'as pas de fesses, tu n'as pas de

seins, comment as tu fait ?

Marilyn était rouge comme une pivoine et Agnès l'

observait en souriant.

- J'ai une trentaine de filles ici qui sont mieux 

faites que toi, enfin ... 

Et elle retira sa main en laissant retomber la

combinaison.

- Allez, baisse tes jolis collants et vient t'allonger 

sur mes genoux que j'observe ce miracle !

Un peu génée par la présence d'Agnès, Marilyn

s'éxécuta et les collant sur les genoux, elle se

hissa sur la pointe des pieds dans ses mules et

se pencha sur Madame jusqu'à être allongée sur

ses jambes.

Madame souleva à nouveau sa combinaison

et dégraffa le body de Marilyn entre ses cuisses

ce qui libéra ses petits testicules et le bijou de 

sa verge .

Auscultant ses fesses, entrouvrant légèrement 

son anus de ses deux mains, Madame s'exclama

- Un miracle, c'est un vrai miracle qu' il ne t'ai pas

tuée, déchirée en deux, pourtant il m'a assuré 

t'avoir goûtée 

La voix assourdie de Marilyn lui parvint d'en dessous

- Il n'est pas rentré en moi complètement.

Sa voix était un murmure

- Oui je vois que tu es légèrement distendue

répondit Madame en insérant facilement

sa main dans l'anus de Marilyn 

Comme un réflexe, son bijou vint se plaquer sur

son ventre faisant cliqueter les anneaux  

Madame rit franchement et regarda Agnès en

souriant.

- Oui ça n'est pas mal ma chérie. Et lui donnant

une nouvelle claque sur les fesses lui ordonna

de se rhabiller puis d'une voix sérieuse.

- Nous avons encore énormément de travail à

faire, je ne sais pas si tu te rends compte de la

chance que tu as Monsieur est immensément riche

et il a fixé sur toi son choix. Mais si tu n'est pas

prète à temps, sa virilité te tueras je le sais.

Aussi prépare toi la prochaine année va être très

difficile pour toi et tu vas beaucoup souffrir.

Mais au bout il y a la récompense : devenir la

femme de Monsieur !

Dans dix jours tu vas subir une première opération

et d'ici là Agnès t'administrera trois piqûres par jour 

Elle sortit une espèce de cylindre mêtallique

d'une trentaine de centimètres de circonférence

et autant de longueur.

- Ceci est un spéculum réglable grâce au petit 

mécanisme que tu vois là.  Agnès te l'appliquera

dès ce matin et tu le gardera nuit et jour jusqu'à

ton opération. Nous reprendrons ensuite.

Si tu peux atteindre quinze centimètres d'ici là 

et que ta chatte reste ouverte sans le spéculum

nous pourrons vite atteindre des dimensions très

respectables, l'ouverture de tes chairs étant provisoire le but final étant d'assouplir tes muscles.

Elle saisit la petite verge qui pendait sous la combinaison, Marilyn n'ayant pas eu le temps de

ragraffer son body ni de remonter son collant.


- Bien Agnès va retirer ton bijou, dit elle .

Elle saisit à travers le voile l'anneau qui perçait le gland et tira légèrement. Marilyn grimaça.

- Par contre, ajouta.t'elle encore, interdiction de te

donner du plaisir toute seule ou avec les autres 

filles.  Marilyn baissa les yeux et rougit à nouveau.

- Et pour ce faire conclut elle en présentant un

nouvel objet constitué d'un anneau, d'une tige d'une douzaine de centimètres, d'un capuchon et

d'un cadenas

- Tu portas ce mécanisme qu' Agnes va t'installer

Monsieur aura seul la clé.

Ah et il vient te voire dans deux mois

Allez file !


(A suivre ...)
































Marilyn se réveilla en sursaut,

affolée : elle avait trop dormi,

elle serait en retard pour son service,

elle allait se faire disputer par les filles

où pire, par Madame.

Et puis il y avait cette fille dans sa

chambre, en train d'ouvrir les

rideaux et grand la fenêtre.

Cette jeune fille elle l'avait vue

dans l'ombre de Madame depuis

quelque temps et cela ne présageait

rien de bon.

Elle se dégagea promptement  des

draps et s'assit sur le bord du lit pour

enfiler ses chaussons.

L'autre fille était toujours là et

la regardait curieusement, immobile

- Et bien, ne reste pas comme ça

passe moi donc ma petite robe

noire celle avec le tablier blanc, une paire

de bas résille noire autofixants et mes

ballerines noires.

La jeune fille ne bougea pas

- Madame m'a dit que dorénavant je serais

à votre service. J'ai déja vos vètements 

dit elle désignant ce qu'elle tenait sous son 

bras

- Madame a dit que vous deviez passer dans

son bureau dès que vous aurez fait votre

toilette et que vous serez habillée.

Ce disant elle eut un regard appuyée sur 

l'entrejambe de Marilyn. Sur sa culotte

de nylon blanc fleurissait une petite tàche

de sang.

Soudain tout lui revint, le géant, ses mains sur

elle, son énorme sexe et tout le reste.

Elle resta assise le yeux baissés longtemps

et finalement regarda l'autre jeune fille qui ne 

bougeait pas non plus. Marilyn ne savait pas

si elle devait rire ou pleurer, n'avait t'il

pas dit qu'elle était sa femme, qu'il

l'emmènerai avec lui dans un an

tout en lui faisant ...

Elle se leva d'un bond dans sa courte

nuisette rose et regarda son derriére 

dans le grand miroir. Une grosse

tàche s'étalait sur ses fesses,

comme du comme du ... 

sperme séché oui c'était cela, comme

sur la lingerie des filles qu'elle nettoyait

d'habitude. Oui cela aussi, elle s'était 

soumise à lui, lui avait dit je suis ta femme.

L'autre jeune fille s'approcha encore et lui tendit ses

vetements. Elle regarda, ne vit que

de  la lingerie et le dit à la fille

- Oui répondit celle ci

- C'est Madame qui a choisit elle même

- Oh dit Marilyn et elle ne discuta plus

- Elle se mit nue, enfila le body

en voile noir à manche longues,

les très fins collants voile gris souris

et des mules dorées très hautes

dont les talons aiguilles très fins étaient

de couleur argentée. Et puis une très

fine combinaison très longue et d'un bleu

très clair.

Elle se regarda à nouveau dans la glace

A ses côtés la jeune fille avait les yeux brillants

- Vous êtes très belle dit-elle

Marilyn,elle, se voyait nue dans la

glace ou plutôt plus que nue, offrant

aux regards ses petits seins naissant et

surtout ce bijou doré et ces anneaux qui

ornaient son clitoris et au bout, 

son petit gland rose.

Et Madame voulait qu'elle passe dans

son bureau ...

- Nous devons encore faire notre toilette, peigner

nos cheveux et nous maquiller, 

nous devons nous dépécher, nous

allons être en retard dit la jeune fille

- Ah et puis je dois vous faire une petite

piqûre avant de partir

Et devant le regard atterré de Marilyn

- Ne vous inquiétez pas c'est presque 

indolore, c'est dans les fesses.

Autant la faire tout de suite, c'est

mieux d'espacer, une le matin, une à

midi et une le soir. 

- Quoiii cria Marilyn les yeux exorbités

toujours face au miroir, son

mouvement de recul faisant

tressauter le bijou de son clitoris

contre la combinaison bleue

- C'est médical, dit la fille, c'est pour

votre bien ... et puis c'est un ordre

de Madame. 

Marilyn sursauta,"Madame", surtout

ne pas risquer sa colère

- Il faut nous dépêcher répèta l'autre fille

Résignée, Marilyn la suivit dans la salle

de bains.


(A suivre ... )










Le lendemain, l'homme était dans le bureau de Madame.

- Tout s'est bien passé avec Marilyn ? Demanda t'elle d'une voix

respectueuse mélée de crainte, ses yeux  brûlant

sous le regard de l'homme

- oui oui dit-il d' un air songeur. Et il ajouta 

- ... A peu près

C'était le seul homme qui inspirait la crainte et le respect

à Madame

- Lili ( ainsi que les filles appelaient Marilyn) n'a

pas été gentille ? Demanda t'elle anxieusement

- si si elle l'a été, cependant je doute qu'elle soit 

prete dans douze mois

- oh ne vous inquiétez pas elle le sera Répondit 

elle d'une voix pressée

- hmhm mais plus de potions, je veux des changements permanents tonna t'il

- ne vous inquiétez pas, les rendez vous de 

chirurgie sont pris pour l'écartement du bassin et

la suppression de la dernière paire de côtes.

- Oui oui c'est très bien n'oubliez pas le port

intensif du corset, je veux que ma femme puisse

m' accueillir complétement mais qu'elle puisse

bien me sentir

- Bien sûr Monsieur s' empressa t'elle d'ajouter

autre chose ? êtes vous fixé sur la taille des seins ?

- oui, un bonnet C conviendra très bien mais 

je ne veux pas d'implants je ne pense pas que vous y arriverez

- nous y arriverons, nous y arriverons, elle commence dès aujourd'hui son traitement hormonal accéléré, c'est un cocktail d' habitude

réservé aux juments et aux génisses, il est même

possible qu'elle produise du lait, gloussa t'elle

- cela serait parfait dit il d'une voix gourmande

- et bien sûr parmi les effets secondaires il y

aura une forte augmentation de son derrière

et des chaleurs beaucoup plus intenses

- oui oui tout cela est bien mais je veux qu'elle

garde ses longues jambes de biche

- j'y veillerai. Autre chose ?

- oui ses lèvres, encore plus charnues

- Cela va de soi. Autre chose

- son anus, beaucoup plus accueillant

- Avec l'écartement chirurgical de son bassin

elle sera prète à vous accueillir. Je lui ferai

porter en permanence cette année un spéculum

à élargissement progressif. Cela plus le 

traitement hormonal, je vous promet qu'elle

s'ouvrira comme une fleur à la moindre caresse.

Et cerise sur le gateau, le chirurgien redirigera

une  partie de la petite production de ses olives (elle gloussa)

vers son sphincter afin qu' elle lubrifie rien qu'en

vous voyant !

- parfait parfait acquiessa t'il en hochant la tête.

- autre chose ? Continua t'elle en le regardant par

en dessous. Une punition ?

Il prit l'air songeur

- hum, oui c'est désormais une femme, elle doit 

s'habiller et se préparer seule. Plus de jeux

saphiques avec les autres filles. Et chasteté

complète, je vous fait confiance

- vous pouvez Intervint elle

- pas de sorties autre que pour ses traitements ...

et pas de tenue habillée. Que de la lingerie.

Je veux qu'elle s'habitue à sa vie future.

Quand à l'autre fille je vous dédommagerai

- puis je demander ce que vous allez faire d'elle ?

Risqua t'elle ?

- Non vous ne pouvez pas tonna t'il mais je vais

quand même vous le dire.  Les hommes qui

l'ont emmenée hier après s'être servi d'elle

l'ont déposée sur le navire d'un de mes amis.

- Mon dieu souffla t'elle

-Elle va pouvoir jouer le rôle d'un homme

si c'est ce qui lui plaît

Malgré elle elle ne pu s'empécher de frémir

en pensant à ce fameux navire où opérait

un chirurgien sadique dément pour le plaisir

de très riches clients dégénérés au cours de longues croisières...

Une dernière chose, sa petite verge. Je crois que

le diamètre de son carapaçon est réglé sur deux centimétres, je veux que vous le rameniez 

progressivement à un centimètre et que cette 

transformation soit permanente. Pas plus de

douze centimètres en longueur et que toute son

excitation soit concentrée dans sa jolie fraise rose.

-  Madame crut voir le joli gland rose danser dans les yeux de l'homme. Cela sera facile affirma t'elle

- Et bien rendez vous dans deux mois dit il. En attendant attendez vous à de grosses livraisons de lingerie pour elle



( A suivre ...)









 




Marylin était allongée sur le grand lit couvert de satin pourpre, son long déshabillé transparent autour

d'elle, sa tête reposant sur son bras replié, les larges créoles brillant à ses oreilles. Ainsi couchée sur

le côté, ses pieds reposaient l'un sur l'autre, ses jolis pieds prisonniers des sandales d'été à talons

compensés très hauts et des bas de nylon noir. Sur ses cuisses les huit jarretelles de la guépière

tendaient fermement les bas. Sur les brides des sandales était imprimé un motif floral pastel

qui par le contraste avec les dessous de Marylin, ajoutait une touche innocement perverse.

Ses petits seins naissant dépassaient du haut de la guépière, dans un nuage de dentelle noire.

Elle tournait nonchalamment les pages du magazine, s'arrétant parfois pour détailler la tenue d'un

des mannequins. Une fois, alors qu'elle détaillait depuis un petit moment une image, sa main libre

descenit jusqu'à sa taille, ses doigts fins glissèrent sous la dentelle du déshabillé et ses longs

ongles rouges s'aventurèrent sous la culotte de nylon noire qui ne cachait rien de son intimité.

Elle palpa les olives de ses testicules encapuchonnés, reposant bien à l'abri sur le gousset au fond

du slip. Des petites olives qu'elle caressa machinalement de ses ongles. Elle ne sentait plus de

douleur, juste une caresse. puis sa main remonta le long du fin tube qui contenait sa verge, au 

bout l'anneau, puis le gland que trois ongles frolèrent et enfin l'anneau qui traversait la chair de son

gland et son urètre. Son geste était machinal et le gland tout rose de la grosseur d'une grosse

cerise. Tout aussi machinalement, elle dégagea son gland du slip et sa main remonta, offrant à

un éventuel spectateur le spectacle de cette file magnifique allongée dans sa parure et le point

brillant au bas de son ventre, sous le déshabillé transparent, de l'anneau relié à une cerise de chair

rose.

Elle tourna lentement d'autres pages et après les mannequins femmes se furent les hommes, des

athlètes en maillots de bains, pleins de muscles et d'abdominaux, les pieds dans le sable dans

des attitudes volontaires ou lascives. Et sa main redescendit et à travers la fine résille du

déshabillé elle caressa plus longuement son gland, les yeux fermés, sa bouche pulpeuse 

entrouverte. Celui-ci gonflait légèrèment quand soudain la porte s'ouvrit. Elle eut à peine le temps 

d'écarter sa main qu'il était là !


Quand il entra dans la chambre il occupait tout l'espace de clarté derrière lui. Il referma la porte.

Il était colossal, son torse, ses abdominaux, ses cuisses, ses biceps, tout était muscle chez lui

en plus des dimensions démesurées. Ses cheveux blancs étaient coupés raz, ses traits taillés à 

la serpe, son corps et son visage couvert de cicatrices. Ce qui frappait en même temps chez

lui c'était ses yeux, d'un gris qui n'existait pas.

Il était torse nu, avait une serviette autour de la taille et des espèces de babouches aux pieds.


Il s'avanca en souriant, son regard soudain éclaré par l'éclair brillant au ventre de Marilyn, ses

dents se sérrèrent, il la regarda dans les yeux et vint s'asseoir sur le bord du lit. 

Elle baissa ses yeux de biche, honteuse mais irrésistible dans sa beauté.

Elle releva un instant les yeux, ses yeux noisettes, ses longs cils noirs papillonnant, ses paupières

pastel pleinement découvertes.

- Tu sais qui je suis ? dit-il

- Non répondit elle timidement

Au fond d'elle même elle avait l'image de ce colossal fantôme, penché sur son lit quand elle était

enfant, ce dos gigantesque aperçu maintes fois dans le bureau de Madame.

Elle ne savait pas mais elle avait toujours su. Tous ces cadeaux, toute sa garde robe, sa lingerie

la plus intime, ses très nombreuses paires de chaussures, ces règles qui prévalaient à sa 

croissance ...


Aussi ne fut elle pas étonnée quand il lâcha ...


- Ton mari


Son coeur battait la chamade, la plupart des filles ici révaient d'un mari et elle ...,

elle appartenait depuis sa naissance à cet homme, qui la façonnait, selon ses désirs.


Puis il posa sa grosse main sur sa hanche, elle releva les yeux, lui sourit timidement,

lui avait le regard fixé sur son ventre, sur son petit bout de chair rose. 

Il lui prit la main, doucement, sans détourner un instant son regard, et  la glissa sous la

serviette.

Elle sursauta, ce qu'elle touchait à présent n'avait rien à voir avec son petit tube. 

C'était énorme, elle faisait difficilement le tour de son membre avec sa petite main.

Il la guida le long du mât et elle rougit violement : interminable, couronné par une masse

qu'elle n'osa pas comparer à son petit gland. puis il ramena sa main à la base de son membre

et là lui fit palper, soupeser, deux boules grosses comme des oranges. Sa main tremblait,

elle voulut la retirer mais il lui murmura, 

- caresse moi


Elle avait été préparé à cela toute sa vie semblait il, elle caresssa doucement le gigantesque

membre qui sembla s'allonger et grossir encore sans qu'il fit un mouvement si ce n'est son regard

posé sur son corps de déesse. Elle caressa de ses ongles les énormes testicules et il grogna.


Il jeta un regard rapide à ses petits bourgeons de seins naissants et ajouta d'une voix grave

- Tu as dix sept ans, aujourd'hui du devient une vraie femme. Dans un ans tu aura de beaux

seins, des vrais fesses, des vrais hanches. Ce disant, il passa sa main sous le déshabillé et sous

la culotte sur ses fesses. 

- Tu restera toujours aussi sexy et désirable qu'aujourd'hui, j'y veillerai.

Sa main taquinait le chapelet d'anneaux et son doigt effleura son anus entrouvert.

Il sourit légèrement et y inséra complètement son énorme index. Elle eut un réflexe de surprise 

mais ne ressentit pas de douleur.

Il la regardait dans les yeux, se courba sur elle et l'embrassa sur la bouche. Sa langue fouillait

sa bouche, la remplissait complètement, l'étouffait.

Il retira le doigt de son anus et dans un même mouvement fit glisser la culotte à ses pieds.

Alors il sembla noter ses sandales et se redressa.

s'asseyant sur le bors du lit à ses pieds, il posa les sandales sur ses genoux et les défit lentement.

Elle n'osa pas retirer ses pieds prisonniers des bas, il amena leur plante à son visage et les

lécha longuement, puis lécha ses orteils. Malgré elle, elle avait fermé les yeux et gémissait

doucement.


Puis il se leva complètement, alla ramasser les mules noires aux talons aiguilles interminables

et en chaussa les pieds humides de Marilyn, ses ongles rouges bien visibles sous les bas voiles 

noirs et découverts dans les mules.


Il fit tomber la serviette qui lui recouvrait la taille et sn sexe monstrueux apparut, horizontal.

Marilyn avait les yeux écarquillés, ne pouvait en détacher son regard et  ses tempes

et son coeur battaient à tout rompre


Alors il prit sur une petite table une très fine chaine d'or, s' approcha d'elle et d'un coup la

clipsa sur l'anneau qui perçait la chair tendre de son gland. Il la fit se retourner, se mettre à

quatre pattes et attacha l'autre extremité de la chainette  à une très fine chochette fixée au

montant du lit. La chainette était presque tendue, le petit membre de Marilyn pendant

verticalement. 

L'homme s'excusa de lui imposer l'inconfort du carapaçon mais que rapidement, quand son

clitoris aurait prit sa forme définitive telle qu'il le souhaitait, il serait libéré ainsi que ses petites

olives, qu'il couvait amoureusement des yeux.


Puis il se plaça derrière elle, lui dit de relever les fesses et d'écarter un peu les jambes.

Alors sa grosse langue lui lécha l'anus et s'inséra profondément dans ses fesses. elle sentait

frémir son petit sexe mais ne voulait pas faire sonner la clochette et se mordit les lèvres.


Car c'eut été un signal d'abandon, comme dire à l'homme, je suis ta femme, je t'appartiens.


Mais il continuait son lent travail de préparation, mouillant copieusement ses chairs intérieures,

élargissant encore de ses deux mains l'entrée de son anus.


Puis soudain il s'arréta, elle se mordit plus fort les lèvres.


Il la saisit par les hanches et elle entendit un gros "Plop" c'est tout. Il s'était arrété net.

Elle sut qu'il l'avait pénétrée de son énorme gland. Elle ressentit une grande chaleur, ses joues

la brulèrent et la clochette sonna.


Les lèvres de son anus palpitaient de façon incontrolable autour du gland de l'homme, il

grogna et finalement se retira.


Elle savait qu'elle lui appartenait, qu'il ferait d'elle sa femme et qu'elle ferait tout pour le satisfaire.


Il détacha l'anneau, la fit se retourner sur le dos et lui dit 

- tu le sais ma chérie maintenant, tu es à moi. Je ne t'ai pas vraiment pénétrée, gardons cela 

pour notre nuit de noce, dans un an. en attendant je vais m'occuper de toi


Ce disant il avala le petit gland et la petite verge. La verge de Marilyn était dressée et son

gland avait atteint la taile d'un gros abricot de couleur presque pourpre. Il ota les petits

carapaçons de1.9 cm de ses testicules, mais ceux ci ne reprirent pas leur taille initiale.

Enfin par des coups de langues et de rapides va et vient il l'amena au bord de l'orgasme.

Elle s'était cambrée, les quinze centimètres des talons de ses mules reposant sur le lit.

Tout en gardant son membre dans sa bouche, il inséra sans effort son poing dans l'anus de

Marilyn. Elle cria et un fin jet de sa liqueur mélée de sang se répandit dans la bouche de l'homme

qui l'avala goulûment.


Dans le même temps que Marilyn criait, tout en haut  de la maison, une oreille bien exercée aurait

pu entendre les cris de la maitresse de Marilyn. Mais sa voix était étouffée par ses bas et sa

culotte dans sa bouche. Cinq brutes s'acharnaient depuis plusieurs heures sur elle. 


L'homme ordonna à Marilyn de le prendre dans sa bouche. 

- A toi femme

Elle s'étouffa, faillit s'évanouir, mais comprit qu'elle devait le faire éjaculer rapidement.

Elle darda donc sa petite langue dans le méat de son homme, caressa ses énormes bourses

bouillantes et fit des mouvements de va et vient le long de son mat qui entrait à peine à moitié 

dans sa bouche. 

Il grogna, se cambra et éjacula dans la gorge de sa promise.

- Avale femme dit il


Et elle eut l'impression de gober l'équivalent de cinq gros oeufs.


Il lui fit alors un petit baiser, lui donna une claque sur les fesses et la laissa là


Pantelante


(A suivre ...)

La soirée se déroula comme prévu, c'est à dire misérablement pour elle et délicieusement pour le 

vieux barbon qu'elle appelait mon oncle.Elle n'eut pas longtemps à attendre, étendue sur le grand lit de la chambre dans laquelle elle venaitrarement et qui servait aux ébats des filles de la maison, le plafond couvert de miroirs, les draps de satin, la couleurs rose dominante. Elle était évidement très intimidée, c'était seulement la deuxièmefois qu'elle était allongée sur ce lit. L'oncle avait dépensé une vraie fortune, il faudrait qu'elle soittrès gentille avec lui, lui avait dit sa mère en lui donnant un baiser. Elle y repensait avec une moueboudeuse - comme si elle n'avait pas été très gentille la fois précédente, quand cette autre oncle - pas plus jeune - avait crevé ses fins collants avec ses ongles trop longs en lui caressant l'anus etinsérant son doigt profondément dans sa chatte. Elle avait eu un cri de douleur et une expression de colère.Mais elle s'était pinçé les lèvres et n'avait rien dit qui eu pu blesser le vieil homme qu'elleconnaissait depuis toujours et qui avait toujours été si gentil avec elle. Il avait l'air si ravi,d'entendre son cri semblait avoir augmenté son plaisir, elle le laissa caresser son clitoris à traversla soie des collants, le lécher et l'embrasser. Elle en fut soulagé et cela dû se voir le voile se tendanten se soulevant légèrement, elle soupira longuement, le doigt de l'homme toujours profondément inséré en elle, ses chairs intimes se contractant autour de lui.Sous le slip kangourou blanc de l'homme elle vit rapidement s'élargir la tâche qui signifiait qu'ilavait fait son affaire. Aisi donc ce soir elle était étendue sur le grand lit, feuilletant un magazine de mode en attendant son oncle, son long déshabillé s'étendant en corolle autour d'elle, a travers lequel on pouvait voir la guépiere et les longs bas noirs qu'elle portait, ainsi qu'à travers la culotte de nylon noir lebijou brillant qui enserrait son clitoris et les fins anneaux de son anus qui lui faisaient comme uncollier. La douleur qu'elle avait ressentie avait disparu, sa chatte était même largement dilatépar la magie des potions.Ses pieds fins étaient chaussées de hautes sandales d'été compensées - caprice de l'homme audernier moment, ses mules à talons aiguilles reposant sur le sol, le rouge de ses ongles de piedsvisibles sous le renforcement des bas noirs si fins.


(A suivre ...)

VSa mère et la vieille femme avaient refusés catégoriquement qu'on lui fisse porter quoi que se fut

sur sa poitrine bourgeonnante avant ses 16 ans, la croissance de ses seins étant très liée à sa

puberté, très contrôlée par les nombreuses potions qu'on lui faisait boire et sans lesquelles 

par exemple il eut été impossible de mettre en place le bijou de clitoris et les carapaçons 

minuscules de ses ovaires.


Elle courut jusqu'à sa chambre où une fille préparait en s'extasiant les délicats vétements que le

vieux Monsieur souhaitait la voir porter, plaquant sur corps voluptueux de femme épanouie, le long

déshabillé parme de nylon transparent. Elle rit aux éclats en voyant apparaître Marilyn courant, 

son long clitoris orné battant sur son ventre.

- Ah te voila, ma belle chérie, regarde ce que le vieux cochon veut que tu portes cette fois, c'est sûr

 qu'il ne va rien rater de toi et je parie que ton clito ne viendra plus battre ton petit ventre une fois

 que tu l'auras enfilé, regarde cette finesse, touche cette douceur

dit elle en prenant la main de Marilyn et la posant sur le fin déshabillé.

Marilyn rougit.

- y a t'il des collants comme l'autre fois ? demanda t'elle

- haha pas cette fois, toujours cette obsession du transparent qu'il a, mais ils étaient vraiment trop

 fins l'autre fois, c'est à cause de ses grosses pattes qu'ils se sont déchiré

Marilyn rougit encore

- Mais non ma toute belle, ce n'est pas de ta faute, une fille dans de la lingerie comme ça c'est

 normal qu'elle s'excite. Et il le sait bien le vieux cochon. Viens ici que je te montre la suite et

 Marilyn venant tout contre elle, elle l'entoura de son bras et posa la main sur ses fesses


(A suivre ...)

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