Profitant d’un
voyage professionnel d’une semaine sur Lyon, et comme j’en avais l’habitude,
j’en profitai pour me travestir seule dans ma chambre d’hôtel. Être marié et
aimer se travestir est compliqué et nécessite une organisation pour pouvoir
vivre mon fantasme secret.
En navigant
sur le web, j’avais vu qu’une soirée « Travestis » était organisée,
le jeudi soir, dans un club échangisme, qui par hasard se trouvait non loin de
mon hôtel. L’envie d’y aller était grande, mais je savais que je n’oserai
jamais m’y rendre. Surtout que l’entrée était réservé aux travesties, et aux
autres membres. N’étant pas membre, cela m’obligeait de me rendre à cette
adresse en travesti, chose que je n’avais jamais faite, et n’oserai jamais.
Idéalement,
j’étais prête à aller à cette soirée, mais en homme et de pouvoir me travestir,
une fois arrivé sur place.
L’envie
d’aller plus loin dans mon fantasme secret, me fit téléphoner à ce club pour me
renseigner.
Je téléphonais
donc et tomba sur un homme à qui je demandais si il était possible de venir à
cette soirée en homme et que je puisse me travestir à mon arrivée à l’intérieur
du club. Il me répondit que c’était envisageable, si j’avais une tenue
correcte, et que par contre je devrais payer le prix d’entrée « homme
seul » et non pas l’entrée gratuite pour les travestis.
J’étais donc
renseignée et donc maintenant à moi de me décider de franchir le pas ou
non !
Le jeudi soir
arriva, je rentrais à mon hôtel après ma journée de travail et décidais de me
rendre à cette soirée. C’était à partir de 22 Heures, j’avais le temps de me
préparer.
Je décidais de
parfaire mon épilation, et de déjà mettre mes sous-vêtements féminins,
guêpière, bas et string dentelle, sous mes vêtements d’homme. Je pris mon petit
sac de travail, dans lequel je mis ma perruque, talons, trousse a maquillage,
robe… bref tout ce qui me permettrai de terminer mon travestissement une fois
arrivée la bas.
L’heure d’y
aller arriva, je quittais l’hôtel, pris un taxi et arriva devant le club. Je me
présentai à l’entrée, payais mon ticket d’entrée en expliquant, l’échange
téléphonique que j’avais eu. On me confirma que je pouvais me rendre dans une
salle « vestiaire « pour me changer.
Je fus
rassurer en entrant dans cette pièce, de trouver une autre personne dans ma
situation, elle aussi en train de s’habiller. J’engageai la conversation et
expliquai à cette personne que c’était une première pour moi et que son aide
surtout pour me maquiller me serait extrêmement agréable. Sympathiquement, elle
m’aida à me maquiller, et même me verni les ongles… J’enfilai ma petite robe
noire laissant apparaitre mes bas, je chaussais mes talons 10 cm. Je me
regardai dans la glace… humm je me trouvais assez présentable, et crédible.
J’étais donc
un peu plus rassurée et moins stressée ayant pu me faire déjà une amie.
J’entrai donc
dans l’espace Club, et me dirigea directement dans un coin du bar. Celle qui
m’avais aidé, elle partit danser sur la piste et étant une habituée se retrouva
rapidement avec son groupe d’amis. Je restais seule, mais ce n’était pas grave,
j’avais franchis le pas, j’y étais !
Je restais un
bon moment seule dans mon coin de bar à boire mon verre, je faisais un peu
tapisserie.
Finalement, un
homme de bonne éducation vint vers moi me demander si nous pouvions échanger et
boire un verre ensemble. Je répondis bien sur oui, et lui expliqua rapidement
ma situation de travesti secrète et débutante. Que c’était ma première fois en
public, etc…
Il était très
prévenant et compréhensif. Il avait environ la cinquantaine, il était divorcé
et habitait Lyon.
Après quelques
minutes passés à échanger, il m’invita à aller sur la piste de danse avec lui.
J’hésitai lui expliquant, que je n’avais pas trop l’habitude de porter des
talons hauts et que je n’étais pas très à l’aise. Il m’invita alors à danser un
slow, avec lui.
« Cette
danse est lente et je vous tiendrai ! « me dit-il.
J’acceptai et
me retrouvais collée à lui, sur la piste de danse. C’était très agréable. Très
rapidement je senti qu’il était en érection, je sentais son sexe gonflé contre
moi… sensation agréable et un peu affolante.
« Je vois
que je vous fais de l’effet », lui dis-je !
« Oui, je
vous l’ai dit, j’aime la femme telle que vous et votre côté débutante me plait
beaucoup ! »
Il approcha
son visage de moi pour m’embrasser, je me refusai. Il m’embrassa alors dans le
cou, tendrement et lécha mon lob d’oreille…
Je me laissai
faire, c’était excitant, tellement excitant que c’est moi qui pris l’initiative
de l’embrasser sur la bouche en y mettant la langue. Il répondit à cela e
m’embrassant fougueusement et en caressant mon corps.
Humm, j’étais
une vraie femme entre ces bras.
Le slow se
termina et il m’entraina sur un canapé dans un petit recoin du club. Nous
discutions, échangions des baisers, et des caresses. Ma main caressa plusieurs
fois son sexe à travers son pantalon, j’aimais la situation.
Il me dit que
je pouvais aller plus loin, si je le souhaitai. J’ouvris donc sa braguette et
glissa ma main aux ongles peint rouge carmin, a l’intérieur de son pantalon et
commençai à caresser son sexe…
J’adorai, et
il se laissait faire en poussant quelques gémissements. Son sexe se tendait et
durcissait, j’avais envie d’aller encore plus loin et je le voyais lui aussi.
Nous étions
dans un Club échangiste, le lieu le tolérait… je sorti son sexe et approcha ma
bouche pour commencer à le lécher, puis sucer.
Ma main
montait et descendait le long de cette verge tendue, ma bouche suivait le
mouvement, léchant, aspirant, suçant… Je m’appliquais au mieux afin de ne pas
le décevoir.
Mon compagnon
appréciait me félicitant pour mon « savoir-faire »
Humm ! J’adorai
la situation, j’étais travesti, en train de m’occuper d’un homme en public.
Au bout d’un
moment, il prit ma tête entre ses mains, m’embrassât fougueusement et me
proposa :
Je n’habite
pas très loin, voudrais tu venir boire un verre chez moi ?
Je répondis
oui, sur le principe, mais lui fit part de mon inquiétude de sortir a l’extérieur
dans la rue, travestie ! Même si il était minuit, je ne sais pas si j’oserai.
Il me rassura,
sa voiture était stationnée tout près et il serait à côté de moi ! J’appréciai
sa gentillesse et son coté gentlemen rassurant ! Je pris mon courage à
deux mains et le suivi.
Je marchais
pour la première fois dans la rue au bras d’un homme, ma démarche n’était pas
très sure, 10 cm de talon oblige. Je me retrouvai a côté de lui dans sa voiture
et ne pu m’empêcher de caresser son sexe en roulant, il appréciait !
Arrivé chez
lui, il m’offrit un verre, assis dans son salon, il commença à me caresser et
me déshabiller. Je me retrouvai rapidement, en guêpière, bas et talons devant
lui. Il ôta mon string
Il caressait
mon clitoris pendant que ma bouche avait retrouvé son sexe, et je me régalais.
Je l’entendis
me dire, j’ai envie de toi Sophie !
Cette phrase
que j’attendais, m’affola un petit peu, mais je lui avais avoué que je n’avais
jamais été sodomisée, et il était très prévenant et rassurant.
Il m’entraina
dans sa chambre et me coucha sur le lit, il me caressa longuement, puis pris du
gel lubrifiant et commença à me caresser et doigter délicatement. Il
m’embrassait dans le cou, je sentais son souffle sur ma nuque, il était très
délicat, je me laissais faire et gémissais.
Il me fit
mettre à quatre patte et je le senti ce sexe que j’avais longuement sucé venir
derrière moi, je senti son gland se poser à l’entrée da ma chatte, et par
pression douce et lente me pénétrer. Son sexe entra lentement en moi, j’étais
dilatée, en confiance, il me pénétra totalement. J’étais prise, pénétrée, et ses
vas et viens devenaient source de plaisirs.
Il caressait
mon sexe qui restait tout petit tel un clitoris, en même temps, la sensation
d’être femme était totale.
Je l’entendis
et senti jouir en moi…. Son sexe gonfla et je senti les jets de son jus gicler
en moi.
Je me
retournai et l’embrassai goulument avant, de lui ôter son préservatif et de
prendre son sexe dégoulinant dans la bouche et de me régaler …
Je quittais mon
ôte ½ heure plus tard et rentrai (en homme) a mon hôtel, encore excitée de
cette belle soirée.
j' ai récemment passé
une "annonce" sur un site de rencontre pour Travesti , concernant ma
prochaine venue sur Lyon. Je n'ai eu aucune réponse, si ce n'est quelques
moqueries, quelques insultes, mais je viens aujourd'hui vous raconter comment j'ai
passé ma journée...
La première journée ou
j’ai osé ….
Vers 9h00 le matin du Jeudi 24 Novembre, je suis
sorti de mon hôtel et suis parti en centre-ville. Après un petit déjeuné
rapide, je me suis mis en quête d'un institut de beauté. Là, j'ai demandé une
épilation intégrale. L'institut ne le proposait pas, mais ils m'ont orientés
vers un établissement voisin qui le faisait.
La douleur était supportable, et je me suis
laissé aller aux mains expertes d’un jeune homme qui m'a ensuite appliqué une
huile sur tout le corps. J'imaginais déjà plein de choses, et mon cerveau rendu
fou par les positions prises pour l'épilation créait des images de plus en plus
coquines.
Après avoir payé, je file sur la presqu’ile ,
rue de la République, échauffé mais heureux de me sentir tout lisse.
Là-bas, je me dirige vers la boutique Etam. Un
coup d'œil dans les rayons et je suis mal à l’aise et hésitant!
J’arrête une vendeuse mature très souriante, et
lui fait part de ma recherche, à savoir un ensemble porte jarretelle , soutient
gorges et string en dentelle noir. Elle me demande en quelle taille ? Devant
mon air indécis, elle me demande" combien fait-elle en jean ?". Je
réponds "heu, 40". Elle sourit, il me semble qu’elle a compris ma
demande et me dit "je reviens". Elle me présente un modèle et me dit
"voulez-vous l’essayer ?". J’ai dû devenir écarlate, mais elle a continué,
me propose d’autres ensembles, des magnifiques basses coutures. Je décline sa
proposition d'essayage, je règle mes achats, et sors rapidement du magasin.
Je décide d’aller boire un café dans un bar , je
demande les toilettes pour me changer. Enfermé dans les toilettes je retire mon
jean, et j’enfile ma paire de bas couture noirs, le porte jarretelle, le
string, et le soutien-gorge. Je remets mon pantalon, et je sens monter une
excitation qui ne me quittera que très tard en fin de journée.
Je continu a me balader en centre-ville, rue de
la république, en quête de sex-shop avec cabine. Je cherche aussi un plug,
curieux de tester ce que j’ai lu sur le sujet.
Je rentre finalement au « César Love
Shop » situé proche de la place des Terreaux.
Il n'y a personne, juste un vendeur d’une
quarantaine d'année. Des vitrines présentent des sous-vêtements coquins, des
sextoys divers et variés et notamment deux modèles de plug. Un petit à 15
euros, un gros à 25 euros. Je choisis le petit et demande si je peux avoir
accès aux cabines pour visionner un film, je paye le tout, et le vendeur
m’indique les cabines, «c’est là, derrière le rideau ».
Je rentre dans le long couloir derrière le
rideau, et entre dans une cabine. Je ferme à clef, regarde mon film, et
doucement, je commence à ôter mon jean, mon blouson, et mes chaussures. J’ouvre
mon sac à dos, sors une paire de talons 10 cm (25 euros à la Halle aux
chaussures) que j’avais amené avec moi, enfile ma perruque et me maquille
légèrement (fond de teint, eye-liner et rouge à lèvre)
Je me décide d’ouvrir la
porte de la cabine, et je m'assois, jambes croisées, en lingerie très « pute »,
et je regarde mon film où l’on voit de très beaux Trans non opérés se faire des
choses très agréables. Après quelques minutes, très excitée, je décide de m’introduire
le plug. Je le lubrifie, je m'accroupis, et je me l enfile, je suis assez
étroite, mais l’excitation faisant il entre aisément. Une fois en place, je
remets le string et me rassois, jambes croisées. Je suis hyper excité, travestie
et plugée. C 'est un sentiment inouï, très cérébral. Je sens ce plug dans mon
anus, Je suis là, offerte, en tenue sexy, dans l’attente d’un visiteur.
Je suis excitée mais ne
bande pas, résultat de l’excitation et la peur surement !
De toutes façons, je
préfère sentir mon « clito » petit dans mon string .
Je sors de la cabine faire quelques pas avec mon
plug. Mes talons claquent sur le carrelage, j’ai peur et en même temps j’ai
envie qu’on me surprenne. Envie de ne plus pouvoir reculer, surement !
Il y a là une dizaine de
cabines, vides. C'est frustrant ! Je lève la tête et je vois une caméra de
surveillance. Je ne sais pas si elle fonctionne mais, j’ose et je prends les
poses les plus coquines, au cas où...
Encore quelques minutes et toujours personne, il
est environ 12h30.
Je décide alors de revenir dans la boutique, en
lingerie, pour voir si des personnes sont là.
Mon cœur bat comme un fou, et ma bouche est sèche.
Mais faire cette petite exhibe m’excite, et pourquoi pas ? Je déambule
dans la boutique en sous vêtement sexy, maquillée, et moi seule le sais,
« plugée »
Le vendeur s’accoude a son
comptoir et je sens qu’il me mate
Dans la boutique, il y a 4 ou 5 hommes. Tous me
regardent, mais je n’en regarde aucun. Le vendeur me regarde aussi. Je fais
mine de chercher un accessoire, je lui demande des renseignements sur d’autres
gadgets, et je dis, assez fort pour être entendu, " Merci, je retourne à
la cabine !!!". Puis je repars dans le couloir. J’entends mon cœur
battre et le sang monter dans mes oreilles...
Arrivé dans la cabine, je m’assoie et croise les
jambes , en position d’attente sexy… 3 des clients de la boutique m’ont suivi .
Ils sont devant la porte et me regardent. L’un d’eux s’exclame "putain
quelle salope !!!". Mes jambes, mes mains tremblent, je suis affolée et
excitée. Ils sont devant moi, me regardent. Deux d’entre eux ont sorti leur
sexe et se caressent.
J’y suis, je n’ai plus
le choix, je vais faire ce qu’ils attendent !!! …je pose une jambe gainée de
bas tenus par mon porte jarretelle sur la chaise, écarte les jambes et m exhibe.
Je me comporte en une allumeuse…
Je vais passer une bonne parti de l’après-midi
la- bas. Un premier homme va entrer dans la cabine et me présenter son sexe
tendu. Je vais entendre « allez suce moi salope », je vais
m’exécuter, peureuse, honteuse, mais excitée. Les mains des hommes vont me caresser,
me guider, m’obliger. On va se servir de ma bouche, de mes mains pendant plus
d’une heure et même de mon sexe.
L’un des clients a voulu
me doigter mais quand il a senti le plug, je me suis fait traité de
"pute", de « chienne », de « salope ». Un autre client
a même fait des photos.
Un couple est arrivé, et
c’est madame qui est entré la première dans la cabine. Elle a saisi entre ses
doigts mon sexe et l’a serré très fort entre ses ongles. Elle m’a regardé et
s’est moqué de moi en souriant « Quelle petite bite !! ce n’est pas
avec ça que tu feras jouir une femme !! »
Puis elle a ôté sa
culotte et relevé sa jupe, a pris ma tête avec ses deux mains et m’a obligé à
la lécher en m’insultant, se moquant de moi, me traitant de pute et salope,
tout cela jusqu’à ce qu’elle jouisse dans ma bouche.
Voilà, ce que certains d’entre
vous ont peut-être loupé.
Je ne suis qu’un homme
qui a ses fantasmes et qui a osé !!! alors respectez mes idées, mes mœurs,
mes fantasmes.
Oui j’ai aimé être
traité en pute, Oui j’aime être humiliée, Oui j’aime être forcée de subir les
envies perverses des hommes ou des femmes.
Pour les râleurs, ceux qui critiquent, qui se
moquent, êtes-vous sûrs de valoir beaucoup mieux ?