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Blog de Sophie101

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Profitant d’un voyage professionnel d’une semaine sur Lyon, et comme j’en avais l’habitude, j’en profitai pour me travestir seule dans ma chambre d’hôtel. Être marié et aimer se travestir est compliqué et nécessite une organisation pour pouvoir vivre mon fantasme secret.

En navigant sur le web, j’avais vu qu’une soirée « Travestis » était organisée, le jeudi soir, dans un club échangisme, qui par hasard se trouvait non loin de mon hôtel. L’envie d’y aller était grande, mais je savais que je n’oserai jamais m’y rendre. Surtout que l’entrée était réservé aux travesties, et aux autres membres. N’étant pas membre, cela m’obligeait de me rendre à cette adresse en travesti, chose que je n’avais jamais faite, et n’oserai jamais.

Idéalement, j’étais prête à aller à cette soirée, mais en homme et de pouvoir me travestir, une fois arrivé sur place.

L’envie d’aller plus loin dans mon fantasme secret, me fit téléphoner à ce club pour me renseigner.

Je téléphonais donc et tomba sur un homme à qui je demandais si il était possible de venir à cette soirée en homme et que je puisse me travestir à mon arrivée à l’intérieur du club. Il me répondit que c’était envisageable, si j’avais une tenue correcte, et que par contre je devrais payer le prix d’entrée « homme seul » et non pas l’entrée gratuite pour les travestis.

J’étais donc renseignée et donc maintenant à moi de me décider de franchir le pas ou non !

Le jeudi soir arriva, je rentrais à mon hôtel après ma journée de travail et décidais de me rendre à cette soirée. C’était à partir de 22 Heures, j’avais le temps de me préparer.

Je décidais de parfaire mon épilation, et de déjà mettre mes sous-vêtements féminins, guêpière, bas et string dentelle, sous mes vêtements d’homme. Je pris mon petit sac de travail, dans lequel je mis ma perruque, talons, trousse a maquillage, robe… bref tout ce qui me permettrai de terminer mon travestissement une fois arrivée la bas.

L’heure d’y aller arriva, je quittais l’hôtel, pris un taxi et arriva devant le club. Je me présentai à l’entrée, payais mon ticket d’entrée en expliquant, l’échange téléphonique que j’avais eu. On me confirma que je pouvais me rendre dans une salle « vestiaire «  pour me changer.

Je fus rassurer en entrant dans cette pièce, de trouver une autre personne dans ma situation, elle aussi en train de s’habiller. J’engageai la conversation et expliquai à cette personne que c’était une première pour moi et que son aide surtout pour me maquiller me serait extrêmement agréable. Sympathiquement, elle m’aida à me maquiller, et même me verni les ongles… J’enfilai ma petite robe noire laissant apparaitre mes bas, je chaussais mes talons 10 cm. Je me regardai dans la glace… humm je me trouvais assez présentable, et crédible.

J’étais donc un peu plus rassurée et moins stressée ayant pu me faire déjà une amie.

J’entrai donc dans l’espace Club, et me dirigea directement dans un coin du bar. Celle qui m’avais aidé, elle partit danser sur la piste et étant une habituée se retrouva rapidement avec son groupe d’amis. Je restais seule, mais ce n’était pas grave, j’avais franchis le pas, j’y étais !

Je restais un bon moment seule dans mon coin de bar à boire mon verre, je faisais un peu tapisserie.

Finalement, un homme de bonne éducation vint vers moi me demander si nous pouvions échanger et boire un verre ensemble. Je répondis bien sur oui, et lui expliqua rapidement ma situation de travesti secrète et débutante. Que c’était ma première fois en public, etc…

Il était très prévenant et compréhensif. Il avait environ la cinquantaine, il était divorcé et habitait Lyon.

Après quelques minutes passés à échanger, il m’invita à aller sur la piste de danse avec lui. J’hésitai lui expliquant, que je n’avais pas trop l’habitude de porter des talons hauts et que je n’étais pas très à l’aise. Il m’invita alors à danser un slow, avec lui.

« Cette danse est lente et je vous tiendrai ! « me dit-il.

J’acceptai et me retrouvais collée à lui, sur la piste de danse. C’était très agréable. Très rapidement je senti qu’il était en érection, je sentais son sexe gonflé contre moi… sensation agréable et un peu affolante.

« Je vois que je vous fais de l’effet », lui dis-je !

« Oui, je vous l’ai dit, j’aime la femme telle que vous et votre côté débutante me plait beaucoup ! »

Il approcha son visage de moi pour m’embrasser, je me refusai. Il m’embrassa alors dans le cou, tendrement et lécha mon lob d’oreille…

Je me laissai faire, c’était excitant, tellement excitant que c’est moi qui pris l’initiative de l’embrasser sur la bouche en y mettant la langue. Il répondit à cela e m’embrassant fougueusement et en caressant mon corps.

Humm, j’étais une vraie femme entre ces bras.

Le slow se termina et il m’entraina sur un canapé dans un petit recoin du club. Nous discutions, échangions des baisers, et des caresses. Ma main caressa plusieurs fois son sexe à travers son pantalon, j’aimais la situation.

Il me dit que je pouvais aller plus loin, si je le souhaitai. J’ouvris donc sa braguette et glissa ma main aux ongles peint rouge carmin, a l’intérieur de son pantalon et commençai à caresser son sexe…

J’adorai, et il se laissait faire en poussant quelques gémissements. Son sexe se tendait et durcissait, j’avais envie d’aller encore plus loin et je le voyais lui aussi.

Nous étions dans un Club échangiste, le lieu le tolérait… je sorti son sexe et approcha ma bouche pour commencer à le lécher, puis sucer.

Ma main montait et descendait le long de cette verge tendue, ma bouche suivait le mouvement, léchant, aspirant, suçant… Je m’appliquais au mieux afin de ne pas le décevoir.

Mon compagnon appréciait me félicitant pour mon «  savoir-faire »

Humm ! J’adorai la situation, j’étais travesti, en train de m’occuper d’un homme en public.

Au bout d’un moment, il prit ma tête entre ses mains, m’embrassât fougueusement et me proposa :

Je n’habite pas très loin, voudrais tu venir boire un verre chez moi ?

Je répondis oui, sur le principe, mais lui fit part de mon inquiétude de sortir a l’extérieur dans la rue, travestie ! Même si il était minuit, je ne sais pas si j’oserai.

Il me rassura, sa voiture était stationnée tout près et il serait à côté de moi ! J’appréciai sa gentillesse et son coté gentlemen rassurant ! Je pris mon courage à deux mains et le suivi.

Je marchais pour la première fois dans la rue au bras d’un homme, ma démarche n’était pas très sure, 10 cm de talon oblige. Je me retrouvai a côté de lui dans sa voiture et ne pu m’empêcher de caresser son sexe en roulant, il appréciait !

Arrivé chez lui, il m’offrit un verre, assis dans son salon, il commença à me caresser et me déshabiller. Je me retrouvai rapidement, en guêpière, bas et talons devant lui. Il ôta mon string

Il caressait mon clitoris pendant que ma bouche avait retrouvé son sexe, et je me régalais.

Je l’entendis me dire, j’ai envie de toi Sophie !

Cette phrase que j’attendais, m’affola un petit peu, mais je lui avais avoué que je n’avais jamais été sodomisée, et il était très prévenant et rassurant.

Il m’entraina dans sa chambre et me coucha sur le lit, il me caressa longuement, puis pris du gel lubrifiant et commença à me caresser et doigter délicatement. Il m’embrassait dans le cou, je sentais son souffle sur ma nuque, il était très délicat, je me laissais faire et gémissais.

Il me fit mettre à quatre patte et je le senti ce sexe que j’avais longuement sucé venir derrière moi, je senti son gland se poser à l’entrée da ma chatte, et par pression douce et lente me pénétrer. Son sexe entra lentement en moi, j’étais dilatée, en confiance, il me pénétra totalement. J’étais prise, pénétrée, et ses vas et viens devenaient source de plaisirs.

Il caressait mon sexe qui restait tout petit tel un clitoris, en même temps, la sensation d’être femme était totale.

Je l’entendis et senti jouir en moi…. Son sexe gonfla et je senti les jets de son jus gicler en moi.

Je me retournai et l’embrassai goulument avant, de lui ôter son préservatif et de prendre son sexe dégoulinant dans la bouche et de me régaler …

Je quittais mon ôte ½ heure plus tard et rentrai (en homme) a mon hôtel, encore excitée de cette belle soirée.

j' ai récemment passé une "annonce" sur un site de rencontre pour Travesti , concernant ma prochaine venue sur Lyon. Je n'ai eu aucune réponse, si ce n'est quelques moqueries, quelques insultes, mais je viens aujourd'hui vous raconter comment j'ai passé ma journée...

La première journée ou j’ai osé ….


Vers 9h00 le matin du Jeudi 24 Novembre, je suis sorti de mon hôtel et suis parti en centre-ville. Après un petit déjeuné rapide, je me suis mis en quête d'un institut de beauté. Là, j'ai demandé une épilation intégrale. L'institut ne le proposait pas, mais ils m'ont orientés vers un établissement voisin qui le faisait.
La douleur était supportable, et je me suis laissé aller aux mains expertes d’un jeune homme qui m'a ensuite appliqué une huile sur tout le corps. J'imaginais déjà plein de choses, et mon cerveau rendu fou par les positions prises pour l'épilation créait des images de plus en plus coquines.
Après avoir payé, je file sur la presqu’ile , rue de la République, échauffé mais heureux de me sentir tout lisse.
Là-bas, je me dirige vers la boutique Etam. Un coup d'œil dans les rayons et je suis mal à l’aise et hésitant!
J’arrête une vendeuse mature très souriante, et lui fait part de ma recherche, à savoir un ensemble porte jarretelle , soutient gorges et string en dentelle noir. Elle me demande en quelle taille ? Devant mon air indécis, elle me demande" combien fait-elle en jean ?". Je réponds "heu, 40". Elle sourit, il me semble qu’elle a compris ma demande et me dit "je reviens". Elle me présente un modèle et me dit "voulez-vous l’essayer ?". J’ai dû devenir écarlate, mais elle a continué, me propose d’autres ensembles, des magnifiques basses coutures. Je décline sa proposition d'essayage, je règle mes achats, et sors rapidement du magasin.
Je décide d’aller boire un café dans un bar , je demande les toilettes pour me changer. Enfermé dans les toilettes je retire mon jean, et j’enfile ma paire de bas couture noirs, le porte jarretelle, le string, et le soutien-gorge. Je remets mon pantalon, et je sens monter une excitation qui ne me quittera que très tard en fin de journée.
Je continu a me balader en centre-ville, rue de la république, en quête de sex-shop avec cabine. Je cherche aussi un plug, curieux de tester ce que j’ai lu sur le sujet.
Je rentre finalement au « César Love Shop » situé proche de la place des Terreaux.
Il n'y a personne, juste un vendeur d’une quarantaine d'année. Des vitrines présentent des sous-vêtements coquins, des sextoys divers et variés et notamment deux modèles de plug. Un petit à 15 euros, un gros à 25 euros. Je choisis le petit et demande si je peux avoir accès aux cabines pour visionner un film, je paye le tout, et le vendeur m’indique les cabines, «c’est là, derrière le rideau ».
Je rentre dans le long couloir derrière le rideau, et entre dans une cabine. Je ferme à clef, regarde mon film, et doucement, je commence à ôter mon jean, mon blouson, et mes chaussures. J’ouvre mon sac à dos, sors une paire de talons 10 cm (25 euros à la Halle aux chaussures) que j’avais amené avec moi, enfile ma perruque et me maquille légèrement (fond de teint, eye-liner et rouge à lèvre)

Je me décide d’ouvrir la porte de la cabine, et je m'assois, jambes croisées, en lingerie très « pute », et je regarde mon film où l’on voit de très beaux Trans non opérés se faire des choses très agréables. Après quelques minutes, très excitée, je décide de m’introduire le plug. Je le lubrifie, je m'accroupis, et je me l enfile, je suis assez étroite, mais l’excitation faisant il entre aisément. Une fois en place, je remets le string et me rassois, jambes croisées. Je suis hyper excité, travestie et plugée. C 'est un sentiment inouï, très cérébral. Je sens ce plug dans mon anus, Je suis là, offerte, en tenue sexy, dans l’attente d’un visiteur.

Je suis excitée mais ne bande pas, résultat de l’excitation et la peur surement !

De toutes façons, je préfère sentir mon «  clito » petit dans mon string .
Je sors de la cabine faire quelques pas avec mon plug. Mes talons claquent sur le carrelage, j’ai peur et en même temps j’ai envie qu’on me surprenne. Envie de ne plus pouvoir reculer, surement !

Il y a là une dizaine de cabines, vides. C'est frustrant ! Je lève la tête et je vois une caméra de surveillance. Je ne sais pas si elle fonctionne mais, j’ose et je prends les poses les plus coquines, au cas où...
Encore quelques minutes et toujours personne, il est environ 12h30.
Je décide alors de revenir dans la boutique, en lingerie, pour voir si des personnes sont là.
Mon cœur bat comme un fou, et ma bouche est sèche. Mais faire cette petite exhibe m’excite, et pourquoi pas ? Je déambule dans la boutique en sous vêtement sexy, maquillée, et moi seule le sais, « plugée »

Le vendeur s’accoude a son comptoir et je sens qu’il me mate
Dans la boutique, il y a 4 ou 5 hommes. Tous me regardent, mais je n’en regarde aucun. Le vendeur me regarde aussi. Je fais mine de chercher un accessoire, je lui demande des renseignements sur d’autres gadgets, et je dis, assez fort pour être entendu, " Merci, je retourne à la cabine !!!". Puis je repars dans le couloir. J’entends mon cœur battre et le sang monter dans mes oreilles...
Arrivé dans la cabine, je m’assoie et croise les jambes , en position d’attente sexy… 3 des clients de la boutique m’ont suivi . Ils sont devant la porte et me regardent. L’un d’eux s’exclame "putain quelle salope !!!". Mes jambes, mes mains tremblent, je suis affolée et excitée. Ils sont devant moi, me regardent. Deux d’entre eux ont sorti leur sexe et se caressent.

J’y suis, je n’ai plus le choix, je vais faire ce qu’ils attendent !!! …je pose une jambe gainée de bas tenus par mon porte jarretelle sur la chaise, écarte les jambes et m exhibe. Je me comporte en une allumeuse…
Je vais passer une bonne parti de l’après-midi la- bas. Un premier homme va entrer dans la cabine et me présenter son sexe tendu. Je vais entendre « allez suce moi salope », je vais m’exécuter, peureuse, honteuse, mais excitée. Les mains des hommes vont me caresser, me guider, m’obliger. On va se servir de ma bouche, de mes mains pendant plus d’une heure et même de mon sexe.

L’un des clients a voulu me doigter mais quand il a senti le plug, je me suis fait traité de "pute", de « chienne », de « salope ». Un autre client a même fait des photos.

Un couple est arrivé, et c’est madame qui est entré la première dans la cabine. Elle a saisi entre ses doigts mon sexe et l’a serré très fort entre ses ongles. Elle m’a regardé et s’est moqué de moi en souriant « Quelle petite bite !! ce n’est pas avec ça que tu feras jouir une femme !! »

Puis elle a ôté sa culotte et relevé sa jupe, a pris ma tête avec ses deux mains et m’a obligé à la lécher en m’insultant, se moquant de moi, me traitant de pute et salope, tout cela jusqu’à ce qu’elle jouisse dans ma bouche.

Voilà, ce que certains d’entre vous ont peut-être loupé.

Je ne suis qu’un homme qui a ses fantasmes et qui a osé !!! alors respectez mes idées, mes mœurs, mes fantasmes.

Oui j’ai aimé être traité en pute, Oui j’aime être humiliée, Oui j’aime être forcée de subir les envies perverses des hommes ou des femmes.


Pour les râleurs, ceux qui critiquent, qui se moquent, êtes-vous sûrs de valoir beaucoup mieux ?

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