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Blog de NathPierre

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Douce sodomie du matin


En déplacement dans la capitale pour raison professionnelle, cela faisait une semaine que je logeais dans ce studio loué sur *b*b.


C’est vendredi soir que j’ai accroché Paul sur un site de rencontre pour travestis. Nos profils et nos attentes pour la soirée correspondent presque trop parfaitement.


La rencontre se passe effectivement super bien. Nous prenons l’apéro, nous flirtons (petits baisers, moments enlacés, caresses sensuelles), nous mangeons un petit repas tout simple que je me suis faite un plaisir de préparer et de servir ; puis nous faisons une première fois l’amour, normalement, sans violence ni trop de tendresse ; sans même ouvrir le canapé-lit. Juste une bonne baise bien faite.


Après cela, je ai pris une petite douche histoire de me rafraîchir, je me suis mise à l’aise : petite nuisette rose clair, bas résille, collier de (fausses) perles.

Nous nous installons dans le canapé et nous choisissons un film romantique mais tout de même déconseillé au moins de 18 ans, de par la présence de scènes à caractère sexuel.


La soirée se déroule ainsi tendrement ; Paul assis dans le canapé, sirotant son digestif et moi allongée à ses côtés la tête posée sur ses cuisses. Puis les choses étant ce qu’elles sont, la sensualité du film ajoutant du piquant à la situation, nous recommençons à nous caresser, nous embrasser ; la montée de désir faisant le reste, nous nous mettons au lit et faisons longuement l’amour... à plusieurs reprises.


Paul est un homme superbe, dans la quarantaine, tout en tendresse et douceur ; bien monté mais pas trop et surtout très à l’écoute de sa partenaire, mais aussi de ses propres désirs.

Plus (+) qu’un coup d’un soir, un amant, qui réussit à vous faire croire, le temps d’une soirée, qu’il vous aime pour de vrai.


Un brin de toilette fait, je propose à Paul (pour la première fois de ma vie) de passer le reste de la nuit ici. Il est déjà tard, nous sommes samedi matin et rien, selon moi, ne le force à partir.

Il accepte et nous nous couchons donc, comme deux amoureux de longue date, lui nu et moi en nuisette, blottie tout contre lui.


Il est entre 7h00 et 8h00 du matin lorsque je sens de nouveau le corps d’un homme serré tout contre moi. J’avais dû me retourner dans mon sommeil et j’étais maintenant couchée en chien de fusil. Un homme est collé à moi, lui aussi en chien de fusil, son corps totalement lové sur le mien, sa main passé sous ma nuisette titille mes tétons qui répondent à ces caresses en pointant fermement. Sa bouche embrasse mon cou.

Je me réveille alors, réalisant que Paul est là, à me provoquer du désir, sa queue raide du matin dans mon dos.


Je gémis un peu, puis j’essaye de me retourner.

« Non reste comme ça » me dit Paul « c’est dans cette position que j’ai envie de te prendre. »

J’ai un mouvement de rejet, pensant que je n’ai même pas eu le temps d’aller aux toilettes, que mon cul ne doit pas être assez propre, que, que…

Sentant que je vais répondre négativement à cette demande, Paul se serre encore plus contre moi et pause sa main droite sur ma bouche en guise de bâillon.

Plus j’essaye de m’écarter et plus Paul resserre son étreinte.


Sa main droite toujours sur ma bouche, il glisse sa main gauche jusqu’à ma queue qu’il se met à caresser d’abord doucement.

J’essaye encore de me retirer de cette étreinte, Paul me murmure alors à l’oreille :

« Laisse toi faire ma petite chienne, je sais que tu en as envie. De toute façon que tu le veuilles ou non...tu vas y passer. Tu vas la sentir ma bite dans ton petit cul. Tu as voulu que je reste dormir, tu as passé la nuit à te coller sur moi...maintenant il est temps de payer...tout se paye. »

Il finit sa phrase en passant sa langue dans mon oreille puis en mordillant mon lobe.

Sa main gauche branle maintenant frénétiquement ma queue.


Ces paroles crues dans la bouche de cet homme si tendre hier soir, ce baiser dans mon oreille et cette masturbation violente ont raison de mes dernières réticences et je m’abandonne à ce corps, bien décidée à profiter du plaisir qu’il veut m’offrir. « De toute façon il sait bien que je ne suis pas propre ; si c’est ce qu’il veut, qu’il me prenne. »


Décidée à prendre ce qui m’est offert, je m’abandonne totalement, arrêtant toute tentative de résistance. Ma main passe elle aussi sous ma nuisette et je commence à me caresser la poitrine, accompagnant la branle Paul par des pincements sur met tétons.


J’ai de nouveau totalement basculé à l’écoute de ma féminité et de mon plaisir « homosexuel » , Nathalie vient de nouveau de prendre totalement possession de moi. Je gémis à travers cette main posée sur ma bouche ; mon corps ondule, plus aucun résistance, juste la recherche du plaisir.


Me sentant totalement à sa merci, Paul desserre légèrement son étreinte, mais ne retire pas sa main de ma bouche pour autant. Sa main gauche laisse mon pénis gonflé de sang par cette masturbation frénétique et vient se poser entre mes fesses. Ses doigts glissent le long de ma raie, se posant sur ma rondelle puis remontent le long de ma colonne, soulevant ma nuisette au passage.


Sa main droite se retire et les doigts de sa main gauche viennent s’introduire dans ma bouche. Je les suce, je les lèche, je les happe, je voudrais tant les avoir au fond de ma gorge.


Paul s’écarte un peu, libérant le chemin à cette main gluante qui se dirige vers le bas de mes reins. Spontanément et sans y réfléchir je pose ma main sur ma fesse et écarte le passage. Son majeur s’introduit en moi sans douceur et commence à fouiller mon intimité. Je gémis de douleur mais surtout de plaisir devant se doigtage soudain.

Paul retire son majeur et re introduit majeur et index en moi. Instantanément je tire encore plus sur ma fesse pour m’offrir encore mieux. Après quelques instants à fouiller mes entrailles, Paul retire sa main et dit « Ouvre la bouche salope !!! » et il introduit ses doigts « Suce bien, lave les biens, c’est ton cul qui est sale, pas ma main. Lave salope lave !!! »

Ses doigts ont le goût de mon anus, au début j’ai un haut le cour, puis le plaisir est plus fort, le désir reprend le dessus. Je les avale au plus profond de moi, je les lèche, je les retire pour être sure de ne rien laisser dessus et je les reprends en bouche.

Tout mon corps n’est plus que sensation de plaisir, j’ai des frissons sur la peau, ma verge est prête à exploser tellement elle est tendue.


Paul se redresse un peu, tourne légèrement ma tête entre ses mains et pose ses lèvres sur les miennes. Sa langue vient fouiller ma bouche comme pour y retrouver le goût de ses doigts.

Il me regarde en souriant « Allez à mon tour maintenant, tu es assez préparée. »


Il se replace en chien de fusil derrière moi, son sexe tendu et raide va enfin me pénétrer.

Il pose son gland contre ma rondelle et pousse légèrement son bassin pour s’introduire en moi. Mon anus s’ouvre doucement pour laisser rentrer ce sexe tant désiré depuis mon réveil. Lentement, régulièrement, centimètre après centimètre, Paul s’introduit entièrement en moi. Puis il se retire tout aussi lentement et recommence. Chaque portion de ce sexe qui entre en moi m’arrache soupir et gémissement. Quelle sensation que de se sentir entièrement possédée, entièrement soumise et remplie.


Paul recommence cette lente pénétration plusieurs fois, me poussant toujours à la limite de la jouissance, tant il a bien repéré mon point sensible et qu’il aime sentir la décharge que le passage de son gland provoque en moi. Je réalise aussi que s’il ne me pilonne pas comme il l’a fait hier soir, c’est peut-être pour résister plus longtemps avant de jouir. C’est vrai que, si comme il le dit, j’ai passé ma nuit à l’allumer…


Paul m’arrache à ses douces pensées : « Mets-toi à plat ventre sur le lit, et écarte bien tes fesses avec tes deux mains !!! ». Je m’exécute. Paul se positionne au-dessus de moi, comme s’il préparait à faire des pompes. Son gland posé sur ma rondelle. Tout à coup j’ai l’impression que Paul se laisse tomber sur moi de tout son corps. La pénétration est violente et brûlante et m’arrache un cri étouffé par l’oreiller sur lequel ma tête est posée.


Paul remonte lentement, jusqu’à ce que son sexe soit de nouveau juste à l’entrée et se laisse tomber de nouveau. Je crie encore plus fort par la douleur, par la chaleur du glissement violent de cette peau sur mes entrailles...mais surtout par le plaisir que je retire de tout ça.


Une troisième fois m’arrache carrément un « Ohhhhh Ouiiiiiiiiii » de plaisir. Paul reste posé bien au fond de moi et me crie « Hurle salope, Jouit comme il faut. Tu l’aimes ma bite hein vieille putain ».


Il se remet à bout de bras et se laisse de nouveau tomber. Je ne sais plus combien de fois il a recommencé tellement je suis partie sur mon nuage, dans mon extase ; l’oreiller qui me sert à étouffer mes cris de plaisir est trempé de ma bave et de ma sueur ; mais je ne veux pas que Paul arrête. Je n’ai jamais ressenti un tel plaisir, jamais un homme ne m’avait faite sentir autant à sa merci, jamais un homme ne m’avait possédée de la sorte.


Au bout d’un certain temps, qui me paraît interminable et à la fois trop bref, Paul s’agenouille sur le lit. « Allez sur le dos, ma chérie, les jambes relevées et tenues pas tes mains, je veux te voir jouir. » La tendresse de ces propos tranche brutalement avec ce que je viens de vivre.

Je me retourne, me mets sur le dos. Paul pose un second oreiller sous ma tête, pour mieux me voir. Il se place derrière moi, je relève mes jambes au maximum et il me pénètre. Sa queue m’a semblé démesurée, et pourtant elle entre en moi en douceur.


Quatre ou cinq va et vient en douceur me font revenir au calme, ma respiration ralenti, mon cœur aussi et les hurlements de plaisir d’il y a cinq minutes se transforme en doux gémissements. Paul me regarde dans les yeux. Son sourire est maintenant celui du maître qui baise sa soumise : « Tu vois que c’est bon aussi de se faire baiser au réveil. Tu vois que je sais AUSSI te posséder comme je le veux. Elle aime ça ma petite salope ? Hein Nathalie, tu aimes ça. »


Je ne peux même pas répondre que oui. Seuls des gémissements de plaisir sortent de ma gorge. Aucun son maîtrisé de ma part ne s’en échappe.


Bien calé au fond de moi, toute sa queue en moi, Paul s’arrête et saisie mon sexe. Il me masturbe lentement et sur toute la longueur de ma queue. Je ne suis pas longue à venir. Déjà qu’en temps normal je ne suis pas très résistante, le traitement de faveur que Paul m’a fait subir m’envoie directement à l’orgasme.

Sentant ma veine gonfler, signe d’une éjaculation imminente, Paul lâche ma queue et reprend un va et vient complet, va et vient rythmé sur mon éjaculation. Chacun de mes jets est calé sur son mouvement. J’ai la sensation d’éjaculer des litres pendant des heures. Je crie, je murmure, je

sussure : « Ouiiii c’est bon » « Ohhhh tu me fais jouiiiiiir » « Mon dieu c’est pas possible » « Continue plus fort, plus au fond, défonce moi…. »

Mais rien n’y fait, Paul a décidé qu’il rythmerait mon éjaculation et j’en retire un plaisir inimaginable.


A la fin de mon orgasme, Paul se retire, appuie sur mes jambes pour je les pose sur le lit, et vient se placer juste au dessus de moi, sa queue, ENORME, au dessus de ma bouche.


« OUVRE ».


Mes lèvres se desserrent presque malgré moi. Paul entre dans ma bouche. Sa queue a le goût de mes excréments, de mes sécrétions et aussi un léger goût d’urine.

A ma moue surprise et dégoûtée il ricane :

« Tu n’as même pas réalisé qu’à chaque coup de queue, j’urinais un peu en toi. Ahahahah. Allez suce, prends moi au fonds de ta gorge. »

Il saisit ma tête et la gigote un peu afin de que sa bite entre au plus profond. Puis il commence un très très très léger va et vient ; à peine quelques millimètres.

Son visage se crispe, sa bouche s’ouvre pour laisser sortit un râle de plaisir. De longs jets de sperme chaud inondent ma gorge, j’ai du mal à déglutir, mais je sens ce liquide chaud qui coule en moi. Il ressort un peu son sexe laissant son gland dans ma bouche. Je le lèche, je le tête, voulant récupérer toute sa semence.


Paul se retire, lâche ma tête que je laisse s’enfoncer dans les oreillers. Je ne suis plus que sensations de plaisir et tremblements. Les yeux fermés je me laisse, redescendre lentement à la réalité.


Tout à coup, la porte de l’appartement claque.

J’ouvre les yeux et regarde autour de moi.

Plus personne, Paul est parti, il me laisse seule, allongée sur mon lit, encore à l’écoute des sensations de mon corps.


J’ajuste ma nuisette, tasse un peu mon oreiller et je me recouche en chien de fusil.

Le goût du sperme de Paul remplit encore ma bouche.

Mon corps est couvert de mon sperme et de ma sueur.

Mon cul endolori semble être lui aussi rempli. Est ce une sensation due à cette pénétration totale ou est-ce que réellement Paul a uriné en moi ???

Je m’endors sans trouver la réponse à cette question.

De toute façon, ce n’est pas grave, la machine à laver, dans les communs de l’immeuble, remettra nuisette et draps tout propre.


Je m’endors repue, satisfaite.

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