d'une dizaine d'hommes et de femmes.
Certains des hommes étaient élégamment vétus, d'autres en bottes et vètements de travail .
Les femmes portaient tailleur
et hauts talons.
Quand Marilyn se présenta en haut des marches
les discussions s'arrétèrent et tous les visages
se tournèrent vers elle. Les yeux s'agrandirent et
beaucoup restèrent la bouche ouverte.
Les joues de Marilyn étaient brûlantes. Ce n'était
pas seulement la gêne de tous ces regards
posés sur elle qui la détaillaient à travers ses voiles transparents :
Ses organes percés, ses magnifiques seins, sa
taille si fine, ses hanches larges, son petit pénis
dressé, ses petits testicules ...
Ce qui causait le feu des joues de
Marilyn, c'étaient aussi elle en était sûre, les deux
grosses piqûres que la servante lui avait fait, une
dans chaque fesse.
Matin et soir à partir de maintenant, ordre de
Monsieur dit-elle.
Monsieur était resté immobile la bouche
entrouverte comme les autres. Il se ressaisit
vite, sourit et tendit le bras vers Marilyn,
l'invitant à descendre le rejoindre.
Marilyn descendit les marches en chaloupant,
dans ses hautes mules.
A chaque pas elle sentait la caresse des collants
et du déshabillé sur ses testicules, le frottement de
la ficelle du string contre son anus.
Ses tétons étaient en feu, ils dardaient comme
jamais contre le voile du soutien gorge et
étaient à vif. En même temps malgré
sa honte, le frottement des collants, du string et
du déshabillé sur ses fesses la rendaient folle et
elle sentait sa petite verge durcir
et former un arc de cercle jusqu'à l'anneau de
son nombril .
Enfin elle fut aux côtés de Monsieur. Il sourit plus
fort.
- Je vois que ton nouveau traitement a
commençé dit il.
Ce disant et à la vue de tous qui regardaient il
glissa ses mains sous le déshabillé et le soutien
gorge
Il arracha un petit cri à Marilyn quand il referma
ses énormes mains sur ses seins et qu'il pressa
entre deux doigts ses mamelons à vif. Il prit sa
bouche et plaquée contre lui, elle sentit sa verge
se tendre à lui faire mal tandis que son gland
faisait mine d'avaler l'énorme cabochon dont il
était paré et que son anus semblait aspirer
string, collants et déshabillé.
Comme Monsieur avait avancé une jambe entre
ses cuisses, elle gémissait sans honte et ne
comprenait pas ce qui lui arrivait
- Je vois que ton nouveau traitement a
commencé sourit Monsieur
Ce disant, il glissa une main sur ses fesses sous
les collants.
Toujours gémissante, Marilyn posa les mains
sur les épaules de Monsieur tandis qu'il
introduisait le doigt profondément dans son anus.
Elle était arc-boutée dans ses mules, totalement
soumise au plaisir, insouciante de tous les
regards braqués sur elle.
- Il est temps que je te fasse visiter ma chérie, dit
il enfin.
Marilyn avait conscience que tous les regards
étaient braqués sur elle, sur sa verge bandée en
arc, sur ses seins gonflés pointant droit devant
elle, leurs tétons turgescents trouant les voiles,
sur ses fesses rebondies que la main de
Monsieur pénétrait profondément
Elle marchait à côté de Monsieur, sa démarche
chaloupante, serrant les lèvres comme elle sentait
l'excitation monter en elle. Elle sentait sa liqueur
inonder la main de Monsieur plongée en elle, le
frottement des collants sur sa peau et la caresse
du déshabillé étaient difficilement supportables.
S'appuyant sur l'épaule de Monsieur, elle
gémissait des non non et oui oui dans son oreille
- Regarde Marilyn, dit Monsieur comme ils arrivaient devant un vaste enclos
- je te présente Hector, tu lui dois beaucoup.
Ce disant il désignait un gigantesque verrat, qu'un
homme tenait tant bien que mal par une corde
reliée à un gros anneau qui lui traversait la truffe.
- Vois tu continua Monsieur, sa main renforçant
davantage son étreinte sur l'anus ruisselant de
Marilyn,
- Hector, en plus d'être un amant insatiable,
dispose de réserves presque inépuisables.
Montrez lui, ordonna t'il à l'homme qui tenait le
cochon
Celui ci obligea l'animal à montrer sa croupe et
son flanc.
Alors Marilyn vit ses deux monumentales
testicules. Elle fit un
- Oh
de surprise alors que les autres femmes
présentes pouffaient
- Allez approche toi dit Monsieur en tirant Marilyn
vers l'animal.
Il lui fit soupeser les énormes sacs dont était
affublé l'animal. Ils étaient chauds et très lourds
Marilyn rougit comme elle sentit frémir la bête.
- Tu vas assister à une fausse saillie continua t'il
- C'est obligatoire sinon les couilles du pauvre
Hector éclateraient
Toute l'assistance rit
- Allez y ordonna Monsieur au palefrenier
- Et regarde bien ca te servira certainement
Marilyn ne comprit pas ce qu'il voulait dire mais
le palefrenier guida l'énorme porc vers une
espèce de cheval d'arçon en métal creux.
Celui ci se hissa sur les pattes de derrière sur
l'engin. Ses énormes testicules ballotaient.
Le palefrenier plaça sous le bas-ventre de
l'animal un grand seau de métal et saisit l'organe
qui lui servait de pénis, très fin et tire-bouchonné
- Allez marilyn va aider le pauvre Hector
dit Monsieur en retirant sa main de l'anus de
Marilyn et l'essuyant sur le déshabillé
Le visage de Marilyn était écarlate comme elle
regardait les énormes appendices comme
fascinée
L'animal hissé sur l'appareil bougeait
maladroitement.
- Tu lui lèche les couilles comme tu sais si bien
le faire
Reprit Monsieur déchainant l'hilarité chez les
dames.
Marilyn s'agenouilla derrière l'animal. Le palefrenier resta la bouche ouverte devant
l'apparition de cette fille superbe a genou.
Les cuisses écartées dévoilaient la petite verge
tendue en demi cercle sous les collants, les petits
pieds délicieusement gainés et parés dans les mules.
Plaçant ses paumes en coupelle sous les énormes
testicules Marilyn approcha son visage. La bête
rapprocha ses pattes de derrière afin d'éteindre
plus étroitement le mécanisme et son souffle
bruyant s'accéléra.
Quand Marylin commenca à lui lécher doucement
les couilles, le verrat se mit à grogner et son
corps fut pris d'une agitation frénétique
Le choc du corps de l'énorme bête contre la
structure métallique résonna très longtemps.
Monsieur s'était plaçé derrière Marilyn et lui
malaxait les seins et les tétons.
Le palefrenier avait fixé l'anneau du mufle
maintenant la tête de l'animal bavant redressée
et d'une main guidait l'étrange verge vers le seau
Enfin le verrat se crispa et un jet sonore s'écrasa
contre les parois du seau. Marilyn se redressa,
alors que Monsieur lui tenant toujours un
mamelon, son autre main se glissa sous ses collants, détache la petite verge et caressa les
petits testicules.
Comme une machine qui ne s'arrète plus une fois
démarrée, le verrat dechargait par à coups sa semence dans le seau.
Quand le palefrenier se releva, le seau était
presque plein.
- Donnez en un verre à Marilyn dit Monsieur,
elle l'a bien mérité
Alors que les femmes présentes prenaient un
air dégoûté, le palefrenier présenta à Marilyn un
verre rempli de l'épais liquide blanchâtre.
Marilyn était affolée de désir. Ses mamelons
étaient brulants, ses seins gonflés, sa petite
verge libérée pointait horizontalement sous les
collant. Monsieur libéra son sein et écartant la
ficelle du string, rentra le poing dans son anus
trempé.
Marilyn cria, sa liqueur inonda le poing de
Monsieur, le gros cabochon de son gland sembla
disparaître dans son urêtre, elle était debout dans
ses mules, les hommes présents la
contemplaient ébahis, déesse prisonnière
exhibant sa féminité parée de ses multiples
anneaux d'esclave sexuelle et les femmes la
regardaient avec envie
Elle aurait voulu dire non à ce verre tendu vers
elle. Monsieur accentua sa pression. Ses
collants étaient trempés. Elle tendit ses mains
tremblantes et saisit le verre.
Quand le verre fut vide, qu'elle eut avalé le liquide
épais et brûlant, Monsieur, la libéra et
s'essuyant de nouveau les mains sur son collant,
s'exclama :
- Viens chérie, je vais te présenter à Hermes
mon étalon favori.
(A suivre ...) Carole le Vice alias Lilileet
Le 10 Juin 2021
Le Mur