Marilyn
avait de la peine à rester éveillée
Mais à chaque fois qu'elle manquait s'assoupir
et s'allonger elle était cruellement rappelée à
l'ordre par la douleur de l'anneau dans son
nez, au bout de la chaine qui se tendait.
Avant de sortir de la pièce les femmes lui avaient
aussi passé des menottes reliées aux côtés du lit
par des chaines, rendant toute tentative de se
libérer impossible.
Enfin une clé tourna dans la serrure. La porte
s'ouvrit puis se referma sans bruit. A nouveau
des clés que l'on tourne et il était là.
Monsieur se trouvait face à la tête du lit, devant
Marilyn. Il la dêvisageait en souriant et elle essaya
de lui rendre un maigre sourire.
L'agréable engourdissement dans lequel elle
était se dissipait peu à peu.
Son visage était à la hauteur de la braguette
de l'homme.
Elle remarqua que ses chaussures, le bas de son
pantalon et même sa braguette étaient souillés de
grosses tâches brunes. Il s'en dégageait une
odeur doucereuse écoeurante.
Il ouvrit sa braguette, dégagea son énorme
membre d'une main et de l'autre détacha la
chaîne.
Puis en tirant dessus il amena le visage
de Marilyn à lui et lui ordonna :
- Suce moi. Et utilise ta langue
Le membre de l'homme était couvert de
souillures immondes à moitié séchées
Il sentait affreusement mauvais.
Marilyn eut un mouvement de recul
mais l'homme tira plus fort sur la chaine.
La douleur sur son nez fut très vive.
Elle ouvrit la bouche et engloutit la verge.
Elle était écoeurée, avait des hauts le coeur
mais l'énorme sexe l'étouffait.
- Utilise ta langue grogna l'homme en se mettant
nu
Il gémit quand le gros clou de la langue de Marilyn
frotta son pénis. Il tirait les belles poires de ses
seins à pleines mains vers lui en cadence,
Comme il allait et venait dans sa gorge.
Puis il monta sur le lit, la tête de Marilyn renversée
son dard s'enfonçait de plus en plus profond dans sa
gorge. Elle devenait rouge, ses
main entravées ne pouvaient pas l'aider et quand
elle manquait s'évanouir il se retirait.
Marilyn ainsi cambrée, son visage tourné vers le
haut, s'appuyant sur ses deux mains à plat sur le
lit, ses larges fesses s'épanouissaient et son anus palpitant
largement ouvert aspirait les collants.
Il se retira laissant Marilyn suffocante, nauséeuse
des abjections qu'elle avait léché et avalé.
Il descendit du lit, son membre monstreux dressé,
fit le tour du lit, lui caressa les fesses, leur donna
une grande claque.
-Aïe fit Marilyn.
L'homme se mit sur le côté du lit et passant la main sous la nuisette baby doll et les collants détacha l'anneau qui retenait le pénis attaché au nombril, retendit les collants sur le ventre de Marilyn. Il saisit à travers le nylon la poire collée au bout du petit pénis de Marilyn
et le pressa rapidement une vingtaine de fois. Marilyn qui ne voyait pas ce qui se passait,
toujours à quatre pattes et l'homme ayant rattaché l'anneau de son nez, avait une sensation
étrange dans le sexe, pas tres agréable, en même temps qu'elle sentait ses collants se
tendre davantage et son pénis s'écarter de son ventre.
L'homme pressa la poire une dizaine de fois encore et se dirigea vers les vitrines.
Marilyn fut angoissée de le voir revenir avec un martinet à la ceinture.
Il détacha une nouvelle fois l'anneau de son nez, lui détacha les mains, la fit s'alonger sur
le dos et lui fixa les deux mains au sommet du lit
Puis il saisit les pieds de Marilyn, défit les attaches de ses très hautes sandales
compensées et les lui ota.
Il plaça un épais oreiller derrière la tête de Marilyn et elle fut affolée de ce qu'elle vit :
Son pénis était gonflé de façon démesuré, il tendait les collants comme un piquet de tente.
Monsieur fixa des chaines à ses pieds et sortit le martinet de sa poche.
Il frappa la plante des pieds de Marilyn de toutes ses forces pendant un long moment.
Quand il s'arréta enfin, les plantes de pieds étaient en sang, les collants déchirés et
Marilyn qui avait crié, pleuré, supplié, s'était évanouie.
Quand elle revint à elle, l'homme était au fond de la pièce, toujours fouillant dans les
vitrines.
Il revint se placer devant ses jambes liées écartées. Elle gémissait et découvrit avec horreur
qu'il était affublé d'un énorme godemiché en forme de corne de rhinocéros
Il monta sur le lit, se mit à genou, saisit chacune des cuisses de Marilyn de part et d'autre
de son torse.
La pointe de l'énorme godemiché touchait le collant de Marilyn juste au centre de l'anus.
Monsieur dit :
- Tu es une femme, tu es Ma femme, ne l'oublie pas. Je ne permettrais pas que tu puisses
penser autrement. Je t'ai permis jusqu'à présent de me montrer ton plaisir par tes petits jets
de liqueur mais ça va changer. Ton corps va encore beaucoup changer pour que nous
puissions prendre encore plus de plaisir ensemble mais quand tu sera prète, il est hors de
question que tu essaye de te soulager autrement que comme une femme.
Marilyn le regardait avec ses grands yeux de biche, affolée de sentir l'énorme objet contre
son anus, abasourdie par le long discours de l'homme, le plus long qu'il lui ait jamais fait
et auquel elle ne comprenait rien. Elle se sentait femme.
Tenant toujours les jambes de Marilyn fermement autour de lui, l'homme appuya doucement
sur son pelvis. La pointe de la corne de son godemiché appuya davantage sur les collants.
Doucement il fit pivoter son bassin vers l'avant et doucement les collants s'enfoncèrent dans
l'anus.
Puis les collants cédèrent sans bruit et le godemiché pénétra librement dans l'anus.
Quand les premièrs vingt centimètres de la corne furent en elle, Marilyn avait comme à gémir
quand les dix centimètres restant eurent fini de l'empaler, elle criait.
Elle s'évanouit à nouveau.
(A Suivre ...° Carole le Vice alias Lilileet Le 27 Mai 2021
Le Mur