Marilyn était effrayée, La femme se trouvait à côté d'elle dans l'ascenseur, elle
lui serrait le bras de ses mains osseuses à lui faire mal. Les jambes de Marilyn
tremblaient, elle sentait venir les larmes, regardait de côté le visage dur de la femme.
Ces hommes qui l'avaient touché, dévisagé, qui avaient violé son intimité la plus profonde
et Monsieur qui était resté là, comme si tout cela était naturel, alors que cet homme
avait embrassé son gland, un autre caressé ses pieds, cette horrible femme qui avait pénétré
son pénis, l'homme qui avait forcé son poing au fond de son ventre ...
C'était un cauchemar elle allait se réveiller.
Pourquoi ne retournait elle pas dans sa chambre, qu'allaient ils faire d'elle, l'angoisse
était trop forte
Avant que les portes se ferment, elles furent rejointes par la jeune servante Paulette,
elle baissait la tête, Marilyn vit sur son visage qu'elle avait pleuré, du noir avait
coulé de ses yeux.
- Ah te voila toi ! j'espère que ca te servira de leçon à l'avenir
cracha la Madame à l'adresse de la jeune fille
La voix forte et cruelle de la femme résonna comme un gong dans la la tête de
Marilyn, c'en était trop. Elle se mit à sangloter doucement.
- Arrétez immédiatement de pleurer madame, que croyiez vous, je vous avais
prévenu, si encore votre petit truc n'avait pas été fonctionnel mais non vous étes
toutes les mêmes, aguicher les hommes, vous ne savez faire que cela.
Arrétez immédiatement madame, personne ne vous a frappé encore que je sache,
arrétez immédiatement ou vous serez punis. Viens ici toi
dit elle saisissant le beras de la servante et la faisant se retourner.
Dans le même mouvement, elle saisit le bas de la courte jupe et la releva.
Elle baissa les collants bleus et Marilyn se figea. La culotte de la jeune fille
était couverte de sang.
Les yeux fixés sur Marilyn, la femme baissa d'un coup la culotte :
Les fesses de la jeune servante étaient marbrées de sang. Elles avaient été
fouettées cruellement. Son anus était largement ouvert
Marilyn sentait son propre anus aspirer la culotte.
- Reculotte toi siffla la femme à la servante
- Voila ce qui arrive aux filles qui n'obéissent pas madame rajouta t'elle en
regardant Marilyn
- Oui, mais ... voulut protester Marilyn, projetant involontairement sa large poitrine en
avant
- Quoi ? vous vous croyez persécutée ? l'interrompit la femme
- Montres lui
A nouveau elle s'était tourné vers la jeune servante
- La servante souleva sa jupe, baissa son collant et sa culotte
Marilyn resta interdite. Elle fut glacée d'horreur :
Sous le pubis parfaitement nubile de la jeune servante , les lèvres hermétiquement
closes de son sexe était cousues. Un catheter dépassait légèrement.
Marilyn mit une main devant sa bouche comme l'ascenseur descendait et que la
servante se reculottait
- Paulette est votre femme de chambre, vous ne serez pas tentée de jouer avec elle
avec votre ... machin d'autant qu'il va ... elle se tut brutalement comme l'ascenseur
s'arréta.
C'était un long couloir, la madame marchait devant. Chaque porte était munie d'un
regard qu'il suffisait d'ouvrir pour voir ce qu'il s'y passait. Il lui semblait entendre des
bruits étouffés s'en échapper et devant l'une elle était sure d'avoir entendu des cris
de douleur étouffés. Elle en eu la chair de poule. Paulette lui prit la main.
Devant elles , les hauts talons de la Madame marquaient le pas tandis que le martinet
à sa ceinture menacait les deux filles
- Voila c'est ici, pressons nous dit elle tandis qu'elle tournait la clé.
- Tout doit être pret quand Monsieur va venir, dépéchez vous, allez, au bain.
La chambre était presque aussi grande que la précédente mais l'éclairage ici
était artificiel. De vaste penderies l'entouraient, équipées de miroirs.
Au centre trônait un grand lit, recouvert d'un drap de satin blanc.
Mais à la différence de celui de l'autre pièce, celui ci était muni sur tout son contour
d'anneaux de fixation et du plafond pendait de nombreuses chaines
Un pan de mur était recouvert de hautes vitrines remplies d'objet colorés.
Emmenée vers la salle de bain, Marylin crut y distinguer de nombreuses formes
oblongues de tailles diverses. Elle reconnut les godemichés. Certains étaient réellement
énormes. Elle en sourit intérieurement quelle drôle de collection d'objets grotesques
inutilisables
Elle fut une nouvelle fois baignée, parfumée, maquillée un peu outrancièrement pensa t'elle.
Paulette peignit ses ongles avec soin, un rouge vif. La Madame intervint avec un pot de vaseline.
Elle en enduisit copieusement ses parois anales. Son anus était resté anormalement béant, ses
grosses lèvres formant une grande bouche ouverte
Elle eut mal quand la Madame troua brutalement sa langue d'un très gros clou et ses lèvres de
trois anneaux. Elle lui fit boire un liquie tres amer et curieusement elle ne saigna pas,
au contraire elle se sentit soudain très bien. Elle la fit encore boire de ce liquide et Marilyn avait
envie de rire.
Paulette la para d'anneaux de grandes tailles à tous les endroits prévus. Quand elle saisit entre
deux doigts la petite verge et la masturba, Marilyn la regarda avec des yeux reconnaissants
et le sexe se raidit et vit se plaquer contre son ventre. Alors Paulette relia l'anneau du gland
et celui du nombril immobilisant la verge.
La Madame se saisit dans une des armoires vitrées de ce qui ressemblait à un tube en verre d'environ deux centimètres de diamètres et vingt de long, terminé à une extrémité par une poire.
Elle le barbouilla de vaseline et ayant ordonné à Marylin de s'étendre sur le dos, elle l'introduisit
dans sa verge.
Bien que surprise au début, Marilyn regarda le tube disparaître dans son uretre et bientôt la
poire vint embrasser son gland ce qui la fit rire. Elle sentait le tube dans son ventre.
Paulette lui fit enfiler des collants voile parme et une baby doll. les collants étaient tendus
sur son ventre et sur l'excroissance de la poire. Ses seins nus sous le voile dardaient comme
deux obus. Puis elle la chaussa de sandales très hautes à talons compensés
Enfin, la Madame lui ordonna de se mettre à quatre pattes sur le lit et Marilyn s'exécuta de
bonne grace. Puis par une courte châine elle relia l'anneau de son nez à la téte du lit et lui fit
écarter les jambes légèrement. Se plaçant derrière elle, elle frotta sa main contre les
colllants à l'endroit de l'anus. Marilyn eut un soupir d'aise comme les collants tendus
s'humidifiaient de vaseline
Finalement, les deux femmes quittèrent la pièce silencieusement et refermèrent derriere elles
la lourde porte capitonnée. Marilyn entendit à peine le bruit des clés.
Elle se sentait merveilleusement bien
(A suivre ...) Carole le Vice alias Lilileet le 24 Mai 2021
Le Mur