De grands lustres en cristal scintillaient depuis le haut plafond.
Des meubles imposants aux objets d'art, tableaux, sculpture l'endroit
respirait l'opulence et le luxe
Une dizaine d'hommes en costumes se tenaient debout dans la pièce.
Monsieur était assis près d'une immense cheminée ou brûlait un feu d'enfer
et était en pleine discussion avec l'homme en face de lui.
Marilyn sentait le souffle aigre de la Madame dans son dos.
Un léger courant d'air s'infiltrait dans son déshabillé lui donnant une conscience
aiguë de sa nudité.
Elle sentait le souffle du vent sur son anus et la présence des six anneaux qui
le paraient. le vent léger qui s'engouffrait entre ses cuisses et sous sa culotte
enflammait ses testicules douloureux. Elle serra les cuisses et se mordit les lèvres,
ses genoux se rapprochant et ses mules prenant un angle comique.
Les hommes avaient tous tourné la tête vers elle et les conversations s'étaient arrétées.
Monsieur qui avait une discussion animée semblait ne pas l'avoir remarquée mais l'homme
en face de lui, tout en lui répondant, tourna la tête et sa bouche resta ouverte.
Comme Monsieur tournait enfin la tête, Mariliyn fut poussée dans la salle par la femme dans
son dos. Elle avanca de deux pas et se trouva dans la pièce.
- Viens ici près du feu ma belle chérie
dit Monsieur en agitant la main.
Aussitôt les hommes se mirent en mouvement vers elle en chuchotant entre eux.
Ils la rejoignirent comme elle s'approchait de Monsieur, rougissante de tous ses regards
sur son corps offert.
- Déesse, disaient les uns
- Merveilleuse, disaient les autres ou encore
- Fantastique
Marilyn était consciente de tous ces regards qui passaient alternativement de son visage
à ses seins, à ses jambes et à son sexe. Son fard ne la quittait pas comme elle sentait
les regards se poser sur les anneaux de ses testicules, brillants sous les voiles.
Comme elle n'était plus qu'a deux mètres de Monsieur, une main se posa sur les fesses
de Marilyn. Elle sursauta de surprise et voulut se dégager mais la main de la femme
qui la suivait comme son ombre s'était refermée sur son bras comme une serre.
- Ne t'inquiète pas dit Monsieur, nous sommes entre amis
Marilyn le regarda et la main posée sur ses fesses se fit plus insistante,
inquisitrice. A trvers ses voiles, des doigts palpaient les anneaux de son anus tandis
qu'une voix enrouée susurrait
- Adorable
- Allez, viens t'assoir sur mes genoux ma chérie
conclut Monsieur en se frappant la cuisse
Marilyn, assise de côté sur les genoux dee Monsieur, ses pieds ne touchaient pas terre
et ses mules tombèrent.
Un des hommes se précipita et le cou rougit parcourut d'une grosse veine saillante
s'agenouilla près d'elle.
Il saisit un petit pied et resta un instant immobile. Marilyn le regarda tandis qu'il lui
caressait la plante du pied. Elle frémit et ses doigts de pieds s'écartèrent tendant le
nylon de ses bas et révélant les bagues qui les ornaient.
- Magnifique, dit l'homme en la rechaussant
- Allons, allons, Marilyn dit merci à monsieur Charles il est un peu fétichiste, dit
Monsieur en riant, accompagné par les autres hommes.
- Merci monsieur, dit elle
- Non,non pas comme ça, insista Monsieur
L'homme agenouillé releva la tête et s'appréta à se relever. D'un geste Monsieur
écarta les cuisses de Marilyn. A nouveau celle ci rougit fortement.
Son sexe jusque là dissimulé apparût à la vue de tous. Elle n'avait pas été insensible
aux caresses sur ses bas
Sa petite verge à demi tendue tendait horizontalement la culotte et de chaque
côté pendaient ses petits testicules ornés d'anneaux qui dansaient librement.
Les lèvres fardées de rouge de son gland gonflé orné d'un anneau embrassaient le nylon
et son méat béait très largement, découvrant les profondeurs de l'urêtre
- Un magnifique travail d'un de nos amis chirurgiens ici présent, rajouta Monsieur désignant l'un des hommes.
Nouveaux murmures
- Allez, un bisou, dit Monsieur
- Mais ... voulut commencer Marilyn
Mais sa bouche fut baillonnée par celle de Monsieur, qui tira sur l'un des anneaux de ses seins
Marilyn sentit la bouche de l'homme qui étreignait son gland, sa langue poussant le nylon
dans son urètre.
- Mmmh fit Marilyn qui ressentait plus fortement la douleur de ses testicules perçés alors que
sa petite verge se redressait et venait se plaquer contre son ventre.
L'homme se redressa complètement et s'écarta, comme s'il ne s'était rien passé.
Monsieur libéra la bouche de Marilyn et sourit comme il découvrait l'anneau de son nez.
Il lui demanda d'ouvrir la bouche et eut l'air contrarié. Il s'adressa à la femme toujours
dans l'ombre :
- Je croyais vous avoir donné des instructions pour la langue Victorine : Un gros clou
et trois anneaux.
Il saisit le visage de Marilyn par l'anneau de son nez et lui donna un nouveau baiser
- Ce n'est pas grave ma chérie, la prochaine fois .
Il sourit puis se retourna définitivement vers son interlocuteur avec lequel il reprit sa discussion
animée. Les deux hommes parlaient anglais et Marilyn comprenait peu ce qu'ils disaient.
Monsieur en parlant avait glissé sa main sous le déshabillé de Marilyn et sous sa culotte et
jouait alternativement avec les anneaux de ses testicules, de son gland et de son anus.
Il semblait ne pas préter attention aux gémissements, aux petits cris de Marilyn quand il
tirait plus fort sur les anneaux, ses jambes gainées battant l'air de frustration.
Dans les moment de répit, Marilyn saisissait des bribes de conversation ou Il semblait
étre question de pur sangs, de reproducteurs, ce qui faisait penser à Marilyn que Monsieur
devait s'intéresser aux chevaux. Mais parfois, comme ils parlaient de "donkey" et de "pig"
Marilyn, se souvenant des cours d'anglais qu'elle avait reçu, était déroutée et finalement pensait
qu'il devait s'intéresser aux animaux en général.
L'interlocuteur de Monsieur, pour qui l'anglais semblait une langue étrangère, cherchait
souvent ses mots et faisait de grands gestes. Parfois Monsieur intervenait, hochait la tête
quand l'homme semblait désigner Marilyn de la main en parlant.
Comme, tout à sa discussion, Monsieur tira un peu trop fort sur les anneaux de testicules
de Marilyn, celle ci poussa un cri. Monsieur, semblant prendre conscience de sa présence,
retira rpestement sa main de la culotte et tapota
légèrement les testicules en lui embrassant un sein.
- Demain, visite du zoo ma chérie lui dit il
c'est donc ça, pensa t'elle aussitôt, il doit y avoir une ménagerie dans le parc, j'ai cru entendre
des henissements en arrivant
- D'accord, conclut il en français à l'adresse de l'homme , nous verrons cela plus tard cher docteur,
mais il faudra combiner cela avec la feminité, pas de confusion de genre ! Allez, il est temps de
passer à table messieurs.
Il se leva et tous les hommes, laissant là leurs discussions, le suivirent.
La Madame escorta Marilyn jusqu'à table. Elle était assise entre Monsieur et un homme tout en noir
qu'elle n'avait pas remarqué jusqu'alors mais que les autres semblaient éviter. Il ne la quittait pas
des yeux. Il avait le teint cireux et de petits yeux injectés de sang, se tourna vers la Madame
qui se tenait derrière marilyn et hocha la tête vers elle. Elle répondit de ce qui aurait pu paraître
un sourire. Sous la culotte de Marilyn, deux petites
taches de sang s'étaient formées à l'endroit des
testicules.
(A suivre ...)
Carole le Vice le 16 Mai 2021
Le Mur