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La Nouvelle vie de Marilyn Chapitre 4 from Blog de lilileet

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Tous les yeux étaient tournés vers elle.

Il y avait des jardiniers, cuisiniers, servantes, 

pas mal de blouses blanches, à l'étonnement

un peu inquiet de Marilyn, des infirmières, des 

messieurs en costume aux allures de médecins

mais surtout, en première ligne, une

 grande femme très mince, en veste et tailleur

noirs, bas noirs et escarpins.


- Bonjour Victorine, voici Marilyn.


Dit Monsieur à l'adresse de la femme.

Arrivée tout près, Marilyn l'observait.

Elle avait un visage long et maigre, un rouge à

lèvres discret  et un maquillage outrancier sur

les paupières qui tranchait avec son aspect

 austère et lui donnait l'air horriblement vulgaire.

Pour completer son personnage, elle portait

à la taille un impressionnant trousseau de clés.


- Marilyn, je te présente Madame Victorine.

C'est elle qui est en charge du bon

 fonctionnement de la maison. 

Ses ordres sont mes ordres. 

Tous ici doivent lui obéir et 

cela t'inclut Marilyn. Me suis je bien

fait comprendre ? ajouta t'il en la dévisageant

durement


- Ca ne va pas beaucoup me changer pensa

 Marilyn en hochant la tête. Finalement cette 

 Victorine est une Madame. Pourtant le lieu 

 n'avait pas l'air d'une Maison Close, il n'y avait 

 pas de filles. 

Ce qui étonnait le plus Marilyn, c'était toutes ces

 blouses blanches qui faisaient penser à une

 clinique.


- Conduisez Madame à sa chambre Victorine 

 ordonna Monsieur


La femme, qui détaillait à son tour Marilyn les

 lèvres pincées, demanda d'un ton sec qui avait un

air de défi

- laquelle, Monsieur ?


Aussitôt, on sentit comme un tresaillement

dans la rangée du personnel


- Nous en avons déja parlé,

répondit d'une voix plus forte Monsieur.

Aidez la à se préparer pour le diner


- très bien, fit la femme et se rapprochant de

Marilyn

- Suivez moi Madame.


C'est alors que Marilyn remarqua le martinet à 

sa taille.


Devancant Marilyn montant les marches, exposant 

la couture de ses bas aux talons à la française, la 

femme roulait ses maigres hanches ce qui

 paraissait risible si on comparaît à Marilyn dont 

la démarche chaloupée accentuée par la hauteur

 de ses talons, déchaînait à chaque pas un roulement naturel  à faire frémir un saint, de ses

 fesses et de ses hanches, tandis que ses seins 

parfaits rebondissaient sous la combinaison.


Tendant le bras, la femme agrippa une fille en tablier 


- Viens toi ordonna t'elle 


La fille jeta un regard craintif vers Marilyn et la 

 précéda.


Elle portait une courte robe noire, un petit tablier 

blanc, des collants voile bleus et des ballerines 

 noires.


A chaque pas, sa robe se soulevait et dévoilait 

la blancheur de sa culotte sous les collants 


Marilyn se demandait quel age pouvait avoir la 

fille, elle semblait plus jeune qu'elle même.


Elles entrèrent dans un hall monumental et se 

dirigèrent vers un ascenseur que Madame ouvrit 

avec une clé. 

Puis elle appuya sur le bouton +3, inséra sa clé de 

nouveau et silencieusement, l'ascenseur s'éleva.


La chambre était superbe, grande et clair.

Le très grand lit recouvert de soie rose faisait 

face à une grande table à maquillage couverte de 

produits. Marilyn vit son reflet dans le miroir. 

Levant les yeux, elle vit que le plafond très haut

 était lui aussi couvert de miroirs 


 Se dirigeant vers le fond de la pièce où elle avait 

distingué une porte, elle tenta de l'ouvrir mais

 sans succès.


- Que faites vous ? demanda Madame d'un ton

 soupconneux 


- Je voudrais faire pipi répondit tranquillement 

Marilyn 

 - Il fallait demander, répondit la femme 

- Montre lui, dit t'elle à la jeune servante 

aussitôt, celle ci, suivie de Marilyn, ouvrit une deuxième porte. 

Marilyn s'empressa d'entrer 


Une faible lumière éclairait la pièce. Dans la semi 

obscurité Marilyn distingua un étroit lit de fer.

Sur le sol, sur les murs, au pladond, des chaines, 

 des anneaux des crochets encastrés. Reportant 

 son regard sur le lit, Marilyn découvrit le matelas 

souillé et à nouveau sur le sol et contre les murs 

 de nombreux instruments tachés de sang 


Marilyn mit la main devant sa bouche et ses

 narines furent soudain envahis par une odeur 

 fétide


Tenant la main devant sa bouche Marilyn était

 horrifiée. Une chambre de torture, c'était une 

chambre de torture et qui avait servi.


Alors que choquée elle se demandait qui avait 

pu mériter un tel traitement abominable elle

fut saisie par une main énergique qui la tira 

brutalement en arrière et hors de la pièce.


Déja la Madame tournait la clé dans la serrure et 

giflait la jeune servante à toute volée 

 

- Petite idiote, cria t'elle tu sera punie 

- Suivez moi madame, dit elle d'une voix

 mielleuse en appuyant sur le madame d'une

 façon désagréable 

 

- Voici la chambre de Monsieur dit elle en ouvrant une autre porte . La chambre était grande 

et claire comme la sienne mais Marilyn ne la

 voyait plus. Ses yeux étaient remplis de l'horreur

 de ce qu'elle venait de voir.


La tirant de nouveau en arrière, fermant la porte à

 clé et en ouvrant une autre la femme conclut :


- Voici les toilettes, madame, faites vite nous

 devons nous préparer pour ce soir 


Assise sur la cuvette Marilyn sombrait dans le désespoir. De l'autre côté de la porte la femme lui 

expliquait que ce qu'elle venait de voir était en fait

un décor. Monsieur était dans le cinéma il le lui 

avait certainement dit non ?

Enfin bref que ce décor avait été utilisé pour un de

 ses films, qu'il avait été mis là faute de place

 mais qu'il devait être enlevé dès le lendemain 


Mon dieu, c'était tellement réaliste, pensait

 Marilyn, ce matelas souillé et sur le sol,

ces choses abjectes . Elle avait buté sur des

 choses molles qui s'écrasaient, éclataient sous 

ses mules. 

 Et cette odeur pestilentielle ...


Passant la tête par la porte qu'elle n'avait pas

 fermée, la femme enjoignit Marilyn de se hâter.


Celle ci, comme émergeant d'un rêve et choquée 

du regard de la femme sur elle, renfila

 promptement la combinaison descendue sur ses

 cuisses. Elle voulait se débarasser de ses mules 

souillées mais un regard de la femme l'en 

dissuada.


- Allez, suivez moi et asseyez vous sur le lit dit la femme alors que Marilyn la suivait d'un pas mal 

 assuré.


- Paulette, prends les affaires de madame dit elle 

à l'adresse de la jeune fille qui était debout dans un coin, les yeux baissés.


Marilyn était assise nue sur le lit, le bout de ses

 pieds nus touchant le sol.


La femme se tenait devant elle. D'un geste assuré 

de ses mains en coupelles elle soupesa les seins

et les relacha en murmurant des mots  incompréhensibles.

Puis, baissant les yeux, sa bouche se tordit dans 

une grimace de dégoût.


La femme eut un sourire mauvais sur sa bouche

 tordue alors qu'elle découvrait le pénis 

 minuscule et le gland disproportionné traversé

 d'un anneau, les lèvres fardées de son méat 

 souriant et l'anneau à la base du gland qui le 

 contraignait.


- C'est fonctionnel ça ? demanda t'elle 

d'un air dégouté tandis qu'elle saisissait les petits 

testicules et les pinçait de ses ongles.


Marilyn se mordit les lèvres. 


- J'espère pour vous que non dit la femme. Elle ajouta

- et pas parce que je vais percer vos petites 

olives !


- Mais ...

voulut protester Marilyn 


- Ordre de votre mari grimaca la femme 


- Il a dit, les anneaux sur les tétons, vous les avez 

déja, des grandes créoles aux oreilles, au nez un 

anneau, je vois que vous n'êtes pas encore percée 

 là, l'anneau du nombril - elle cochait 

 mentalement des cases -,  l'anneau au bout de

 votre petit truc - regardant le gland de Marilyn,

 vos deux olives à percer d'anneau et ....


 obligeant Marilyn à relever son bassin, 

découvrant les lèvres épaisses de son anus entrebaillé, elle

 les saisit entre ses doigts avec dégoùt

- 6 ici !

- Allez Paulette, amène moi ma trousse et mes 

 gants 


40 minutes plus tard, le visage couvert de 

larmes, Marilyn entrait dans une grande 

baignoire et Paulette lui massait doucement  

les épaules 


Lavée et parfumée, le petit 

triangle de son pubis soigneusement 

épilé, débarassée des rares poils disgacieux,

ses cheveux séchés, Paulette la maquilla


Le pourpre léger sur ses paupières, le rouge baiser sur ses lèvres et - Paulette rougit - le même rouge sur les lèvres du gland et de l'anus. 


Quand Paulette eut terminé, Madame entra de nouveau dans la chambre. Elle fit lever Marilyn 

et la fit tourner sur elle même. Satisfaite, elle 

choisit avec soin les vètements dans les placards

 qui entouraient la pièce :


Paulette laça dans son dos la guépière 

 transparente délicatement brodée qui lui 

 étranglait la taille et présentait ses seins. Elle 

lui demanda de retenir son souffle et jamais la

 taille de Marilyn n'avait été aussi fine. Elle l'aida 

à attacher les 8 jarretelles sur ses longs bas en 

voile blanc, veillant au bon alignement de la

 couture et à enfiler la large culotte en nylon blanc transparente.

Enfin elle lui fit enfiler le très long déshabillé rose 

en voile et les mules roses à pompons et petits 

 talons.


Présentant Marilyn devant le miroir, celle ci 

 pouvait deviner ce que serait la soirée avec 

Monsieur, intime, elle en lingerie 


Elle était un véritable appel au viol. Elle savait 

l'appétit d'elle qu'avait monsieur. Mais ainsi 

parée elle avait le sentiment de réclamer ce 

qu'il lui ferait :


L'anneau de son nez, de ses seins, qui la  

déshumanisaient, dans son sexe, dans son anus 

qui l'appelaient.


Et sa lingerie, si transparente qu'elle était plus que

 nue. 


Ses longs tétons transpercés qui pointaient sous le voile,

les lèvres de son gland et de son anus, si rouges, 

si épaisses, comme un baiser sur le voile de la 

 culotte, les anneaux qui brillaient partout dans la 

 culotte, les ongles rouges sous les bas, ses  

doigts de pieds bagués dans les mules roses ...


En fait de diner, elle imaginait que Monsieur allait 

rapidement abuser d'elle, sans attendre de 

l'emmener dans sa chambre, de la mettre dans son

 lit.


- Allons y, dit la femme 

- Ils vous attendent 


Marilyn fut remplie de stupeur, 


ILS ? ...



(A suivre ...)


Carole le Vice alias Lilileet Le 12 Mai 2021






























































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Billet

Par lilileet
Ajouté Mai 14 '21

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