Monsieur l'arréta d'un geste et lui tendit un paquet.
Marilyn, ayant extrait la combinaison jumpsuit qu'il contenait, l'enfila rapidement.
Elle était côtelée, de couleur noir, et moulait intimement son corps volupteux.
Elle ne put remonter entièrement le zip qui partait de sa taille, s'arrétant à la base des seins.
La voiture s'arréta puis reparti, ayant franchi une large grille.
Un bon moment plus tard, la voiture s'arréta de nouveau.
la portière du côté de Monsieur s'ouvrit et le chauffeur, tenant sa casquette à la main,
apparût.
- Enfin arrivés dit Monsieur
- Vous nettoierez la voiture, Georges, Madame a été indisposée
Jetant un regard rapide à l'intérieur de la voiture, ledit Georges, tordant les
lèvres en un rictus de dégoût salace corrigé par sa soumission répondit
- Bien Monsieur,
Jetant un regard sur la trainée ensanglantée du dossier et la large tâche rougie du siège
il posa un regard rapide sur Marilyn avec toujours la même expression.
- Viens vite, dit Monsieur à l'adresse de Marliyn en lui tendant la main comme il s'extrayait de
la limousine.
Celle ci, ayant renfilé ses mules noires de Domina aux talons aiguilles de 18 centimètres qui
cambraient ses petits pieds à l'extrème, le suivit.
Quand elle se redressa, Monsieur passa son bras autour de sa taille
- Bienvenue dans ta nouvelle maison ! dit il, découvrant une trés large demeure de style gothique
Le chauffeur sa casquette à la main et tenant
toujours la portière était maintenant bouche bée
et ne pouvait détacher son regard de Marilyn
Au côtés de Monsieur qui la tenait par la taille,
Marilyn était aussi grande que lui.
Ses pieds étaient nus dans les mules, ses ongles
vermillon. Ses longues jambes jusqu'au
chevilles étaient gainées par la combinaison
Ses larges fesses et ses hanches larges accentuaient la finesse
extrème de sa taille. Le décolleté très généreux
laissait apercevoir la rondeur de ses gros seins
qui pointaient sous l'étoffe.
Ses lèvres charnues légèrement entrouvertes laissaient apparaître les perles de ses dents,
ses longs cils de biche couvraient ses magnifique yeux verts. Sa féminité extrème n'était
en rien entamée par ses cheveux coupés court.
Soudain sur les gravillons on entendit une
cavalcade et un enorme chien apparut.
C'était un genre de doberman, peut être un
mâle pensa Marilyn.
Le chien trotta joyeusement jusqu'à eux et
vint se tenir au côté de Monsieur.
La langue pendante, le chien quémandait
des caresses. Puis, tournant autour du couple
il s'intéressa à Marilyn
Le chien s'approcha de Marilyn et la renifla.
Se tenant face à elle, il plaqua son museau entre
ses cuisses. Puis il s'écarta et commenca à
gronder. Il se placa derriere elle, grondant
toujours et colla son mufle entre ses fesses
Marilyn, qui sentait la chatouille mouillée de
la truffe du chien et ses puissants reniflements
à travers la combinaison contre son anus n'osait
pas bouger.
Puis soudain le chien cessa de gronda, jappa joyeusement
et se mit à gambader autour d'eux.
C'est bien un màle, pensa Marilyn en regardant le chien joyeux.
Sous son ventre, un long pénis effilé était sorti de la gaine de son ventre.
Debout sur les pattes de derrière il vint s'appuyer sur Monsieur, toujours
jappant joyensement en tirant la langue
- Oui, je sais, elle est belle la dame , dit Monsieur en caressant la tête du chien
- Vous aurez l'occasion de jouer tous les deux plus tard, rajouta t'il en posant une
main sur les fesses de Marilyn
- Allez Néron, laisse nous conclua t'il en repoussant le chien dont le très long sexe
rose restait tendu comme un poignard
Pincant et tapotant la fesse de Marilyn, il lui glissa
- Tu as de la chance, Néron t'aime beaucoup, tu devra être très gentille avec lui
la prochaine fois, tu as vu dans quel état tu as mis la pauvre bête.
Reprenant sa taille
- Nous avons oublié le corset, j'ai l'impression que tu prends du ventre toi
Marilyn savait que son estomac était vide, la diète qu'elle devait suivre était drastique
et la seule chose qui remplissait son ventre c'était le sperme de Monsieur, qui venait
encore d'éjaculer en elle après l'orgie de la nuit dernière.
Reprenant la marche vers la vaste demeure, tenant la main de Marilyn, elle chaloupant
sur ses talons aiguilles, ses fesses et ses seins gainés dans la combinaison il dit :
- Allez viens, je vais te présenter au personnel
Il les dirigea vers l'allée que formait le personnel nombreux au pied des marches.
(A suivre ...)
Carole le Vice alias Lilileet Le 5 Mai 2021
Le Mur