reçu son éducation ainsi que peu à peu les traitements qui avaient fait d'elle une superbe
jeune femme. Car Marilyn était née garçon mais suivant la volonté de sa mère était devenue
fille, couvée qu'elle était par toutes les filles de la maison, par la mère maquerelle un peu sorcière
qui avait dispensé les traitements de sa transformation et par Monsieur, qui avait décidé très tôt queMarilyn serait sa femme.
La dernière année avait été très éprouvante pour Marilyn, son corps avait été sculpté selon les
désirs de Monsieur, sous le regard effrayé de sa mère qui comprit trop tard que Monsieur, loin des
sentiments charitables du départ, était un monstre pervers qui avait fait de sa fille un pur objet sexuel
Non seulement avait elle reçu des traitements de chirurgie esthétique qui l'avaient doté d'une très forte poitrine, son bassin avait été élargi, des côtes enlevés, ses lèvres gonflées et horrible détail
une partie de la production de ses testicules redirigée vers son anus. Sa mère avait manqué devenir follle en l'apprenant et elle vivait maintenant dans un brouillard rempli d'hommes qui venaient se
servir de ses charmes. Elle apprenait par bribes des autres filles d'autres détails monstrueux qui
maintenant la laissaient indifférente. Comme ces injections qui avaient rendues trés pulpeuses les
lèvres de son ... pénis et de son ... anus. Elle avait appris que le canal de son urêtre avait été
très élargi, donnant aux lèvres de son gland l'aspect d'une bouche entrouverte, elle n'osait deviner
pourquoi. Elle avait appris que l'orifice de son anus avait été considérablement élargi, de façon
permanente également.
Des larmes coulaient lentement de ses joues tandis que le visage appuyé contre une fenêtre,
elle vit partir pour toujours sa pauvre petite fille accompagné du monstre qui était son mari.
Seule elle pensait à ele comme une petite fille, tous les autres qui virent partir Marilyn ce jour là
virent une superbe pute, une rare bimbo aux fesses épanouies, à la démarche chaloupante, montée
sur des mules à talons aiguilles interminables, vétue d'une mini jupe qui découvrait le haut de ses
bas, avec de très gros seins bandés, un visage et des cheveux magnifiques, curieusement les
yeux baissés et tenue par la main par un colosse.
Marilyn était comme anesthésiée, tandis que Monsieur, lui tenant fermement la main, se dirigeait
vers une grande limousine où attendait patiemment un chauffeur en livrée. Celui-ci, retirant sa
casuette, ouvrit la portiere, tandis que Monsieur poussait Marilyn à l'intérieur de la voiture.
Monsieur ayant pris place à son tour du côté opposé, la portière claqua.
- A la maison, Georges
dit il tranquillement tandis que sa main ressaisissait celle de Marilyn.
Elle releva enfin les yeux. Sous ses fesses elle sentait le contact froid du cuir.
Elle vit que le chauffeur la regardait dans le rétroviseur, ou plutôt qu'il regardait son entrejambe.
Sa mini jupe remontée ne cachait presque rien de son intimité, le haut de ses cuisses, blanches et
charnues au dessus de la lisière des bas, les attaches dorées des jarretelles et dans l'ombre le
reflet brillant d'un anneau et une boule rose.
Elle vit que son visage couperosé devenait pourpre ainsi que son gros cou, que ses grosses mains
serrérent très fort le volant et que les jointures devinrent blanches.
Instinctivement elle passa la main sous ses fesses, saisit l'extrémité de son body que Monsieur
avait défait plus tôt dans le bureau de Madame et, libérant son autre main de l'emprise de
Monsieur, saisit l'autre extrémité du body afin de réajuster les boutons pression, couvrant son
intimité, son anus et son pénis.
- Non !
ordonna Monsieur
Et ce disant, glissant la main sous sa jupette, de deux de ses énormes doigts il saisit son gland
rose et tirant, étendit la petite verge de Marilyn sur la banquette. Puis en souriant, de ses deux
doigts saisit les testicules et les reposa de chaque côté de la verge. Et Marilyn suivant la main du
regard, le vit ressortir de sa poche une laisse dont il accrocha promptement l'extrémité à l'anneau
qui traversait le gland de Marilyn tandis qu'il liait l'autre extrémité à un autre anneau beaucoup
plus gros fixé dans le dossier du siège devant elle.
Plus que son humiliation, elle était fascinée par cet anneau fixé dans le siège, comme si cela était
naturel, qu'il était normal et habituel qu'elle se trouve ainsi entravée.
Le silence s'installa dans l'habitacle, Monsieur ferma les yeux, sembla dormir.
Le chauffeur fixait maintenant sans aucune gène l'entrejambe de Marilyn. Il se tortillait
sur son siège, Marilyn était sûre qu'il se masturbait. Elle préféra regarder par la fenêtre,
elle savait que l'homme regardait, entre ses jambes gainées de bas, sa fine verge entourée des
des petits testicules, le gland rose et l'anneau.
Au bout d'un long moment, sans ouvrir les yeux, Monsieur dit
- Ca vous plaît, Georges
- Oui
répondit celui ci d'une voix rauque
- Donne moi tes pieds
ordonna t'il à Marilyn
Elle retourna la tête et obéit, quittant ses mules elle se retourna à demi vers Monsieur, son
pénis toujours entravé et posa ses pieds sur les cuisses de Monsieur, sa jupe totalement
remontée à présent, son sexe complètement découvert. Dans le mouvement un de seins pointa tel
un obus sous le fin body noir, le téton saillant tel une petite verge tendant le nylon. Ses larges
fesses blanches apparaissaient également ainsi que le large orifice de son anus.
Le chauffeur avait les yeux exorbités et une de ses mains avait quitté le volant.
Monsieur saisit les petits pieds gainés de Marilyn, appliqua des baisers sur leur plante et les lécha.
Marilyn fermait les yeux, le plaisir mélé de honte était intense, elle sentait ses seins gonflés et durs
son anus qui palpitait. Elle repensait à la nuit précédente, à tout ce que Monsieur lui avait fait
subir, toutes ces choses inommables qu'il avait fait et qu'il lui avait fait faire. Et elle savait qu'elle
était à lui et qu'il ferait d'elle ce qu'il voulait.
Pourtant, dans la position où elle était, son intimité ainsi dévoilée, elle nne voulait pas offrir à ce
chauffeur repoussant, l'image de sa plus grande humiliation. Elle savait qu'il avait les yeux fixés
sur l'ouverture béante de son anus qu'elle sentait palpiter. Pourtant son sexe bien visible retenu
par la laisse à demi tendue ne reflétait pas le plaisir qu'elle prenait et elle en ressentait de la fierté
dans son humiliation.
Alors Monsieur, semblant lire dans ses pensées, eut un sourire malicieux et, approchant les pieds
de Marilyn de sa bouche, lécha doucement ses orteils à travers le nylon, les goba, les suça, découvrant les bijoux dont chaque orteil était paré.
Une vague de plaisir foudroyante atteignit alors Marilyn
- Non,non
pensa t'elle.
Mais déja son fin pénis s'allongeait, se redressait en se recourbant, ses petits testicules dégagés
de son ventre à présent se dressaien fièrement, la laisse se tendit
Elle sentit sous elle une petite flaque se former et elle gémit en murmurant
- non, non
Alors la voiture fit un écart et elle entendit un grognement.
-Ca y est
pensa t'elle
- L'autre brute a éjaculé
Elle n'eut pas le temps de penser davantage, déja la grosse main de Monsieur était sous ses fesses
et tâtait appréciativement la surface de son orifice anal.
Il détacha la laisse de son gland et la verge retrouva sa forme initiale. Seul le gland de Marilyn,
contraint par l'anneau qui l'enserrait, restait anormalement gonflé et noir par le sang qui le gorgeait
(A suivre - Carole Le Vice alias lilileet Le 7 Mai 2021)
Le Mur