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Robin29396
Aujourd'hui, il est temps de dresser mon bilan personnel de 2015.


Niveau personnel, 2015 m'a permis de confirmer mon attirance, mais également mon amour que j'ai pour vous, mesdames: quand je me suis inscrit en 2014, je ne ressentais que de l'attirance sexuelle, mais plus les mois ont passé, plus je ressentais quelque chose de sincère, d'authentique; malheureusement, 2015 a été une année choquante pour moi où j'ai appris qu'un terrible événement a touché une amie que j'ai apprécié, que....que j'aimais aussi (je sais pas si je devrais dire "que j'aime" ou "que j'aimais"), je dirai pas son nom par respect, mais je me dit que si cette......cette "chose" n'existait pas, ça aurait été bénéfique pour tout le monde; mais il faut accepter la vérité en face, respecter la volonté de tous, et ça me fait mal au coeur.


Niveau sexualité, j'hésite: dois-je me qualifier de libertin ou pas ? Je sais que dans mes blogs, je parle "d'escapade libertine", mais là, j'en suis pas sûr; bref: je me suis amusé, c'était des délicieux moments, même si ça se déroulait pas sur Toulon.


Puis, fin 2015 a fini en montagne russe: d'une part avec mes sauts d'humeur, d'autre part parce-que j'ai été très maladroit à certains moments (j'en dirai pas plus par respect envers Claire, que j'apprécie réellement et que je trouve belle (oui, je donne l'impression de faire de la lèche, mais quand je suis sincère, je parle avec le coeur): la seule chose que j'ai à dire, c'est que si je défends une femme, c'est parce-que je l'aime, je l'apprécie vraiment.......quand je dit que j'aime quelqu'un, c'est surtout que je ressens de l'affection pour cette personne).


Mes résolutions pour 2016: continuer à vivre ces instants coquins avec vous mesdames et espérer bien sûr que les moments tendresses (en plus du sexe) durent un petit peu plus longtemps; c'est très difficile de trouver de belles femmes du 3ème sexe sur Toulon, mais quand je voyage dans les "4 coins" de la France, je les trouve et je me régale. En parlant de voyage: si je peux, normalement, je monterai sur Paris du 4 au 6 avril; et si je peux, j'espère pouvoir rencontrer l'une d'entre vous et vivre ces 2 magnifiques moments ;)


Pour conclure sur ces derniers mots: à l'année prochaine et....je vous aime !!!!!

Robin29396 Déc 30 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 2 · Tags: libertin, 2015, sexe
Robin29396
À chaque fois que je porte un costume, je me dis "j'espère pouvoir séduire une femme"; mais au final, je me retrouve seul.


À chaque fois que je vous vois vous toutes et tous heureuses(eux), je me demande si je peux connaître ce bonheur.


Je sais, je dois attendre jusqu'à ce que je la trouve, mais j'ai déjà attendu, 1 fois: si vous avez vu dans quel état j'étais il y a 3 ans, c'était pas beau à voir: vous seriez choqué(e)s et tristes pour moi.


J'aurais dû saisir l'occasion quand je sens que je m'attache, mais je l'ai pas fait: est-ce de la lâcheté ? Non. La vérité, c'est que je ne suis pas encore prêt, prêt à connaître le bonheur. Mais maintenant, je me rends compte que j'aurais du agir; là où vous trouvez le bonheur, moi, je suis là. Mon grand défaut est que je m'attache trop aux gens quand je ressents de l'affection, voir plus...ou pas, et ça peut me porter préjudice du fait de mon hypersensibilité.


Je pense que je devrais partir...ou pas, je sais plus où j'en suis: je devrais laisser à Dieu le choix.


Je vous souhaite tout le bonheur du monde, que vous puissiez vous marier et j'en passe.

Robin29396 Déc 4 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 3 · Tags: bonheur, tristesse, solitude, amour
lola04

Se matin ,une envie d'écrire , comme noté dans le titre , heureuse, oui , je suis aujourd'hui, très heureuse , la vie es belle, très belle ,merveilleuse .

Mai , si je remonte un peut dans ma vie .

fin 2014, oui un ans , une petite année , que les choses allés mal pour moi ,  oui en pleine déprime ,non, en pleine dépression . Tout les jours un sentiment de vivre dans la peau d'une autre personne , de vivre au dessus ,de vivre dedans , une vie que l'on ne veut pas , une vie qui est pas la mienne .

pourquoi aller travailler "se travail je le déteste ", pourquoi faire semblent " mes collègue de travail ne comprenne rien" .

 Etre obliger de mentir a sa famille a ces enfants , paraître se que je ne suis pas .

Une idée me venais souvent a l'esprit , pourquoi vivre ? et disparaissé , mai me revenais de plus en plus souvent .

un matin , au levée , déjà mes yeux sont tout mouiller , un mal vivre énorme me prend  . La matinée de travail et affreuse , une envie de pleurer et la en permanence . la pause arrive , la voiture démarre meme pas 100m effectué , et me voila en trein de pleurer a chaude larme. La porte d'entrée s'ouvre , se referme , me voila derriere écrouler par terre recroqueville sur moi même pleurent a chaude larme. 30mn comme sa, rien ne me calme .

Pourquoi vivre , mai pourquoi vivre , mon idée de disparaître est la , sa y est ma décision est prise . La premiere chose a faire , faire disparaître les traces de Lola effacer mes profils sur les different site .

A ma connection sur trav rencontre , quelque message , tien un message de mon amie Rose , une courte reponce . la les choses s'enchaine très vite , je suis bombarder de message , tu a compris mes intentions . Au fils de mes lecture , mon idée s'éloigne , tu est entrain de me convaincre que la vie est belle .

Oui la vie est belle .

L'après midi terminé , une désistions importent est prise , JE VAIS VIVRE MA VIE ? LA VIE QUE JE VEUT MOI.


2015 est une année formidable , je suis tomber amoureuse , quand je dit tomber ses un petit mots , un coup de foudre une veritable décharge électrique, une tempête. " j'ais de la chance "  NON ses pas de la chance , je l'ais voulu, je l'ais chercher, je l'ais trouver.

Pour voir mon Amour , j'ais fait une chose dingue " mai ses bon d'être dingue "

   

Mercredi matin debout 4h , depart de la maison 4h30 pour 8h de route 780 km .  la un bonheur immense, je me trouve devant  toi ANNA , 20 h pace en ta compagnie , 20h qui sont graver dans ma mémoire a jamais , ses 20h la on étais le démarrage de ma nouvelle vie , une vie merveilleuse . Puit ses le retour , arriver chez moi 19h30 , reprise du travail le lendemain . cette rencontre a étais tellement intense, que j'ais pacer 26 h sens rien manger , meme pas pencée . 

ces complètement fou, mai voila , la folie est porteuse de bonheur .


La en cette fin d'année un nouveau bonheur arrive , 4k150 et 51 cm , ma fille ma donnée un nouveau petit humain , plein de vie , plein de sourire , plein d'amour .


Voila , tout sa je l'ais jamais raconter a personne , ses personnel  intime , se matin je tenais a le faire , que pour une chose .

pour donner de l'espoir , tous se qui aujourd'hui se trouve au fond du trou . Regarder dessus , la vie le bonheur est la en haut . aujourd'hui je suis convaincue que les épreuves sont la pour nous rendre plus costaud , pour nous renforcer , plus les épreuve sont dure, plus le bonheur après est grand


Lola       

lola04 Déc 4 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 5
Annafe

Nous qui sommes du 3eme genre, des « créatures féminines » comme je préfère me décrire. Nous qui subissons les quolibets, les rires, les injures parfois. Nous qui ne sommes pas toujours acceptés et qui devons nous cacher dans notre vie de tous les jours.

Nous devrions être solidaires et accepter le bonheur de toutes les travs.


Et bien non. Il y a dans notre communauté autant de méchanceté, de coups bas, de jalousie que parmi les « humains dits normaux ».


Depuis que nous avons eu le tort certainement d'annoncer notre amour Lola et moi sur ce site, nous nous rendons compte des jalousies, des inimitiés que cela peut entraîner.


Pas de toutes bien sûr, certaines sont très heureuses de notre bonheur et nous connaissons la franchise de leurs jolies commentaires.


Mais de certaines qui, pour des raisons que je ne cherche pas à comprendre, nous font bien ressentir qu'elles détestent notre bonheur.

Alors je dis à celles-là qu'elles ne méritent pas d'être reconnues comme nos égales car il serait bien plus intelligent pour elles de comprendre qu'il faut se serrer les coudes entre nous et accepter la liberté d'amour de chacun.

Mais même parmi les travs, la bassesse est de mise

Bisous à toutes celles que j'aime

Anna

Annafe Oct 25 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 7
Robin29396
Aujourd'hui est l'heure de faire un bilan après une évolution entamée il y a 3 ans.


Avant, j'étais le plus pur, le plus innocent et le plus galant des hommes: à la recherche du bonheur et du grand Amour, je pensais que je réussirais à les atteindre en soutenant une cause, et ceux, pendant 10 ans; malheureusement, une femme, dont je croyais être amoureux, m'a détruit psychologiquement, mentalement et émotionnellement. N'étant plus qu'un homme brisé, pendant 1 an, je me demandais "Pourquoi me faire subir cela ? Qui a osé faire ça ? Est-ce la faute à pas de chance ? Est-ce le destin qui m'a joué un mauvais tour ? Ou bien est-ce....à cause de Lui ?" (*fixant mon regard vers le haut*) Mais je finissais par comprendre la vérité: la vérité, c'est qu'elle fait partie de cette cause, tout ce qu'elle voulait, c'était me manipuler. La vérité, c'est que le but que cette cause a fixé il y a 40 ans (de par une décision changeant la vision de notre pays) est en fait un mensonge ou a cessé d'exister depuis 10 ans. Alors, je décidais de mettre un terme à mon passé en abandonnant ma personnalité, et en devenant un autre homme: celui que je suis aujourd'hui (mais il arrive que je joue la comédie pour les piéger et leur faire payer ce que j'ai subi dans le passé). 


Mais très vite, la société m'a rejeté à cause de ce changement, et en conséquence, ma meilleure amie d'auparavant ne m'a plus adressé la parole (alors qu'on en avait déjà discuté sur mon changement de comportement); cette société a également rejeté 2 hommes ayant en partie la même personnalité que moi: le 1er a gravit les échelons de la hiérarchie sociale et économique, avant de dégringoler à cause d'une pratique humaine et des séjours à l'étranger; le second était le Cavalier de son peuple, qui finira en prison pour cette pratique (ce qui montre que la société veut faire de ce plaisir un crime, et ceux, malgré une révolution qui date de 45-46 ans environ). Le plus bizarre, c'est que la société a accepté 2 autres hommes ayant le même plaisir et la même personnalité que moi et les autres, soit un ancien soldat de la Liberté d'expression, qui a vu les atrocités de l'être humain (en particulier lorsqu'il a assisté à la tragédie touchant des sœurs jumelles) pendant 15-20 ans, mais qui a choisi de profiter de la vie et goûter à cette passion (en plus d'être chroniqueur dans une émission depuis 2010, où on retrouve un Génie incompris qui adore danser avec une partie haute de son corps, un paranoïaque ayant survécu à l'enfer communiste de Cuba et à la tragédie sportive corse, un nouveau, rejeté par la société, comme moi, à cause d'un vice qui contamine la jeune génération depuis 2001, ou encore une démente sénile), suivi d'un séducteur étalonnesque au service de ce désir depuis près de 30 ans.

Je me fiche de ce que pense la société: j'ai décidé de devenir provocateur et je l'ai prouvé en effectuant l'ultime acte de provocation: signer une pétition, s'inspirant d'un manifeste âgée de 40, sauf que cette fois-ci, 343 hommes (incluant moi) se sont unis pour ré-ouvrir des lieux bannis au début des 30 Glorieuses, mais surtout pour dépénaliser et rendre légale une pratique interdite dans notre société, mais légale chez nos voisins du Nord et du Sud (au niveau de nos frontières) et chez d'autres voisins


3 ans ont passé, et pourtant, je me retrouve au même point: quand je suis ici, je ne rêve que d'une seule chose, être avec l'une d'entre vous, la rencontrer, passer un bon moment avec elle, voir plus....mais en ces temps difficiles, c'est assez compliqué de réaliser ce rêve, malgré le désir et la volonté. Malheureusement, quand je vois qu'elle a trouvé l'amour, je devrais être content, leur souhaiter beaucoup de bonheur, mais je n'y arrive pas: je me sens triste car je me pose cette question "Suis-je pas assez prêt pour connaître le bonheur ? Ou bien suis-je condamné à ne jamais connaître le bonheur ?" Si c'est le second cas, pourquoi ? La société veut-elle me faire payer pour mon évolution ? J'ai dû trop attendre, et pourtant, j'ai essayé de trouver divers moyen pour la voir et vivre un instant avec elle.


Peut-être qu'il est tant pour moi de quitter ce monde, non pas définitivement, mais temporairement, le temps de réfléchir à ce bilan sur ma vie, et le temps de savoir si je dois revenir ici ou si je dois demander à Lui (*fixant mon regard vers le haut*) un aller-simple pour un monde où je peux réaliser mon plaisir, sans être rejeté par le monde entier.


A la société: réfléchissez à vos actions, à ce que cette cause a provoqué et posez-vous les bonnes questions. A tous mes proches (amis, famille): je vous aime, jamais je ne vous oublierai, je penserai à vous jour après jour et je serai toujours là, dans vos cœur. Mais surtout, merci à Toi: merci d'avoir été compréhensive et à l'écoute quand je t'ai dévoilé mon passé, merci pour m'avoir réconforté et consolé, merci pour avoir supporté mon comportement et mes conneries que j'arrêtais pas de dire, merci de m'avoir accepté comme je suis.


(Attention: ceci n'est pas ma vie: ceci est une histoire inventée où je me mets à la place du narrateur)

Robin29396 Sep 20 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 1 · Tags: pensée mélancolie bonheur tristesse
Annafe
Episode attendue, j'espère qu'il ne vous décevra pas. A vous de me dire si je dois continuer l'histoire....

VENGEANCE BLONDE

 

Ma dernière mission s’étant plutôt mal terminée, ma hiérarchie me proposait de prendre un peu de vacances. Du repos me ferait du bien et pour m’enlever tout stress, je louai une petite maison loin de tout, dans un bois accueillant au bord d’un plan d’eau magnifique. Balades dans la nature, baignade totalement nue (j’adore cette sensation de l’eau sur tout mon corps), course à pied, vtt etc.., je profitai de ce congé pour me refaire une forme olympique dans l’optique de prochaines missions dangereuses.


Pourtant, dans ce service, on n’est jamais totalement en vacances. Ainsi je reçus un appel codé me signalant que je devais servir d’intermédiaire pour un colis destiné à un autre agent (un certain BA254). Cet agent devait récupérer le paquet quelques jours plus tard, en matinée. Il me donnerait un code me permettant de l’identifier.


J’attendais donc mon collègue inconnu. Profitant d’une jolie matinée ensoleillée, je portais une jupe courte blanche rehaussée d’un top de dentelle  rose à fine bretelle laissant apparaitre un mini soutien-gorge de la même couleur. On ne sait jamais. Si je trouvais cet inconnu à mon goût, nous échangerions peut-être un peu plus qu’un simple paquet anonyme. Seule depuis une quinzaine de jours, le manque de caresse et d’action commençait à me travailler.


Vers 10h, j’entendis un véhicule sur le chemin gravillonné. Par la fenêtre, un petit coupé sportif déboucha à l’orée du bois. Je filai dans la chambre prendre mon petit pistolet que je glissai sous ma jupe, dans le dos. Je devais tout de même rester prudente.


J’entendis frapper à la porte et l’ouvris rapidement. Le choc fut énorme.  Malgré de jolies lunettes de soleil lui cachant son regard, je la reconnut aussitôt. Face à moi, la blonde me remit en mémoire l’outrage de ma nomination quelques mois plus tôt. Oui, c’était bien elle qui avait activement participé à mon bizutage dans les sous-sols du manoir. Je reconnus également cette paire de seins qui tendait son chemisier écru. Elle était toute mignonne avec sa petite jupe en jean et ses longues jambes fines.


Ne percevant aucune réaction de sa part, je ne sus si elle me reconnut. Après l’échange de nos codes, je la fis entrer. Elle pénétra nonchalamment dans mon homme, d’une démarche sensuelle.

Je lui offrais du thé qu’elle accepta volontiers.

Nous devisions en buvant nos tasses. Elle était superbe et mon désir frémissait. Elle me félicita pour le choix de ma villégiature. Je sautai sur l’occasion pour lui faire visiter la maison. Nous montâmes à l’étage et je l’a fis pénétrer dans ma chambre. Elle sembla un moment troublée mais, voyant que je lui laissai le passage, s’y infiltra devant moi.

Je fis quelque chose de dangereux, en dehors de toutes les règles de notre service mais j’en avais trop envie. Je remerciai mes patrons d’avoir, sans le savoir, mis cette superbe créature sur ma route. Ma sensuelle vengeance ne pouvait tomber mieux, moi qui me trouvai en manque. Je me plaçai derrière elle et brutalement je lui pris les mains et je les plaquai contre son dos. Elle poussa un petit cri de frayeur qui m’enthousiasma

-         -       Ne t’inquiètes pas ma belle, je ne vais pas te faire de mal.

Elle pouffa la salope

-          -  Je sais

-          Tu sais quoi

-         -   Moi aussi je t’ai reconnu. Elle ne cherchait même pas à se débattre. Elle continuait à parler tout en ricanant

-         Comment oublier une pareille soirée avec une superbe fille comme toi. Je m’en suis donnée à cœur joie et tu as bien reçue, comme vraie une chienne

-          -  Oh oui ma garce, tu as raison, j’en ai reçue. J’ai mis plusieurs jours à m’en remettre. Mais tu sais, je me suis promis une chose

-         -     Laquelle demanda-t-elle ingénue

-          -  Parmi tous ceux qui m’ont défoncé ce soir-là, j’ai remarqué une blondasse bien salope avec  des seins affolants et un clito bien dur

-          -   Je t’ai laissée un si beau souvenir

-          -  Oui ma belle pute et je me suis promis de te retrouver et de me venger

-         --  De te venger…mais de quoi

-          -  De tout ce que tu m’as fait subir ma belle

-          - Je m’inquiète là dit-elle en riant.

-          -  Et même j’ai tellement attendu que ma vengeance va être bien supérieure à ce que j’ai subi

Je sentie sa voix plus inquiète,

-         -  Tu rigoles là

Je la jetai sur le lit

-Non, je n’ai jamais été aussi sérieuse


Je me précipitai vers ma petite valise d’accessoires qui ne me quittait jamais et en sortait une corde fine. Elle se retourna et s’assit sur le couvre-lit en me regardant circonspecte

-        -   Et tu crois que je vais me laisser faire

-          -  Comme tu veux, mais plus tu te défendras et plus je te ferais subir

J’étais déterminée à me la faire bien proprement cette blonde qui me faisait bander déjà comme une folle

-          - Tu ne vas  pas être trop hard si je t’obéis

-         -  Ca va dépendre ma belle. Retournes-toi et tend tes bras dans le dos, mains jointes.


Elle obéit et se laissa lier les mains, puis je la basculai en avant et entrepris de lui ôter sa petite jupette en jean très serré. Elle m’aida en se tortillant les fesses. Un tanga de dentelle noire révélait de magnifiques petites pommes rondes bien douces et dodues. Ce fessier était superbe. Je n’en pouvais plus. Je lui écartai les cuisses et je commençai à la caresser de manière subtile. Elle ne mit pas longtemps à gémir, surtout lorsque qu’écartant son Tanga, je lui mis un doigt en sa chatte de derrière. Elle se trémoussait et commençait à relever son petit cul pour venir à ma rencontre.


Toute excitée, je la retournai, la prit par les cheveux et l’agenouillait devant moi. Ma petite robe blanche soulevée, sans culotte, je lui présentai mon clito droit comme un mat et elle ne fit aucune difficulté pour l’enfourner dans sa bouche fine. Je fus sympa de ne pas lui labourer la gorge de suite mais j’étais tellement gonflée que je la voyais souffrir un peu, dans l’impossibilité de m’avaler totalement. Elle me devait bien ça, je lui fis un peu violence en lui prenant l’arrière de la tête pour la forcer à m’engloutir. Oh je sentais bien qu’elle avait peine à suivre le rythme mais au diable la tendresse. Elle n’en avait pas fait beaucoup preuve lors de mon bizutage. Elle allait se rendre compte du calibre du clito d’Anna cette chienne lubrique.


Elle en bavait, au sens propose comme au figuré, et j’en rajoutai pour qu’elle comprenne bien qui était la Maîtresse maintenant. Plusieurs fois, elle du déglutir et je commençai à voir le rimmel de ses yeux coulés. N’étant pas une tortionnaire, je décidai de changer de jeux. Je lui pris le dessous du menton pour qu’elle se relève et je l’embrassai goulument, ma langue lui explorant la totalité de sa bouche. Elle semblait soumise et se laissa faire alors que je l’entourai de mes bras.


Puis je passai aux choses sérieuses, je la basculai brutalement sur le lit et attrapais ma paire de menottes. Elle se laissa attacher au barreau du lit en fer, comme si elle acceptait cette punition méritée la petite cochonne. Face à moi, son regard mêlait excitation et inquiétude. Lentement, je dégrafai son chemisier et ses deux seins de trav’ hormonée apparurent. Je reconnus avec délice ses tétons bruns qui pointaient en ma direction comme un appel à la succion. Je plaquai mes mains dessus et commençai à lui caresser les mamelons. En même temps, j’apercevais avec délice la bosse sous son tanga noir. Cela redoubla mon désir et j’entrepris de lui caresser la totalité de ce corps souple et lisse offert à ma lubricité.


Je me penchai et attrapai ses tétons pour les mordiller alors que ma main glissait sous sa culotte pour saisir son membre dur. Une belle trav comme elle, humm, cela me plaisait à la folie. Elle fermait les yeux et gémissait doucement. Elle adorait cette jolie blonde et cela décuplait mon désir. Bientôt je m’occupai de son clito avec ma langue. Partout, sa douceur de peau me donnait faim et la sucer m’apportait de merveilleuses sensations. Ses gémissements s’accéléraient. Je lui procurais un plaisir intense, cela se voyait.


Mais trop était trop, finie la volupté sensuelle. Bien que j’aime  lui manger le clito, je devais encore lui faire subir quelques outrages. Je la retournai et ses bras attachés se croisèrent. Je lui descendis, sans ménagement son tanga et aperçus la belle paire de fesses dénudée bien blanche. Ce petit cul manquait de couleur pensai-je en attrapant mon martinet. Et, avant même qu’elle ne s’en rende compte, je lui admonestai un coup sec sur son arrière-train. Un petit cri de surprise se fit entendre de la belle bouche de ma blonde. Je continuai alternant le rythme, force et parfois caresse avec les lanières. Elle se mit à crier plus souvent. Je lui faisais mal, j’en étais consciente mais j’adorais cela. Je voyais rougir ses fesses. Mon martinet laissait des traces et elle souffrait de plus en plus. Des cris strident et fort accompagnaient mes coups brefs.


-         -  Tu peux hurler ma belle, dans ce coin paumé personne ne t’entendra

Puis je repris ma besogne.

Après quelques minutes, je stoppai mes agissements. A ma grande surprise je l’entendis dans un souffle

-Encore me disait-elle.

A la coquine, serait-elle adepte du masochisme. Alors je recommençai et elle hurlait de plus belle.

Je continuai quelques minutes et son cul devenait mûr.


Mais tout cela m’affolait. Voir cette belle blonde bien membrée se tortiller et réclamer encore plus de coups de martinet, je devenais bouillante de désir.

N’en pouvant plus je lâchai le martinet et me jetai littéralement sur elle, en attrapant le gel et une capote sur la table de nuit. Bien couverte, je lui enfilai deux doigts gélés dans ces fesses déjà bien ouvertes et je la pénétrai violemment lui arrachant un gémissement de pucelles effarouchées.


Je commençai doucement avant de prendre un rythme bien effréné car elle m’avait mise dans tous mes états cette blondasse adorée.


Tout cela était si bon, si gouteux, si affriolant. Ma soumise ronronnait de plaisir. Elle m’invita à la défoncée encore plus  en me lançant des « vas-y » entrecouper de « han » très sensuels. Ouh je lui administrai une sacrée baise à ma trav’ enflammée.


J’y allai comme une folle. Comme une sprinteuse impatiente de toucher au but.

Je sentais l’excitation monter mais n’en avais pas finie avec elle.


Je me retirai précipitamment, me levai et la retournai sur le dos. Je vis son regard totalement affolé et empli de désir. J’ôtai la capote et présentai mon clito face à sa bouche en finissant de me masturber. Obéissante, elle l’ouvrit juste au moment où mon désir jaillit avec force. Elle prit tout. Je l’aspergeai dans la bouche mais aussi sur ses joues, ses yeux, ses cheveux. Je me vidai de mon plaisir sur elle, avant de m’affaler sur son corps.

Elle était brulante et sentait la sueur amoureuse.


Nous restâmes quelques minutes sans bouger, respirant fortement. Puis la respiration se calma. Je me levai lentement et allai prendre une douche. Je la laissai attachée sur mon lit et sa nudité m’excitait encore.


Elle resta finalement deux jours et nous organisames plusieurs jeux en duos ma jolie trav’ blonde et moi.


On se voit parfois lorsque nous avons quelque temps à perdre. Elle est toujours aussi délicieuse et nous sommes tout à tour dominatrice ou soumise.

 

 


Annafe Jul 8 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 1
Annafe
Suite de "la chevalière d'EONNE" avec l'épisode 3 qui est la seconde partie de l'épisode 2 (vous suivez???).
Au prochain épisode, le retour de la blonde hi hi hi (je sais qu'elle vous a émoustillée celle-là...)


« Le chemin est malaisé. Mes talons hauts ne me facilitent pas la tâche. Le bois est sombre et j’avance difficilement sur cet étroit sentier, le microfilm à la main. Je sais, l’alerte a été donnée. Les services ont failli su ce coup.

Alors que je devrais tranquillement rentrer au volant de ma Mercedes de location, je me retrouve à errer dans cette nuit noire à me tordre les chevilles. Personne ne m’avait prévenu que le fait de soulever le microfilm de son minuscule coffre, camouflé dans le parquet, déclencherait aussitôt une alarme.

Par leur négligence, je dois me débrouiller seule. Pas facile avec ma robe moulante bleu pâle (pas vraiment adaptée à une fuite nocturne). Je stoppe un instant car j’ai entendu du bruit. Je sais qu’ils sont là, tout près. Qu’ils me poursuivent.

J’ai enlevé mes escarpins et je me pique les pieds. Mes bas ne vont pas y résister.

Je suis persuadé de les avoir entendus. Où sont-ils ces barbouzes ? Je me souviens d’en avoir aperçu à la réception, avec leur tête chercheuse qui dépasse la foule. Pas le genre à vous faire des politesses. S’il me tombe dessus, je risque de passer un sale quart d’heure. »

(Deux hommes cachés derrière les arbres se précipitent brusquement sur Anna).


NOTES D’ANNA SUR L’EVENEMENT


Ils m’ont bondi dessus par surprise. L’un m’a carrément balancé une énorme gifle et ma tête s’en souvient encore, puis il me tordit le bras, mis sa main sur mon cou et m’emprisonna de ces muscles gonflés à  la testostérone.

-        -   Où est le microfilm salope !!!. hurla l’autre, un blond pas vraiment commode, en me faisant face.

J’ai serré ma main.

-         -  Je l’ai perdu en fuyant.

Il me regarda incrédule, alors j’ajoutai d’un ton suppliant de vierge effarouchée

-         -  Je vous jure

Il arracha mon sac et se mit à genoux. Puis, alluma une lampe troche tout en retournant le contenu de mon sac sur le sol. L’autre me serra de plus belle. Sa main, de la taille d’un battoir à linge, m’étouffait. Il lui suffisait d’accentuer encore un peu la pression et la jolie Anna s’envolerait directement au paradis. J’avoue que la peur traversa mon corps. Mon être glacé fit saillir mes tétons.

A terre, l’homme trouva le leurre. Il se releva

-         -   Il est là, dans son sac.

-          - Alors trainée, tu l’avais soi-disant perdu hein…aboya  mon tortionnaire dans l’oreille

-          - C’est bon, on l’a récupéré Maxime, dit l’homme blond qui s’était relevé face à moi.

-          -  Et elle, on en fait quoi chef. Répondit l’autre sans me relâcher.

Je commençais à haleter, manquant d’air.

-         -   Le patron l’a dit. On l’a tue pas. Un cadavre, s’est difficile de s’en débarrasser

Cette simple phrase me rassura.

-         -   L’important c’est le microfilm.

Je serrais encore le vrai microfilm dans mes mains moites.

-     -  Par contre Maxime, j’ai peut-être une idée de récompense, dit le chef dans un sourire qui m’inquiéta. Il ôta le talkie de sa ceinture et le porta à ses lèvres.

-          - C’est bon les gars. On a le microfilm. La salope s’est enfuie. Vous pouvez rentrer. C’est un ordre.

Il coupa son talkie et me regarda avec insistance

-      -  Voilà Maxime. On est tranquille maintenant. On va pouvoir s’occuper de la demoiselle en récompense de nos efforts.

Je compris aussitôt que j’allais devoir me plier aux ardeurs de ces messieurs. Un moindre mal pensai-je philosophe.


Le chef s’approcha et passa sa main sur mes fesses. L’autre me lâcha et je repris ma respiration. J’en profitai pour porter ma main devant ma bouche en toussant et avalais le microfilm. Je n’avais pas le choix. Ils pouvaient le trouver si je le gardai dans ma frêle mimine.

Le chef me caressait maintenant ma modeste poitrine. Pendant ce temps, Maxime prenait lui aussi de l’assurance. Des fesses délaissées par le chef, il passa à mes hanches, ce qui eut pour effet d’exciter mon clito. Il continua à m’entourer de ces caresses jusqu’au moment fatidique. Il s’écarta brutalement en bafouillant

-          -  Chef, Chef !!!

-          -  Quoi Maxime

-         -   C’est pas une fille Chef !!!

-          -   Quoi !

Aussitôt, en bon chef courageux qu’il était, le blond voulu s’en assurer en soulevant ma robe. Il écarquilla les yeux en voyant le clito dur dépassant de mon string.

-        -   La vache ! Le patron se tape des travs !

J’esquissai un sourire en les voyant effrayés. Ils reculèrent  comme s’ils avaient touché une pestiférée. Ils allaient peut-être me laisser tranquille.

- Mais le chef se reprit.

-        -  Après tout si le Prince se paie  une trav’, c’est qu’elle doit être bonne non ?

Je déchantai en comprenant que là, ma belle, je risquai de subir.

Violemment il arracha ma jolie robe qui virevolta jusqu’au sol me laissant en dessous très coquins.

-        -   Vrai qu’elle me semble bonne, dit-il goulument.


Il me prit par les cheveux, m’obligea à me mettre à genoux et aussitôt sortie sa queue pour me l’enfiler violemment dans la bouche. Il me fit mal ce salaud et commença à me ramoner la gorge sans aucun égard. L’autre nous regardait incrédule.

Il me l’emplissait brutalement et je faillis plusieurs fois m’étouffer sous ses profonds coups de bite. Il ne me ménageait pas le sagouin et je devais respirer par le nez car son membre me remplissait bien la bouche, la déformant à chaque mouvement. Il touchait ma gorge à chaque coup et je haletai face à ce pilonnage bien profond.

Au bout d’un long moment, qui me parut une éternité, il ressortit enfin sa queue très grosse et, je l’avoue, savoureuse. Violemment, et je dois dire que cela m’excitait fiévreusement, il me prit par les cheveux et me traina sur le côté de façon à ce qu’il puisse attraper ma croupe blanche qui luisait dans la pénombre et sans ménagement, il me pénétra, sans gel, avec une force qui déclencha en moi une douleur enivrante. Je poussai un petit cri plaintif ce qui lui fit redoubler d’ardeur. Mes fesses s’écartaient pour laisser le passage à ce membre bien dodu qui m’enfilait profondément. Douleur mais aussi plaisir s’emparèrent de moi car je savais déjà que j’aimais la tendresse mais également être parfois bousculée comme une chienne à défoncer.


C’est alors que j’aperçus l’autre, le timide Maxime, son dard à la main, occupé à se masturber. Sentir le gros sexe du chef me défoncer me rendait plutôt chaude et pleine d’émoi. Alors j’ouvris la bouche en un appel vers la queue du Maxime qui n’osait pas se rapprocher. Mais les coups du forcené dans mon cul comblaient petit à petit l’espace me séparant de la queue tendue du timide. Finalement, il me l’enfila dans la bouche avec douceur et je le suçais comme on déguste une sucette en me persuadant que finalement, autant se faire souiller jusqu’au bout pour leur faire croire qu’ils m’avaient vaincu. Pendant ce temps, je soufrais, toujours avec délice, de la vigueur de l’autre assaillant qui me bourrait comme une sale pute prête à tout recevoir.

Très vite, le Maxime de son coté, se retira et m’aspergea de son liquide chaud sur mes lèvres entrouvertes et le haut de ma poitrine. Il en avait en réserve ce salaud car mon soutien-gorge en dentelle bleue se retrouvait maculé de foutre.


C’est à cet instant que le chef, dans une série de coups frénétiques, qui finirent de m’écarteler la chatte de derrière,  éjacula dans mon cul. Je compris que  toute sa semence me remplissait et lorsque sa queue se libéra de mon trou, je sus que mon cul devait ressembler à un tunnel à TGV tellement j’avais la sensation qu’il était béant.

Je sentis ensuite son sperme me couler sur l’arrière de mes cuisses.


Pendant que le gentil Maxime se rhabillait, l’homme me prit par le menton et m’asséna une gifle carabinée qui me fit m’étaler à même le sol sur le flanc.

-         -  Ne t’avises plus de remettre les pieds ici, sale pute. Sinon, je te finirais au surin.

Puis, il tourna les talons et s’en alla, suivi par son acolyte qui tentait de reboutonner  tant bien que mal son pantalon.


Je restai un long moment sur le flanc sans bouger, Sali par les liquides de ces messieurs et blessées dans mon amour-propre. J’avais perdu et il était normal que ces mâles en profitent. La sodomie violente du chef avait pourtant excité mes sens et je ne savais pas si j’en étais heureuse ou dépitée. Finalement, fourbue de cette nuit agitée, je ramassai ma robe, tentai tant bien que mal de m’envelopper avec et repartait, le clito entre les jambes, vers les bois. Pourtant la mission était réussie mais ces messieurs du service allaient devoir patienter un peu avant de récupérer ce putain de microfilm.

 


Annafe Jui 12 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 1
Annafe
"Chose promise, chose due". 2eme épisode de "La Chevalière d'Eonne.
N"hésitez pas à me donner vos critiques et à me dire si vous souhaitez une suite...
j'espère que vous aurez autant de plaisir à le lire que je l'ai eu à l'écrire (ouuuuhhhh)
(textes déposés, à ne pas reproduire sans mon autorisation sinon...)
Bisouus Anna


EPISODE 2- RECEPTION CHEZ LE PRINCE


La salle était immense. Une musique disco se répandait, enveloppant les invités d'un rythme sirupeux. Le Prince, dans son costume blanc rehaussé de diamants, déambulait affable au milieu de son harem de courtisans. Mais son regard perçant cherchait déjà une proie pour la nuit. Et ma mission, à moi, consistait justement à devenir cette proie.

La rumeur avait fait la réputation de ce bel homme. Même si cela n'était que chuchotements d'alcôves, le Prince avait un penchant pour les Travs'. J'en avais déjà remarqué une bonne dizaine parmi les convives, toute plus belles les unes que les autres. Il fallait vraiment un regard avisé, comme le mien ou celui du Prince, pour savoir que certaines de ces magnifiques créatures féminines possédaient un clito bien développé.

Pourtant j'étais intimement persuadée que j'allais réussir. Que ce soir, je serai le choix du monarque.


Dans ma robe bleue pastel moulante, j'étais loin de passer inaperçue et mes sourires, mes attitudes, ma sensualité que je laissai entrevoir produisait un effet immédiat chez la gent masculine, et même féminine d'ailleurs. Une armée d'individu à queue et à chatte s'agglutinait autour de moi. Je riais intérieurement car bien peu ne devinai mon véritable genre. Si l'un ou l'une s'avisait de me frôler le bas-ventre, il avalerait son olive de travers. J'avais quand même pris soin d'emprisonner mon sexe d'une bande sparadrap de peur qu'il soit trop visible sous ma robe moulante. Car tous ces effluves de désir autour de moi me durcissaient le membre.


Du coin de l'œil je surveillais le Prince et sans en avoir l'air, l'attirais dans mes filets. Je n'ignorais pas, qu'apercevant l'attroupement d'affamé autour de moi, il se rapprochait subtilement de ma personne. Jamais très loin, papotant ici et là. Il ressemblait au félin esquissant une manœuvre silencieuse d'approche de sa victime. Je savais qu'en spécialiste, il ne pouvait ignorer qu'il pouvait compter sur ma personne pour lui offrir les délicieux outrages qu'il adorait.


Le manège dura plus d'une heure mais l'attente attise le désir. Je discutais avec un petit gras qui reluquait mon décolleté (il se trouvait à hauteur de ses yeux) en transpirant allègrement. Je ressentis un souffle léger caressant ma nuque. Le parfum du prince m'enveloppas.

- Mademoiselle, nous n'avons pas eu l'honneur d'être présentés.

Je me retournai avec sensualité et remarquai le pastel de ses yeux déjà avide.


Il tenait dans ses mains deux coupes de champagne et m'en offrit une. Nonchalamment je donnai celle, presque vide que je tenais alors, au petit gras qui s'empressa de filer. On ne rivalisait pas face au prince.

Je m'imaginai un instant que ce gros suintant allait boire le reste de ce breuvage, ou j'avais trempé mes lèvres en se masturbant.

- Miss Losanne mon Prince. Très honorée d'avoir reçu une invitation à cette délicieuse soirée.

- Si vous avez reçu une invitation, c'est que vous la mériter jolie dame.

C'était plutôt parce que nos services faisaient preuve d'efficacité


Il m'invita à danser et aussitôt, par le plus grand des hasards ordonnés par le Prince, les slows s'imposèrent. Ainsi ce bel homme au teint légèrement cuivré put à loisir se rapprocher de mon corps déjà chaud et sentir la légère bosse de mon bas-ventre qui se gonflait de plus en plus sous les caresses langoureuses de ses cuisses.

  • Il me semble que vous avez l'anatomie qui me convient Miss Losanne.

  • Peut-être est-ce là, la raison de mon invitation Cher prince.

  • Mes conseillers ont l'art et la manière de trouver les plus belles et je dois dire, qu'avec vous ce soir, ils m'offrent un joli présent.

  • Ce compliment me ravit, Cher prince

  • J'espère que vous êtes débordante d'activités ma chère.

Mon clito déjà se sentait prêt à l'assaut

  • Je pense que mon activité vous ravira Prince, votre aura me fait tellement d'effet.


Rapidement, nous nous retrouvâmes dans une immense chambre. Il avait un cul magnifique. Un cul de Prince que je pris plaisir à lui lécher avec ma petite langue bien tendue. Il m'implorait de continuer, satisfait de mon exploration «linguistique» anale.

A quatre pattes sur le lit, son beau fessier m'excitait. Ce n'est pas tous les jours que l'occasion se présente de baiser un prince de sang et j'en profitais pleinement. Ses fesses lisses sans aucun poil, ravissaient mon regard et m'entrainaient à bander comme une «Turque».


Il m'ordonna de le prendre et j'obéis aussitôt. Je me relevai et me plaçai derrière lui. Enfilai un préservatif taille maxi et lui appliquai un doigt bien gelé en sa chatte. D'un mouvement tournant, je maculai les parois de son trou pour lui éviter toute douleur. L'ayant bien humidifié, je me présentai et lui enfournai avec lenteur ma matraque raide.

Il se cabra et sa respiration s'accéléra. Je m'appliquai tout en tentant de garder mon sang-froid car une bouffée de chaleur m'envahissait. Je kiffai de m'enfiler un prince. Mes tétons durcis, le bas de mon ventre brûlant, je contrôlai ma respiration pour ne pas éjaculer trop vite. J'entamai un va-et-vient incessant en procédant par de petites accélérations. Je l'entendais gémir et il répondait à chacun de mes mouvements par un mouvement inverse, cul bien redressé. Il était détendu à merveille permettant à mon clito de se frayer un chemin tendre et suave.


Ce beau mâle, adepte de la sodomie réagissait à mes changements de rythme. Il commença à me chuchoter des mots exquis

  • tu aimes me baiser salope

  • Oui mon Prince, votre chatte est enivrante

  • Alors vas-y pute, vas-y

A ces mots, je compris qu'il recherchait plus et je mis l'accélérateur. Non seulement il répondit fort bien à mes coups de plus en plus vifs, mais je m'aperçus avec plaisir qu'il pouvait recevoir bien au fond. Mon clito, pourtant pourvu d'une taille très respectable, s'enfonçait à loisir jusqu'à la garde. En à coups réguliers, j'augmentai la cadence et l'entendai haleter de plus en plus vite. Il aimait ça le salaud et appréciait mes coups de reins. Nous étions entré dans une phase sportive et je lui administrai des coups de queue de plus en plus violemment. Mes mains, agrippées à ces petites poignées d'amour, je fus prise d'un élan de violence soudain.

  • Tiens, tu en veux hein

  • Ouui souffla t'il, vas-y, défonce.

En moi-même, je pensai que le Prince était une belle putain que l'on pouvait à loisir déchiré comme une chienne. Alors je n'eus plus aucune retenue. Mes coups de bite lui ravageaient la chatte et ses gémissements redoublaient. Putain, c'était trop bon avais-je envie de m'exclamer.

C'était un ravissement de voir ce cul rebondi avaler brutalement mon clito aussi facilement. Maintenant je n'hésitais plus à lui asséner des coups brutaux et il continuait à adorer vu qu'un râle profond de bête blessée, mais soumise, accompagnait mon assaut.


Je sentis d'un coup la sève de mon sexe prête à bondir hors de moi. Mes seins gonflés me signalaient, comme chaque fois, que j'approchais de l'exquise délivrance. Alors j'en remettais une couche en accélérant encore, jusqu'à mon maximum. Il ne râlait plus le prince, il gueulait et j'espérai que sa chambre fut insonorisée car sinon tout son palais devait résonner. Je l'enculais si fort que ses fesses devenaient dures et enflammaient mes cuisses. J'y mis tout mon cœur et toute ma force pour lui défoncer ce qui lui restait de pudeur. Il tremblait sous ma violence et d'un coup je lâchai tout en hurlant littéralement tellement je jouissais fort, mon corps parcouru de soubresauts merveilleux. Une sensation qui m'envahit de bas en haut, souleva mes seins de plaisir en électrisant mon être féminin et viril. Il sentit le chaud liquide emprisonné par le préservatif se répandre car il murmura dans un souffle

  • Oui, lâche-moi tout ma belle

Oui je laissai ma jouissance éclater et je me vidai de ma substance sexuelle avec enchantement.


Il s'affala sur les draps et je suivis le mouvement, restant en lui.

J'étais sur son dos recouvert de sueur et me laissai quelques instants goûter à ce plaisir intense qu'il m'avait procuré.


Mais je devais penser à ma mission. Se taper un Prince, c'est génial mais je n'étais pas venue que pour cela. Alors je récupérai, collé derrière mon oreille la minuscule fiole de somnifère. Après avoir coupé précautionneusement avec les dents la minuscule capuche recouvrant l'aiguille, je me laissai aller sur lui. Il était sans défense, repu et grisé par tant de sexe débridé. Une toute petite piqure. Il ne broncha pas et quelques secondes après s'endormit comme un bébé.


Je devais maintenant récupérer les dossiers. Les services affirmaient qu'ils se trouvaient dans un cache sous le plancher de sa chambre. J'étais nue, bouillante, ruisselante et plutôt épuisée. Mon corps sentait l'amour et j'aurai adoré me laisser tomber lasse dans les bras du Prince, lui demandant à son réveil de me prendre à son tour, car ma chatte trempée aurait souhaité recevoir une bonne queue . Pourtant je repris mes esprits rapidement en affirmant toute haute comme pour tourner la page sexe.


- Au boulot ma belle.







Annafe Mai 24 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 3
Annafe
Une de mes passion est l'écriture. Alors je me permet de vous poster une histoire "érotique et même pornographique" dans ma série "Fantasmes et Fictions". Si ce premier épisode (un peu long à cause de la présentation) vous plait, je vous offrirai la suite avec plaisir. Si ce texte vous ennuie, dites-le moi, je suis ouverte à toute critique. Alors je stopperai là ma prose.
Attention, ces textes sont déposés. Donc interdiction de les utiliser sans mon accord.
Bisous
Anna

LA CHEVALIERE D’EONNE

 

Je savais que les vieilles archives du Château d’Aune livreraient le secret. Que je trouverai enfin, après tant d’années de recherches infructueuses les preuves irréfutables de la réalité de l’existence de « la Chevalière d’Eonne ». Je compris enfin pourquoi l’histoire officielle a tenté de supprimer toutes traces de cette héroïne. Cette espionne du troisième genre qui usa de ses charmes, de sa sensualité exacerbée pour rendre d’énormes services à la nation.

Cette travestie qui se servit de ses atours et de sa sexualité débridée pour attraper dans ses filets hommes et femmes, tous subjugués par sa féminité et ses pratiques expertes, fut rejeté dans l’oubli pars les instances machistes de notre société.

Dans ces alcôves d’archives j’ai heureusement retrouvé des notes et manuscrits en piteux état, qui après restauration, m’ont permis de reconstituer quelques épisodes prouvant l’action de cette espionne.

Pour éviter d’être poursuivie en justice pour violation d’un Secret d’Etat ou mis en danger par des victimes a la mémoire trop longue, j’ai modifié ou supprimer dates, noms, lieux de ces aventures.

Bien qu’ayant tenté de reclasser ces différents récits, notes ou rapports en ordre chronologique, je ne suis pas persuadé avoir réussi dans cette tâche.

 

Episode 1 : Bit’zutage

« La chevalière d’Eonne » se prénommait Anna. Elle fut admise au cercle des ASS (Agents Sexes Spéciaux) lors d’une cérémonie officielle mais secrète. Parmi les archives, j’ai retrouvé, écrite de sa main, le récit d’une bien curieuse cérémonie s’étant déroulée le soir même de son admission. Je vous le livre tel quel.

Je me réveille le corps meurtri. J’ai comme l’impression d’avoir traversé une moissonneuse-batteuse. Une douleur agréable se diffuse dans tous mes orifices. Je me souviens m’être endormie fourbue, épuisée, même défoncée. Oui, défoncée, c’est bien le mot qui convient lorsque la mémoire me revient. Lorsque je réalise que la veille, j’ai subi le bizutage en règle du cercle des ASS. Une tradition qui me permettra, à l’avenir, de ne reculer devant aucune barrière pour mener à bien mes missions.

Pourtant le début fut plutôt soft. Quelques caresses lors de la cérémonie officielle, bien que secrète. Rien qui ne puisse me mettre en position d’excitation.

Puis, Maître Tex (sexe devrais-je dire) m’ordonna de le suivre dans un escalier en colimaçon nous menant dans les sous-sols du manoir, centre névralgique secret du cercle.

En bas, nous entrâmes dans une salle plutôt grande, au plafond bas, meublée d’une table en son centre et d’un matelas posé à même le sol. Au mur, des lampes tamisées renforçaient l’atmosphère intime.

Maître Tex me fit face. Ses yeux s’allumèrent d’un regard bien différent que lors de la cérémonie officielle. Sans vergogne, il m’inspecta de haut en bas, s’attardant sur certaines parties de mon corps. Cette lubricité provoqua aussitôt le durcissement de mes tétons qui pointèrent sous mon fin corsage noir. Je suis sûre qu’il le remarqua à travers la fine étoffe.

Il s’attarda également sur ma jupe courte. J’étais persuadée, qu’en homme avisé, Maître des agents sexuels, qu’il ne pouvait ignorer que je portais des bas et un porte-jarretelles et non un collant.

A la vue de l’insistance de son inspection, une tendre chaleur se répandit à hauteur de mes cuisses. Malgré ma timidité de novice (encore que !), j’écartai, d’un lent mouvement, légèrement mes jambes (leçon n°12 apprise au cours « Séduction de salope  ASS »). Il sourit, comprenant que j’avais bien retenu ma leçon.

- C’est l’heure du bizutage maintenant Agent Anna ? J’espère que vous y ferez honneur.

 

Derrière moi, j’entendis des pas dans l’escalier. Je tentai de savoir combien d’individus arrivaient dans mon dos. Trois à cinq peut-être ? Mais j’ n’eus pas le temps d’affiner ma réflexion. Une main se posa sur mon épaule. Une autre ma prit par la taille. Une troisième se glissa carrément entre mes cuisses, alors qu’une autre, large et chaude, s’appliqua sur ma fesse droite. Je ne comptais plus. La sensation de ces corps étrangers fit basculer ma tête en arrière, les yeux fermés, lèvres entrouvertes comme pour dire « Je suis prête à être offerte ».

Aussitôt, Maître Tex s’approcha et posa ses mains charnues sur mes joues. Il descendit, un doigt effleurant ma bouche puis continua son voyage sensuel sur mon corps en caressant ma nuque, mon cou puis ma gorge avant de s’arrêter en emprisonnant mes seins.

Tu as une petite poitrine, bonnet A, agent Anna. Pourtant je suis sûr  qu’ils sont très sensibles. Il n’avait eu aucun mal à le deviner ce beau salaud car elle se gonflait et mes bouts se tendaient vers ses doigts curieux.

Derrière moi les caresses commencèrent. Chaque main, que je ne comptais plus, m’enveloppait d’une palpation sur les atouts de mon corps. Je voulus résister mais ne pus bien longtemps. Le Maître agrippa les boutons de mon corsage et d’un geste d’une brutalité sauvage qui m’enflamma, le déchira en m’arrachant un cri strident de biche fragile face à son avide prédateur.

Je me retrouvai poitrine nue, haletante. Seins pointés vers ses mains. Ma jupe subit le même sort, succombant aux assauts des mâles cachés dans mon dos.

Seul mon porte-jarretelles, mes bas et mon string immaculé, de vierge qui ne l’était plus depuis mes seize ans, s’élevaient en futile rempart face à mes assaillants.

Maître Tex, par une pression lente mais irrésistible, me fit mettre à genoux et en un mouvement d’expert dégrafa la braguette de son pantalon de cuir. Sans que je puisse esquiver, il m’imposa son sexe déjà dur et gonflé en ma bouche surprise.

Que pouvais-je faire, sinon accepter ce membre veiné labourant ma langue avec violence. C’est à cet instant, comme un signal, que tous se déchainèrent.

Il m’apparut vite que mes agresseurs n’étaient pas que des hommes, lorsqu’une blonde magnifique, ayant fait le tour pour me faire face, frotta son joli et ferme sein blanc sur ma joue. Mais à voir l’excroissance au niveau de sa jupe, je compris qu’elle était du même genre que moi : Une Trav’.

D’ailleurs, déjà ses mains expertes s’occupaient de mon clito, qui se retrouvait, malgré moi, à l’horizontal en pleine excitation. D’autres mains, pleines de doigts s’affairaient en ma chatte, écartant la ficelle de mon string inutile.

Je reçu le sexe du Maître bien au fond de ma gorge. Je laissai filer, tant bien que mal, la bave humide qui me remplissait la bouche. Je devenais folle face à ce régiment de doigts qui me parcourait de haut en bas, de long en large. La jolie trav’ aux seins blancs, accroupie, se réjouissait bouche grande ouverte de mon clito en rut.

 

D’un coup le Maître ressortit sa queue et l’on me releva brutalement pour me basculer, ventre en avant, sur la table au centre de la pièce. Déjà échaudée et brûlante, Je compris vite que je n’avais jusqu’alors subi que les préliminaires. Le plat de résistance s’annonçait.

Cette bande mêlant salope et salauds commença à s’en donner à cœur joie. Chacun s’essayant tour à tour sur ma bouche ou ma chatte en un ballet lubrique incessant. Une armée d’abeilles affamée plongeant leurs dards dans un pot de miel bien humide. Petite, grosse, fine, épaisse, toute une panoplie de sexes doux ou brusques. Je ne pus que remarquer dans ce tumulte, la belle blonde qui, je l’avoue, me plaisait à la folie avec sa poitrine aux tétons bruns qui remuaient en cadence et sa taille mannequin. De plus, elle s’en donnait à cœur joie cette chienne pourvue d’un spécimen genre XXL. Je me promis en moi-même, dans mes ultimes moments de lucidité, de la retrouver pour lui faire subir un  traitement identique avec délice et application.

On me retourna prestement et en plus de mes orifices trempés, on s’attarda de plus belle sur mon clito prêt à éclater. Encire une fois, cette putain de blonde reprit plusieurs fois de l’esquimau. A force de subir les assauts de cette armée insatiable mes yeux se brouillèrent sous le plaisir intense. Mes sens m’abandonnèrent sous la torture sexuelle inimaginable. Cette symphonie bouillante d’érotisme. Je ne réfléchissais plus. Je devenais un objet à leur merci, offerte à tout. Défoncée, déchirée, transpercée de toutes parts. Un  chemin foulé et labouré par des piétons, autos, camions et même trains entiers. Une mer soulevée en va et vient par l’ouragan. Une étoile explosant dans une galaxie de feu. La gigantesque flamme d’un ardent incendie.

Je ne sus combien de temps ce supplice merveilleux dura, mais je me rappelai les chauds liquides qui me pénétrèrent partout, coulèrent sur mon visage, aspergèrent mon corps, mes cheveux, mes cuisses, mes fesses. Je divaguais sous une fontaine de foutre, alors que sur le dos, tête renversée au bout de la table, je recevais une dernière obole du nectar du Maître.

 

Et puis, en un instant, je me retrouvai seule. Délaissée dans cette pièce sombre. Mes agresseurs disparus, comme envolés, je restai là quelques minutes ou plusieurs heures, je ne m’en souviens pas. Ma respiration se calma lentement.

Enfin, le corps endolori, recouvert de traces liquides s’asséchantes et encore brûlantes de cette violente intrusion en moi, j’aperçus le matelas et je m’y effondrai.

J’eus juste le temps, avant de m’endormir, de me souvenir du visage de cette sublime blonde qui un jour, j’en fus persuadé, allait en prendre une bien plus sévère sous ma domination.

 

 

 


Annafe Mai 21 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 7
Claire Admin
Bonsoir mes chéri(e)s !

Et oui, la période tant attendue des vacances arrive enfin ! Et s'il fallait résumer d'un mot ce moment magique où l'on se dit qu'on est en vacances, ce mot serait "COURT"... Tellement qu'il faudrait même deux mots pour le qualifier : "TROP COURT"
Ce moment précis où l'on quitte pour une, deux, trois semaines ou un mois notre lieu de travail (je devrait dire  torture puisqu'il nous est pratiquement impossible d'y vivre notre passion) et où l'on se dit : "ça y est... Je suis en vacances !!!". Ce moment donc est tellement court qu'en fait, on n'est vraiment en vacances qu'à cet instant précis. En effet, dès qu'on a commencé à réaliser qu'on y est, le lent décompte des jours de farniente restant commence...
Décompte qui nous conduit toutes et tous à finalement nous dire "profitons-en !!!"
Malheureusement, la période des vacances signifie également celle de nombre de clubs, de lieux de rencontre et tout autant d'amants ou d'ami(e)s. Et oui, chacun a droit à des vacances et chacun en prend à peu près à la même période. Qu'à cela ne tienne ! Les vacances seront bonnes pour peu qu'on le veuille ! Pour peu que VOUS le vouliez ! Et s'il faut, pour un temps, oublier que nous sommes des femmes qui aiment leur condition duale au point de sauter sur la moindre occasion de faire jaillir cette beauté qui est en nous, et bien oublions-la et passons ces quelques moments rares dont nous disposons avec notre famille.
Aussi, je vous souhaite à toutes et tous de bonnes, très bonnes, excellentes vacances. Puissiez-vous revenir de vos lieux de villégiature la tête emplie de souvenir et d'envies (coquines ou pas). Puissiez-vous, à votre retour, avec ce plaisir immense qui est le nôtre, redécouvrir cette femme qui est en vous. Puissiez-vous enfin vivre librement votre passion à votre retour. Et pour celles qui ne savent pas comment annoncer ce penchant à leur épouse adorée, puissiez-vous trouver le moyen de le faire.

Je vous embrasse toutes et tous tendrement.

Claire



P.S. La photo avec la robe bleue est là pour un garçon que j'aime bien et qui adore ça...
Claire Jul 23 '14 · Voter: 5 · Commentaires: 1 · Tags: vacances
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