Loading...
fr

Blogs

Pubs
Robin29396
Je n'ai jamais participé à un événement organisé par Prisca, et pourtant, j'en ai rêvé. Et c'est chose faite cet après-midi au Dream Club.


Je me suis habillé en tenue de soirée et chaussure de ville et j'ai pris mon courage à 2 mains en y allant: au final, je ne suis pas déçu, j'ai passé un délicieux moment en la compagnie d'irrésistibles créatures féminines; seul moment de frustration: l'une d'entre elle a pris une douche très sex avec un gars. Bon Dieu, qu'est-ce que j'aimerais prendre une douche comme tel avec l'une d'entre vous, sentir la chaleur de votre corps effleurer le mien avec désir et passion.


Mais il me reste 3 jours sur Paris pour profiter de la vie et pourquoi pas réaliser ce fantasme. D'ailleurs, j'ai cru entendre parler qu'il y aurait une soirée Drôles de Dames ce vendredi: je vais voir, en espérant que je ne me trompe pas.

Robin29396 Mai 4 '16 · Commentaires: 1 · Tags: prisca, dream club, hot
Robin29396
Voilà comment j'imagine un moment avec une femme.


Alors qu'on se retrouve dans une chambre d'hôtel, on commence à discuter, et là, je te regarde tendrement, te montrant ainsi que je te trouve très attirante. Je sens en toi une timidité (sans doute que tu as peur que je me moque de toi), mais ne t'en fais pas: je viens te rassurer en te disant ces mots doux: "Tu n'es pas différente: tu es ma rose, ma passion, mon désir, ma reine, ma déesse, mon amante, ma femme."


Tout d'abord, tu te mets dos à moi, tandis que je commence à embrasser ta main droite, puis ton bras, ton épaule et ton cou, tandis que je te tiens par la taille avec mon bras droit pour te montrer mon affection à ton égard; très vite, j'entends un soupir de plaisir, alors tu te retournes, je te regarde tendrement et on commence à s'embrasser langoureusement.


Pendant qu'on s'embrasse, je commence à glisser ma main sous ton soutien-gorge pour caresser ton sein: je sens que tu as peur, mais je te rassure en te disant ces doux mots: "ne t'en fais pas, ma chérie, je serai tendre avec toi." alors, tu te laisses faire et je sens que tu apprécies cela; alors, je glisse tout doucement ma main sur tes jambes, que je caresse, puis, je glisse ma main sur ta culotte, puis à l'intérieur où je sens ta chatte en chaleur et en train de durcir de plaisir.


Après ce doux moment de baisers, je me lève et je te mets à genoux où tu enlèves mon jean: ma queue durcit de plaisir et cherche une bouche accueillante. Alors, tu enlèves mon caleçon et tu commences à me sucer (un pur délice). Puis, je t'emmène sur le lit où je t'embrasse, j'enlève tes vêtements (a toi de voir si tu veux rester en lingerie ou être toute nue), ta petite culotte avec mes dents, avant de caresser tes jambes avec de tendres baisers et avant de lécher ton clito: tu commences à gémir de plaisir car ça te plaît.


Après, tu te mets à 4 pattes: je commence à lécher ton petit trou tout chaud, à te donner des fessées, puis, je finis par te pénétrer sensuellement et sauvagement (avec ou sans capote: tout dépend du feeling entre nous) dans toutes les positions.


À la fin, je finis par t'honorer en donnant à ta bouche ma semance chaude et humide (et si on le fait sans capote, j'honorerai aussi ta chatte et ton beau petit cul). Enfin, on s'endort, avec toi dans les bras. Et quelques instants plus tard, on se réveille: tu exquis un léger sourire (tu as sans doute apprécier ce moment passé), moi aussi; tu me dis que tu as un passé un très bon moment avec moi, ce que je dis également, puis, je te dis que je t'ai trouvé délicieuse, attirante et que....que je n'ai envie que d'une seule chose:t'embrasser. Alors, on s'embrasse.

Robin29396 Fév 19 '16 · Voter: 5 · Commentaires: 1 · Tags: amant, intimité, amante
Robin29396
Certes, ça faisait 1 mois et demi que j'ai pas eu de rapports sexuels, mais comme j'ai entendu parler du X Center comme du lieu où peut faire de délicieuses rencontres, je me suis dit qu'il fallait sauter le pas.


Donc, je suis allé aujourd'hui à Aix-en-Provence, sans oublier de constater qu'il y avait 2 magasins X Center: un à Aix et un à Plan de Campagne; j'ai commencé à aller à Plan de Campagne en bus: le sex-shop est juste gigantesque, et il y a 2 salles de ciné porno; par contre, il n'y avait pas beaucoup de monde, voir quasiment personne (seulement 2-3 mecs vieux), mais j'ai eu de la chance puisque j'ai croisé une femme transgenre brune, en talons, avec une sorte de lingerie transparente où on voyait son string: une belle cochonne suceuse de bite, je me suis régalé avec elle en dégustant sa chatte et en la pénétrant.


Puis, je suis allé au 2nd X Center à Aix: le sex-shop était par contre petit, et là aussi, y avait pas grand monde, mais fort heureusement, une femme comme vous m'a trouvé en train de me masturber; elle m'a demandé si je voulais la baiser, j'ai répondu "Oui", alors, on est allé dans une cabine: elle a commencé à me sucer, on a baisé (un pur délice) et, contrairement à la première, elle a tout avalé (j'ai bien senti mon sperme couler dans sa gorge: hummmmmmm c'était tellement excitant).


Aujourd'hui, ça va faire bientôt 6 mois que je pratique le libertinage: toutes mes partenaires sexuelles m'ont trouvé mignon, disent que je suis endurant, que j'ai une belle queue, un beau gland et qu'elles adorent quand je les pénètrent. Après, j'ai une envie cachée: faire l'amour avec une femme sans capote, pour pouvoir sentir la chaleur humaine, humide, passionnelle et sensuelle de mon amante dans sa totalité; je sais qu'il faut se protéger, mais j'ai cette envie en moi.


Bref, je les ai honoré et j’honorerai aussi l'une d'entre vous: oui, j'honorerai votre bouche, votre chatte et vos fesses avec mon "or blanc" ;)

Robin29396 Fév 16 '16 · Commentaires: 1 · Tags: libertin, sex, x center
lilileet
J'ai commis un petit texte qui raconte un rendez-vous avec un amant imaginaire (?) 

Il devrait plaire à tous les amoureux des (filles en) collants ... et j'espère en faire bander

autant. Sinon, soyez indulgents pour une povre fille qui couche (!) ses fantasmes par ecrit.


Nous sommes dans une grande chambre ou un salon, tu es assis dans un fauteuil, habillé

 

et moi a distance dans une robe mi-longue, chaussée de sandales fines a talons, les jambes


et les bras nus, les ongles des pieds et des mains d'un rouge sombre, mes lèvres d'un rouge

 

intense, maquillée. Je sais les ravages que commettent dans le coeur des hommes mes longs 


cils noirs.


Tu m'ordonnes de m'approcher de toi, tu passes une de tes jambes entre les miennes. je rougis


un peu tandis que tu soulève ma robe, découvrant sous ma culotte en nylon transparente mon


petit minou. Bien que cela se voit tout de suite, la culotte ne cachant rien de moi, tu écartes le


nylon d'une main tandis que de l'autre tu inspectes que je porte bien ce jouet planté dans


l’urètre que tu exige que je porte - C’est parfaitement indolore, mais en cas d’excitation sexuelle,


la semence est bloquée. Satisfait de cette inspection tu glisses à présent la main entre mes


Jambes sous la culotte et tu vérifies que mon petit trou est suffisament dilaté pour te recevoir.


Tu insères doucement un doigt dans ma chatte, puis un deuxième, puis trois et ca fait flic floc


quand tu les fais aller et venir. La encore tu as l'air satisfait et je m’abandonne a toi : mes mains


sur tes épaules, mes jambes tremblent et inconsciement je me suis hissée sur la pointe des


escarpins pour m'offrir à tes doigts. 


Tu insères ensuite rapidement les deux derniers doigts et ma chatte accueille ta main


entière et alors que tu souris en grimacant je pousse un profond soupir et je gémis.


Un vrai baiser sur mes lèvres, ta langue dans ma bouche, tu essuie ta main sur ma culotte, tu


rabats ma robe, et d'une tape sur les fesses, tu m’ordonne de me mettre nue.


Je me déshabille à distance et dépose ma robe sur un fauteuil.


Je rougis un peu à nouveau quand tu m'ordonnes de retirer aussi le soutien gorge et la culotte.


Ainsi nue a quelques mètres de toi, j'aperçois un épais renflement dans ton pantalon.


Tu saisis alors derriere toi un élégant sac en papier à l’enseigne des grands magasins que tu me


tends.


Le paquet contient plusieurs paires de collants finement emballés et dans une jolie boite, une


longue nuisette.


Tu m'ordonnes alors de choisir l'un des collants et de l'enfiler. Celui que je choisis est de


couleur ambre, en voile et d'une finesse extreme. Me glisser dans ce fourreau soyeux me procure


un plaisir extreme. je sens ton regard de désir sur moi, je finis de l’enfiler et vérifie qu’ il soit bien tendu


sur mes jambes. Il recouvre mon nombril et mon minou est plaqué contre mon ventre.


Ainsi collantée tu me fais a nouveau approcher de toi. D'abord une caresse, sur mon minou a travers


la soie, puis entre mes jambes et sur la raie des fesses pour verifier que le collant est bien plaqué


contre ma chair.


Et puis tu me fais tourner et te présenter mes fesses. Le fin nylon ambre transparent est tendu


par dessus mon petit trou noir dilaté. Tu presse un doigt a cet endroit tout en me regardant dans


les yeux. Puis tu m'embrasses une nouvelle fois en saisissant ma main que tu poses sur le renflement


de ton pantalon.


Le renflement a encore gonflé et tandis que ton doigt caresse doucement ma chatte a travers le nylon,


j'ouvre ta braguette. Ton pénis est énorme et rouge, il s'echappe du slip et quand je le saisis


je le vois encore gonfler tandis que, moi à califourchon sur tes cuisses, tu as saisis mes pieds nus


mais collantés. L'ambre du nylon est si fin que l'on voit le rouge de mes ongles de pieds aussi bien


que si j'avais été completement nue. Tu m'embrasse, caresse mes pieds tandis que j'ai peine a contenir


ton pénis qui grossit et durcit a vue d'oeil.


Puis d'une voix rauque tu m'écartes doucement et je me remet debout devant toi. Tu donnes des petits


baisers sur mon minou a travers le nylon en me tenant par les hanches. Je suis sur la pointe des


pieds, tendue et je laisse échapper de petits gémissements, tandis que je sens mon minou durcir sous


tes baisers et tes coups de langue.


Une claque sur les fesse et tu me commande d'aller enfiler mon autre cadeau.


La nuisette dans son bel emballage est encore plus belle et fine que je n'avais tout d'abord entrevu.


je la tiens devant moi à hauteur du visage et malgré cela je te vois parfaitement. Son voile noir


transparent est agrementé de nombreux motifs, son bas en dentelle,


et malgré la hauteur a laquelle je la tiens, elle est d'une longueur telle qu'elle fait des plis sur le sol.


Je me glisse dans sa douceur et tandis que je la remonte sur les épaules, on entend distinctement son


doux crissement sur la soie des collants. Je me sens belle et désirable et tu dois le sentir aussi quand tu


me dis d'approcher a nouveau.


Pas besoin de relever la nuisette comme tu l'avais fait avec ma robe, la transparence de la lingerie que je


porte pour toi ne cache rien de mon anatomie. Simplement tu souris car mon minou est désormais tout


dur et pousse presque a la verticale sous le nylon. Tu passe ta main a cet endroit, pour vérifier toute


trace d'humidité, que le bijou planté dans mon uretre remplit bien son role et et que je serais bien ta 


femme complètement encore aujourd'hui.


Si je suis nue pour toi dans ces collants si fins, dans cette nuisette magnifique c'est que je veux etre


 à toi.


Mais ca tu le savais sans avoir besoin de vérifier, les signaux que mon corps émet sont sans équivoque :


Prends moi, plante ton dard en moi et fais moi crier !



C'est moi qui saisis ton penis et viens plaquer ma bouche contre la tienne. Je suis a nouveau


a califourchon sur tes cuisses et je gémis quand tu caresse ma chatte a travers la nuisette.


Tu saisis de nouveau mes petits pieds, tu me regarde de nouveau dans les yeux et tu


m'ordonne de te prendre dans ma bouche.


Je suis devant toi, a genoux dans ma nuisette vaporeuse, je sens sa caresse


excitante sur mon corps de fille, tandis que tu te mets nu.


Ton sexe est brulant dans ma bouche tandis que je darde l'aiguillon de ma langue dans


l'orifice de ton uretre. Tu gemis a ton tour tandis que dans un meme temps je caresse tes


bourses.


Puis par va et vient plus ou moins rapide, ta verge s'enfonce de plus en plus profondément


dans ma gorge. Je manque étouffer quand tu te leve et prenant ma tete a deux mains,


a ton tour tu prends l'initiative des va et vient et voudrais t'enfoncer completement en moi.


Mais malgré l'excitation du moment, de me voir ainsi soumise a tes pieds, tu n'éjaculeras pas


dans ma bouche aujourd'hui.



Soudain tout s'arrete, tu retire ton sexe trempé de ma salive et me tends la main pour me


relever. Moi meme toute dans l'excitation du moment et oublieuse de mon propre désir


j'attendais la décharge de ta semence au fond de ma gorge comme une ultime récompense.


Tu me releve et constate avec satisfaction que mon minou est comme tout a l'heure,


tout tendu sous le rempart soyeux du nylon des collants et de la nuisette.


Tu passe la main sur mes fesses et a travers les couches successives du nylon plaqué sur ma chair,


tes doigts experts explorent de nouveau ma chatte.


Ma chatte est frémissante, elle s'est encore dilatée, je ne t'éspere plus, je t'attends. Et


l'humidité refusée a mon minou se retrouve ici. Ma chatte est toute mouillée. le collant


trempé a cet endroit est tendu sur l'orifice dilaté et fait comme une peau de tambour, un hymen.


Je sais que le garde a vous de ton sexe est pour moi et cette pensée finit de me rendre femme.


Tu me fais a nouveau un baiser a pleine bouche.


Je me sens si desirable et sexy .


Alors tu me montre d'un geste la paire de sandales restées a l'ecart. Tu veux que je les enfile.


Je m'accroupis a l'écart et tandis que je boucle les lanieres, je sais que je serais encore plus a


toi dans ces sandales sexy.


Quand je me redresse, je suis perchée sur des talons aiguilles de 13cm, mes ongles de pieds


d’un rouge sombre et plein sont comme des bijoux sous la soie des collants. A présent la nuisette


touche tout juste terre et ainsi debout dans la lumiere face a toi, je sais que je suis terriblement


désirable.


Et tu sais que je suis a toi quand tu me fais revenir vers toi.


Mes talons font clic clac sur le parquet tandis que j’avance en chaloupant.


Tu es nu et assis dans le fauteuil. Ton sexe est énorme et pointe vers le ciel


Je suis sure de ma beauté quand je me dirige vers toi mais je sens que je suis trempée de desir pour toi.


Tu prends ma main, tu veux que je m'assoie a califourchon sur toi, j'écarte les jambes autour


de tes cuisses et tu en profite pour plaquer un nouveau baiser sur mon minou. A travers les


voiles tu le prends dans ta bouche et tu le mordille. Je sens le voile des collants se tendre


encore davantage sous la poussée de mon minou de fille. Je gémis.


Par cet effet le voile se tend aussi davantage sur ma chatte.


Je deviens completement folle de désir d'etre a toi.


J'ecarte ma nuisette en corolle et m'assois lentement sur toi. Mes main reposent sur tes


epaules nues. En baissant la tete je peux voir sous la transparence des voiles, mon petit minou


tendu captif des collants et ton sexe énorme tendu verticalement.


Tu ne dis plus rien, tu as les yeux ouverts et tu regarde les miens tandis que, les mains sur


mes hanches, tu réajuste ma descente droit sur ton sexe.


Tu saisis dans mes yeux un peu d'appréhension, un peu de peur peut etre car délicatement


tu plaque tes levres contre les miennes. et puis tu me garde ainisi, bouche contre bouche,


tandis que je m'assois lentement, maintenant parfaitement a la verticale de ton sexe.


Mes jambes tremblent un peu, tes mains sur mes hanches veillent au mouvement.


Et soudain je me bloque, sens que ton sexe est la, contre les collants. Je sens alors la légere


pression de tes mains sur mes hanches et puis un crissement de soie comme ton dard


dechire la fine pellicule de nylon, sans a coup.


Et puis tu me pénetre et je sens ton enorme sexe me remplir dans un glissement.


Je suis a toi completement maintenant et je fais de lents va et vient tout d'abord , puis de plus


en plus vite, le long de ton mat. Quand je vois dans tes yeux que tu atteins l'orgasme, je ralentis,


puis j'accélere a nouveau, cela pendant un bon moment jusqu'a ce que, fou de desir, tu


arrache mes pieds du sol.


Je reste ainsi, empalée sur toi, sentant la pulsation de ton sexe en moi et la mienne propre.


Mon coeur bat la chamade pendant que tu me défait de mes talons. Je suis tellement a


toi : tu tiens mes petits pieds collantés qui sont comme des bijoux dans tes mains, et a travers la


corolle de ma nuisette tu sens mon petit minou tendu sous les voiles contre ton abdomen. Je suis en


nuisette et je porte des collants mais pourtant tu es en moi. Je suis sexy et desirable et aguicheuse et


tu me possède.


Je sens ton sexe en moi vouloir grossir encore, m'écarteler davantage.


Tu tiens mes petits pieds gainés de nylon dans tes mains mes bras sont autour de ton cou et


en serrant tes bras autour de moi tu me fais maintenant monter et descendre sur toi.


Mon cul est une fontaine. Tu sais que tu me possede davantage que si j'étais nue et je le sais


aussi, la caresse de tes mains sur le nylon qui couvre mes pieds est un rappel pour moi que je


suis en collant et que tu es en moi quand meme.


Et puis dans un cri ultime tu te cabre une derniere fois et je me sens remplie de ta lave en fusion.


Mon propre cri d’orgasme est étouffé quand tu plaque ta bouche contre la mienne, tu serres


mes petits pieds a les briser dans tes grosses mains et la fontaine qui s'écoule a present sur le sol


est un mélange de la semence que tu mets en moi et de mon jus de fille.



Carole Le Vice, Paris 13 février 2016




lilileet Fév 13 '16 · Voter: 4.67 · Commentaires: 1 · Tags: collants
Robin29396
Si vous avez lu certains de mes blogs, vous avez pu constater que psychologiquement et émotionnellement, j'étais au fond du trou; mais aujourd'hui, ça va beaucoup mieux et je pense qu'il faut que je vous explique tout ce brouhaha.


Pour résumer la situation, j'avais connu l'amour une fois dans le passé et j'en ai souffert car je suis tombé sur quelqu'un qui m'a manipulé en me faisant passé pour un pigeon, un mouton, et c'est pour ça que j'ai dis que j'ai juré de ne plus connaître le bonheur. Seulement, voilà: je suis lunatique, têtu et hypersensible (et quand mon hypersensibilité se réveille, mon cerveau me joue des tours; oui, je suis un jeune homme compliqué, mais maintenant, vous savez pourquoi).


Concernant la femme dont je vous ai parée (je ne révélerai pas son identité) et que j'ai rencontré sur les réseaux sociaux (autre qu'ici), ben....finalement, elle s'est rétractée dans le sens où ce fut une période où elle était inconsciente, qu'elle ne voulait pas vivre de nouveau cela pour ne pas souffrir (sans doute à cause des mentalités de la société); bref: comme on ce connaît tous les 2, on a plus ou moins commencé un jeu de séduction où on se complimente, on se drague (c'est un jeu dangereux, mais j'adore jouer avec la tentation): je la trouvé séduisante, irrésistible et sexy, elle me trouve charmant, élégant et mignon; en plus elle a dit aussi qu'elle a succombé à mon charme, ce qui a suscité la jalousie de certaines de ses amies trangenres, qui ont peur de perdre leur copine, mais a tenu à rassurer tout le monde en disant qu'elle ne les abandonnera pas, mais que je suis quand même son Robin.


Mille excuses encore si je vous ai dérangé avec mes histoires (j'avais besoin de me confier à des personnes que j'adore) et mille excuses si je suis compliqué (ça m'arrive pratiquement jamais, ou une fois tous les 4 ans mdr)


A bientôt mesdames ;) j'espère rencontrer l'une d'entre vous lors de mon voyage à Paris, partager un délicieux moment à vos côtés, sans doute être votre amant (oui, je l'ai dit: je rêve d'être l'amant de l'une d'entre vous pour quelques heures ou pour une nuit, mais je rêve car je suis jeune; même si je le suis, je peux vous garantir que je ferai de l'une d'entre vous la reine d'une nuit, la reine des désirs, de la tentation, de la passion, ma reine irrésistible) et j'espère aussi qu'il y a une soirée trav-rencontre ou soirée Prisca organisée en Mai ^^ Bisous bisous. I love you !!!

Robin29396 Fév 11 '16 · Commentaires: 1 · Tags: heureux, séduction, tentation, amant
Robin29396
Depuis 3 ans, j'ai juré de ne plus aimer pour ne plus souffrir. Mais maintenant, je commence à me poser des questions: est-ce que cela valait le coup ? À ce jour, je vois ceux que je connais en train de tomber amoureux ou en train d'entamer une relation amoureuse; là, je suis perdu: je suis partagé entre ne plus aimer et connaître le bonheur. Comment cela se fait ? Je suis attiré physiquement et sexuellement par une femme, mais je sais que je pourrai pas l'aimer car je ne veux pas connaître l'amour une seconde fois, mais aussi car elle est déjà tombée amoureuse de quelqu'un d'autre. Je ne souhaite rien dire par peur de souffrir une seconde fois; le silence vaut d'or. Mais là, cette mélancolie me hante depuis 1 mois et demi et j'en peux plus: mon cerveau est partagé entre le désir sexuel et la reconquête du bonheur; je n'ai plus la force d'affronter cela ! À la limite, je préfère affronter Dieu plutôt que de souffrir toute ma vie !
Robin29396 Déc 25 '15 · Commentaires: 1 · Tags: amour, attirance
Robin29396
Aujourd'hui est l'heure de faire un bilan après une évolution entamée il y a 3 ans.


Avant, j'étais le plus pur, le plus innocent et le plus galant des hommes: à la recherche du bonheur et du grand Amour, je pensais que je réussirais à les atteindre en soutenant une cause, et ceux, pendant 10 ans; malheureusement, une femme, dont je croyais être amoureux, m'a détruit psychologiquement, mentalement et émotionnellement. N'étant plus qu'un homme brisé, pendant 1 an, je me demandais "Pourquoi me faire subir cela ? Qui a osé faire ça ? Est-ce la faute à pas de chance ? Est-ce le destin qui m'a joué un mauvais tour ? Ou bien est-ce....à cause de Lui ?" (*fixant mon regard vers le haut*) Mais je finissais par comprendre la vérité: la vérité, c'est qu'elle fait partie de cette cause, tout ce qu'elle voulait, c'était me manipuler. La vérité, c'est que le but que cette cause a fixé il y a 40 ans (de par une décision changeant la vision de notre pays) est en fait un mensonge ou a cessé d'exister depuis 10 ans. Alors, je décidais de mettre un terme à mon passé en abandonnant ma personnalité, et en devenant un autre homme: celui que je suis aujourd'hui (mais il arrive que je joue la comédie pour les piéger et leur faire payer ce que j'ai subi dans le passé). 


Mais très vite, la société m'a rejeté à cause de ce changement, et en conséquence, ma meilleure amie d'auparavant ne m'a plus adressé la parole (alors qu'on en avait déjà discuté sur mon changement de comportement); cette société a également rejeté 2 hommes ayant en partie la même personnalité que moi: le 1er a gravit les échelons de la hiérarchie sociale et économique, avant de dégringoler à cause d'une pratique humaine et des séjours à l'étranger; le second était le Cavalier de son peuple, qui finira en prison pour cette pratique (ce qui montre que la société veut faire de ce plaisir un crime, et ceux, malgré une révolution qui date de 45-46 ans environ). Le plus bizarre, c'est que la société a accepté 2 autres hommes ayant le même plaisir et la même personnalité que moi et les autres, soit un ancien soldat de la Liberté d'expression, qui a vu les atrocités de l'être humain (en particulier lorsqu'il a assisté à la tragédie touchant des sœurs jumelles) pendant 15-20 ans, mais qui a choisi de profiter de la vie et goûter à cette passion (en plus d'être chroniqueur dans une émission depuis 2010, où on retrouve un Génie incompris qui adore danser avec une partie haute de son corps, un paranoïaque ayant survécu à l'enfer communiste de Cuba et à la tragédie sportive corse, un nouveau, rejeté par la société, comme moi, à cause d'un vice qui contamine la jeune génération depuis 2001, ou encore une démente sénile), suivi d'un séducteur étalonnesque au service de ce désir depuis près de 30 ans.

Je me fiche de ce que pense la société: j'ai décidé de devenir provocateur et je l'ai prouvé en effectuant l'ultime acte de provocation: signer une pétition, s'inspirant d'un manifeste âgée de 40, sauf que cette fois-ci, 343 hommes (incluant moi) se sont unis pour ré-ouvrir des lieux bannis au début des 30 Glorieuses, mais surtout pour dépénaliser et rendre légale une pratique interdite dans notre société, mais légale chez nos voisins du Nord et du Sud (au niveau de nos frontières) et chez d'autres voisins


3 ans ont passé, et pourtant, je me retrouve au même point: quand je suis ici, je ne rêve que d'une seule chose, être avec l'une d'entre vous, la rencontrer, passer un bon moment avec elle, voir plus....mais en ces temps difficiles, c'est assez compliqué de réaliser ce rêve, malgré le désir et la volonté. Malheureusement, quand je vois qu'elle a trouvé l'amour, je devrais être content, leur souhaiter beaucoup de bonheur, mais je n'y arrive pas: je me sens triste car je me pose cette question "Suis-je pas assez prêt pour connaître le bonheur ? Ou bien suis-je condamné à ne jamais connaître le bonheur ?" Si c'est le second cas, pourquoi ? La société veut-elle me faire payer pour mon évolution ? J'ai dû trop attendre, et pourtant, j'ai essayé de trouver divers moyen pour la voir et vivre un instant avec elle.


Peut-être qu'il est tant pour moi de quitter ce monde, non pas définitivement, mais temporairement, le temps de réfléchir à ce bilan sur ma vie, et le temps de savoir si je dois revenir ici ou si je dois demander à Lui (*fixant mon regard vers le haut*) un aller-simple pour un monde où je peux réaliser mon plaisir, sans être rejeté par le monde entier.


A la société: réfléchissez à vos actions, à ce que cette cause a provoqué et posez-vous les bonnes questions. A tous mes proches (amis, famille): je vous aime, jamais je ne vous oublierai, je penserai à vous jour après jour et je serai toujours là, dans vos cœur. Mais surtout, merci à Toi: merci d'avoir été compréhensive et à l'écoute quand je t'ai dévoilé mon passé, merci pour m'avoir réconforté et consolé, merci pour avoir supporté mon comportement et mes conneries que j'arrêtais pas de dire, merci de m'avoir accepté comme je suis.


(Attention: ceci n'est pas ma vie: ceci est une histoire inventée où je me mets à la place du narrateur)

Robin29396 Sep 20 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 1 · Tags: pensée mélancolie bonheur tristesse
Annafe
Episode attendue, j'espère qu'il ne vous décevra pas. A vous de me dire si je dois continuer l'histoire....

VENGEANCE BLONDE

 

Ma dernière mission s’étant plutôt mal terminée, ma hiérarchie me proposait de prendre un peu de vacances. Du repos me ferait du bien et pour m’enlever tout stress, je louai une petite maison loin de tout, dans un bois accueillant au bord d’un plan d’eau magnifique. Balades dans la nature, baignade totalement nue (j’adore cette sensation de l’eau sur tout mon corps), course à pied, vtt etc.., je profitai de ce congé pour me refaire une forme olympique dans l’optique de prochaines missions dangereuses.


Pourtant, dans ce service, on n’est jamais totalement en vacances. Ainsi je reçus un appel codé me signalant que je devais servir d’intermédiaire pour un colis destiné à un autre agent (un certain BA254). Cet agent devait récupérer le paquet quelques jours plus tard, en matinée. Il me donnerait un code me permettant de l’identifier.


J’attendais donc mon collègue inconnu. Profitant d’une jolie matinée ensoleillée, je portais une jupe courte blanche rehaussée d’un top de dentelle  rose à fine bretelle laissant apparaitre un mini soutien-gorge de la même couleur. On ne sait jamais. Si je trouvais cet inconnu à mon goût, nous échangerions peut-être un peu plus qu’un simple paquet anonyme. Seule depuis une quinzaine de jours, le manque de caresse et d’action commençait à me travailler.


Vers 10h, j’entendis un véhicule sur le chemin gravillonné. Par la fenêtre, un petit coupé sportif déboucha à l’orée du bois. Je filai dans la chambre prendre mon petit pistolet que je glissai sous ma jupe, dans le dos. Je devais tout de même rester prudente.


J’entendis frapper à la porte et l’ouvris rapidement. Le choc fut énorme.  Malgré de jolies lunettes de soleil lui cachant son regard, je la reconnut aussitôt. Face à moi, la blonde me remit en mémoire l’outrage de ma nomination quelques mois plus tôt. Oui, c’était bien elle qui avait activement participé à mon bizutage dans les sous-sols du manoir. Je reconnus également cette paire de seins qui tendait son chemisier écru. Elle était toute mignonne avec sa petite jupe en jean et ses longues jambes fines.


Ne percevant aucune réaction de sa part, je ne sus si elle me reconnut. Après l’échange de nos codes, je la fis entrer. Elle pénétra nonchalamment dans mon homme, d’une démarche sensuelle.

Je lui offrais du thé qu’elle accepta volontiers.

Nous devisions en buvant nos tasses. Elle était superbe et mon désir frémissait. Elle me félicita pour le choix de ma villégiature. Je sautai sur l’occasion pour lui faire visiter la maison. Nous montâmes à l’étage et je l’a fis pénétrer dans ma chambre. Elle sembla un moment troublée mais, voyant que je lui laissai le passage, s’y infiltra devant moi.

Je fis quelque chose de dangereux, en dehors de toutes les règles de notre service mais j’en avais trop envie. Je remerciai mes patrons d’avoir, sans le savoir, mis cette superbe créature sur ma route. Ma sensuelle vengeance ne pouvait tomber mieux, moi qui me trouvai en manque. Je me plaçai derrière elle et brutalement je lui pris les mains et je les plaquai contre son dos. Elle poussa un petit cri de frayeur qui m’enthousiasma

-         -       Ne t’inquiètes pas ma belle, je ne vais pas te faire de mal.

Elle pouffa la salope

-          -  Je sais

-          Tu sais quoi

-         -   Moi aussi je t’ai reconnu. Elle ne cherchait même pas à se débattre. Elle continuait à parler tout en ricanant

-         Comment oublier une pareille soirée avec une superbe fille comme toi. Je m’en suis donnée à cœur joie et tu as bien reçue, comme vraie une chienne

-          -  Oh oui ma garce, tu as raison, j’en ai reçue. J’ai mis plusieurs jours à m’en remettre. Mais tu sais, je me suis promis une chose

-         -     Laquelle demanda-t-elle ingénue

-          -  Parmi tous ceux qui m’ont défoncé ce soir-là, j’ai remarqué une blondasse bien salope avec  des seins affolants et un clito bien dur

-          -   Je t’ai laissée un si beau souvenir

-          -  Oui ma belle pute et je me suis promis de te retrouver et de me venger

-         --  De te venger…mais de quoi

-          -  De tout ce que tu m’as fait subir ma belle

-          - Je m’inquiète là dit-elle en riant.

-          -  Et même j’ai tellement attendu que ma vengeance va être bien supérieure à ce que j’ai subi

Je sentie sa voix plus inquiète,

-         -  Tu rigoles là

Je la jetai sur le lit

-Non, je n’ai jamais été aussi sérieuse


Je me précipitai vers ma petite valise d’accessoires qui ne me quittait jamais et en sortait une corde fine. Elle se retourna et s’assit sur le couvre-lit en me regardant circonspecte

-        -   Et tu crois que je vais me laisser faire

-          -  Comme tu veux, mais plus tu te défendras et plus je te ferais subir

J’étais déterminée à me la faire bien proprement cette blonde qui me faisait bander déjà comme une folle

-          - Tu ne vas  pas être trop hard si je t’obéis

-         -  Ca va dépendre ma belle. Retournes-toi et tend tes bras dans le dos, mains jointes.


Elle obéit et se laissa lier les mains, puis je la basculai en avant et entrepris de lui ôter sa petite jupette en jean très serré. Elle m’aida en se tortillant les fesses. Un tanga de dentelle noire révélait de magnifiques petites pommes rondes bien douces et dodues. Ce fessier était superbe. Je n’en pouvais plus. Je lui écartai les cuisses et je commençai à la caresser de manière subtile. Elle ne mit pas longtemps à gémir, surtout lorsque qu’écartant son Tanga, je lui mis un doigt en sa chatte de derrière. Elle se trémoussait et commençait à relever son petit cul pour venir à ma rencontre.


Toute excitée, je la retournai, la prit par les cheveux et l’agenouillait devant moi. Ma petite robe blanche soulevée, sans culotte, je lui présentai mon clito droit comme un mat et elle ne fit aucune difficulté pour l’enfourner dans sa bouche fine. Je fus sympa de ne pas lui labourer la gorge de suite mais j’étais tellement gonflée que je la voyais souffrir un peu, dans l’impossibilité de m’avaler totalement. Elle me devait bien ça, je lui fis un peu violence en lui prenant l’arrière de la tête pour la forcer à m’engloutir. Oh je sentais bien qu’elle avait peine à suivre le rythme mais au diable la tendresse. Elle n’en avait pas fait beaucoup preuve lors de mon bizutage. Elle allait se rendre compte du calibre du clito d’Anna cette chienne lubrique.


Elle en bavait, au sens propose comme au figuré, et j’en rajoutai pour qu’elle comprenne bien qui était la Maîtresse maintenant. Plusieurs fois, elle du déglutir et je commençai à voir le rimmel de ses yeux coulés. N’étant pas une tortionnaire, je décidai de changer de jeux. Je lui pris le dessous du menton pour qu’elle se relève et je l’embrassai goulument, ma langue lui explorant la totalité de sa bouche. Elle semblait soumise et se laissa faire alors que je l’entourai de mes bras.


Puis je passai aux choses sérieuses, je la basculai brutalement sur le lit et attrapais ma paire de menottes. Elle se laissa attacher au barreau du lit en fer, comme si elle acceptait cette punition méritée la petite cochonne. Face à moi, son regard mêlait excitation et inquiétude. Lentement, je dégrafai son chemisier et ses deux seins de trav’ hormonée apparurent. Je reconnus avec délice ses tétons bruns qui pointaient en ma direction comme un appel à la succion. Je plaquai mes mains dessus et commençai à lui caresser les mamelons. En même temps, j’apercevais avec délice la bosse sous son tanga noir. Cela redoubla mon désir et j’entrepris de lui caresser la totalité de ce corps souple et lisse offert à ma lubricité.


Je me penchai et attrapai ses tétons pour les mordiller alors que ma main glissait sous sa culotte pour saisir son membre dur. Une belle trav comme elle, humm, cela me plaisait à la folie. Elle fermait les yeux et gémissait doucement. Elle adorait cette jolie blonde et cela décuplait mon désir. Bientôt je m’occupai de son clito avec ma langue. Partout, sa douceur de peau me donnait faim et la sucer m’apportait de merveilleuses sensations. Ses gémissements s’accéléraient. Je lui procurais un plaisir intense, cela se voyait.


Mais trop était trop, finie la volupté sensuelle. Bien que j’aime  lui manger le clito, je devais encore lui faire subir quelques outrages. Je la retournai et ses bras attachés se croisèrent. Je lui descendis, sans ménagement son tanga et aperçus la belle paire de fesses dénudée bien blanche. Ce petit cul manquait de couleur pensai-je en attrapant mon martinet. Et, avant même qu’elle ne s’en rende compte, je lui admonestai un coup sec sur son arrière-train. Un petit cri de surprise se fit entendre de la belle bouche de ma blonde. Je continuai alternant le rythme, force et parfois caresse avec les lanières. Elle se mit à crier plus souvent. Je lui faisais mal, j’en étais consciente mais j’adorais cela. Je voyais rougir ses fesses. Mon martinet laissait des traces et elle souffrait de plus en plus. Des cris strident et fort accompagnaient mes coups brefs.


-         -  Tu peux hurler ma belle, dans ce coin paumé personne ne t’entendra

Puis je repris ma besogne.

Après quelques minutes, je stoppai mes agissements. A ma grande surprise je l’entendis dans un souffle

-Encore me disait-elle.

A la coquine, serait-elle adepte du masochisme. Alors je recommençai et elle hurlait de plus belle.

Je continuai quelques minutes et son cul devenait mûr.


Mais tout cela m’affolait. Voir cette belle blonde bien membrée se tortiller et réclamer encore plus de coups de martinet, je devenais bouillante de désir.

N’en pouvant plus je lâchai le martinet et me jetai littéralement sur elle, en attrapant le gel et une capote sur la table de nuit. Bien couverte, je lui enfilai deux doigts gélés dans ces fesses déjà bien ouvertes et je la pénétrai violemment lui arrachant un gémissement de pucelles effarouchées.


Je commençai doucement avant de prendre un rythme bien effréné car elle m’avait mise dans tous mes états cette blondasse adorée.


Tout cela était si bon, si gouteux, si affriolant. Ma soumise ronronnait de plaisir. Elle m’invita à la défoncée encore plus  en me lançant des « vas-y » entrecouper de « han » très sensuels. Ouh je lui administrai une sacrée baise à ma trav’ enflammée.


J’y allai comme une folle. Comme une sprinteuse impatiente de toucher au but.

Je sentais l’excitation monter mais n’en avais pas finie avec elle.


Je me retirai précipitamment, me levai et la retournai sur le dos. Je vis son regard totalement affolé et empli de désir. J’ôtai la capote et présentai mon clito face à sa bouche en finissant de me masturber. Obéissante, elle l’ouvrit juste au moment où mon désir jaillit avec force. Elle prit tout. Je l’aspergeai dans la bouche mais aussi sur ses joues, ses yeux, ses cheveux. Je me vidai de mon plaisir sur elle, avant de m’affaler sur son corps.

Elle était brulante et sentait la sueur amoureuse.


Nous restâmes quelques minutes sans bouger, respirant fortement. Puis la respiration se calma. Je me levai lentement et allai prendre une douche. Je la laissai attachée sur mon lit et sa nudité m’excitait encore.


Elle resta finalement deux jours et nous organisames plusieurs jeux en duos ma jolie trav’ blonde et moi.


On se voit parfois lorsque nous avons quelque temps à perdre. Elle est toujours aussi délicieuse et nous sommes tout à tour dominatrice ou soumise.

 

 


Annafe Jul 8 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 1
Annafe
Suite de "la chevalière d'EONNE" avec l'épisode 3 qui est la seconde partie de l'épisode 2 (vous suivez???).
Au prochain épisode, le retour de la blonde hi hi hi (je sais qu'elle vous a émoustillée celle-là...)


« Le chemin est malaisé. Mes talons hauts ne me facilitent pas la tâche. Le bois est sombre et j’avance difficilement sur cet étroit sentier, le microfilm à la main. Je sais, l’alerte a été donnée. Les services ont failli su ce coup.

Alors que je devrais tranquillement rentrer au volant de ma Mercedes de location, je me retrouve à errer dans cette nuit noire à me tordre les chevilles. Personne ne m’avait prévenu que le fait de soulever le microfilm de son minuscule coffre, camouflé dans le parquet, déclencherait aussitôt une alarme.

Par leur négligence, je dois me débrouiller seule. Pas facile avec ma robe moulante bleu pâle (pas vraiment adaptée à une fuite nocturne). Je stoppe un instant car j’ai entendu du bruit. Je sais qu’ils sont là, tout près. Qu’ils me poursuivent.

J’ai enlevé mes escarpins et je me pique les pieds. Mes bas ne vont pas y résister.

Je suis persuadé de les avoir entendus. Où sont-ils ces barbouzes ? Je me souviens d’en avoir aperçu à la réception, avec leur tête chercheuse qui dépasse la foule. Pas le genre à vous faire des politesses. S’il me tombe dessus, je risque de passer un sale quart d’heure. »

(Deux hommes cachés derrière les arbres se précipitent brusquement sur Anna).


NOTES D’ANNA SUR L’EVENEMENT


Ils m’ont bondi dessus par surprise. L’un m’a carrément balancé une énorme gifle et ma tête s’en souvient encore, puis il me tordit le bras, mis sa main sur mon cou et m’emprisonna de ces muscles gonflés à  la testostérone.

-        -   Où est le microfilm salope !!!. hurla l’autre, un blond pas vraiment commode, en me faisant face.

J’ai serré ma main.

-         -  Je l’ai perdu en fuyant.

Il me regarda incrédule, alors j’ajoutai d’un ton suppliant de vierge effarouchée

-         -  Je vous jure

Il arracha mon sac et se mit à genoux. Puis, alluma une lampe troche tout en retournant le contenu de mon sac sur le sol. L’autre me serra de plus belle. Sa main, de la taille d’un battoir à linge, m’étouffait. Il lui suffisait d’accentuer encore un peu la pression et la jolie Anna s’envolerait directement au paradis. J’avoue que la peur traversa mon corps. Mon être glacé fit saillir mes tétons.

A terre, l’homme trouva le leurre. Il se releva

-         -   Il est là, dans son sac.

-          - Alors trainée, tu l’avais soi-disant perdu hein…aboya  mon tortionnaire dans l’oreille

-          - C’est bon, on l’a récupéré Maxime, dit l’homme blond qui s’était relevé face à moi.

-          -  Et elle, on en fait quoi chef. Répondit l’autre sans me relâcher.

Je commençais à haleter, manquant d’air.

-         -   Le patron l’a dit. On l’a tue pas. Un cadavre, s’est difficile de s’en débarrasser

Cette simple phrase me rassura.

-         -   L’important c’est le microfilm.

Je serrais encore le vrai microfilm dans mes mains moites.

-     -  Par contre Maxime, j’ai peut-être une idée de récompense, dit le chef dans un sourire qui m’inquiéta. Il ôta le talkie de sa ceinture et le porta à ses lèvres.

-          - C’est bon les gars. On a le microfilm. La salope s’est enfuie. Vous pouvez rentrer. C’est un ordre.

Il coupa son talkie et me regarda avec insistance

-      -  Voilà Maxime. On est tranquille maintenant. On va pouvoir s’occuper de la demoiselle en récompense de nos efforts.

Je compris aussitôt que j’allais devoir me plier aux ardeurs de ces messieurs. Un moindre mal pensai-je philosophe.


Le chef s’approcha et passa sa main sur mes fesses. L’autre me lâcha et je repris ma respiration. J’en profitai pour porter ma main devant ma bouche en toussant et avalais le microfilm. Je n’avais pas le choix. Ils pouvaient le trouver si je le gardai dans ma frêle mimine.

Le chef me caressait maintenant ma modeste poitrine. Pendant ce temps, Maxime prenait lui aussi de l’assurance. Des fesses délaissées par le chef, il passa à mes hanches, ce qui eut pour effet d’exciter mon clito. Il continua à m’entourer de ces caresses jusqu’au moment fatidique. Il s’écarta brutalement en bafouillant

-          -  Chef, Chef !!!

-          -  Quoi Maxime

-         -   C’est pas une fille Chef !!!

-          -   Quoi !

Aussitôt, en bon chef courageux qu’il était, le blond voulu s’en assurer en soulevant ma robe. Il écarquilla les yeux en voyant le clito dur dépassant de mon string.

-        -   La vache ! Le patron se tape des travs !

J’esquissai un sourire en les voyant effrayés. Ils reculèrent  comme s’ils avaient touché une pestiférée. Ils allaient peut-être me laisser tranquille.

- Mais le chef se reprit.

-        -  Après tout si le Prince se paie  une trav’, c’est qu’elle doit être bonne non ?

Je déchantai en comprenant que là, ma belle, je risquai de subir.

Violemment il arracha ma jolie robe qui virevolta jusqu’au sol me laissant en dessous très coquins.

-        -   Vrai qu’elle me semble bonne, dit-il goulument.


Il me prit par les cheveux, m’obligea à me mettre à genoux et aussitôt sortie sa queue pour me l’enfiler violemment dans la bouche. Il me fit mal ce salaud et commença à me ramoner la gorge sans aucun égard. L’autre nous regardait incrédule.

Il me l’emplissait brutalement et je faillis plusieurs fois m’étouffer sous ses profonds coups de bite. Il ne me ménageait pas le sagouin et je devais respirer par le nez car son membre me remplissait bien la bouche, la déformant à chaque mouvement. Il touchait ma gorge à chaque coup et je haletai face à ce pilonnage bien profond.

Au bout d’un long moment, qui me parut une éternité, il ressortit enfin sa queue très grosse et, je l’avoue, savoureuse. Violemment, et je dois dire que cela m’excitait fiévreusement, il me prit par les cheveux et me traina sur le côté de façon à ce qu’il puisse attraper ma croupe blanche qui luisait dans la pénombre et sans ménagement, il me pénétra, sans gel, avec une force qui déclencha en moi une douleur enivrante. Je poussai un petit cri plaintif ce qui lui fit redoubler d’ardeur. Mes fesses s’écartaient pour laisser le passage à ce membre bien dodu qui m’enfilait profondément. Douleur mais aussi plaisir s’emparèrent de moi car je savais déjà que j’aimais la tendresse mais également être parfois bousculée comme une chienne à défoncer.


C’est alors que j’aperçus l’autre, le timide Maxime, son dard à la main, occupé à se masturber. Sentir le gros sexe du chef me défoncer me rendait plutôt chaude et pleine d’émoi. Alors j’ouvris la bouche en un appel vers la queue du Maxime qui n’osait pas se rapprocher. Mais les coups du forcené dans mon cul comblaient petit à petit l’espace me séparant de la queue tendue du timide. Finalement, il me l’enfila dans la bouche avec douceur et je le suçais comme on déguste une sucette en me persuadant que finalement, autant se faire souiller jusqu’au bout pour leur faire croire qu’ils m’avaient vaincu. Pendant ce temps, je soufrais, toujours avec délice, de la vigueur de l’autre assaillant qui me bourrait comme une sale pute prête à tout recevoir.

Très vite, le Maxime de son coté, se retira et m’aspergea de son liquide chaud sur mes lèvres entrouvertes et le haut de ma poitrine. Il en avait en réserve ce salaud car mon soutien-gorge en dentelle bleue se retrouvait maculé de foutre.


C’est à cet instant que le chef, dans une série de coups frénétiques, qui finirent de m’écarteler la chatte de derrière,  éjacula dans mon cul. Je compris que  toute sa semence me remplissait et lorsque sa queue se libéra de mon trou, je sus que mon cul devait ressembler à un tunnel à TGV tellement j’avais la sensation qu’il était béant.

Je sentis ensuite son sperme me couler sur l’arrière de mes cuisses.


Pendant que le gentil Maxime se rhabillait, l’homme me prit par le menton et m’asséna une gifle carabinée qui me fit m’étaler à même le sol sur le flanc.

-         -  Ne t’avises plus de remettre les pieds ici, sale pute. Sinon, je te finirais au surin.

Puis, il tourna les talons et s’en alla, suivi par son acolyte qui tentait de reboutonner  tant bien que mal son pantalon.


Je restai un long moment sur le flanc sans bouger, Sali par les liquides de ces messieurs et blessées dans mon amour-propre. J’avais perdu et il était normal que ces mâles en profitent. La sodomie violente du chef avait pourtant excité mes sens et je ne savais pas si j’en étais heureuse ou dépitée. Finalement, fourbue de cette nuit agitée, je ramassai ma robe, tentai tant bien que mal de m’envelopper avec et repartait, le clito entre les jambes, vers les bois. Pourtant la mission était réussie mais ces messieurs du service allaient devoir patienter un peu avant de récupérer ce putain de microfilm.

 


Annafe Jui 12 '15 · Voter: 5 · Commentaires: 1
Claire Admin
Bonsoir mes chéri(e)s !

Et oui, la période tant attendue des vacances arrive enfin ! Et s'il fallait résumer d'un mot ce moment magique où l'on se dit qu'on est en vacances, ce mot serait "COURT"... Tellement qu'il faudrait même deux mots pour le qualifier : "TROP COURT"
Ce moment précis où l'on quitte pour une, deux, trois semaines ou un mois notre lieu de travail (je devrait dire  torture puisqu'il nous est pratiquement impossible d'y vivre notre passion) et où l'on se dit : "ça y est... Je suis en vacances !!!". Ce moment donc est tellement court qu'en fait, on n'est vraiment en vacances qu'à cet instant précis. En effet, dès qu'on a commencé à réaliser qu'on y est, le lent décompte des jours de farniente restant commence...
Décompte qui nous conduit toutes et tous à finalement nous dire "profitons-en !!!"
Malheureusement, la période des vacances signifie également celle de nombre de clubs, de lieux de rencontre et tout autant d'amants ou d'ami(e)s. Et oui, chacun a droit à des vacances et chacun en prend à peu près à la même période. Qu'à cela ne tienne ! Les vacances seront bonnes pour peu qu'on le veuille ! Pour peu que VOUS le vouliez ! Et s'il faut, pour un temps, oublier que nous sommes des femmes qui aiment leur condition duale au point de sauter sur la moindre occasion de faire jaillir cette beauté qui est en nous, et bien oublions-la et passons ces quelques moments rares dont nous disposons avec notre famille.
Aussi, je vous souhaite à toutes et tous de bonnes, très bonnes, excellentes vacances. Puissiez-vous revenir de vos lieux de villégiature la tête emplie de souvenir et d'envies (coquines ou pas). Puissiez-vous, à votre retour, avec ce plaisir immense qui est le nôtre, redécouvrir cette femme qui est en vous. Puissiez-vous enfin vivre librement votre passion à votre retour. Et pour celles qui ne savent pas comment annoncer ce penchant à leur épouse adorée, puissiez-vous trouver le moyen de le faire.

Je vous embrasse toutes et tous tendrement.

Claire



P.S. La photo avec la robe bleue est là pour un garçon que j'aime bien et qui adore ça...
Claire Jul 23 '14 · Voter: 5 · Commentaires: 1 · Tags: vacances
Pages: «« « ... 3 4 5 6 7
Pubs