Voilà. Comme je suis franche et honnête j'ai décidé de m'ouvrir à vous. Oh je vois déjà vos réactions et idées en lisant ce mot. Non, je ne parle pas de sexe là mais juste que j'ai tellement de chose en moi et envie de vous les dire, sur ce site. Oui parce que c'est peut-être le seul endroit ou j'ose tout dire (attention, je ne vais certainement pas tout dire aujourd'hui).
Qui suis-je?
Quelles sont mes pensées?
Cela n'intéressera peut-être pas grand monde , mais si je le dis c'est aussi pour moi. Parce que tout cela doit sortir un jour.
Sur le tchat, certains pourront peut-être penser que je «flatte» les personnes ou que je les «drague». Vous avez le droit de le croire et pourtant nul n'est mon intention.
J'aime les gens. Oui, j'affirme cela. Je les aimes car c'est la seule chose que je fais bien. C'est la seule chose qui est importante pour moi.
Et sur ce site je trouve une majorité de personnes qui méritent le respect et l'amour. J'aime les femmes (ou plutôt je les aie aimées, mais elles m'ont beaucoup déçues). J'aime les hommes car, peut-être (je dis bien peut-être car je n'ai pas encore saisie la vérité et je ne la saisirais probablement jamais), ils me permettent de faire ressortir et extériorisée ma fragilité et ma féminité. Ils me permettent d'être ce petit animal soumis qui n'a pas besoin d'être meneur, qui peut se laisser guider et qui a besoin de ressentir une force supérieure, une protection. J'aime les travs car, peut-être elles me ressemblent. Elles ont les mêmes angoisses, les mêmes soucis, les mêmes attentes, les mêmes goûts, elles me comprennent mieux. Oui je vous aime tous si vous me prenez pour un être respectable et que vous acceptez ma condition.
Et quand je vais sur le tchat et que je dis à une trav qu'elle est jolie, que je suis heureuse de l'entendre ou de la voir, je suis sincère. Absolument sincère.
Ma prime jeunesse dans ce milieu hippie m'a peut-être marquée. Je suis rester longtemps l'un des derniers hippies au moment ou ce mouvement était devenu désuet. Mais je me souviens ces accolades (plus que des accolades on se prenaient carrément dans les bras) qui voulait dire «je t'aime» (sans différence de sexe).
Oui j'aime parler avec vous et vous voir. Ce n'est pas flatterie de le dire si on le pense vraiment. Et l'on devrait le dire bien plus souvent, et même toujours. On devrait affirmer que l'on s'aime et que l'on adore se parler, se voir, se regarder. Le monde serait si beau si tout le monde affirmait l'amour.
Cela ne veut pas dire que je veux draguer ni «baiser» avec tout le monde car l'amour c'est tant de choses différentes.
C'est le tendresse d'un regard
C'est le geste qui aide
C'est le baiser chaste au coin de lèvres
C'est le mot qui rassure
C'est la phrase qui vous fait comprendre que l'autre est là si vous avez besoin
C'est le sourire face a l'inconnue
...et tant d'autres beautés encore
C'est bien sûr, également, les moments intimes entre personnes majeures et consentantes.
Et pour quoi devrions nous le partager avec un seul être?
Pourquoi n'aurions nous pas le droit d'aimer l'intimité avec plusieurs personnes?
L'amour ce n'est pas la propriété ni l'exclusivité.
C'est la liberté de chacun de disposer de son coeur et de son corps.
Si vous aimez une
personne et qu'elle se trouve plus heureuse ailleurs, et même si
cela vous rends affreusement triste. Vous n'avez pas le droit de la
retenir. Sinon c'est que vous ne l'aimiez pas vraiment. Car lorsque
l'on aime une personne, la seule chose qui doit compter, c'est son
bonheur. Pas le vôtre.
Alors oui, sur ce site et dans ma vie, mon seul but est d'apporter du bonheur. Un peu ou énormément suivant les attentes et les rencontres. Elles peuvent me demander peu ou beaucoup mais ce qui compte pour moi c'est d'allumer une petite lumière de bonheur dans leurs yeux. C'est tout ce que je cherche. Je ne réussis pas toujours et je m'en excuse mais mon seul bonheur est de l'offrir.
Pardonnez ma longue litanie.
J'avais juste besoin de le dire
Bien à vous
Anna
Une fois posée la question en titre, il me fallait y répondre le plus objectivement possible.
Donc, que suis-je ?
Longtemps, je fus UN
travesti. En fait, cela a duré certainement une grande partie de ma vie
(au moins la moitié). Pourquoi ? Tout simplement parce que isolé (je
mets le masculin volontairement), je pensais être assez unique. Je ne
faisais, comme beaucoup de travestis, que m'habiller en femme. De loin
(très loin), on aurait pu croire que j'en étais une mais dès qu'on
s'approchait suffisamment, l'illusion disparaissait comme la rosée du
matin au soleil. Envolée donc, cette femme que je rêvais de devenir !
Et
puis, internet est arrivé. J'ai alors commencé à mener des recherches.
Recherches qui m'ont d'abord conduite sur un site que je n'oublierai
jamais : TVQ (travestis Québec).
Ce site, aujourd'hui disparu m'a
ouvert les yeux. Non ! Je n'étais pas seule ! Il existait à travers le
monde des tas de personnes comme moi !!! Elles vivaient alors le même
dilemme que moi : étaient-ils (elles) des hommes déguisés en femme ou
étaient-elles (ils) des femmes à part entière lorsqu'ils (elles) se
transformaient ?
J'ai appris, grâce à ce site qu'en fait, je n'étais rien moins qu'une femme (ou un homme, c'est selon) à temps partiel ! 100% homme (avec quelques détails en moins, j'y reviendrai) lorsque je n'étais pas "transformé". Et 100% femme (avec un détail en plus) lorsque j'étais "transformé".
L'homme que j'étais a alors pris une décision. Puisque la crédibilité de la femme que je devenais était primordiale, il fallait me débarrasser de quelques détails "encombrants". Je me suis donc rasé puis, me rendant compte que le rasage ne durait pas assez à mon goût, j'ai commencé à m'épiler. J'ai pris des leçons de maquillage, j'ai commencé à acheter des vêtements, des dessous, des chaussures. En fait, j'ai utilisé au maximum cet endroit magique qu'est internet pour affiner et parfaire la femme que je devenais de temps à autre.
Et le résultat ne s'est pas fait attendre, plus j'avançais dans cette démarche, plus je devenais cette femme que je voulais être.
J'ai alors recherché des espaces où il serait possible d'exposer le résultat du travail accompli et y ai posté mes photos. Et là, la magie a opéré ! Les contacts se sont multipliés, j'ai trouvé des amis et des amies sincères et fidèles. J'ai également trouvé des amants extraordinaires. Amants d'un soir ou d'une période donnée. Tous étaient animés par la même passion : ils aimaient les travestis et voulaient le leur montrer aussi souvent qu'il était possible ! Tous adoraient les caresses que Claire leur prodiguait. Tous aimaient ce corps que Claire leur offrait ! Et tous en redemandaient !
Ceci étant, et en guise de conclusion à ce billet, je dirais que je ne me considère plus comme un travesti. Non ! Je ne suis plus un travesti. Je suis une transgenre. Une personne au sexe, comment dire.... ALTERNATIF ! Le terme exact pour désigner nombre d'entre nous. Car en fait, je suis amoureux fou de mon épouse qui partage avec moi cette passion dévorante qui m'anime et qui l'accepte sans réserve. Mais en même temps, Claire est toujours là, tapie dans l'ombre et prête à surgir à la moindre occasion ! Claire est une femme. Elle vit en moi ! Elle est en quelque sorte locataire du mec que je suis le plus souvent. Et lorsqu'elle peut sortir, je lui laisse toute la liberté dont elle a besoin pour s'épanouir.
Voilà qui est Claire. Claire n'est pas un ou une travesti(e). Claire est VRAIMENT une femme. Simplement, elle ne se manifeste que lorsque le besoin (car il s'agit vraiment d'un besoin) s'en fait sentir. Et Claire est tellement femme qu'elle ne regarde que les hommes lorsqu'elle se libère. Claire aime s'offrir à un garçon lorsque, libre, elle peut être celle qu'elle veut.
Je vous embrasse toutes et tous tendrement.
Claire
Je ne sais pas ce que vous en pensez mais je suis toujours effaré de voir ces messieurs qui vous adresse sur les sites ou part sms leur photo de sexe en gros plan. Je me demande s'il ne sont pas complexé et finalement, souhaite qu'on les rassures en leur disant que leur b... est belle (si c'est la leur car parfois ce sont des photos volées).
De mon coté, loin de les rassurer, je leur
réponds, lorsque je suis bien lunée, que des queues j'en ai vu une
bonne centaine et donc qu'il n'y a aucun intérêt à m'en envoyer un
de plus et qu'en plus, j'en ai une et donc que je sais ce que c'est.
Lorsque je suis mal lunée, je suis plutôt du style insulte que je
tairai ici.
Peut-être pensez-vous que cette réflexion vient du Sainte Nitouche qui ne connait rien aux plaisirs du sexe mâle. Détrompez-vous je suis plutôt une Sainte qui touche et mon expérience en la matière est plutôt du genre quatre étoiles.
Mais sachez Messieurs que si, dans l'intimité ou dans des circonstances où l'érotisme nous entrainent dans la volupté du sexe, je suis adepte de m'occuper d'un (ou même de plusieurs) membres excités de ces Messieurs et que la fellation que j'offre, ainsi que la vue d'un membre en érection,m'apporte beaucoup de plaisir ou de désir, je trouve par-contre complètement ridicule, absurde et pitoyable de s'extasier devant une queue prise en gros plan.
Si encore ces Messieurs avaient l'imagination (mais ce n'est pas leur fort tout le monde le sait) de prendre des photos de leur sexe de façon à suggérer, ou en s'attardent sur la beauté du cliché, je le comprendrai. Mais non, on voit juste une queue (comme il en existe des milliers) avec souvent des poils. Un tue l'amour total (pour ma, part rédhibitoire quant à l'obtention d'un rdv)
Je ferai d'ailleurs la, même remarque à ces travestis (souvent moche d'ailleurs) qui montre leur cul en gros plan sans aucune intention de rendre leur photos jolies , sensuelles ou agréables à regarder.
Lorsque l'on se dit féminine, je pense que même si l'on a envie de montrer sa chatte de derrière, il est important que cette photo soit sensuelle, érotique et subjective. Alors Messieurs et Mesdames, faites un effort pour nous offrir des photos de charme. Pas des photos pourries et peu ragoutantes.
Qu'en pensez-vous
Nous qui sommes du 3eme genre, des « créatures féminines » comme je préfère me décrire. Nous qui subissons les quolibets, les rires, les injures parfois. Nous qui ne sommes pas toujours acceptés et qui devons nous cacher dans notre vie de tous les jours.
Nous devrions être solidaires et accepter le bonheur de toutes les travs.
Et bien non. Il y a dans notre communauté autant de méchanceté, de coups bas, de jalousie que parmi les « humains dits normaux ».
Depuis que nous avons eu le tort certainement d'annoncer notre amour Lola et moi sur ce site, nous nous rendons compte des jalousies, des inimitiés que cela peut entraîner.
Pas de toutes bien sûr, certaines sont très heureuses de notre bonheur et nous connaissons la franchise de leurs jolies commentaires.
Mais de certaines qui, pour des raisons que je ne cherche pas à comprendre, nous font bien ressentir qu'elles détestent notre bonheur.
Alors je dis à celles-là qu'elles ne méritent pas d'être reconnues comme nos égales car il serait bien plus intelligent pour elles de comprendre qu'il faut se serrer les coudes entre nous et accepter la liberté d'amour de chacun.
Mais même parmi les travs, la bassesse est de mise
Bisous à toutes celles que j'aime
Anna
LA CHEVALIERE D’EONNE
Je savais que les vieilles archives du Château d’Aune livreraient le secret. Que je trouverai enfin, après tant d’années de recherches infructueuses les preuves irréfutables de la réalité de l’existence de « la Chevalière d’Eonne ». Je compris enfin pourquoi l’histoire officielle a tenté de supprimer toutes traces de cette héroïne. Cette espionne du troisième genre qui usa de ses charmes, de sa sensualité exacerbée pour rendre d’énormes services à la nation.
Cette travestie qui se servit de ses atours et de sa sexualité débridée pour attraper dans ses filets hommes et femmes, tous subjugués par sa féminité et ses pratiques expertes, fut rejeté dans l’oubli pars les instances machistes de notre société.
Dans ces alcôves d’archives j’ai heureusement retrouvé des notes et manuscrits en piteux état, qui après restauration, m’ont permis de reconstituer quelques épisodes prouvant l’action de cette espionne.
Pour éviter d’être poursuivie en justice pour violation d’un Secret d’Etat ou mis en danger par des victimes a la mémoire trop longue, j’ai modifié ou supprimer dates, noms, lieux de ces aventures.
Bien qu’ayant tenté de reclasser ces différents récits, notes ou rapports en ordre chronologique, je ne suis pas persuadé avoir réussi dans cette tâche.
Episode 1 : Bit’zutage
« La chevalière d’Eonne » se prénommait Anna. Elle fut admise au cercle des ASS (Agents Sexes Spéciaux) lors d’une cérémonie officielle mais secrète. Parmi les archives, j’ai retrouvé, écrite de sa main, le récit d’une bien curieuse cérémonie s’étant déroulée le soir même de son admission. Je vous le livre tel quel.
Je me réveille le corps meurtri. J’ai comme l’impression d’avoir traversé une moissonneuse-batteuse. Une douleur agréable se diffuse dans tous mes orifices. Je me souviens m’être endormie fourbue, épuisée, même défoncée. Oui, défoncée, c’est bien le mot qui convient lorsque la mémoire me revient. Lorsque je réalise que la veille, j’ai subi le bizutage en règle du cercle des ASS. Une tradition qui me permettra, à l’avenir, de ne reculer devant aucune barrière pour mener à bien mes missions.
Pourtant le début fut plutôt soft. Quelques caresses lors de la cérémonie officielle, bien que secrète. Rien qui ne puisse me mettre en position d’excitation.
Puis, Maître Tex (sexe devrais-je dire) m’ordonna de le suivre dans un escalier en colimaçon nous menant dans les sous-sols du manoir, centre névralgique secret du cercle.
En bas, nous entrâmes dans une salle plutôt grande, au plafond bas, meublée d’une table en son centre et d’un matelas posé à même le sol. Au mur, des lampes tamisées renforçaient l’atmosphère intime.
Maître Tex me fit face. Ses yeux s’allumèrent d’un regard bien différent que lors de la cérémonie officielle. Sans vergogne, il m’inspecta de haut en bas, s’attardant sur certaines parties de mon corps. Cette lubricité provoqua aussitôt le durcissement de mes tétons qui pointèrent sous mon fin corsage noir. Je suis sûre qu’il le remarqua à travers la fine étoffe.
Il s’attarda également sur ma jupe courte. J’étais persuadée, qu’en homme avisé, Maître des agents sexuels, qu’il ne pouvait ignorer que je portais des bas et un porte-jarretelles et non un collant.
A la vue de l’insistance de son inspection, une tendre chaleur se répandit à hauteur de mes cuisses. Malgré ma timidité de novice (encore que !), j’écartai, d’un lent mouvement, légèrement mes jambes (leçon n°12 apprise au cours « Séduction de salope ASS »). Il sourit, comprenant que j’avais bien retenu ma leçon.
- C’est l’heure du bizutage maintenant Agent Anna ? J’espère que vous y ferez honneur.
Derrière moi, j’entendis des pas dans l’escalier. Je tentai de savoir combien d’individus arrivaient dans mon dos. Trois à cinq peut-être ? Mais j’ n’eus pas le temps d’affiner ma réflexion. Une main se posa sur mon épaule. Une autre ma prit par la taille. Une troisième se glissa carrément entre mes cuisses, alors qu’une autre, large et chaude, s’appliqua sur ma fesse droite. Je ne comptais plus. La sensation de ces corps étrangers fit basculer ma tête en arrière, les yeux fermés, lèvres entrouvertes comme pour dire « Je suis prête à être offerte ».
Aussitôt, Maître Tex s’approcha et posa ses mains charnues sur mes joues. Il descendit, un doigt effleurant ma bouche puis continua son voyage sensuel sur mon corps en caressant ma nuque, mon cou puis ma gorge avant de s’arrêter en emprisonnant mes seins.
Tu as une petite poitrine, bonnet A, agent Anna. Pourtant je suis sûr qu’ils sont très sensibles. Il n’avait eu aucun mal à le deviner ce beau salaud car elle se gonflait et mes bouts se tendaient vers ses doigts curieux.
Derrière moi les caresses commencèrent. Chaque main, que je ne comptais plus, m’enveloppait d’une palpation sur les atouts de mon corps. Je voulus résister mais ne pus bien longtemps. Le Maître agrippa les boutons de mon corsage et d’un geste d’une brutalité sauvage qui m’enflamma, le déchira en m’arrachant un cri strident de biche fragile face à son avide prédateur.
Je me retrouvai poitrine nue, haletante. Seins pointés vers ses mains. Ma jupe subit le même sort, succombant aux assauts des mâles cachés dans mon dos.
Seul mon porte-jarretelles, mes bas et mon string immaculé, de vierge qui ne l’était plus depuis mes seize ans, s’élevaient en futile rempart face à mes assaillants.
Maître Tex, par une pression lente mais irrésistible, me fit mettre à genoux et en un mouvement d’expert dégrafa la braguette de son pantalon de cuir. Sans que je puisse esquiver, il m’imposa son sexe déjà dur et gonflé en ma bouche surprise.
Que pouvais-je faire, sinon accepter ce membre veiné labourant ma langue avec violence. C’est à cet instant, comme un signal, que tous se déchainèrent.
Il m’apparut vite que mes agresseurs n’étaient pas que des hommes, lorsqu’une blonde magnifique, ayant fait le tour pour me faire face, frotta son joli et ferme sein blanc sur ma joue. Mais à voir l’excroissance au niveau de sa jupe, je compris qu’elle était du même genre que moi : Une Trav’.
D’ailleurs, déjà ses mains expertes s’occupaient de mon clito, qui se retrouvait, malgré moi, à l’horizontal en pleine excitation. D’autres mains, pleines de doigts s’affairaient en ma chatte, écartant la ficelle de mon string inutile.
Je reçu le sexe du Maître bien au fond de ma gorge. Je laissai filer, tant bien que mal, la bave humide qui me remplissait la bouche. Je devenais folle face à ce régiment de doigts qui me parcourait de haut en bas, de long en large. La jolie trav’ aux seins blancs, accroupie, se réjouissait bouche grande ouverte de mon clito en rut.
D’un coup le Maître ressortit sa queue et l’on me releva brutalement pour me basculer, ventre en avant, sur la table au centre de la pièce. Déjà échaudée et brûlante, Je compris vite que je n’avais jusqu’alors subi que les préliminaires. Le plat de résistance s’annonçait.
Cette bande mêlant salope et salauds commença à s’en donner à cœur joie. Chacun s’essayant tour à tour sur ma bouche ou ma chatte en un ballet lubrique incessant. Une armée d’abeilles affamée plongeant leurs dards dans un pot de miel bien humide. Petite, grosse, fine, épaisse, toute une panoplie de sexes doux ou brusques. Je ne pus que remarquer dans ce tumulte, la belle blonde qui, je l’avoue, me plaisait à la folie avec sa poitrine aux tétons bruns qui remuaient en cadence et sa taille mannequin. De plus, elle s’en donnait à cœur joie cette chienne pourvue d’un spécimen genre XXL. Je me promis en moi-même, dans mes ultimes moments de lucidité, de la retrouver pour lui faire subir un traitement identique avec délice et application.
On me retourna prestement et en plus de mes orifices trempés, on s’attarda de plus belle sur mon clito prêt à éclater. Encire une fois, cette putain de blonde reprit plusieurs fois de l’esquimau. A force de subir les assauts de cette armée insatiable mes yeux se brouillèrent sous le plaisir intense. Mes sens m’abandonnèrent sous la torture sexuelle inimaginable. Cette symphonie bouillante d’érotisme. Je ne réfléchissais plus. Je devenais un objet à leur merci, offerte à tout. Défoncée, déchirée, transpercée de toutes parts. Un chemin foulé et labouré par des piétons, autos, camions et même trains entiers. Une mer soulevée en va et vient par l’ouragan. Une étoile explosant dans une galaxie de feu. La gigantesque flamme d’un ardent incendie.
Je ne sus combien de temps ce supplice merveilleux dura, mais je me rappelai les chauds liquides qui me pénétrèrent partout, coulèrent sur mon visage, aspergèrent mon corps, mes cheveux, mes cuisses, mes fesses. Je divaguais sous une fontaine de foutre, alors que sur le dos, tête renversée au bout de la table, je recevais une dernière obole du nectar du Maître.
Et puis, en un instant, je me retrouvai seule. Délaissée dans cette pièce sombre. Mes agresseurs disparus, comme envolés, je restai là quelques minutes ou plusieurs heures, je ne m’en souviens pas. Ma respiration se calma lentement.
Enfin, le corps endolori, recouvert de traces liquides s’asséchantes et encore brûlantes de cette violente intrusion en moi, j’aperçus le matelas et je m’y effondrai.
J’eus juste le temps, avant de m’endormir, de me souvenir du visage de cette sublime blonde qui un jour, j’en fus persuadé, allait en prendre une bien plus sévère sous ma domination.
Bonjour mes chéri(e)s !
Comme le titre le dit clairement, dans cet article, il va être question de hauteur. Pas d'altitude ! De hauteur... Et, comme à l'accoutumée, j'aimerais vraiment que vous apportiez votre grain de sel, comme le dit si bien ma très belle Chriss que j'embrasse au passage. (sourire)
Donc, je vais vous parler de hauteur...
... De talons !
Les chaussures de femme sont légion. Contrairement aux garçons, nous avons un choix illimité de formes, de coupes, de talons, de plateformes... Etc, etc...
Mais quel plaisir, n'est-ce pas, de passer ces merveilleux escarpins qui nous manquent tant lorsque, contraintes par la norme, nous portons nos vêtements de garçon. Quel bonheur d'enfin pouvoir laisser libre court à la sublimation de nos pieds à l'élancement de nos jambes, à la beauté que procurent des talons de 12 cm à nos gambettes voilées d'un fin nylon.
Je ne conçois pas de m'habiller sans avoir au préalable choisi quels escarpins je vais porter. Ma tenue en est même totalement dépendante. Telle paire s'adapte à telle jupe ou telle robe de telle couleur et il n'est pas possible pour moi, de me vêtir sans être certaine que mes escarpins seront parfaitement coordonnés à ma tenue. Du moins, c'est ma tenue qui doit être coordonnée à mes chaussures.
Peu importe la hauteur du talon ou sa forme. Dès lors que mes escarpins ont trouvé tenue à leur pied, je sais que je serai belle et que je pourrai me présenter au monde ainsi.
Mais, normalement, il était question ici de hauteur. Donc, de talons. Personnellement, je porte toujours des talons de 12 cm minimum. De préférence des talons aiguille. Je suis une grande fan du petit claquement sec qu'ils produisent sur le carrelage d'une cuisine ou d'une terrasse, sur le béton ou sur le bitume d'un trottoir. Lorsque je marche, j'essaye toujours de m'écouter. J'en suis à la limite du fétichisme... Peut-être même, en suis-fétichiste (rires). Mais j'aime ce bruit et j'aime mes jambes quand elles sont mises en valeur par la hauteur d'un talon vertigineux (j'ai de très beaux escarpins et de très belles sandales avec un talon de 15 cm).
Le seul problème en fait, c'est que les talons hauts me rendent très grande car je mesure déjà 1.90 m sans eux. Imaginez donc Claire avec des talons de 15 cm... Un jolie fille de 2.05 m de haut, ça perche !!! (rires) Et il semble que certains garçons reculent devant une telle taille. Qu'à cela ne tienne, j’aime les talons hauts et je ne vais sans doute pas arrêter d'en porter pour un détail aussi insignifiant (sourire).
Et vous mes chéries... Qu'en est-il de vos goûts en matière de chaussures ? Qu'aimez-vous porter. Êtes-vous talons hauts, mi-hauts ou chaussures de type ballerines ?
Si nous en discutions vous et moi ? Vous avez une idée de mes goûts, échangeons sur les vôtres. Qu'en pensez-vous ?
Je vous embrasse tendrement
Claire
1ere fois que je dort chez la personne qui me reçois, départ de la maison a 21h, arrivé sur place a 21H30.. déjà le ton était donné, elle sais ce qu'elle voulais, elle savais ce qu'elle ne voulais pas ( très peu de chose en faite )
petit diner en tête a tête, ça robe, pffff... ma donner chaud, premiere fois que je tombe sur une transsexuelle ( non opérée mais cela ne m'a pas dérangé ) aussi charmante, avec un corps magnifique...
jolie petite fesse, poitrine 95D... a rendre jalouse n'importe qu'elle épouse.
puis ce retrouver sur la canapé, caresse, câlin, on s'embrasse, on se câline... puis elle me bande les eux et me dit d'attendre... moi je boue d'excitation, elle me déshabille, elle m'embrasse partout sur le corps, retire mon pantalon, passe ça main sur mon entre jambe, puis retire mon caleçon, je sent ça langue, cela dur un instant, mais instant ou je sent mon sexe gonflé gonflé au poing que mon sang descend vers lui pour l'irriguer
elle s'arrête net et me dit de patienter et de retiré le fouloirs une fois qu'elle me l'aura dit...
arrive le moment et la... ouffffffffffff
devant moi, une petite lingerie a en taper le sexe contre le mur, tellement que cela excite (je sais c'est tiré un peu par le nez ) petit bustier blanc qui recouvre c'est jolies en, dur, ferme, qui laisse la marque de c'est téton, un petit string blanc qui sublime son sexe ( un jolie petit sexe tout recroquevillé sur lui même, un aucun moment donner elle n'a eu une érection, sont sexe et comme inerte ) un porte jarretelles blanc ( 8 jarretelles mon cadeau ) et de jolie bas blanc Aubade... je vous laisse chercher le modèle ...
elle s'approche de moi, danse, ondule, mon pied sexe, le masturbe, le lèche, le suce, puis sort une capote, me l'enfile, enduit la capote d'un peu de lubrifiant, j'ai essayer de faire passer mes doigts sur sont petit anus, mais elle ma stopper et ma dit : laisse moi te faire prendre du plaisir...
après m'avoir lubrifier le sexe, elle s'assoie sur moi, écarte juste un peu son string et la je rentre en elle, comme si elle c'était déjà préparé....
cela na duré que 10 minute, je l'avertie, elle me laisse me retiré, me retire la capote et je l'inonde de sperme, je recouvre c'est bas de sperme, sont sexe, sont pubis... et la j'en profite je laisse mes doigts glisser vers sont anus et je la doigte... elle se laisse faire... a ce moment la il es 23H30-00H00, elle encore recouverte de sperme en lingerie ce couche sur moi et on reste la a s'embrasser, ce câliner... dans la nuit, nous avons fait l'amour a 3 reprise, les 2 première étant excellents, mais la dernière a été plus alimentaire comme elle me lait, elle ne voulais pas que je sorte d'elle.... sont cul étant grand ouvert, lubrifier a mort, je rentrais et sortais a volonté tantôt doucement tant vrapidement...
nous sommes endormie vers 5H30_06h...
on c'est lever a 11H30/45... petite douche ensemble, dernière caresse, je m'habille et part...
la prochaine rencontre aura lieu dans 1 mois jours pour jours, et nous avons décider de faire des test de dépistage au maladie sexuellement transmissible, car on peut le faire sans latex... elle veux sentir mon sperme en elle...
gros dilemme, dans 1 semaine, je doit annoncer a ma femme que je ne veux plus l'épouser, et que j'ai trouver mon âme soeur et l'amour vrai... mon amour véritable s'appelle Armella, jolie transgenre cubaine, et je veux arrêter de mentir au gens en m'installant avec elle.