d'une dizaine d'hommes et de femmes.
Certains des hommes étaient élégamment vétus, d'autres en bottes et vètements de travail .
Les femmes portaient tailleur
et hauts talons.
Quand Marilyn se présenta en haut des marches
les discussions s'arrétèrent et tous les visages
se tournèrent vers elle. Les yeux s'agrandirent et
beaucoup restèrent la bouche ouverte.
Les joues de Marilyn étaient brûlantes. Ce n'était
pas seulement la gêne de tous ces regards
posés sur elle qui la détaillaient à travers ses voiles transparents :
Ses organes percés, ses magnifiques seins, sa
taille si fine, ses hanches larges, son petit pénis
dressé, ses petits testicules ...
Ce qui causait le feu des joues de
Marilyn, c'étaient aussi elle en était sûre, les deux
grosses piqûres que la servante lui avait fait, une
dans chaque fesse.
Matin et soir à partir de maintenant, ordre de
Monsieur dit-elle.
Monsieur était resté immobile la bouche
entrouverte comme les autres. Il se ressaisit
vite, sourit et tendit le bras vers Marilyn,
l'invitant à descendre le rejoindre.
Marilyn descendit les marches en chaloupant,
dans ses hautes mules.
A chaque pas elle sentait la caresse des collants
et du déshabillé sur ses testicules, le frottement de
la ficelle du string contre son anus.
Ses tétons étaient en feu, ils dardaient comme
jamais contre le voile du soutien gorge et
étaient à vif. En même temps malgré
sa honte, le frottement des collants, du string et
du déshabillé sur ses fesses la rendaient folle et
elle sentait sa petite verge durcir
et former un arc de cercle jusqu'à l'anneau de
son nombril .
Enfin elle fut aux côtés de Monsieur. Il sourit plus
fort.
- Je vois que ton nouveau traitement a
commençé dit il.
Ce disant et à la vue de tous qui regardaient il
glissa ses mains sous le déshabillé et le soutien
gorge
Il arracha un petit cri à Marilyn quand il referma
ses énormes mains sur ses seins et qu'il pressa
entre deux doigts ses mamelons à vif. Il prit sa
bouche et plaquée contre lui, elle sentit sa verge
se tendre à lui faire mal tandis que son gland
faisait mine d'avaler l'énorme cabochon dont il
était paré et que son anus semblait aspirer
string, collants et déshabillé.
Comme Monsieur avait avancé une jambe entre
ses cuisses, elle gémissait sans honte et ne
comprenait pas ce qui lui arrivait
- Je vois que ton nouveau traitement a
commencé sourit Monsieur
Ce disant, il glissa une main sur ses fesses sous
les collants.
Toujours gémissante, Marilyn posa les mains
sur les épaules de Monsieur tandis qu'il
introduisait le doigt profondément dans son anus.
Elle était arc-boutée dans ses mules, totalement
soumise au plaisir, insouciante de tous les
regards braqués sur elle.
- Il est temps que je te fasse visiter ma chérie, dit
il enfin.
Marilyn avait conscience que tous les regards
étaient braqués sur elle, sur sa verge bandée en
arc, sur ses seins gonflés pointant droit devant
elle, leurs tétons turgescents trouant les voiles,
sur ses fesses rebondies que la main de
Monsieur pénétrait profondément
Elle marchait à côté de Monsieur, sa démarche
chaloupante, serrant les lèvres comme elle sentait
l'excitation monter en elle. Elle sentait sa liqueur
inonder la main de Monsieur plongée en elle, le
frottement des collants sur sa peau et la caresse
du déshabillé étaient difficilement supportables.
S'appuyant sur l'épaule de Monsieur, elle
gémissait des non non et oui oui dans son oreille
- Regarde Marilyn, dit Monsieur comme ils arrivaient devant un vaste enclos
- je te présente Hector, tu lui dois beaucoup.
Ce disant il désignait un gigantesque verrat, qu'un
homme tenait tant bien que mal par une corde
reliée à un gros anneau qui lui traversait la truffe.
- Vois tu continua Monsieur, sa main renforçant
davantage son étreinte sur l'anus ruisselant de
Marilyn,
- Hector, en plus d'être un amant insatiable,
dispose de réserves presque inépuisables.
Montrez lui, ordonna t'il à l'homme qui tenait le
cochon
Celui ci obligea l'animal à montrer sa croupe et
son flanc.
Alors Marilyn vit ses deux monumentales
testicules. Elle fit un
- Oh
de surprise alors que les autres femmes
présentes pouffaient
- Allez approche toi dit Monsieur en tirant Marilyn
vers l'animal.
Il lui fit soupeser les énormes sacs dont était
affublé l'animal. Ils étaient chauds et très lourds
Marilyn rougit comme elle sentit frémir la bête.
- Tu vas assister à une fausse saillie continua t'il
- C'est obligatoire sinon les couilles du pauvre
Hector éclateraient
Toute l'assistance rit
- Allez y ordonna Monsieur au palefrenier
- Et regarde bien ca te servira certainement
Marilyn ne comprit pas ce qu'il voulait dire mais
le palefrenier guida l'énorme porc vers une
espèce de cheval d'arçon en métal creux.
Celui ci se hissa sur les pattes de derrière sur
l'engin. Ses énormes testicules ballotaient.
Le palefrenier plaça sous le bas-ventre de
l'animal un grand seau de métal et saisit l'organe
qui lui servait de pénis, très fin et tire-bouchonné
- Allez marilyn va aider le pauvre Hector
dit Monsieur en retirant sa main de l'anus de
Marilyn et l'essuyant sur le déshabillé
Le visage de Marilyn était écarlate comme elle
regardait les énormes appendices comme
fascinée
L'animal hissé sur l'appareil bougeait
maladroitement.
- Tu lui lèche les couilles comme tu sais si bien
le faire
Reprit Monsieur déchainant l'hilarité chez les
dames.
Marilyn s'agenouilla derrière l'animal. Le palefrenier resta la bouche ouverte devant
l'apparition de cette fille superbe a genou.
Les cuisses écartées dévoilaient la petite verge
tendue en demi cercle sous les collants, les petits
pieds délicieusement gainés et parés dans les mules.
Plaçant ses paumes en coupelle sous les énormes
testicules Marilyn approcha son visage. La bête
rapprocha ses pattes de derrière afin d'éteindre
plus étroitement le mécanisme et son souffle
bruyant s'accéléra.
Quand Marylin commenca à lui lécher doucement
les couilles, le verrat se mit à grogner et son
corps fut pris d'une agitation frénétique
Le choc du corps de l'énorme bête contre la
structure métallique résonna très longtemps.
Monsieur s'était plaçé derrière Marilyn et lui
malaxait les seins et les tétons.
Le palefrenier avait fixé l'anneau du mufle
maintenant la tête de l'animal bavant redressée
et d'une main guidait l'étrange verge vers le seau
Enfin le verrat se crispa et un jet sonore s'écrasa
contre les parois du seau. Marilyn se redressa,
alors que Monsieur lui tenant toujours un
mamelon, son autre main se glissa sous ses collants, détache la petite verge et caressa les
petits testicules.
Comme une machine qui ne s'arrète plus une fois
démarrée, le verrat dechargait par à coups sa semence dans le seau.
Quand le palefrenier se releva, le seau était
presque plein.
- Donnez en un verre à Marilyn dit Monsieur,
elle l'a bien mérité
Alors que les femmes présentes prenaient un
air dégoûté, le palefrenier présenta à Marilyn un
verre rempli de l'épais liquide blanchâtre.
Marilyn était affolée de désir. Ses mamelons
étaient brulants, ses seins gonflés, sa petite
verge libérée pointait horizontalement sous les
collant. Monsieur libéra son sein et écartant la
ficelle du string, rentra le poing dans son anus
trempé.
Marilyn cria, sa liqueur inonda le poing de
Monsieur, le gros cabochon de son gland sembla
disparaître dans son urêtre, elle était debout dans
ses mules, les hommes présents la
contemplaient ébahis, déesse prisonnière
exhibant sa féminité parée de ses multiples
anneaux d'esclave sexuelle et les femmes la
regardaient avec envie
Elle aurait voulu dire non à ce verre tendu vers
elle. Monsieur accentua sa pression. Ses
collants étaient trempés. Elle tendit ses mains
tremblantes et saisit le verre.
Quand le verre fut vide, qu'elle eut avalé le liquide
épais et brûlant, Monsieur, la libéra et
s'essuyant de nouveau les mains sur son collant,
s'exclama :
- Viens chérie, je vais te présenter à Hermes
mon étalon favori.
(A suivre ...) Carole le Vice alias Lilileet
Le 10 Juin 2021
grand lit de sa chambre. Elle toucha son anus, à part les anneaux qui l'entouraient tout allait bien.
Elle toucha son pénis, à part l'anneau de son gland et ceux de ses testicules rien d'anormal la
non plus.
Elle se demanda si elle n'avait pas révé. Dans son rêve elle était suspendue nue par des chaines
et Monsieur l'avait prise pendant des heures Elle relacha la pression qu'elle exerçait sur sa
voluptueuse poitrine et s'allongea sur le côté.
Les anneaux de ses seins brillaient dans le soleil.Paulette apparut devant elle, le regard neutre.
La servante portait une jupette noire beaucoup plus courte que la fois précédente.
Sous le léger corsage pointaient ses petits seins nus . Elle était chaussée de mules noires à petits
talons et portait des bas voile fumé dont les jarretelles ornées de rubans étaient attachés à la
culotte.
La culotte étant transparente ne cachait rien de son intimité et Marilyn baissa les yeux quand
ils croisèrent la paille qui saillait horizontalement.
- Nous devons nous préparer madame dit Paulette d'une voix qui parut terne à Marilyn.
- Monsieur vous attend pour la visite du parc
Et elle trotta jusqu'à la salle de bains sans plus attendre.
Bientôt Marilyn fut baignée, maquillée, ses ongles faits.
Marilyn aurait voulut choisir ce qu'elle allait porter, peut étre des leggings, un crop top qui mettrait
en valeur sa poitrine et des sandales très hautes qui la cambreraient et feraient ressortir ses fesses.
La servante s'éloigna vers les penderies en trottant sur ses mules. La jupette trop courte dévoilait
sa culotte, la large tâche sur ses fesses à l'endroit de son anus largement distendu trahissant une sodomie très récente.
La lingerie qu'elle présenta à Marilyn était encore emballée.
La servante fit enfiler à Marilyn un large string en tulle à pois noirs. elle recouvrit soigneusement
les petits testicules et la fine verge, laissant dépasser son gland disproportionné, l'anneau
qui le perçait et de chaque côté de la verge, les anneaux qui perçaient les testicules.
Le petit noeud de la culotte reposait sur le frein du pénis.
Elle positionna la ficelle du string profondément dans ses fesses et le remonta
haut sur les hanches.
Le top en tulle noire à gros pois noirs également, consistait en un soutien gorge à armatures qui se
fxait dans le dos et autour du cou, couvrant de sa fine résille le haut du torse de Marilyn.
Marilyn reposa chacun de ses seins voluptueux dans le filet.
Les larges anneaux de ses tetons étaient
plaqués contre la tulle.
Puis la servante lui présenta un très fin collant voile plumetis repassé gris souris . Marilyn l'enfila
en plaçant soigneusement la marque plus fonçée des orteils et des talons, l'étirant sur ses jambes,
plaquant le gousset sur ses testicules et ses fesses et le tirant sur son ventre.
La servante fit courir ses doigts le long des fesses de Marilyn, glissant la couture du collant
profondément entre les fesses de Marilyn, positionnant les anneaux de son anus géométriquement,
à plat de part et d'autre
Se plaçant devant Marilyn et glissant sa main sous le collant, elle disposa également à plat de part
et d'autre de sa verge les anneaux de ses testicules.
Elle relia l'anneau de son gland à son nombril, sortit d'un écrin à bijoux un gros cabochon orné
d'une amethyste qu'elle inséra sans difficulté dans son urètre et retendit le collant sur le ventre
de Marilyn.
Les ficelles tendues de son string sur ses hanches
dépassaient largement au dessus de la ceinture
des collants
Un nouveau passage aux penderies, les talons
des mules de la servante qui claquaient sur le
sol et elle présenta à Marilyn un très long
déshabillé bleu gris en voile de nylon, retenu
à la taille par une ceinture de soie grise.
La servante lui demanda de s'asseoir sur le lit
pendant qu'elle allait chercher les chaussures.
S'agenouillant au pieds de Marilyn, la servante
sortit les chaussures de leur boite.
C'est à nouveau des mules très fines que la
servante lui enfila.
En cuir laqué vert, les fines lanières croisées des mules laissaient les doigts
de pieds ornés de bagues de Marilyn découverts. La marque légèrement plus ombrée
des collants à cet endroit masquait à peine le
rouge vif des ongles.
Les talons aiguilles très hauts étaient dorés. Marilyn se regarda dans la glace. Le déshabillé
couvrait ses chevilles fines. L'anneau de son nez, ceux de ses lèvres brillaient.
Elle voulut se passer la langue sur les lèvres, sentit le gros clou qui la traversait.
Et elle eut l'image de l'énorme sexe de Monsieur dans sa bouche, de son sperme épais qui coulait
dans sa gorge. Elle avait très faim.
- Vous êtes fabuleuse, irrésistible
ne pu s'empécher de s'exclamer la servante.
Marilyn se dit que Monsieur avait fait d'elle une catin, sa catin et elle ne trouvait pas juste de se
retrouvera ainsidans le parc, livrée à la convoitise
du regard des hommes, alors que surement les
autres femmes dehors seraient plus habillées
- Il faut y aller
insista la servante
- Monsieur doit attendre
(A Suivre ...) Carole le Vice alias Lilileet Le 1er Juin 2021
Marilyn
avait de la peine à rester éveillée
Mais à chaque fois qu'elle manquait s'assoupir
et s'allonger elle était cruellement rappelée à
l'ordre par la douleur de l'anneau dans son
nez, au bout de la chaine qui se tendait.
Avant de sortir de la pièce les femmes lui avaient
aussi passé des menottes reliées aux côtés du lit
par des chaines, rendant toute tentative de se
libérer impossible.
Enfin une clé tourna dans la serrure. La porte
s'ouvrit puis se referma sans bruit. A nouveau
des clés que l'on tourne et il était là.
Monsieur se trouvait face à la tête du lit, devant
Marilyn. Il la dêvisageait en souriant et elle essaya
de lui rendre un maigre sourire.
L'agréable engourdissement dans lequel elle
était se dissipait peu à peu.
Son visage était à la hauteur de la braguette
de l'homme.
Elle remarqua que ses chaussures, le bas de son
pantalon et même sa braguette étaient souillés de
grosses tâches brunes. Il s'en dégageait une
odeur doucereuse écoeurante.
Il ouvrit sa braguette, dégagea son énorme
membre d'une main et de l'autre détacha la
chaîne.
Puis en tirant dessus il amena le visage
de Marilyn à lui et lui ordonna :
- Suce moi. Et utilise ta langue
Le membre de l'homme était couvert de
souillures immondes à moitié séchées
Il sentait affreusement mauvais.
Marilyn eut un mouvement de recul
mais l'homme tira plus fort sur la chaine.
La douleur sur son nez fut très vive.
Elle ouvrit la bouche et engloutit la verge.
Elle était écoeurée, avait des hauts le coeur
mais l'énorme sexe l'étouffait.
- Utilise ta langue grogna l'homme en se mettant
nu
Il gémit quand le gros clou de la langue de Marilyn
frotta son pénis. Il tirait les belles poires de ses
seins à pleines mains vers lui en cadence,
Comme il allait et venait dans sa gorge.
Puis il monta sur le lit, la tête de Marilyn renversée
son dard s'enfonçait de plus en plus profond dans sa
gorge. Elle devenait rouge, ses
main entravées ne pouvaient pas l'aider et quand
elle manquait s'évanouir il se retirait.
Marilyn ainsi cambrée, son visage tourné vers le
haut, s'appuyant sur ses deux mains à plat sur le
lit, ses larges fesses s'épanouissaient et son anus palpitant
largement ouvert aspirait les collants.
Il se retira laissant Marilyn suffocante, nauséeuse
des abjections qu'elle avait léché et avalé.
Il descendit du lit, son membre monstreux dressé,
fit le tour du lit, lui caressa les fesses, leur donna
une grande claque.
-Aïe fit Marilyn.
L'homme se mit sur le côté du lit et passant la main sous la nuisette baby doll et les collants détacha l'anneau qui retenait le pénis attaché au nombril, retendit les collants sur le ventre de Marilyn. Il saisit à travers le nylon la poire collée au bout du petit pénis de Marilyn
et le pressa rapidement une vingtaine de fois. Marilyn qui ne voyait pas ce qui se passait,
toujours à quatre pattes et l'homme ayant rattaché l'anneau de son nez, avait une sensation
étrange dans le sexe, pas tres agréable, en même temps qu'elle sentait ses collants se
tendre davantage et son pénis s'écarter de son ventre.
L'homme pressa la poire une dizaine de fois encore et se dirigea vers les vitrines.
Marilyn fut angoissée de le voir revenir avec un martinet à la ceinture.
Il détacha une nouvelle fois l'anneau de son nez, lui détacha les mains, la fit s'alonger sur
le dos et lui fixa les deux mains au sommet du lit
Puis il saisit les pieds de Marilyn, défit les attaches de ses très hautes sandales
compensées et les lui ota.
Il plaça un épais oreiller derrière la tête de Marilyn et elle fut affolée de ce qu'elle vit :
Son pénis était gonflé de façon démesuré, il tendait les collants comme un piquet de tente.
Monsieur fixa des chaines à ses pieds et sortit le martinet de sa poche.
Il frappa la plante des pieds de Marilyn de toutes ses forces pendant un long moment.
Quand il s'arréta enfin, les plantes de pieds étaient en sang, les collants déchirés et
Marilyn qui avait crié, pleuré, supplié, s'était évanouie.
Quand elle revint à elle, l'homme était au fond de la pièce, toujours fouillant dans les
vitrines.
Il revint se placer devant ses jambes liées écartées. Elle gémissait et découvrit avec horreur
qu'il était affublé d'un énorme godemiché en forme de corne de rhinocéros
Il monta sur le lit, se mit à genou, saisit chacune des cuisses de Marilyn de part et d'autre
de son torse.
La pointe de l'énorme godemiché touchait le collant de Marilyn juste au centre de l'anus.
Monsieur dit :
- Tu es une femme, tu es Ma femme, ne l'oublie pas. Je ne permettrais pas que tu puisses
penser autrement. Je t'ai permis jusqu'à présent de me montrer ton plaisir par tes petits jets
de liqueur mais ça va changer. Ton corps va encore beaucoup changer pour que nous
puissions prendre encore plus de plaisir ensemble mais quand tu sera prète, il est hors de
question que tu essaye de te soulager autrement que comme une femme.
Marilyn le regardait avec ses grands yeux de biche, affolée de sentir l'énorme objet contre
son anus, abasourdie par le long discours de l'homme, le plus long qu'il lui ait jamais fait
et auquel elle ne comprenait rien. Elle se sentait femme.
Tenant toujours les jambes de Marilyn fermement autour de lui, l'homme appuya doucement
sur son pelvis. La pointe de la corne de son godemiché appuya davantage sur les collants.
Doucement il fit pivoter son bassin vers l'avant et doucement les collants s'enfoncèrent dans
l'anus.
Puis les collants cédèrent sans bruit et le godemiché pénétra librement dans l'anus.
Quand les premièrs vingt centimètres de la corne furent en elle, Marilyn avait comme à gémir
quand les dix centimètres restant eurent fini de l'empaler, elle criait.
Elle s'évanouit à nouveau.
(A Suivre ...° Carole le Vice alias Lilileet Le 27 Mai 2021
Marilyn était effrayée, La femme se trouvait à côté d'elle dans l'ascenseur, elle
lui serrait le bras de ses mains osseuses à lui faire mal. Les jambes de Marilyn
tremblaient, elle sentait venir les larmes, regardait de côté le visage dur de la femme.
Ces hommes qui l'avaient touché, dévisagé, qui avaient violé son intimité la plus profonde
et Monsieur qui était resté là, comme si tout cela était naturel, alors que cet homme
avait embrassé son gland, un autre caressé ses pieds, cette horrible femme qui avait pénétré
son pénis, l'homme qui avait forcé son poing au fond de son ventre ...
C'était un cauchemar elle allait se réveiller.
Pourquoi ne retournait elle pas dans sa chambre, qu'allaient ils faire d'elle, l'angoisse
était trop forte
Avant que les portes se ferment, elles furent rejointes par la jeune servante Paulette,
elle baissait la tête, Marilyn vit sur son visage qu'elle avait pleuré, du noir avait
coulé de ses yeux.
- Ah te voila toi ! j'espère que ca te servira de leçon à l'avenir
cracha la Madame à l'adresse de la jeune fille
La voix forte et cruelle de la femme résonna comme un gong dans la la tête de
Marilyn, c'en était trop. Elle se mit à sangloter doucement.
- Arrétez immédiatement de pleurer madame, que croyiez vous, je vous avais
prévenu, si encore votre petit truc n'avait pas été fonctionnel mais non vous étes
toutes les mêmes, aguicher les hommes, vous ne savez faire que cela.
Arrétez immédiatement madame, personne ne vous a frappé encore que je sache,
arrétez immédiatement ou vous serez punis. Viens ici toi
dit elle saisissant le beras de la servante et la faisant se retourner.
Dans le même mouvement, elle saisit le bas de la courte jupe et la releva.
Elle baissa les collants bleus et Marilyn se figea. La culotte de la jeune fille
était couverte de sang.
Les yeux fixés sur Marilyn, la femme baissa d'un coup la culotte :
Les fesses de la jeune servante étaient marbrées de sang. Elles avaient été
fouettées cruellement. Son anus était largement ouvert
Marilyn sentait son propre anus aspirer la culotte.
- Reculotte toi siffla la femme à la servante
- Voila ce qui arrive aux filles qui n'obéissent pas madame rajouta t'elle en
regardant Marilyn
- Oui, mais ... voulut protester Marilyn, projetant involontairement sa large poitrine en
avant
- Quoi ? vous vous croyez persécutée ? l'interrompit la femme
- Montres lui
A nouveau elle s'était tourné vers la jeune servante
- La servante souleva sa jupe, baissa son collant et sa culotte
Marilyn resta interdite. Elle fut glacée d'horreur :
Sous le pubis parfaitement nubile de la jeune servante , les lèvres hermétiquement
closes de son sexe était cousues. Un catheter dépassait légèrement.
Marilyn mit une main devant sa bouche comme l'ascenseur descendait et que la
servante se reculottait
- Paulette est votre femme de chambre, vous ne serez pas tentée de jouer avec elle
avec votre ... machin d'autant qu'il va ... elle se tut brutalement comme l'ascenseur
s'arréta.
C'était un long couloir, la madame marchait devant. Chaque porte était munie d'un
regard qu'il suffisait d'ouvrir pour voir ce qu'il s'y passait. Il lui semblait entendre des
bruits étouffés s'en échapper et devant l'une elle était sure d'avoir entendu des cris
de douleur étouffés. Elle en eu la chair de poule. Paulette lui prit la main.
Devant elles , les hauts talons de la Madame marquaient le pas tandis que le martinet
à sa ceinture menacait les deux filles
- Voila c'est ici, pressons nous dit elle tandis qu'elle tournait la clé.
- Tout doit être pret quand Monsieur va venir, dépéchez vous, allez, au bain.
La chambre était presque aussi grande que la précédente mais l'éclairage ici
était artificiel. De vaste penderies l'entouraient, équipées de miroirs.
Au centre trônait un grand lit, recouvert d'un drap de satin blanc.
Mais à la différence de celui de l'autre pièce, celui ci était muni sur tout son contour
d'anneaux de fixation et du plafond pendait de nombreuses chaines
Un pan de mur était recouvert de hautes vitrines remplies d'objet colorés.
Emmenée vers la salle de bain, Marylin crut y distinguer de nombreuses formes
oblongues de tailles diverses. Elle reconnut les godemichés. Certains étaient réellement
énormes. Elle en sourit intérieurement quelle drôle de collection d'objets grotesques
inutilisables
Elle fut une nouvelle fois baignée, parfumée, maquillée un peu outrancièrement pensa t'elle.
Paulette peignit ses ongles avec soin, un rouge vif. La Madame intervint avec un pot de vaseline.
Elle en enduisit copieusement ses parois anales. Son anus était resté anormalement béant, ses
grosses lèvres formant une grande bouche ouverte
Elle eut mal quand la Madame troua brutalement sa langue d'un très gros clou et ses lèvres de
trois anneaux. Elle lui fit boire un liquie tres amer et curieusement elle ne saigna pas,
au contraire elle se sentit soudain très bien. Elle la fit encore boire de ce liquide et Marilyn avait
envie de rire.
Paulette la para d'anneaux de grandes tailles à tous les endroits prévus. Quand elle saisit entre
deux doigts la petite verge et la masturba, Marilyn la regarda avec des yeux reconnaissants
et le sexe se raidit et vit se plaquer contre son ventre. Alors Paulette relia l'anneau du gland
et celui du nombril immobilisant la verge.
La Madame se saisit dans une des armoires vitrées de ce qui ressemblait à un tube en verre d'environ deux centimètres de diamètres et vingt de long, terminé à une extrémité par une poire.
Elle le barbouilla de vaseline et ayant ordonné à Marylin de s'étendre sur le dos, elle l'introduisit
dans sa verge.
Bien que surprise au début, Marilyn regarda le tube disparaître dans son uretre et bientôt la
poire vint embrasser son gland ce qui la fit rire. Elle sentait le tube dans son ventre.
Paulette lui fit enfiler des collants voile parme et une baby doll. les collants étaient tendus
sur son ventre et sur l'excroissance de la poire. Ses seins nus sous le voile dardaient comme
deux obus. Puis elle la chaussa de sandales très hautes à talons compensés
Enfin, la Madame lui ordonna de se mettre à quatre pattes sur le lit et Marilyn s'exécuta de
bonne grace. Puis par une courte châine elle relia l'anneau de son nez à la téte du lit et lui fit
écarter les jambes légèrement. Se plaçant derrière elle, elle frotta sa main contre les
colllants à l'endroit de l'anus. Marilyn eut un soupir d'aise comme les collants tendus
s'humidifiaient de vaseline
Finalement, les deux femmes quittèrent la pièce silencieusement et refermèrent derriere elles
la lourde porte capitonnée. Marilyn entendit à peine le bruit des clés.
Elle se sentait merveilleusement bien
(A suivre ...) Carole le Vice alias Lilileet le 24 Mai 2021
L'homme au teint cireux s'approcha à nouveau et enleva l'écarteur anal.
L'anus de Marilyn resta grand ouvert.
Les hommes s'exclamèrent, se congratulèrent entre eux pour l'efficacité des opérations
chirurgicales.
Plusieurs enfilèrent des gants de caoutchouc, trempèrent un doigt dans la petite flaque
de liquide qui s'était formée sur le fauteuil sous les fesses de Marilyn.
Une réussite totale, sourit l'un examinant un filament de la liqueur poisseuse entre ses deux
doigts écartés.
L'homme qui précédement lui avait remis ses mules les ramassa sur le sol et les lui réenfila
à nouveau
Monsieur détacha les chainettes qui retenaient ses seins et interpella la Madame tandis qu'il
pointait son index vers les testicules de Marilyn et la petite mare de sang dessous
- Vous vous rendez compte de ce que vous avez fait,idiote. Détachez ca tout de suite.
La femme s'exécuta aussitôt
- J'espère que vous n'avez causé aucun dommage ou il vous en cuira, comme la dernière fois.
La femme baissait la tête dans une attitude de soumission vile.
Monsieur rejoint les autres hommes, Marilyn portait toujours le gag et elle regardait Monsieur
d'un air suppliant
L'homme avec lequel Monsieur discutait auparavant, enduisit le gant qu'il portait de vaseline
et, parlant touours avec Monsieur, fermant son poing, l'introduisit dans l'anus de Marilyn.
Quand son avant bras fut totalement enfoncé, Marilyn gémit sous son gag, ses pieds crispés
dans les mules, son souffle court.
- Vous voyez dit il, le problème n'est pas la profondeur, votre femme peut recevoir votre sexe en
entier. Le problème c'est la lubrification !
Il avait dit ces mots assez fort en se retournant vers les autres qui fumaient toujours. Ils
approuvèrent
- La solution, continua t'il sur le même ton, c'est ...
Il avait rapproché sa main et saisit les petits testicules de Marilyn
- L'augmentation de la production ici. Et j'ai la solution
Il s'échauffait, tenant toujours les petits testicules entre ses doigts gantés
- L'injection de testostérone de taureau reproducteur dans ces petits organes.
Il montrait les testicules
- Il n'est pas question que ma femme soit transformée en taureau dit Monsieur furieux.
- Ne vous inquiétez pas termina l'homme se retournant vers un autre qui s'avança.
- Oui Monsieur, en effet, nous allons reprendre l'injection d'hormones femelles à fortes
doses comme entendu ...
Se rapprochant de Marilyn, il soupesait ses seins d'un air entendu et caressait ses fesses.
- Sa poitrine va se développer encore et tout le reste.
Il regardait les fesses et les cuisses
- Et l'effet de l'injection de testostérone sur son caractère va être annulé par l'effet des
hormones. Ne resteront que les effets secondaires : L'augmentation de la taille du sexe mâle
et de la production de liquide séminal
- Augmentation de la taille du sexe ? interrogea Monsieur
- oui, assez conséquente, est ce un probleme ? demanda l'homme
- Mhmh non je ne crois pas
répondit Monsieur, songeur, explorant un univers de possibilité qu'il n'avait pas imaginé
- Si vous me garantissez que ca n'aura pas d'incidence sur la féminité ...
Monsieur s'était tourné vers les autres hommes
- Ne vous inquiétez pas, répondit l'homme
- Au contraire je pressens que votre femme sera plus avide de vos euh rapports ...
- Pour ce qui est de l'amincissement de la taille et du travail de dentisterie
nous pourrons commencer dès demain soir
Rajouta un homme à lunettes , silencieux jusque la
Se frottant les mains alors que ses yeux croisaient ceux de Marilyn Monsieur conclut
- Je vous donne un mois, pas un jour de plus
Les hommes se regardaient, finalement l'un d'eux bafouilla :
- Oui, un mois, elle sera prète ...
Monsieur se retourna alors vers la Madame et lui parla en regardant Marilyn. Elle acquiescait
sans cesse et quand il eut terminé elle finit de détacher Marilyn et la guida hors de la pièce.
Les jambes de Marilyn tremblait quand elle fut accompagnée vers l'ascenseur.
Elle avait tout entendu de ce qui s'était dit et était terrorisée.
Sa terreur augmenta quand Madame appuya sur le bouton de l'ascenseur : - 3
entre eux, souvent en langue étrangère et Marilyn
ne comprenait rien. Monsieur avait passé une
main de propriétaire dans sa culotte.
Elle mangea très peu, la femme derrière elle
sélectionnant les plats qui lui étaient présentés.
Quand le repas fut fini, sur un regard de Monsieur
la femme, saisissant Marilyn par le bras, lui dit de la suivre.
Les mules de Marilyn claquaient comme elle était
dirigée vers une porte capitonnée. Elle sentait dans son dos les regards concupiscents des
hommes toujours attablés
Une nouvelle fois, la femme saisit son trousseau
de clés et ouvrit la porte.
Les deux femmes entrèrent dans la pièce bien
éclairée et la Madame referma la porte.
A la surprise de Marilyn c'était un cabinet médical.
Au centre trônait un fauteuil gynécologique.
La Madame regardait les deux petites tâches
de sang sur la culotte de Marilyn. Elle lui dit
de la retirer et de monter sur le fauteuil
Marilyn allait protester mais le regard de la
femme l'en dissuada. Puis elle lui fit lever les
jambes et reposer chacune sur un
support mobile prévu à cet effet.
Ses mules tombèrent sur le sol et la femme
ferma sur ses chevilles des bracelets qui les
bloquaient sur les supports. Elle fit de même
avec ses poignets qui furent fixés aux accoudoirs.
La femme saisit sur une tablette une lanière
ornée d'une petite boule. Glissant la boule entre
les dents de Marilyn elle lia la lanière derrière sa
tête.
Otant le martinet de sa ceinture et se
positionnant face au fauteuil, elle l'abattit
violement à plusieurs reprises sur
chaque plante de pied de Marilyn.
Marilyn cria à travers son gag
- Mmmh ... était le seul son qui sortait de sa
bouche. Elle se tordait dans tous les sens pour se
détacher mais ses liens la maintenaient
fermement. Ses seins s'agitaient follement.
Quand Marilyn fut calmé, la femme attacha de
longues chainettes aux anneaux de ses seins et
les tendit sur un crochet au dessus d'elle.
De même elle fixa les anneaux de ses testicules
contre le fauteuil.
Puis, saisissant tour à tour les supports
mobiles de ses jambes, elle les écarta
largement. Par l'angle ainsi formé et la position
de Marilyn, son anus était totalement découvert
et offrait le spectacle de ses épaisses lévres
rouges fermées.
Alors Marilyn sut qu'elle était à la merci de cette
horrible femme.
Ayant retrouvé son air dégoùté, la femme enfila
des gants en caoutchouc sur ses mains fines
aux doigts effilés et aux très longs ongles rouges
Plongeant son index dans un grand pot, elle
L'en ressorti barbouillé de vaseline.
S'approchant de Marilyn qui s'était remise à
gémir d'appréhension, elle saisit la minuscule verge.
Malgré sa honte, sous les mouvements experts
de la femme qui la masturbait, Marilyn sentit sa
verge s'allonger.
Cessant ses mouvements, alors qu'entre
deux doigts d'une main la femme tenait la verge
de Marilyn, elle présenta l'inex barbouillé de son
autre main face aux lèvres de son gland.
La femme tourna la tête. Marilyn avait les yeux
exhorbités. Son regard suppliant était plongé dans
le sien
Sans ciller, la femme introduisait son index dans
l'urêtre de Marilyn.
Quand il fut totalement inséré, Marilyn gémissait
et de la bave coulait sur le gag.
Elle nota alors la présence de l'homme au teint
cireux. Il se tenait face à elle, entre ses jambes,
les mains gantées et tenant ce qu'elle savait être
un écarteur anal.
La femme, arborant un sourire cruel, dégagea
son index et effectua des mouvements de va et
vient de plus en plus rapide dans son urètre.
Marilyn sentait ses seins tendus vers le haut par
ses chaines et ses testicules cloués au
fauteuil. Cependant une sensation de plus en
plus agréable l'envahissait
Elle n'avait jamais été pénétrée de cette façon.
Elle était pleine de honte comme elle sentait le
plaisir affluer.
Elle voulut redresser la tête et vit l'homme qui
s'affairait à présent entre ses jambes
Elle sentit le froid de l'écarteur anal que l'homme
positionnait et la femme s'immobilisa, l'index
complètement dans son pénis, les lèvres de son
gland l'étreignant passionnément.
Puis elle sentit le vent s'engouffrer en elle.
L'homme actionnait le mécanisme de l'écarteur
avec dextérité puis s'arréta et regarda Marilyn
avec satisfaction. L'orifice anal de Marilyn avait
atteint 18 centimètres.
L'anus de Marilyn était grand ouvert. L'homme contemplait avec satisfaction les profondeurs
de chair de son ventre. Il fit un signe de tête à
la femme qui, retirant son index, le remplaça par
un gros cabochon de verre que les lèvres
du gland de Marilyn vinrent têter.
L'homme caressa les jolis pieds crispés de
Marilyn à travers les bas. Les doigts de pieds
s'écartérent tendant le nylon transparent mettant
en lumière le bagues dont chacun était
orné.
La verge distendue de Marilyn était plaquée
contre son ventre, fermée hermétiquement
par le cabochon.
Marilyn eut un long gémissement continu et
elle senti s'écouler de son anus la liqueur de
son plaisir.
Elle savait que l'homme bandait et que lui
comme la femme avaient un sourire malsain
Finalement pénètrent dans la pièce les convives
du diner, tenant de larges verres à Cognac et en
bouche de gros cigares.
(A suivre ...)
Carole le Vice alias lilileet
Le 18 Mai 2021
De grands lustres en cristal scintillaient depuis le haut plafond.
Des meubles imposants aux objets d'art, tableaux, sculpture l'endroit
respirait l'opulence et le luxe
Une dizaine d'hommes en costumes se tenaient debout dans la pièce.
Monsieur était assis près d'une immense cheminée ou brûlait un feu d'enfer
et était en pleine discussion avec l'homme en face de lui.
Marilyn sentait le souffle aigre de la Madame dans son dos.
Un léger courant d'air s'infiltrait dans son déshabillé lui donnant une conscience
aiguë de sa nudité.
Elle sentait le souffle du vent sur son anus et la présence des six anneaux qui
le paraient. le vent léger qui s'engouffrait entre ses cuisses et sous sa culotte
enflammait ses testicules douloureux. Elle serra les cuisses et se mordit les lèvres,
ses genoux se rapprochant et ses mules prenant un angle comique.
Les hommes avaient tous tourné la tête vers elle et les conversations s'étaient arrétées.
Monsieur qui avait une discussion animée semblait ne pas l'avoir remarquée mais l'homme
en face de lui, tout en lui répondant, tourna la tête et sa bouche resta ouverte.
Comme Monsieur tournait enfin la tête, Mariliyn fut poussée dans la salle par la femme dans
son dos. Elle avanca de deux pas et se trouva dans la pièce.
- Viens ici près du feu ma belle chérie
dit Monsieur en agitant la main.
Aussitôt les hommes se mirent en mouvement vers elle en chuchotant entre eux.
Ils la rejoignirent comme elle s'approchait de Monsieur, rougissante de tous ses regards
sur son corps offert.
- Déesse, disaient les uns
- Merveilleuse, disaient les autres ou encore
- Fantastique
Marilyn était consciente de tous ces regards qui passaient alternativement de son visage
à ses seins, à ses jambes et à son sexe. Son fard ne la quittait pas comme elle sentait
les regards se poser sur les anneaux de ses testicules, brillants sous les voiles.
Comme elle n'était plus qu'a deux mètres de Monsieur, une main se posa sur les fesses
de Marilyn. Elle sursauta de surprise et voulut se dégager mais la main de la femme
qui la suivait comme son ombre s'était refermée sur son bras comme une serre.
- Ne t'inquiète pas dit Monsieur, nous sommes entre amis
Marilyn le regarda et la main posée sur ses fesses se fit plus insistante,
inquisitrice. A trvers ses voiles, des doigts palpaient les anneaux de son anus tandis
qu'une voix enrouée susurrait
- Adorable
- Allez, viens t'assoir sur mes genoux ma chérie
conclut Monsieur en se frappant la cuisse
Marilyn, assise de côté sur les genoux dee Monsieur, ses pieds ne touchaient pas terre
et ses mules tombèrent.
Un des hommes se précipita et le cou rougit parcourut d'une grosse veine saillante
s'agenouilla près d'elle.
Il saisit un petit pied et resta un instant immobile. Marilyn le regarda tandis qu'il lui
caressait la plante du pied. Elle frémit et ses doigts de pieds s'écartèrent tendant le
nylon de ses bas et révélant les bagues qui les ornaient.
- Magnifique, dit l'homme en la rechaussant
- Allons, allons, Marilyn dit merci à monsieur Charles il est un peu fétichiste, dit
Monsieur en riant, accompagné par les autres hommes.
- Merci monsieur, dit elle
- Non,non pas comme ça, insista Monsieur
L'homme agenouillé releva la tête et s'appréta à se relever. D'un geste Monsieur
écarta les cuisses de Marilyn. A nouveau celle ci rougit fortement.
Son sexe jusque là dissimulé apparût à la vue de tous. Elle n'avait pas été insensible
aux caresses sur ses bas
Sa petite verge à demi tendue tendait horizontalement la culotte et de chaque
côté pendaient ses petits testicules ornés d'anneaux qui dansaient librement.
Les lèvres fardées de rouge de son gland gonflé orné d'un anneau embrassaient le nylon
et son méat béait très largement, découvrant les profondeurs de l'urêtre
- Un magnifique travail d'un de nos amis chirurgiens ici présent, rajouta Monsieur désignant l'un des hommes.
Nouveaux murmures
- Allez, un bisou, dit Monsieur
- Mais ... voulut commencer Marilyn
Mais sa bouche fut baillonnée par celle de Monsieur, qui tira sur l'un des anneaux de ses seins
Marilyn sentit la bouche de l'homme qui étreignait son gland, sa langue poussant le nylon
dans son urètre.
- Mmmh fit Marilyn qui ressentait plus fortement la douleur de ses testicules perçés alors que
sa petite verge se redressait et venait se plaquer contre son ventre.
L'homme se redressa complètement et s'écarta, comme s'il ne s'était rien passé.
Monsieur libéra la bouche de Marilyn et sourit comme il découvrait l'anneau de son nez.
Il lui demanda d'ouvrir la bouche et eut l'air contrarié. Il s'adressa à la femme toujours
dans l'ombre :
- Je croyais vous avoir donné des instructions pour la langue Victorine : Un gros clou
et trois anneaux.
Il saisit le visage de Marilyn par l'anneau de son nez et lui donna un nouveau baiser
- Ce n'est pas grave ma chérie, la prochaine fois .
Il sourit puis se retourna définitivement vers son interlocuteur avec lequel il reprit sa discussion
animée. Les deux hommes parlaient anglais et Marilyn comprenait peu ce qu'ils disaient.
Monsieur en parlant avait glissé sa main sous le déshabillé de Marilyn et sous sa culotte et
jouait alternativement avec les anneaux de ses testicules, de son gland et de son anus.
Il semblait ne pas préter attention aux gémissements, aux petits cris de Marilyn quand il
tirait plus fort sur les anneaux, ses jambes gainées battant l'air de frustration.
Dans les moment de répit, Marilyn saisissait des bribes de conversation ou Il semblait
étre question de pur sangs, de reproducteurs, ce qui faisait penser à Marilyn que Monsieur
devait s'intéresser aux chevaux. Mais parfois, comme ils parlaient de "donkey" et de "pig"
Marilyn, se souvenant des cours d'anglais qu'elle avait reçu, était déroutée et finalement pensait
qu'il devait s'intéresser aux animaux en général.
L'interlocuteur de Monsieur, pour qui l'anglais semblait une langue étrangère, cherchait
souvent ses mots et faisait de grands gestes. Parfois Monsieur intervenait, hochait la tête
quand l'homme semblait désigner Marilyn de la main en parlant.
Comme, tout à sa discussion, Monsieur tira un peu trop fort sur les anneaux de testicules
de Marilyn, celle ci poussa un cri. Monsieur, semblant prendre conscience de sa présence,
retira rpestement sa main de la culotte et tapota
légèrement les testicules en lui embrassant un sein.
- Demain, visite du zoo ma chérie lui dit il
c'est donc ça, pensa t'elle aussitôt, il doit y avoir une ménagerie dans le parc, j'ai cru entendre
des henissements en arrivant
- D'accord, conclut il en français à l'adresse de l'homme , nous verrons cela plus tard cher docteur,
mais il faudra combiner cela avec la feminité, pas de confusion de genre ! Allez, il est temps de
passer à table messieurs.
Il se leva et tous les hommes, laissant là leurs discussions, le suivirent.
La Madame escorta Marilyn jusqu'à table. Elle était assise entre Monsieur et un homme tout en noir
qu'elle n'avait pas remarqué jusqu'alors mais que les autres semblaient éviter. Il ne la quittait pas
des yeux. Il avait le teint cireux et de petits yeux injectés de sang, se tourna vers la Madame
qui se tenait derrière marilyn et hocha la tête vers elle. Elle répondit de ce qui aurait pu paraître
un sourire. Sous la culotte de Marilyn, deux petites
taches de sang s'étaient formées à l'endroit des
testicules.
(A suivre ...)
Carole le Vice le 16 Mai 2021
Il y avait des jardiniers, cuisiniers, servantes,
pas mal de blouses blanches, à l'étonnement
un peu inquiet de Marilyn, des infirmières, des
messieurs en costume aux allures de médecins
mais surtout, en première ligne, une
grande femme très mince, en veste et tailleur
noirs, bas noirs et escarpins.
- Bonjour Victorine, voici Marilyn.
Dit Monsieur à l'adresse de la femme.
Arrivée tout près, Marilyn l'observait.
Elle avait un visage long et maigre, un rouge à
lèvres discret et un maquillage outrancier sur
les paupières qui tranchait avec son aspect
austère et lui donnait l'air horriblement vulgaire.
Pour completer son personnage, elle portait
à la taille un impressionnant trousseau de clés.
- Marilyn, je te présente Madame Victorine.
C'est elle qui est en charge du bon
fonctionnement de la maison.
Ses ordres sont mes ordres.
Tous ici doivent lui obéir et
cela t'inclut Marilyn. Me suis je bien
fait comprendre ? ajouta t'il en la dévisageant
durement
- Ca ne va pas beaucoup me changer pensa
Marilyn en hochant la tête. Finalement cette
Victorine est une Madame. Pourtant le lieu
n'avait pas l'air d'une Maison Close, il n'y avait
pas de filles.
Ce qui étonnait le plus Marilyn, c'était toutes ces
blouses blanches qui faisaient penser à une
clinique.
- Conduisez Madame à sa chambre Victorine
ordonna Monsieur
La femme, qui détaillait à son tour Marilyn les
lèvres pincées, demanda d'un ton sec qui avait un
air de défi
- laquelle, Monsieur ?
Aussitôt, on sentit comme un tresaillement
dans la rangée du personnel
- Nous en avons déja parlé,
répondit d'une voix plus forte Monsieur.
Aidez la à se préparer pour le diner
- très bien, fit la femme et se rapprochant de
Marilyn
- Suivez moi Madame.
C'est alors que Marilyn remarqua le martinet à
sa taille.
Devancant Marilyn montant les marches, exposant
la couture de ses bas aux talons à la française, la
femme roulait ses maigres hanches ce qui
paraissait risible si on comparaît à Marilyn dont
la démarche chaloupée accentuée par la hauteur
de ses talons, déchaînait à chaque pas un roulement naturel à faire frémir un saint, de ses
fesses et de ses hanches, tandis que ses seins
parfaits rebondissaient sous la combinaison.
Tendant le bras, la femme agrippa une fille en tablier
- Viens toi ordonna t'elle
La fille jeta un regard craintif vers Marilyn et la
précéda.
Elle portait une courte robe noire, un petit tablier
blanc, des collants voile bleus et des ballerines
noires.
A chaque pas, sa robe se soulevait et dévoilait
la blancheur de sa culotte sous les collants
Marilyn se demandait quel age pouvait avoir la
fille, elle semblait plus jeune qu'elle même.
Elles entrèrent dans un hall monumental et se
dirigèrent vers un ascenseur que Madame ouvrit
avec une clé.
Puis elle appuya sur le bouton +3, inséra sa clé de
nouveau et silencieusement, l'ascenseur s'éleva.
La chambre était superbe, grande et clair.
Le très grand lit recouvert de soie rose faisait
face à une grande table à maquillage couverte de
produits. Marilyn vit son reflet dans le miroir.
Levant les yeux, elle vit que le plafond très haut
était lui aussi couvert de miroirs
Se dirigeant vers le fond de la pièce où elle avait
distingué une porte, elle tenta de l'ouvrir mais
sans succès.
- Que faites vous ? demanda Madame d'un ton
soupconneux
- Je voudrais faire pipi répondit tranquillement
Marilyn
- Il fallait demander, répondit la femme
- Montre lui, dit t'elle à la jeune servante
aussitôt, celle ci, suivie de Marilyn, ouvrit une deuxième porte.
Marilyn s'empressa d'entrer
Une faible lumière éclairait la pièce. Dans la semi
obscurité Marilyn distingua un étroit lit de fer.
Sur le sol, sur les murs, au pladond, des chaines,
des anneaux des crochets encastrés. Reportant
son regard sur le lit, Marilyn découvrit le matelas
souillé et à nouveau sur le sol et contre les murs
de nombreux instruments tachés de sang
Marilyn mit la main devant sa bouche et ses
narines furent soudain envahis par une odeur
fétide
Tenant la main devant sa bouche Marilyn était
horrifiée. Une chambre de torture, c'était une
chambre de torture et qui avait servi.
Alors que choquée elle se demandait qui avait
pu mériter un tel traitement abominable elle
fut saisie par une main énergique qui la tira
brutalement en arrière et hors de la pièce.
Déja la Madame tournait la clé dans la serrure et
giflait la jeune servante à toute volée
- Petite idiote, cria t'elle tu sera punie
- Suivez moi madame, dit elle d'une voix
mielleuse en appuyant sur le madame d'une
façon désagréable
- Voici la chambre de Monsieur dit elle en ouvrant une autre porte . La chambre était grande
et claire comme la sienne mais Marilyn ne la
voyait plus. Ses yeux étaient remplis de l'horreur
de ce qu'elle venait de voir.
La tirant de nouveau en arrière, fermant la porte à
clé et en ouvrant une autre la femme conclut :
- Voici les toilettes, madame, faites vite nous
devons nous préparer pour ce soir
Assise sur la cuvette Marilyn sombrait dans le désespoir. De l'autre côté de la porte la femme lui
expliquait que ce qu'elle venait de voir était en fait
un décor. Monsieur était dans le cinéma il le lui
avait certainement dit non ?
Enfin bref que ce décor avait été utilisé pour un de
ses films, qu'il avait été mis là faute de place
mais qu'il devait être enlevé dès le lendemain
Mon dieu, c'était tellement réaliste, pensait
Marilyn, ce matelas souillé et sur le sol,
ces choses abjectes . Elle avait buté sur des
choses molles qui s'écrasaient, éclataient sous
ses mules.
Et cette odeur pestilentielle ...
Passant la tête par la porte qu'elle n'avait pas
fermée, la femme enjoignit Marilyn de se hâter.
Celle ci, comme émergeant d'un rêve et choquée
du regard de la femme sur elle, renfila
promptement la combinaison descendue sur ses
cuisses. Elle voulait se débarasser de ses mules
souillées mais un regard de la femme l'en
dissuada.
- Allez, suivez moi et asseyez vous sur le lit dit la femme alors que Marilyn la suivait d'un pas mal
assuré.
- Paulette, prends les affaires de madame dit elle
à l'adresse de la jeune fille qui était debout dans un coin, les yeux baissés.
Marilyn était assise nue sur le lit, le bout de ses
pieds nus touchant le sol.
La femme se tenait devant elle. D'un geste assuré
de ses mains en coupelles elle soupesa les seins
et les relacha en murmurant des mots incompréhensibles.
Puis, baissant les yeux, sa bouche se tordit dans
une grimace de dégoût.
La femme eut un sourire mauvais sur sa bouche
tordue alors qu'elle découvrait le pénis
minuscule et le gland disproportionné traversé
d'un anneau, les lèvres fardées de son méat
souriant et l'anneau à la base du gland qui le
contraignait.
- C'est fonctionnel ça ? demanda t'elle
d'un air dégouté tandis qu'elle saisissait les petits
testicules et les pinçait de ses ongles.
Marilyn se mordit les lèvres.
- J'espère pour vous que non dit la femme. Elle ajouta
- et pas parce que je vais percer vos petites
olives !
- Mais ...
voulut protester Marilyn
- Ordre de votre mari grimaca la femme
- Il a dit, les anneaux sur les tétons, vous les avez
déja, des grandes créoles aux oreilles, au nez un
anneau, je vois que vous n'êtes pas encore percée
là, l'anneau du nombril - elle cochait
mentalement des cases -, l'anneau au bout de
votre petit truc - regardant le gland de Marilyn,
vos deux olives à percer d'anneau et ....
obligeant Marilyn à relever son bassin,
découvrant les lèvres épaisses de son anus entrebaillé, elle
les saisit entre ses doigts avec dégoùt
- 6 ici !
- Allez Paulette, amène moi ma trousse et mes
gants
40 minutes plus tard, le visage couvert de
larmes, Marilyn entrait dans une grande
baignoire et Paulette lui massait doucement
les épaules
Lavée et parfumée, le petit
triangle de son pubis soigneusement
épilé, débarassée des rares poils disgacieux,
ses cheveux séchés, Paulette la maquilla
Le pourpre léger sur ses paupières, le rouge baiser sur ses lèvres et - Paulette rougit - le même rouge sur les lèvres du gland et de l'anus.
Quand Paulette eut terminé, Madame entra de nouveau dans la chambre. Elle fit lever Marilyn
et la fit tourner sur elle même. Satisfaite, elle
choisit avec soin les vètements dans les placards
qui entouraient la pièce :
Paulette laça dans son dos la guépière
transparente délicatement brodée qui lui
étranglait la taille et présentait ses seins. Elle
lui demanda de retenir son souffle et jamais la
taille de Marilyn n'avait été aussi fine. Elle l'aida
à attacher les 8 jarretelles sur ses longs bas en
voile blanc, veillant au bon alignement de la
couture et à enfiler la large culotte en nylon blanc transparente.
Enfin elle lui fit enfiler le très long déshabillé rose
en voile et les mules roses à pompons et petits
talons.
Présentant Marilyn devant le miroir, celle ci
pouvait deviner ce que serait la soirée avec
Monsieur, intime, elle en lingerie
Elle était un véritable appel au viol. Elle savait
l'appétit d'elle qu'avait monsieur. Mais ainsi
parée elle avait le sentiment de réclamer ce
qu'il lui ferait :
L'anneau de son nez, de ses seins, qui la
déshumanisaient, dans son sexe, dans son anus
qui l'appelaient.
Et sa lingerie, si transparente qu'elle était plus que
nue.
Ses longs tétons transpercés qui pointaient sous le voile,
les lèvres de son gland et de son anus, si rouges,
si épaisses, comme un baiser sur le voile de la
culotte, les anneaux qui brillaient partout dans la
culotte, les ongles rouges sous les bas, ses
doigts de pieds bagués dans les mules roses ...
En fait de diner, elle imaginait que Monsieur allait
rapidement abuser d'elle, sans attendre de
l'emmener dans sa chambre, de la mettre dans son
lit.
- Allons y, dit la femme
- Ils vous attendent
Marilyn fut remplie de stupeur,
ILS ? ...
(A suivre ...)
Carole le Vice alias Lilileet Le 12 Mai 2021
Monsieur l'arréta d'un geste et lui tendit un paquet.
Marilyn, ayant extrait la combinaison jumpsuit qu'il contenait, l'enfila rapidement.
Elle était côtelée, de couleur noir, et moulait intimement son corps volupteux.
Elle ne put remonter entièrement le zip qui partait de sa taille, s'arrétant à la base des seins.
La voiture s'arréta puis reparti, ayant franchi une large grille.
Un bon moment plus tard, la voiture s'arréta de nouveau.
la portière du côté de Monsieur s'ouvrit et le chauffeur, tenant sa casquette à la main,
apparût.
- Enfin arrivés dit Monsieur
- Vous nettoierez la voiture, Georges, Madame a été indisposée
Jetant un regard rapide à l'intérieur de la voiture, ledit Georges, tordant les
lèvres en un rictus de dégoût salace corrigé par sa soumission répondit
- Bien Monsieur,
Jetant un regard sur la trainée ensanglantée du dossier et la large tâche rougie du siège
il posa un regard rapide sur Marilyn avec toujours la même expression.
- Viens vite, dit Monsieur à l'adresse de Marliyn en lui tendant la main comme il s'extrayait de
la limousine.
Celle ci, ayant renfilé ses mules noires de Domina aux talons aiguilles de 18 centimètres qui
cambraient ses petits pieds à l'extrème, le suivit.
Quand elle se redressa, Monsieur passa son bras autour de sa taille
- Bienvenue dans ta nouvelle maison ! dit il, découvrant une trés large demeure de style gothique
Le chauffeur sa casquette à la main et tenant
toujours la portière était maintenant bouche bée
et ne pouvait détacher son regard de Marilyn
Au côtés de Monsieur qui la tenait par la taille,
Marilyn était aussi grande que lui.
Ses pieds étaient nus dans les mules, ses ongles
vermillon. Ses longues jambes jusqu'au
chevilles étaient gainées par la combinaison
Ses larges fesses et ses hanches larges accentuaient la finesse
extrème de sa taille. Le décolleté très généreux
laissait apercevoir la rondeur de ses gros seins
qui pointaient sous l'étoffe.
Ses lèvres charnues légèrement entrouvertes laissaient apparaître les perles de ses dents,
ses longs cils de biche couvraient ses magnifique yeux verts. Sa féminité extrème n'était
en rien entamée par ses cheveux coupés court.
Soudain sur les gravillons on entendit une
cavalcade et un enorme chien apparut.
C'était un genre de doberman, peut être un
mâle pensa Marilyn.
Le chien trotta joyeusement jusqu'à eux et
vint se tenir au côté de Monsieur.
La langue pendante, le chien quémandait
des caresses. Puis, tournant autour du couple
il s'intéressa à Marilyn
Le chien s'approcha de Marilyn et la renifla.
Se tenant face à elle, il plaqua son museau entre
ses cuisses. Puis il s'écarta et commenca à
gronder. Il se placa derriere elle, grondant
toujours et colla son mufle entre ses fesses
Marilyn, qui sentait la chatouille mouillée de
la truffe du chien et ses puissants reniflements
à travers la combinaison contre son anus n'osait
pas bouger.
Puis soudain le chien cessa de gronda, jappa joyeusement
et se mit à gambader autour d'eux.
C'est bien un màle, pensa Marilyn en regardant le chien joyeux.
Sous son ventre, un long pénis effilé était sorti de la gaine de son ventre.
Debout sur les pattes de derrière il vint s'appuyer sur Monsieur, toujours
jappant joyensement en tirant la langue
- Oui, je sais, elle est belle la dame , dit Monsieur en caressant la tête du chien
- Vous aurez l'occasion de jouer tous les deux plus tard, rajouta t'il en posant une
main sur les fesses de Marilyn
- Allez Néron, laisse nous conclua t'il en repoussant le chien dont le très long sexe
rose restait tendu comme un poignard
Pincant et tapotant la fesse de Marilyn, il lui glissa
- Tu as de la chance, Néron t'aime beaucoup, tu devra être très gentille avec lui
la prochaine fois, tu as vu dans quel état tu as mis la pauvre bête.
Reprenant sa taille
- Nous avons oublié le corset, j'ai l'impression que tu prends du ventre toi
Marilyn savait que son estomac était vide, la diète qu'elle devait suivre était drastique
et la seule chose qui remplissait son ventre c'était le sperme de Monsieur, qui venait
encore d'éjaculer en elle après l'orgie de la nuit dernière.
Reprenant la marche vers la vaste demeure, tenant la main de Marilyn, elle chaloupant
sur ses talons aiguilles, ses fesses et ses seins gainés dans la combinaison il dit :
- Allez viens, je vais te présenter au personnel
Il les dirigea vers l'allée que formait le personnel nombreux au pied des marches.
(A suivre ...)
Carole le Vice alias Lilileet Le 5 Mai 2021
Marilyn, Monsieur pressa un bouton discret sur
sa portière et un écran noir sépara la cabine du chauffeur du reste de la limousine.
Alors dans le silence et l'intimité nouvelle,
Monsieur ordonna :
- Déshabille toi et suce moi maintenant
Malgré son ton péremptoire il n'éleva pas la voix.
Obéissante, Marilyn fit glisser sa jupe et passa son body par dessus la tête.
Ses gros seins libérés ballotèrent et se tendirent devant elle. Puis elle roula ses bas sur ses chevilles et s'en débarassa.
Puis s'étant mise à quatre pattes sur la banquette,
d'une main elle ouvrit la braguette de Monsieur et de l'autre en coupelle, elle dégagea les grosses
couilles du slip et l'énorme bite.
Baissant la tête, elle lécha le gros gland et le mât comme on lui avait appris. Le sexe pris
rapidement des dimensions monstrueuses.
Monsieur, saisissant Marilyn par les hanches, la
souleva sans efforts et elle se retrouva accroupie
sur ses cuisses , ses petits pieds aux ongles peints,
aux orteils bagués, reposant de part et d'autre, faisant face à l'écran noir, les paumes appuyées
sur l'écran, montrant à Monsieur sa large croupe.
Monsieur avait face à lui ce cul majestueux, qui
avait été façonné pour lui, il tenait par ses si fines
hanches cette fille superbe et elle était à lui.
Il donna un baiser léger sur les lèvres pulpeuse de son anus refermé, sentit frémir la fille.
Elle était à lui, il allait franchir les limites du plaisir avec tous les moyens dont il disposait.
Perdu dans se pensées lascives il pris
entre dans ses mains les gros melons de ses seins.
Jusqu'ici elle avait extrèment bien réagit à ses
traitements, il voulait aller plus loin, beaucoup
plus loin.
Entre ses doigts il serrait les tétons, l'entendit
gémir. Il saisit les anneaux qui traversaient ses tétons et elle laissa échapper un petit cri quand
il tira.
Ses seins étaient tendus droit devant elle, tirés
par les mamelons.Les mains de l'homme qui
tenaient les anneaux reposaient maintenant sur
l'écran de séparation.
Elle respirait plus vite, par petits coups pour ne pas
se laisser envahir par la douleur. Machinalement
ses jambes pliaient davantage, son anus frôlant
l'énorme gland de Monsieur.
Devant ses yeux, les lévres pulpeuses de l'anus
de Marilyn frémissaient mais restaient énergiquement fermées.
Monsieur lacha d'un coup les anneaux de ses
seins et Marilyn poussa un large soupir.
Une de ses mains rejoignit les hanches tandis que
l'autre s'insérait entre les cuisses de Marilyn.
Il saisit entre ses deux doigts la fine verge de
Marilyn. Lui redressant légèrement le bassin,
il appliqua un profond baiser sur les lèvres
pulpeuses de son anus, y forçant sa langue
tandis qu'il masturbait la petite verge.
Rapidement la petite verge de Marilyn durcit, se
recourba et se plaqua contre le bijou de son nombril, elle gémissait et lentement, son anus
s'ouvrit.
Naturellement, presque sans qu'il ait besoin de la
guider, Marilyn se plaça à la verticale du sexe de
Monsieur. Elle se baissa jusqu'à ce que son anus
vienne caresser l'énorme gland et miracle de la
chirurgie, l'avala goulument.
Les doigts de Monsieur s'agitaient de plus belle
sur la petite verge et Marilyn, affolée de plaisir
craignait que son gland éclate tant, comprimé
qu'il était par l'anneau qui l'enserrait, il était gorgé
de sang.
N'en pouvant plus, Marilyn s'empala d'elle même
sur le pieu de Monsieur. Elle respirait par saccade
quand elle crût en avoir atteint l'extrémité
Mais monsieur avait devant ses yeux ce
spectacle.Il relacha la petite verge tendue,
tâta la petite mandarine que formait le gland
et ses mains rejoignirent toutes deux les hanches
de Marilyn.
Sans effort, Monsieur fit glisser Marilyn le long de
son mât, les mouvements de va et vient la
faisaient descendre de plus en plus bas
Elle avait été bien élargie mais pas
suffisement encore et elle ne lubrifiait
pas encore assez
Monsieur sentit qu'il était tout proche de
l'ogasme. La petite verge rigide de Marilyn
était plaquée contre son ventre, son gland
gonflé à éclater. Elle gémissait.
D'un coup sec, il s'enfonca entièrement en elle.
La croupe généreuse de Marilyn rebondit contre
les cuisses de Monsieur.
Elle cria.
Un fin jet de liqueur mélée de sang s'écrasa contre
la paroi. Le ventre de Marilyn s'emplit du sperme
épais de Monsieur tandis que de son cul
s'échappait une petite mare de sang clair.
Baissant les yeux, Monsieur était contrarié
Mailyn gémissait toujours, empalée une
fois encore sur le sexe de son maître.
Quand il se retira d'elle, elle voulu s'allonger
à côté de lui mais il lui ordonna de le nettoyer
de sa langue et ainsi, nue, à quatre pattes, alors
que le foutre brûlant de Monsieur mélé à son
sang s'échappait encore d'elle, elle lécha le ventre, et le sexe de Monsieur.
Peu après qu'elle eut finit de le nettoyer et lui de
se reboutonner, elle encore nue, le chauffeur
la fit sursauter en annoncant qu'ils arrivaient.
Son regard de biche effrayée essaya de trouver
celui de Monsieur
(A suivre ...) Carole le Vice Le 11 Mai 2021