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Blog de Annafe

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Une enquête va être ouverte concernant la disparition des « photographes de travesties » sur Travrencontre. En effet, nous avons constatés que ces messieurs qui propose à nos chères créatures féminines de les prendre en photos (j’ai bien dit en photos), se targuant de pouvoir leur offrir de jolies clichés disparaissent dès qu’il faut passer à l’acte et prendre un VRAI RDV.


Ces disparitions inquiétantes concernent déjà deux hommes, soi-disant, photographes sur le site (je ne citerai pas de nom), l’un vers Fontainebleau, l’autre vers Montargis.


Il y a-t’il un serial killer de photographe où une malédiction "des clichés"???? La question reste posée.


Si vous avez des infos ou des indices, prévenez l'inspectrice Anna, en charge de l'affaire (hihihi)


En tout cas, mes chères amies qui souhaitaient avoir de jolies clichés sexy, ne prenez pas à la lettre les paroles de ces messieurs qui vous assurent être prêt et dispos pour mette en valeur vos atours. Il y a des fantasmeurs partout, que voulez-vous…

Janvier est le moment des vœux.
Alors c'est aussi une très bonne occasion pour moi de remercier et de souhaiter tous mes vœux de continuation et de réussite au site "Trav-rencontre".

Au site et également aux ami(e)s de ce site. Je ne vais pas les nommer de peur d'en oublier mais elles(ils) se reconnaitront, j'en suis intimement persuadée.

Les organisatrices, les modérateurs évidemment, mais aussi toutes ces amies et amis qui m'ont donné le courage. Qui m'ont , avec parfois de toutes petites phrases de sympathie et d'encouragement, permis de comprendre que je devais m'ouvrir à ma nature profonde.

Aujourd'hui, je le sais, je suis femme au fond de mon corps et de mon âme. Et en une année (je me suis inscrite sur le site en février 2015 je crois) j'ai avancée dix mille fois plus qu'en toute ma vie passée avant.
J'ai compris aujourd'hui que je ne pouvais vivre sans cette féminité qui souhaitait s'imposer, pour que je trouve mon équilibre, mon bonheur.

Oh bien sûr, les circonstances font que je dois encore très souvent me cacher sous une carapace masculine et cela pendant très longtemps encore, tout le reste de ma vie peut-être. Mais les moments que j'arrive à passer comme femme sont tellement intenses, tellement merveilleux que je ne me plaindrai jamais qu'ils ne soient pas mon quotidien.

Et puis sur ce site, cerise sur le gâteau j'ai trouver un amour fou. Un amour sincère et magnifique. l'amour d'une personne comme moi qui me comprend, dans toutes ma complexité. Qui es là lorsque je vais mal et là lorsque je vais bien (car je suis si heureuse lorsque je suis auprès d'elle ou de lui). Jamais je n'aurai pu imaginer tomber "amoureuse" au féminin. Et mon cœur de midinette bat comme une adolescente éperdument passionnée.

je ne sais pas (comme tout le monde) ce que me réserve l'avenir. mais je sais qui je suis aujourd'hui. Je sais que je suis femme dans mon genre. Et je sais aussi que ce site et les personnes de ce site qui m'ont côtoyées et ont dialoguées avec moi m'ont énormément aidé, permettant ainsi de voir éclore en moi "la fleur féminine" que je suis aujourd'hui.

Alors je vous souhaite à toutes et à tous, merveilleux amies de vous lâcher comme je l'ai fait. De croire en vous et de ne pas hésiter à faire éclore cette fleur qui est dans votre cœur.
Ce site est déjà un immense champs fleurie de créature féminines. il ne tient qu'à vous de le faire grandir car nous sommes bien plus nombreuses que la société tente de faire croire.

Mes semblables...Je vous aime
Meilleurs vœux à toutes ces jolies fleurs et celles à en devenir
je vous embrasse de toute mon affection.
Anna

A tous les mecs qui se posent des questions…


Qui pensent avoir un fantasme inavouable…


Qui ont peur d’être, par ce fantasme, touché dans leur virilité.


A tous ceux qui n’osent passer à l’acte.


Je vous le dis bien haut et fort


VOUS N’ÊTES PAS SEUL


Croyez-en l’expérience d’une « personne féminine » avec quelque chose en plus.

 

Vous êtes vraiment très nombreux, gentils hommes bien hétéros, à vouloir être sodomisé.


Lorsque vous marchez dans la rue, dites-vous bien que beaucoup de confrères de la "gente masculine" que vous croisez ont déjà expérimentés avec succès et délices d’avoir un joli membre dans les fesses.


Non, vous n’êtes pas seul


Personne n’ose le dire. Le tabou est bien ancré (moi jamais !!!) mais beaucoup en ont envie et passe à l’acte


Ne vous sentez pas anormal ou déviant.


Vous êtes des milliers…


Et puis, connaissant cela, éviter maintenant de vous moquer des gays ou des travesties. Vous aimez les mêmes choses…Vous faire plaisir

 

Hihihi

Anna

Nous qui sommes du 3eme genre, des « créatures féminines » comme je préfère me décrire. Nous qui subissons les quolibets, les rires, les injures parfois. Nous qui ne sommes pas toujours acceptés et qui devons nous cacher dans notre vie de tous les jours.

Nous devrions être solidaires et accepter le bonheur de toutes les travs.


Et bien non. Il y a dans notre communauté autant de méchanceté, de coups bas, de jalousie que parmi les « humains dits normaux ».


Depuis que nous avons eu le tort certainement d'annoncer notre amour Lola et moi sur ce site, nous nous rendons compte des jalousies, des inimitiés que cela peut entraîner.


Pas de toutes bien sûr, certaines sont très heureuses de notre bonheur et nous connaissons la franchise de leurs jolies commentaires.


Mais de certaines qui, pour des raisons que je ne cherche pas à comprendre, nous font bien ressentir qu'elles détestent notre bonheur.

Alors je dis à celles-là qu'elles ne méritent pas d'être reconnues comme nos égales car il serait bien plus intelligent pour elles de comprendre qu'il faut se serrer les coudes entre nous et accepter la liberté d'amour de chacun.

Mais même parmi les travs, la bassesse est de mise

Bisous à toutes celles que j'aime

Anna

RENCONTRE PARISIENNE


Je dois rentrer chez moi car il est presque 18h. Mais en cette journée ensoleillée de début septembre j’éprouve encore le besoin d’admirer les reflets du soleil sur mes bas « sublime ». De sentir le léger souffle du  vent qui,  coquin, se glisse sous ma jupe et m’oblige au léger frisson.


Alors je m’installe, seule, à cette grande terrasse des beaux quartiers. Sur la table à mes côtés, trois jolies femmes qui me sourient.  L’une d’elle va même échanger quelques mots avec moi.


Je me sens bien à siroter ma boisson rafraichissante. Je regarde les passants. Je jette un oeil, parfois, à mon petit sac ou se repose les jolies escarpins hauts que je viens d’acquérir à un prix très abordable. Je repense à ma belle journée féminine tout en sachant que bientôt je devrais quitter ma douce lingerie, ma robe légère, mes fines chaussures et ma jolie tignasse blonde méchée.

Oter également collier, boucles d’oreilles, bagues et ce vernis rouge que j’adore lorsqu’il s’étale, comme un rubis sur mes ongles.

Oui, après ce retour en RER, je retrouverai mes frusques masculines qui me rebutes de plus en plus.

Alors je profite des derniers rayons chauds de l’astre du jour. Seule mais heureuse.


Pourtant, depuis plusieurs minutes, je m’interroge. Devant le kiosque à journaux, cet homme d’une quarantaine d’années, paraissant encore très consommable semble me lancer des regards furtifs.

Je m’aperçois que son intérêt pour les magazines  est futile et qu’il jette régulièrement un œil en ma direction.


« Non, tu es folle Anna »


Qui s’intéresserait à une créature féminine plus vraiment jeunette. Tu rêves trop. Tu n’es plus une adolescente. Et pourtant j’aime que l’on me trouve belle, que l’on m ‘admire, je l’avoue.


J’évite de le regarder, me concentrant sur la paille qui glisse entre mes lèvres.


Là, je me dis, attention. Le Monsieur vient de prendre la place, laissée disponible, à côté de moi par les trois jeunes femmes. Tu ne rêvais pas Anna. C’est bien lui, assis tout près, qui commande un café.

Je me recroqueville un peu et écarte ma bouche de la paille, des fois que cela lui donnerait des idées. Pourvu qu’il se soit aperçut que je ne suis pas une femme-bio. J’aurais l’air idiote. Je sais qu’il hésite, là à quelques décimètres de moi.


-          - Pardonnez-moi de vous importuner Madame. Connaissez-vous la MDT

 

Il est fin le bougre, la MDT, la Maison du Travesti. Il me fait bien comprendre qu’il sait ce que je suis

Je ne peux que lui répondre la vérité :

-          - Oui, j’y suis déjà allée.

Et lui de répondre, charmeur

-         -   Je n’ai jamais eu le plaisir de vous y rencontrer

 

Et voilà. Le malin a réussi à déclencher le dialogue.

Me faire draguer à une terrasse dans Paris. Moi qui il y  a encore peu n’aurait jamais osée mettre le bout d’un escarpin dehors. C’est le monde à l’envers. Mais c’est si agréable…


Anna

 

 

Salut les copines,


Voilà, je ne sais pas si cela vous intéressera mais j'ai quelque chose à vous dire. Où plutôt, nous avons quelque chose à vous dire.

J'ai toujours affirmé que ma vie privée ne regardait que moi et que je ne souhaitais pas l'étaler sur le site. Mais j'ai également tempéré cette affirmation car si je rencontrai « le Grand Amour », celui qui vous fait vibrer plus que de raison, je vous en parlerai.

De plus, je ne fouille pas dans la vie des autres et ne cherche pas a savoir « qui fréquente qui ». mais je sais que ma modeste personne fait parfois l'objet de rumeurs (oui, on me le rapporte parfois et malheureusement je le déplore mais chacun fait comme il veut). Pourtant je ne suis pas si intéressante que cela. Je ne suis qu'une fragile « créature féminine » avec ses joies, ses petits bonheurs mais aussi ses peurs et ses angoisses terribles que je tente de dissimuler.


Alors, oui aujourd'hui (pour faire un peu taire ces rumeurs) et en accord avec celle que j'aime et parce qu'elle le souhaite aussi, nous allons dévoiler notre Amour.


Nous nous sommes rencontrés plusieurs fois et j'avoue que je suis tombée follement amoureuse d'elle. Je peux vous assurer qu'elle m'a fait « Naître femme ». Qu'elle a révélée totalement ma nature féminine par ses attentions, l'intelligence de son coeur, sa fougue amoureuse (n'en déplaise à certains qui se sont trompés à son égard car méfiez-vous de l'eau qui dort, il peut devenir Tsunami). Que dire de plus que d'avoir découvert l'extase physique, morale, sentimentale.


Nous formons donc un couple. Le couple Lola04-Anna et nous sommes heureuses.


Bien sûr. Nous sommes éloignées l'une de l'autre (mais nous trouvons des solutions pour se retrouver) et nous sachons bien que, sexuellement parlant, n'étant pas des nonnes, nous nous permettons de rencontrer des partenaires et laisser libre cours à quelques escapades sexuelles si importante à l'équilibre de nos êtres sensuels.


Mais nos deux âmes sont liés d'un Amour intense.

J'ai trouvé en Lola le bonheur que mon coeur n'osait espérer.

Merci à ce site de m'avoir permis de la découvrir (elle est magnifique)


Ainsi, tout est clair. En souhaitant que les rumeurs cesseront et que chacun d'entre vous trouve le bonheur qu'elle espère comme je l'ai trouvé auprès de mon Elfe.

Rien n'est plus beau que l'Amour et j'aime passionnément Lola

Bisous à tous

Anna, si heureuse...

Je tenais a remercier chaleureusement de tout mon coeur et de toute mon amitié mes copines Annabelle et Nina qui m'ont fait l'immense plaisir, tout à tour, de m'accompagner dans mon escapade féminine Parisienne.

Elles ont été des compagnons agréables et très gentils

En leur souhaitant (si elles le désire) de sortir un jour dans un jolie tenue féminine et ce jour, si elle me le demande, je serai enchantée de les accompagner à mon tour.

Je vous livre quelques réflexions, astuces, anecdotes de cette journée.

En femme dans paris:

  • 95% des personnes que vous croisez ne font ABSOLUMENT PAS attention à vous

  • Parmi les 5% restant, 99% vous regarde d'un air, étonné, amusé ou gentil mais sont plutôt bienveillante et souriante votre égard

  • Le pourcentage minime restant peut avoir un visage réprobateur ou (surtout si ce sont deux hommes) se prépare a faire une petite réflexion amusé à son collègue lorsque vous serez passée. Mais vous vous en « foutez » car vous serez passée et vous ne le reverrai plus jamais. Alors, si vous êtes crédible, N'hésitez plus (et je suis prête à vous accompagner sur paris et R.P)

  • Quel kiffe d'être femme et de se payer un petit repas (léger: cause attention à ma ligne) à la table d'une brasserie parisienne, surtout quand le serveur est charmant

  • Je ne comprenais pas pourquoi il y avait tant de choses dans les sacs des femmes. Maintenant j'ai compris. Entre le portable, les papiers, les clefs, la brosse à cheveux, le fond de teint, le rouge à lèvres, le ricil, le crayon pour les yeux, le vernis a ongles, les mouchoirs, la paire de bas ou collant de rechange (je vous le conseille impérativement) et le gel et quelques capotes (on ne sait jamais hi hi hi). Prévoyez un grand sac a main.

  • Le magasin Concorde, c'est très bien et on y trouve des soldes parfois intéressante (humm, je vais bientôt essayer mon body sexy en dentelle à moins 70%)

  • En parlant du magasin Concorde, je conseillerai à toutes les copines qui ont des grandes tailles (chaussures et lingerie) d'y aller souvent car il y a beaucoup d'articles grande taille soldés (moins 50 ou 70%). Il y a notamment, en ce moment au Concorde Austerlitz (pub gratuite, je ne touche rien hi hi), des escarpins magnifiques a 20€ (à partir du 42 -snifff je fais du 40)

  • Ne croyez pas les étiquettes vous assurant que la paire de collant que vous achetez est « infilable »

  • En parlant collant, moi qui étais pas vraiment pour ça fait mémé) et bien je peux vous dire que finalement je reviens sur ma décision car pour sortir dans la rue c'est très confortable et cela évite de toujours s'inquiéter si le bas tient et si on ne voit pas le haut des jarretelles (bien sûr il n'y a plus la sensation du petit vent qui passe en-dessous de votre robe ou jupe et qui vous donne des jolies sensations). Alors, le mieux c'est d'alterner.

  • En parlant jarretelle, la rue c'est pas un club privé. Alors tenue de ville. Pas de tenue trop sexy parce que sinon vous passez pour une pute

  • Par contre, il serait faux de croire que puisque on met des bas, on a la possibilité de mettre un joli string ( vous savez celui qui vous titille la raie des fesses en marchant) car notre « truc supplémentaire » ne se balade pas. (oui en bas et string, le clito a trop tendance à sortir de son logement et il pendouille,ce qui n'est pas agréable et moi, lorsque je sors en bas dehors, je met toujours de jolies culottes qui le protège bien).Et bien non, mettez aussi des culottes avec les bas parce que si le clito sort de son logement, c'est pas vraiment agréable lorsqu'il frotte le collant.

  • C'est comme même génial de se faire appeler toute une journée Madame (j'ai même eu un « Mademoiselle » mais là je pense que la personne ne regardait pas mon visage)

  • Je crois n'avoir rien oublié...


En conclusion, être en balade de 10h à 18h m'a rendue pleinement heureuse. Merci encore à mes copines. Et vous savez, si je vivais seule, et bien je serai femme tous mes week-ends...et plus encore.

Bisous à toutes et tous.

Anna

Evolution, oui evolution. Des nouvelles de la petite Anna qui es si heureuse de devenir...non plutot d'être femme (ou une créature du 3eme genre, une femme avec un beau clito en plus hi hi). Au début, je pensai que tous cela n'était finalement que pulsions sexuelles; me taper des mecs, sucer des queues, sentir le plaisir d'avoir un sexe en soi (humm la sodomie j'adore), être « secoué » par plusieurs mecs en même temps. Faire même des trucs un peu hard. Oui j'ai donné et, je l'avoue, j'aime.

Mais ce que j'ai découvert aujourd'hui, ce qui s'est révélée a mon existence, c'est que le plus grand bonheur que j'éprouve est bien plus simple. S'habiller, sortir dans la rue en femme, en soirée. Mais aussi en voiture, en bus, en RER. Bref vivre en femme. Etre femme (toujours avec un joli truc en plus hi hi).

Maintenant que mon maquillage a fait beaucoup de progrès, que j'ai une petite garde robe (pas trop sexy les jupes ou robes pour sortir même si elles sont assez courtes mais surtout ne pas faire pute). Maintenant que j'ai mon petit sac, ma démarche un rien sensuelle avec mes talons et bien c'est cela mon bonheur. Mon grand bonheur.

Et je ne sens plus de regards bizarres, ni interrogateur parce que j'assume à fond.

Je soupconne même parfois des regards d'hommes genre « pas mal celle -là » ou plus encore.... Et puis les bonjours Madame, l'homme qui l'autre fois m'a tenue la porte et s'est écartée pour me laisser passer avec un grand sourire, j'ose dire « PUTAIN, que c'est bon »

Et quant je vais dans des soirées et bien je kiffe a la folie


Bien sur, je n'aurai jamais le summum total (vu que je ne vie pas seule), me réveiller le matin dans ma nuisette légère et vivre a la maison en Anna. Car je suis ANNA, une petite femme fragile pleine d'amour et de bonheur à partager.

Mais des que je revêt mes atours féminins, je n'ai qu'une envie. Ne pas rester cachée. Vivre pleinement mon genre

Et puis, la vie est toujours pleine de surprise car aujourd'hui...On est amoureux de moi Anna. Mais Chut....

Bisouuus a toutes les travs merveilleuses et ceux qui les aiment

Anna

Episode attendue, j'espère qu'il ne vous décevra pas. A vous de me dire si je dois continuer l'histoire....

VENGEANCE BLONDE

 

Ma dernière mission s’étant plutôt mal terminée, ma hiérarchie me proposait de prendre un peu de vacances. Du repos me ferait du bien et pour m’enlever tout stress, je louai une petite maison loin de tout, dans un bois accueillant au bord d’un plan d’eau magnifique. Balades dans la nature, baignade totalement nue (j’adore cette sensation de l’eau sur tout mon corps), course à pied, vtt etc.., je profitai de ce congé pour me refaire une forme olympique dans l’optique de prochaines missions dangereuses.


Pourtant, dans ce service, on n’est jamais totalement en vacances. Ainsi je reçus un appel codé me signalant que je devais servir d’intermédiaire pour un colis destiné à un autre agent (un certain BA254). Cet agent devait récupérer le paquet quelques jours plus tard, en matinée. Il me donnerait un code me permettant de l’identifier.


J’attendais donc mon collègue inconnu. Profitant d’une jolie matinée ensoleillée, je portais une jupe courte blanche rehaussée d’un top de dentelle  rose à fine bretelle laissant apparaitre un mini soutien-gorge de la même couleur. On ne sait jamais. Si je trouvais cet inconnu à mon goût, nous échangerions peut-être un peu plus qu’un simple paquet anonyme. Seule depuis une quinzaine de jours, le manque de caresse et d’action commençait à me travailler.


Vers 10h, j’entendis un véhicule sur le chemin gravillonné. Par la fenêtre, un petit coupé sportif déboucha à l’orée du bois. Je filai dans la chambre prendre mon petit pistolet que je glissai sous ma jupe, dans le dos. Je devais tout de même rester prudente.


J’entendis frapper à la porte et l’ouvris rapidement. Le choc fut énorme.  Malgré de jolies lunettes de soleil lui cachant son regard, je la reconnut aussitôt. Face à moi, la blonde me remit en mémoire l’outrage de ma nomination quelques mois plus tôt. Oui, c’était bien elle qui avait activement participé à mon bizutage dans les sous-sols du manoir. Je reconnus également cette paire de seins qui tendait son chemisier écru. Elle était toute mignonne avec sa petite jupe en jean et ses longues jambes fines.


Ne percevant aucune réaction de sa part, je ne sus si elle me reconnut. Après l’échange de nos codes, je la fis entrer. Elle pénétra nonchalamment dans mon homme, d’une démarche sensuelle.

Je lui offrais du thé qu’elle accepta volontiers.

Nous devisions en buvant nos tasses. Elle était superbe et mon désir frémissait. Elle me félicita pour le choix de ma villégiature. Je sautai sur l’occasion pour lui faire visiter la maison. Nous montâmes à l’étage et je l’a fis pénétrer dans ma chambre. Elle sembla un moment troublée mais, voyant que je lui laissai le passage, s’y infiltra devant moi.

Je fis quelque chose de dangereux, en dehors de toutes les règles de notre service mais j’en avais trop envie. Je remerciai mes patrons d’avoir, sans le savoir, mis cette superbe créature sur ma route. Ma sensuelle vengeance ne pouvait tomber mieux, moi qui me trouvai en manque. Je me plaçai derrière elle et brutalement je lui pris les mains et je les plaquai contre son dos. Elle poussa un petit cri de frayeur qui m’enthousiasma

-         -       Ne t’inquiètes pas ma belle, je ne vais pas te faire de mal.

Elle pouffa la salope

-          -  Je sais

-          Tu sais quoi

-         -   Moi aussi je t’ai reconnu. Elle ne cherchait même pas à se débattre. Elle continuait à parler tout en ricanant

-         Comment oublier une pareille soirée avec une superbe fille comme toi. Je m’en suis donnée à cœur joie et tu as bien reçue, comme vraie une chienne

-          -  Oh oui ma garce, tu as raison, j’en ai reçue. J’ai mis plusieurs jours à m’en remettre. Mais tu sais, je me suis promis une chose

-         -     Laquelle demanda-t-elle ingénue

-          -  Parmi tous ceux qui m’ont défoncé ce soir-là, j’ai remarqué une blondasse bien salope avec  des seins affolants et un clito bien dur

-          -   Je t’ai laissée un si beau souvenir

-          -  Oui ma belle pute et je me suis promis de te retrouver et de me venger

-         --  De te venger…mais de quoi

-          -  De tout ce que tu m’as fait subir ma belle

-          - Je m’inquiète là dit-elle en riant.

-          -  Et même j’ai tellement attendu que ma vengeance va être bien supérieure à ce que j’ai subi

Je sentie sa voix plus inquiète,

-         -  Tu rigoles là

Je la jetai sur le lit

-Non, je n’ai jamais été aussi sérieuse


Je me précipitai vers ma petite valise d’accessoires qui ne me quittait jamais et en sortait une corde fine. Elle se retourna et s’assit sur le couvre-lit en me regardant circonspecte

-        -   Et tu crois que je vais me laisser faire

-          -  Comme tu veux, mais plus tu te défendras et plus je te ferais subir

J’étais déterminée à me la faire bien proprement cette blonde qui me faisait bander déjà comme une folle

-          - Tu ne vas  pas être trop hard si je t’obéis

-         -  Ca va dépendre ma belle. Retournes-toi et tend tes bras dans le dos, mains jointes.


Elle obéit et se laissa lier les mains, puis je la basculai en avant et entrepris de lui ôter sa petite jupette en jean très serré. Elle m’aida en se tortillant les fesses. Un tanga de dentelle noire révélait de magnifiques petites pommes rondes bien douces et dodues. Ce fessier était superbe. Je n’en pouvais plus. Je lui écartai les cuisses et je commençai à la caresser de manière subtile. Elle ne mit pas longtemps à gémir, surtout lorsque qu’écartant son Tanga, je lui mis un doigt en sa chatte de derrière. Elle se trémoussait et commençait à relever son petit cul pour venir à ma rencontre.


Toute excitée, je la retournai, la prit par les cheveux et l’agenouillait devant moi. Ma petite robe blanche soulevée, sans culotte, je lui présentai mon clito droit comme un mat et elle ne fit aucune difficulté pour l’enfourner dans sa bouche fine. Je fus sympa de ne pas lui labourer la gorge de suite mais j’étais tellement gonflée que je la voyais souffrir un peu, dans l’impossibilité de m’avaler totalement. Elle me devait bien ça, je lui fis un peu violence en lui prenant l’arrière de la tête pour la forcer à m’engloutir. Oh je sentais bien qu’elle avait peine à suivre le rythme mais au diable la tendresse. Elle n’en avait pas fait beaucoup preuve lors de mon bizutage. Elle allait se rendre compte du calibre du clito d’Anna cette chienne lubrique.


Elle en bavait, au sens propose comme au figuré, et j’en rajoutai pour qu’elle comprenne bien qui était la Maîtresse maintenant. Plusieurs fois, elle du déglutir et je commençai à voir le rimmel de ses yeux coulés. N’étant pas une tortionnaire, je décidai de changer de jeux. Je lui pris le dessous du menton pour qu’elle se relève et je l’embrassai goulument, ma langue lui explorant la totalité de sa bouche. Elle semblait soumise et se laissa faire alors que je l’entourai de mes bras.


Puis je passai aux choses sérieuses, je la basculai brutalement sur le lit et attrapais ma paire de menottes. Elle se laissa attacher au barreau du lit en fer, comme si elle acceptait cette punition méritée la petite cochonne. Face à moi, son regard mêlait excitation et inquiétude. Lentement, je dégrafai son chemisier et ses deux seins de trav’ hormonée apparurent. Je reconnus avec délice ses tétons bruns qui pointaient en ma direction comme un appel à la succion. Je plaquai mes mains dessus et commençai à lui caresser les mamelons. En même temps, j’apercevais avec délice la bosse sous son tanga noir. Cela redoubla mon désir et j’entrepris de lui caresser la totalité de ce corps souple et lisse offert à ma lubricité.


Je me penchai et attrapai ses tétons pour les mordiller alors que ma main glissait sous sa culotte pour saisir son membre dur. Une belle trav comme elle, humm, cela me plaisait à la folie. Elle fermait les yeux et gémissait doucement. Elle adorait cette jolie blonde et cela décuplait mon désir. Bientôt je m’occupai de son clito avec ma langue. Partout, sa douceur de peau me donnait faim et la sucer m’apportait de merveilleuses sensations. Ses gémissements s’accéléraient. Je lui procurais un plaisir intense, cela se voyait.


Mais trop était trop, finie la volupté sensuelle. Bien que j’aime  lui manger le clito, je devais encore lui faire subir quelques outrages. Je la retournai et ses bras attachés se croisèrent. Je lui descendis, sans ménagement son tanga et aperçus la belle paire de fesses dénudée bien blanche. Ce petit cul manquait de couleur pensai-je en attrapant mon martinet. Et, avant même qu’elle ne s’en rende compte, je lui admonestai un coup sec sur son arrière-train. Un petit cri de surprise se fit entendre de la belle bouche de ma blonde. Je continuai alternant le rythme, force et parfois caresse avec les lanières. Elle se mit à crier plus souvent. Je lui faisais mal, j’en étais consciente mais j’adorais cela. Je voyais rougir ses fesses. Mon martinet laissait des traces et elle souffrait de plus en plus. Des cris strident et fort accompagnaient mes coups brefs.


-         -  Tu peux hurler ma belle, dans ce coin paumé personne ne t’entendra

Puis je repris ma besogne.

Après quelques minutes, je stoppai mes agissements. A ma grande surprise je l’entendis dans un souffle

-Encore me disait-elle.

A la coquine, serait-elle adepte du masochisme. Alors je recommençai et elle hurlait de plus belle.

Je continuai quelques minutes et son cul devenait mûr.


Mais tout cela m’affolait. Voir cette belle blonde bien membrée se tortiller et réclamer encore plus de coups de martinet, je devenais bouillante de désir.

N’en pouvant plus je lâchai le martinet et me jetai littéralement sur elle, en attrapant le gel et une capote sur la table de nuit. Bien couverte, je lui enfilai deux doigts gélés dans ces fesses déjà bien ouvertes et je la pénétrai violemment lui arrachant un gémissement de pucelles effarouchées.


Je commençai doucement avant de prendre un rythme bien effréné car elle m’avait mise dans tous mes états cette blondasse adorée.


Tout cela était si bon, si gouteux, si affriolant. Ma soumise ronronnait de plaisir. Elle m’invita à la défoncée encore plus  en me lançant des « vas-y » entrecouper de « han » très sensuels. Ouh je lui administrai une sacrée baise à ma trav’ enflammée.


J’y allai comme une folle. Comme une sprinteuse impatiente de toucher au but.

Je sentais l’excitation monter mais n’en avais pas finie avec elle.


Je me retirai précipitamment, me levai et la retournai sur le dos. Je vis son regard totalement affolé et empli de désir. J’ôtai la capote et présentai mon clito face à sa bouche en finissant de me masturber. Obéissante, elle l’ouvrit juste au moment où mon désir jaillit avec force. Elle prit tout. Je l’aspergeai dans la bouche mais aussi sur ses joues, ses yeux, ses cheveux. Je me vidai de mon plaisir sur elle, avant de m’affaler sur son corps.

Elle était brulante et sentait la sueur amoureuse.


Nous restâmes quelques minutes sans bouger, respirant fortement. Puis la respiration se calma. Je me levai lentement et allai prendre une douche. Je la laissai attachée sur mon lit et sa nudité m’excitait encore.


Elle resta finalement deux jours et nous organisames plusieurs jeux en duos ma jolie trav’ blonde et moi.


On se voit parfois lorsque nous avons quelque temps à perdre. Elle est toujours aussi délicieuse et nous sommes tout à tour dominatrice ou soumise.

 

 


Il y a quelques jours, c'était mon anniversaire.
Alors, je me suis fait un cadeau pour moi toute seule. Un cadeau de folle mais tant pis. j'en avais envie (c'est pourquoi je me dis parfois que je suis dingue) et je l'ai fait. Non sans trembler.

Alors le jour de mon anniv et bien je me suis préparée (dans mon boxe équipée pour) et je suis sortie en fille. Long manteau en jean laissant apercevoir, quant je marche mes bas noirs (Dim-up car j'avais peur que les portes jarretelles ne tiennent pas), jupe courte noire, chemisier noir transparent avec soutien gorge en dentelle noire et string rouge houuuu). perruque brune, maquillage rouge à lèvres et lunettes de soleil (mais il faisait plutot gris) car je n'ai pas osé montrer mes yeux
je suis sortie et cela commencait mal. Un de mes dim-up descendait a chaque pas. j'ai du rapidement me cacher derrière un arrêt de bus pour remonter tout ça (je connais un automobilisme qui m'a bien reluqué en passant) mais bon après cela a tenue.
J'ai pris le bus (bondée), le RER (heureusement sans trop de monde) et j'avoue que je passai plutôt mon temps a regarder mon portable de peur de lever les yeux. j'ai quand même croiser des regards bizarres mais bon, c'est peut-être moi qui me faisait des idées.
Grand plaisir lorsqu'à la sorite du RER, l'homme qui distribuait des journaux gratuits m'a lancé "Bonjour Madame" (Ouh que cela m'a fait du bien).
Ensuite je me balade un peu, téléphone à une copine, assise sur un banc. un homme Passe et me sourit car il entend ma voix plutôt bien féminine et me regarde plusieurs fois avec insistance (bien que je sois sûre qu'il est vu que j'étais une trav).
Je reprends mon courage à deux mains et je rentre dans un pub. Le serveur me dit "bonjour madame". Mais je sais que plus tard, il ne sera pas dupe mais il est resté très courtois, tres gentil.
Je bois mon coca, puis repart. je commence a être stressé. re-balade. RER et bus pour rentrer. Et enfin je reviens pour me changer avant de partir au boulot.

Résultat deux heures trente d'angoisse et de "pur plaisir".
Je l'ai fait. Je suis heureuse.
Un beau cadeau d'anniversaire pour Anna la folle.
J'ai déjà envie de recommencer
Mais si une copine veut m'accompagner
j'aimerai réellement
Sortir en fille, je kiffe grave et là je me sens pleinement FEMME
Car je suis de plus en plus femme et j'aime cela
je me sens vraiment Anna
ANNA
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Pubs