Il devrait plaire à tous les amoureux des (filles en) collants ... et j'espère en faire bander
autant. Sinon, soyez indulgents pour une povre fille qui couche (!) ses fantasmes par ecrit.
Nous sommes dans une grande chambre ou un salon, tu es assis dans un fauteuil, habillé
et moi a distance dans une robe mi-longue, chaussée de sandales fines a
talons, les jambes
et les bras nus, les ongles des pieds et des mains d'un rouge sombre, mes lèvres d'un rouge
intense, maquillée. Je sais les ravages que commettent dans le coeur des hommes mes longs
cils noirs.
Tu m'ordonnes de m'approcher de toi, tu passes une de tes jambes entre les
miennes. je rougis
un peu tandis que tu soulève ma robe, découvrant sous ma culotte en nylon
transparente mon
petit minou. Bien que cela se voit tout de suite, la culotte ne cachant
rien de moi, tu écartes le
nylon d'une main tandis que de l'autre tu inspectes que je porte bien ce
jouet planté dans
l’urètre que tu exige que je porte - C’est parfaitement indolore, mais en
cas d’excitation sexuelle,
la semence est bloquée. Satisfait de cette inspection tu glisses à présent la
main entre mes
Jambes sous la culotte et tu vérifies que mon petit trou est suffisament dilaté
pour te recevoir.
Tu insères doucement un doigt dans ma chatte, puis un deuxième, puis trois
et ca fait flic floc
quand tu les fais aller et venir. La encore tu as l'air satisfait et je m’abandonne a toi : mes mains
sur tes épaules, mes jambes tremblent et inconsciement je me suis hissée sur la pointe des
escarpins pour m'offrir à tes doigts.
Tu insères ensuite rapidement les deux derniers doigts et ma chatte accueille ta main
entière et alors que tu souris en grimacant je pousse un profond soupir et je gémis.
Un vrai baiser sur mes lèvres, ta langue dans ma bouche, tu essuie ta main sur ma culotte, tu
rabats ma robe, et d'une tape sur les fesses, tu m’ordonne de me mettre nue.
Je me déshabille à distance et dépose ma robe sur un fauteuil.
Je rougis un peu à nouveau quand tu m'ordonnes de retirer aussi le soutien gorge et la culotte.
Ainsi nue a quelques mètres de toi, j'aperçois un épais renflement dans ton pantalon.
Tu saisis alors derriere toi un élégant sac en papier à l’enseigne des grands magasins que tu me
tends.
Le paquet contient plusieurs paires de collants finement emballés et dans
une jolie boite, une
Tu m'ordonnes alors de choisir l'un des collants et de l'enfiler. Celui que
je choisis est de
couleur ambre, en voile et d'une finesse extreme. Me glisser dans ce
fourreau soyeux me procure
un plaisir extreme. je sens ton regard de désir sur moi, je finis de
l’enfiler et vérifie qu’ il soit bien tendu
sur mes jambes. Il recouvre mon nombril et mon minou est plaqué contre mon
ventre.
Ainsi collantée tu me fais a nouveau approcher de toi. D'abord une caresse,
sur mon minou a travers
la soie, puis entre mes jambes et sur la raie des fesses pour verifier que
le collant est bien plaqué
contre ma chair.
Et puis tu me fais tourner et te présenter mes fesses. Le fin nylon ambre
transparent est tendu
par dessus mon petit trou noir dilaté. Tu presse un doigt a cet endroit
tout en me regardant dans
les yeux. Puis tu m'embrasses une nouvelle fois en saisissant ma main que
tu poses sur le renflement
de ton pantalon.
Le renflement a encore gonflé et tandis que ton doigt caresse doucement ma
chatte a travers le nylon,
j'ouvre ta braguette. Ton pénis est énorme et rouge, il s'echappe du slip
et quand je le saisis
je le vois encore gonfler tandis que, moi à califourchon sur tes cuisses,
tu as saisis mes pieds nus
mais collantés. L'ambre du nylon est si fin que l'on voit le rouge de mes
ongles de pieds aussi bien
que si j'avais été completement nue. Tu m'embrasse, caresse mes pieds
tandis que j'ai peine a contenir
ton pénis qui grossit et durcit a vue d'oeil.
Puis d'une voix rauque tu m'écartes doucement et je me remet debout devant
toi. Tu donnes des petits
baisers sur mon minou a travers le nylon en me tenant par les hanches. Je
suis sur la pointe des
pieds, tendue et je laisse échapper de petits gémissements, tandis que je
sens mon minou durcir sous
tes baisers et tes coups de langue.
Une claque sur les fesse et tu me commande d'aller enfiler mon autre
cadeau.
La nuisette dans son bel emballage est encore plus belle et fine que je
n'avais tout d'abord entrevu.
je la tiens devant moi à hauteur du visage et malgré cela je te vois
parfaitement. Son voile noir
transparent est agrementé de nombreux motifs, son bas en dentelle,
et malgré la hauteur a laquelle je la tiens, elle est d'une longueur telle
qu'elle fait des plis sur le sol.
Je me glisse dans sa douceur et tandis que je la remonte sur les épaules,
on entend distinctement son
doux crissement sur la soie des collants. Je me sens belle et désirable et
tu dois le sentir aussi quand tu
me dis d'approcher a nouveau.
Pas besoin de relever la nuisette comme tu l'avais fait avec ma robe, la transparence
de la lingerie que je
porte pour toi ne cache rien de mon anatomie. Simplement tu souris car mon
minou est désormais tout
dur et pousse presque a la verticale sous le nylon. Tu passe ta main a cet
endroit, pour vérifier toute
trace d'humidité, que le bijou planté dans mon uretre remplit bien son role et et que je serais bien ta
femme complètement encore aujourd'hui.
Si je suis nue pour toi dans ces collants si fins, dans cette nuisette magnifique c'est que je veux etre
à toi.
Mais ca tu le savais sans avoir besoin de vérifier, les signaux que mon
corps émet sont sans équivoque :
Prends moi, plante ton dard en moi et fais moi crier !
C'est moi qui saisis ton penis et viens plaquer ma bouche contre la tienne.
Je suis a nouveau
a califourchon sur tes cuisses et je gémis quand tu caresse ma chatte a
travers la nuisette.
Tu saisis de nouveau mes petits pieds, tu me regarde de nouveau dans les
yeux et tu
m'ordonne de te prendre dans ma bouche.
Je suis devant toi, a genoux dans ma nuisette vaporeuse, je sens sa caresse
excitante sur mon corps de fille, tandis que tu te mets nu.
Ton sexe est brulant dans ma bouche tandis que je darde l'aiguillon de ma
langue dans
l'orifice de ton uretre. Tu gemis a ton tour tandis que dans un meme temps
je caresse tes
bourses.
Puis par va et vient plus ou moins rapide, ta verge s'enfonce de plus en
plus profondément
dans ma gorge. Je manque étouffer quand tu te leve et prenant ma tete a
deux mains,
a ton tour tu prends l'initiative des va et vient et voudrais t'enfoncer
completement en moi.
Mais malgré l'excitation du moment, de me voir ainsi soumise a tes pieds,
tu n'éjaculeras pas
dans ma bouche aujourd'hui.
Soudain tout s'arrete, tu retire ton sexe trempé de ma salive et me tends la
main pour me
relever. Moi meme toute dans l'excitation du moment et oublieuse de mon
propre désir
j'attendais la décharge de ta semence au fond de ma gorge comme une ultime
récompense.
Tu me releve et constate avec satisfaction que mon minou est comme tout a
l'heure,
tout tendu sous le rempart soyeux du nylon des collants et de la nuisette.
Tu passe la main sur mes fesses et a travers les couches successives du
nylon plaqué sur ma chair,
tes doigts experts explorent de nouveau ma chatte.
Ma chatte est frémissante, elle s'est encore dilatée, je ne t'éspere plus, je t'attends. Et
l'humidité refusée a mon minou se retrouve ici. Ma chatte est toute mouillée.
le collant
trempé a cet endroit est tendu sur l'orifice dilaté et fait comme une peau
de tambour, un hymen.
Je sais que le garde a vous de ton sexe est pour moi et cette pensée finit
de me rendre femme.
Tu me fais a nouveau un baiser a pleine bouche.
Je me sens si desirable et sexy .
Alors tu me montre d'un geste la paire de sandales restées a l'ecart. Tu veux que je les enfile.
Je m'accroupis a l'écart et tandis que je boucle les lanieres, je sais que
je serais encore plus a
toi dans ces sandales sexy.
Quand je me redresse, je suis perchée sur des talons aiguilles de 13cm, mes
ongles de pieds
d’un rouge sombre et plein sont comme des bijoux sous la soie des collants.
A présent la nuisette
touche tout juste terre et ainsi debout dans la lumiere face a toi, je sais
que je suis terriblement
désirable.
Et tu sais que je suis a toi quand tu me fais revenir vers toi.
Mes talons font clic clac sur le parquet tandis que j’avance en chaloupant.
Tu es nu et assis dans le fauteuil. Ton sexe est énorme et pointe vers le
ciel
Je suis sure de ma beauté quand je me dirige vers toi mais je sens que je
suis trempée de desir pour toi.
Tu prends ma main, tu veux que je m'assoie a califourchon sur toi, j'écarte
les jambes autour
de tes cuisses et tu en profite pour plaquer un nouveau baiser sur mon
minou. A travers les
voiles tu le prends dans ta bouche et tu le mordille. Je sens le voile des
collants se tendre
encore davantage sous la poussée de mon minou de fille. Je gémis.
Par cet effet le voile se tend aussi davantage sur ma chatte.
Je deviens completement folle de désir d'etre a toi.
J'ecarte ma nuisette en corolle et m'assois lentement sur toi. Mes main
reposent sur tes
epaules nues. En baissant la tete je peux voir sous la transparence des
voiles, mon petit minou
tendu captif des collants et ton sexe énorme tendu verticalement.
Tu ne dis plus rien, tu as les yeux ouverts et tu regarde les miens tandis
que, les mains sur
mes hanches, tu réajuste ma descente droit sur ton sexe.
Tu saisis dans mes yeux un peu d'appréhension, un peu de peur peut etre car
délicatement
tu plaque tes levres contre les miennes. et puis tu me garde ainisi, bouche
contre bouche,
tandis que je m'assois lentement, maintenant parfaitement a la verticale de
ton sexe.
Mes jambes tremblent un peu, tes mains sur mes hanches veillent au
mouvement.
Et soudain je me bloque, sens que ton sexe est la, contre les collants. Je
sens alors la légere
pression de tes mains sur mes hanches et puis un crissement de soie comme
ton dard
dechire la fine pellicule de nylon, sans a coup.
Et puis tu me pénetre et je sens ton enorme sexe me remplir dans un
glissement.
Je suis a toi completement maintenant et je fais de lents va et vient tout
d'abord , puis de plus
en plus vite, le long de ton mat. Quand je vois dans tes yeux que tu
atteins l'orgasme, je ralentis,
puis j'accélere a nouveau, cela pendant un bon moment jusqu'a ce que, fou
de desir, tu
arrache mes pieds du sol.
Je reste ainsi, empalée sur toi, sentant la pulsation de ton sexe en moi et
la mienne propre.
Mon coeur bat la chamade pendant que tu me défait de mes talons. Je suis
tellement a
toi : tu tiens mes petits pieds collantés qui sont comme des bijoux dans
tes mains, et a travers la
corolle de ma nuisette tu sens mon petit minou tendu sous les voiles contre
ton abdomen. Je suis en
nuisette et je porte des collants mais pourtant tu es en moi. Je suis sexy
et desirable et aguicheuse et
tu me possède.
Je sens ton sexe en moi vouloir grossir encore, m'écarteler davantage.
Tu tiens mes petits pieds gainés de nylon dans tes mains mes bras sont autour de ton cou et
en serrant tes bras autour de moi tu me fais maintenant monter et
descendre sur toi.
Mon cul est une fontaine. Tu sais que tu me possede davantage que si j'étais
nue et je le sais
aussi, la caresse de tes mains sur le nylon qui couvre mes pieds est un
rappel pour moi que je
suis en collant et que tu es en moi quand meme.
Et puis dans un cri ultime tu te cabre une derniere fois et je me sens
remplie de ta lave en fusion.
Mon propre cri d’orgasme est étouffé quand tu plaque ta bouche contre la
mienne, tu serres
mes petits pieds a les briser dans tes grosses mains et la fontaine qui s'écoule
a present sur le sol
est un mélange de la semence que tu mets en moi et de mon jus de fille.
Carole Le Vice, Paris 13 février 2016
Le Mur